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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
15 juin 2013 6 15 /06 /juin /2013 04:01

Le premier hypermarché « gaulois » fête ses 50 ans

 

Carrefour ouvre le premier hypermarché de « Gauloisie » en région parisienne, à Sainte-Geneviève-des-Bois.

L’enseigne doit son nom au fait que ce magasin est implanté sur une zone suburbaine de la banlieue parisienne-sud au carrefour de la rue Jean Mermoz et de la route de Corbeil.

Un « C » blanc dans un carré posé en diagonale, bleu d’un côté, rouge de l’autre : Une enseigne tricolore.

Le blanc de la pureté positionnée entre le bleu de la spiritualité et le rouge de la vie, le blanc de la neutralité positionné entre le bleu de la fraîcheur de la mer et la fraîcheur de la viande.

C'est le second souffle, décisif celui-là, du commerce de détail en libre-service, mais à grande échelle cette fois-ci, avec des magasins d'une surface supérieure à 2.500 m².

Désormais, on n’en ouvre plus, parce qu’il faut plus de 10.000 m² couvert pour faire un « hyper ».

L’équivalent d’un gros entrepôt.

Une véritable révolution commerciale, qui bouleverse le secteur et les habitudes des « Gaulois » à l'époque.

 

Sous 2.500 m², on trouve les « 5 rayons » traditionnels (épicerie, liquide, boucherie-charcuterie, BOF-ultra-frais, bazar), pour quelques 4.000 références minimum, qu’on peut retrouver dans des supermarchés de taille plus modeste.

Et notez qu’un consommateur « juge » un magasin, n’importe lequel, sur 10 références maximum, dont il a retenu le prix, soit pas plus de 400 références au total sur les 4.000 proposées.

C’est dire s’ils pouvaient faire très fort…

 

Depuis et avec l’agrandissement des surfaces, sont présentes jusqu’à 10.000 références, avec désormais la poissonnerie, les fruits & légumes, la boulangerie-pâtisserie, les produits-bruns et produits blancs de l’électro-ménager, des meubles-meublants, un rayon-jouets, la papeterie, les loisirs, voyages, banque-assurance, pharmacie, labo-photo, etc.

Et comme partout, les ventes saisonnières…

(Sous les auvents extérieurs chz les « Inter » avec 200 m² non décomptés, pour cause de loi « protectrice & liberticide » limitant à 1.000 m², qui a longtemps été le seuil de réglementation pour ensuite être descendu à 400 m² par la suite et ainsi se soustraire aux autorisations préalables d’ouverture…)

Tout ce qui peut se vendre…

Rejoignant ainsi un concept antérieur : Celui des grands-magasins, « tout sous le même toit », la première révolution de la distribution et du commerce populaire, du siècle précédent.

 

La seconde révolution avait été faite après-guerre avec la notion de libre-service : Le client se sert directement dans les gondoles et ne rencontre qu’un seul employé du magasin, la caissière.

Exit les vendeurs dans les stands, les rayons, qui font leur réapparition à la fois dans les allées des grands-magasins et des rayons des hyper, mais restent encore actifs dans les allées des magasins spécialisés, même de grandes surfaces.

 

La taille du magasin joue sur l’inconscient du client depuis cette époque : Plus c’est grand, moins c’est cher !

Le premier hyper peut effectivement se passer d’intermédiaires qui stockent pour lui et livrent tous les jours.

Pas sur toutes les gammes, mais sur les principales sorties et quelques dizaines de fournisseurs, les volumes sont ceux d’un grossiste de l’époque.

Depuis, ils ont disparu des livres et se contentent de se réfugier aux abords des grandes-villes et sur les carreaux des marchés d’intérêt nationaux, genre Rungis.

Alors forcément, mettre sous le même toit des produits de consommation courante, ils ne peuvent l’être qu’à des prix les plus avantageux que dans les commerces de proximité, aux superficies plus modestes.

Cela s'explique logiquement par des commandes en gros volumes.

Fournir de l'épicerie à l'électro-ménager, voilà la force et le choix de l'hypermarché.

 

Mais la force de l'hypermarché réside aussi dans le choix plus large, des gammes plus « profondes » que dans une supérette.

Mais moins que dans un magasin spécialisé sur un seul secteur de consommation.

 

Le concept vient des États-Unis : Large plage horaire (tels les « seven-eleven » qui veulent bien dire ce qu’ils annoncent) bordé d'un parking spacieux, facilitant l’accès.

Selon le principe de Chetochine : « No Parking, no business » !

Les parkings, c’est d’ailleurs devenus le talon d’Achille de la grande distribution.

Trop petit, le chiffre d’affaires ne parvient pas là, trop grands, c’est la ruine à construire et à entretenir.

Et de toute façon, ils sont saturés en fin de semaine…

Et en centre-ville, les parkings sont peu commodes et pas assez accessibles, d’où l’idée d’aller s’installer « au milieu des betteraves ».

 

Trujillo, un autre gourou-théoricien du commerce, a développé le concept autour de quelques préceptes comme : « Le succès repose sur trois pieds : le libre-service, le discount, le tamtam publicitaire. Qu'un seul vienne à manquer et tout s'écroule »,

« Empilez haut, vendez à prix bas », ou encore « Créer un îlot de perte dans un océan de profit. »

Les volumes faisant le reste.

 

Faut dire que le premier jour d’ouverture, ça eut été de la folie. Tout le monde voulait voir, tout le monde voulait pousser son caddie à roulette.

Un peu comme pour le premier « usine-center » aux abords de Roissy plusieurs décennies plus tard…

Et les volumes ont été au rendez-vous, tellement les prix étaient « attractifs », consolidant l’inconscient du client.

Les stocks tournent jusqu’à deux fois par semaine, une à deux fois par jour pour l’eau d’Évian (pourtant livrée exclusivement par le rail).

Payés à 90 jours aux fournisseurs, l’effet de levier est tel qu’un magasin, installations comprises, se paye en un an de marge brute.

Au moins pour les premiers : C’est devenu plus aléatoire par la suite, quand le territoire a été saturé de « grandes-surfaces ».

Les remboursements de TVA, avant ouverture, payaient le premier stock dit de « mise-en-place ».

Là encore, c’est devenu moins vrai…

Bref, un « jackpot » toujours gagnant, des « usines-à-cash » qui ont fait la fortune des pionniers en quelques années.

 

L'institut Kantar révèle que 94 % des « Gaulois » fréquentent une quarantaine de fois les quelques deux mille hypermarchés du pays, à raison de 40 euros en moyenne par panier.

Et si les clients sont encore là, l'image que projettent ces géants de l'alimentation est de plus en plus critiquée. Le nouveau PDG de Carrefour, Georges Plassat (un transfuge de Casino), explique ainsi ce désamour :

« Le problème des hypers, c'est que la vie s'en est échappée au profit de la rentabilité. »

Effectivement, l'un des préceptes de Bernard Trujillo était « faites du cirque dans vos magasins. »

Concept repris par la FNAC dans le loisir plus tard dans son magasin de la rue de Rennes à Paris, par « Surcouf » dans ses magasins de centre-ville pour les produits informatiques.

Et là, peu importe la marge…

Mais M. Plassat le concède, les commerces de grande distribution manquent de « festif et d'humain », le client n'étant plus « au cœur du magasin. »

Ainsi, selon un sondage Ifop réalisé fin 2012, 69 % des gaulois assimilent les courses en grandes surfaces à une « corvée ».

Faut dire que passer des plombes à pousser son chariot dans des kilomètres d’allée, faire ensuite la queue aux caisses et parcourir tout un parking sous la flotte pour retrouver sa bagnole, il y a mieux comme distraction !

 

Philippe Moati, économiste, va dans ce sens : « L'hyper est le produit de la précédente révolution commerciale, emblématique des Trente Glorieuses. Mais la société a changé et le commerce avec elle. Le "tout sous le même toit pour tout le monde", c'est fini. »

De nouveaux modes de consommation sont entrés en concurrence, portés par la démocratisation d'Internet, qui permet en quelques clics des offres plus abordables.

C’est effectivement plus commode et les prix sont tenus bas, voire très bas, parce que le stock des produits achetés est détenu et financé par le fournisseur-industriel, le « distributeur » se contentant de centraliser les commandes d’une journée, de se faire livrer le lendemain, de « répartir » dans la journée alors qu’il se fait payer à la commande.

Une autre forme de commerce où il ne doit plus rien rester le soir dans les rayons…

L'hyper doit se réinventer pour ne pas rater le bon wagon.

 

Michel-Edouard Leclerc, le président des centres E. Leclerc, en a conscience et explique au Parisien Magazine que « l'hypermarché doit lui-même se connecter à Internet. »

De nouvelles offres sont ainsi disponibles, comme le « drive », qui permet d'effectuer sa commande via le Net et d’aller la chercher sur le parking d’un centre le soir avant de rentrer chez soi.

L'autre condition pour que le client retrouve le chemin des rayons pourrait être de « ré-enchanter » l'hyper (« il y a de la vie Auchan »), en offrant aux clients un lieu convivial où ils seraient bien conseillés.

Être novateur quitte à se réinventer, tout en gardant l'essence de l'hyper, telles sont les éléments nécessaires à la survie de ces géants, si dans 50 ans, ils veulent fêter leur centenaire en bonne santé.

 

Personnellement, je n’y crois plus. L’hyper-commerce a tué le « petit-commerce » qui s’est réfugié sur ses « niches » de proximité ou de spécialisations.

L’e-commerce tue l’hyper-commerce à petit feu et le hard-discount tue les marges en vendant souvent de la m… (des étrons) et gare à celui qui irait dans leur sillage, avec pour conséquence de détruire sa notoriété.

Par ailleurs ces géants ont été étouffés par des réglementations liberticides empêchant leur développement.

Alors ils sont allés chercher des volumes à l’international et il en a cuit à toutes les enseignes : Le génie de la distribution-gauloise, c’est de vendre pas cher.

Le problème, c’est que n’importe qui peut vendre toujours moins cher.

Et les industriels s’en plaignent assez pour savoir être au cœur du problème…

(On y reviendra peut-être à l’occasion).

Notamment depuis que la vente-à-perte va pouvoir être réintroduite via la jurisprudence européenne (nous en reparlerons…)

 

Alors peut-être, et c’est ce qui manque, il s’agira « d’animer » les ventes par des promotions « canons ».

Mais ça demande du temps, des efforts et de l’argent.

Reste que ce ne sera pas forcément suffisant, puisque justement depuis 1963, et pour la troisième fois depuis 1959, l’année 2012 aura marqué une « contracture » du pouvoir d’achat du Gaulois.

Et comme ce n’est pas fini, on n’a pas fini non plus de compter les cadavres sur les chemins !

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14 juin 2013 5 14 /06 /juin /2013 09:01

Selon le « Daily Mail »...

 

… Les hommes ne deviennent pas matures avant 43 ans !

C’est précis…

On s’en doutait un peu à relever les effets de la « crétine-attitude » de nos gouvernants qui touche parfois à « l’autisme-natif »…

Quoique nos amis d’Outre-Manche restent un peu optimistes : Chez nous, l’immaturité peut manifestement durer beaucoup plus longtemps.

 

Roter et péter (et en rire), jouer aux jeux vidéo, manger vite et n’importe quoi (à 2 heures du matin, de préférence), courser les autres voitures avec de la musique très forte, toujours raconter les mêmes blagues avec ses potes, rester silencieux pendant une dispute et essayer de battre un enfant aux jeux et en sport… Voici quelques-uns des « 30 signes majeurs » de l’immaturité persistante des hommes selon les femmes britanniques interrogées par des chercheurs.

 

La conclusion de cette étude, commandée par la chaîne de télévision « Nickelodeon UK to » pour le lancement d’un nouveau programme « Wendell & Vinnie » et citée mercredi dernier dans le « Daily Mail » est sans appel : Les hommes ne deviendraient complétement mâtures qu’à l’âge de 43 ans en moyenne, contre 32 ans seulement pour les femmes.

Mais oui, leurs dames vieillissent le plus vite !

D’ailleurs, elles en sont toutes persuadées à user de tous les artifices possibles et imaginables pour paraître plus jeune.

Jusqu’à dormir avec des emplâtres gras, dégueulasse et aux couleurs impossibles étalés sur la tronche ou à se faire tirer la caouane pour faire disparaître les rides.

 

Notez que le « truc » idéal, c’est encore celui de ma « petite-sœur » (celle que si elle n’existait pas il faudrait définitivement l’inventer) : Elle se vieillit systématiquement de dix ans.

Comme ça, elle a toujours droit au si réconfortant : « Qu’est-ce que tu es bien conservée pour ton âge ! »…

Mais si, même que pour être son aîné, je ne sais jamais quel âge j’ai, finalement…

Et puis comme ça change tous les ans !

 

Les principaux intéressés seraient d’ailleurs assez lucides sur cette situation. Selon les résultats de l’enquête, les hommes sont deux fois plus enclins à se décrire eux-mêmes comme immatures, et un homme anglais sur quatre estimant même être « activement immature ».

Yes, they can !

 

Plus inquiétant, 8 de leurs femmes sur 10 pensent que leurs hommes ne cessent jamais d’être puérils.

C’est sans doute assez proche de ce que nous pouvons nous-mêmes relever.

De quoi tendre la vie de couple au quotidien !

Les femmes britanniques seraient ainsi contraintes de dire à leur partenaire de se « comporter comme un adulte » plus d’une fois par mois, et au moins 14 fois par an !

Un quart ont même le sentiment d’être les seules à prendre les décisions importantes dans leur relation.

Et trois femmes sur dix ont d’ailleurs mis fin à cette relation parce qu’elles ont perdu patience. 

 

Petit point positif : 4 personnes sur 10 estiment que l’immaturité permet de continuer à s’amuser et de conserver une certaine fraîcheur dans sa relation.

Et un tiers que ça permet de créer des liens avec les enfants.

 

Ça me fait penser qu’il faudrait que je termine de monter mon « train-électrique » qui prend la poussière sous le lit depuis plusieurs décennies…

 

 

Autre découverte passionnante et qui mérite de figurer en bonne place dans ce blog : Les pénis anglais en érection ont perdu en moyenne 2,29 cm en dix ans...

Ce n’est pas une blague !

Il y a des meks (ou des femmes) qui sont payés pour en faire la mesure, chez eux !

 

Alors que de précédentes études scientifiques avaient déjà démontré une tendance à la diminution de la taille des pénis, de nouvelles statistiques anglaises, relayées par « Gentside », viennent confirmer la tendance.

Le site de vente de préservatifs « TheyFit » a évalué, d’après sa base de données, que les tailles de préservatifs les plus commandées étaient de plus en plus petites.

Ils en ont conclu que la taille moyenne d’un pénis britannique en érection était passée de 15,4 cm en moyenne il y a dix ans à 12,95 cm aujourd’hui.

À ce rythme, dans 56 ans, il ne leur restera plus rien : Imaginez donc un monde où les clitoris des dames anglaises dépasseront en taille les pénis de leurs partenaires !

En deviendront-elles « transgenre » pour autant ?

 

Ces statistiques n’ont heureusement pas de valeur de recherche scientifique mais viennent appuyer de précédentes études, dont une réalisée en Italie début 2012 qui concluait à une diminution de la longueur moyenne du pénis au repos de 9,7 cm en 1948 à 8,9 cm en 2012 chez les italiens !

Coupables dénoncés (h)ardemment : Les polluants, comme les perturbateurs endocriniens, mais aussi le surpoids et l’obésité.

 

Pour ma part, je ne constate pas ces effets-là, à savoir que plus on s’en sert, plus ça rétrécit, comme pour les lavages-essorages successifs à forte température.

En revanche, il semblerait donc que plus « l’engin » se rapproche de la taille minimale, plus le titulaire consomme du préservatif.

C’est donc qu’il change de partenaire plus souvent pour être rapidement … insatisfaite !

 

 

Autre découverte fondamentale et récente pour l’avenir de l’espèce, mais américaine, cette fois-ci :

Des chercheurs se sont penchés sur les raisons de l'incompréhension entre les sexes…

 

Si les hommes ont tant de mal à comprendre les femmes, ce n’est parce qu’elles viendraient d’une autre planète, ni qu’ils sont « immatures ».

C’est, selon ces scientifiques, que le malentendu viendrait plutôt du cerveau.

 

Selon leur étude, parue dans la revue scientifique « Plos One », les hommes n’arrivent pas à lire les émotions transmises par le regard, élément de langage corporel qui peut considérablement nuancer, préciser ou enrichir les paroles.

De mon côté, j’ai toujours affirmé que l’âme des femmes se reflétait dans leurs yeux…

Et qu’il faut savoir lire « OUI » dans leur regard !

 

En testant les capacités de reconnaissance des émotions transmises par les yeux, l’équipe du psychologue Boris Schiffer a constaté que chez les hommes, la partie du cerveau qui permet de faire ressurgir ses émotions passées pour comprendre celles exprimées par son interlocuteur ne s’active que très peu quand ils sont en face d’une femme.

Les kons !

 

Un problème d’empathie, en somme, qui en revanche et curieusement ne se produit pas lorsque les hommes sont entre eux !

Chez leurs congénères-kouillus, ils savent reconnaître les signaux de colère, d’énervement, de peur…

Peut-être, peut-être seulement, parce que leurs ancêtres avaient besoin de prévoir les réactions d’un adversaire potentiel.

Et qu’ils n’avaient déjà pas besoin de lire « l’âme des femmes » (qu'ils ont longtemps niée) dans leur regard pour les sauter…

 

Vraiment des immatures, finalement.

Parce qu’après le « démon de midi » de la quarantaine, dernier « épisode-frénétique » (paraît-il), alors que chez madame ça intervient plutôt vers la trentaine (je peux vous l’affirmer de sources sûres… quoique…), tout ce petit monde fini peut-être par s’assagir !

Allez donc savoir pour quelle raison impérieuse : C’est juste une hypothèse de ma part, qui admet de nombreuses exceptions et toujours plus d’érections…

Notamment chez « Déesse-khâ » et quelques autres dont je tairais les noms par simple convenance policée.

Parce que des fois, j’en apprends encore des vertes et des pas mûres.

 

 

D’ailleurs à ce sujet, il y a urgence pour Anne, pas encore 40 balais un môme de 12 ans (je crois), togolaise-native d’origine et accessoirement auxiliaire-puéricultrice, logée dans un HLM de la ville de Paris, qui me supplie à chaque fois que je la croise, de lui trouver un « mari » (pas une « grognasse-transgenre ») !

Comme si je savais faire ce genre de chose, moi, hein !

Personnellement, je me suis désisté d’emblée, parce que je suis son Président et que je ne mélange surtout pas le boulot et la gaudriole, même « gauloise » (source d’emmerdements impossibles à gérer).

Téléphonez-lui au 06.98.69.33.85 : Tous les moyens lui sont bons pour arriver à ses fins, y compris de m’encourager à filer son numéro sur ce blog !

C’est dire « l’urgence ».

 

Attention, elle prétend que « l’essayer, c’est l’adopter ».

Impétrants, vous êtes prévenus.

Et puis soyez gentil avec elle. Parce devoir la remplacer sur le pouce parce que vous l’auriez « cassée », ça m’embêterait : On ne trouve plus de « petit-personnel » qualifié, même pour des crèches !

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14 juin 2013 5 14 /06 /juin /2013 04:03

« DES VERRES PEUVENT CHANGER VOTRE PERSONNALITÉ »

 

Et Jean-Marc de rajouter sur l’affiche de l’opticien : 

« Surtout si vous les videz souvent ! »

 

Jean-Marc arrive bourré à un barrage de police.

Le gendarme lui demande ses papiers.

« – Je ne peux pas je suis complétement bourré. Je reviens d'un mariage, on a bu comme des trous. J'ai au moins bu 5 bouteilles de vins, et pour terminer, j'ai flûté une bouteille de Cognac.

– Très bien, Monsieur, veuillez souffler dans le ballon !

– Pourquoi ? Vous ne me croyez pas ? »

 

C'est un gars qui est manchot.

Il rentre dans un bar et va s'asseoir sur un tabouret, juste en face du barman qui est en train de nettoyer ses verres.

Le manchot dit : « Je n'ai pas de bras, comme vous pouvez le voir ; seriez-vous assez aimable pour m'aider à boire un verre de bière ? »

Le barman répond : « Bien sûr ! »

Et il porte le verre de bière aux lèvres du manchot

Le manchot relance : « Je me demande si vous serez assez gentil pour prendre mon mouchoir dans ma poche, et m'essuyer la mousse que j'ai aux lèvres... »

Et le barman s'exécute sans sourciller.

Le manchot continue : « Si vous allez dans la poche de droite de mon pantalon vous trouverez l'argent pour la bière. »

Alors le barman va se servir dans la poche et rend la monnaie.

Enfin, le manchot ajoute : « Vous avez été très gentil. Une dernière petite chose : Où se trouvent les toilettes ? »

Alors le barman réfléchit deux secondes et dit :

« Dans la station-service de l'autre côté de la rue ! »

 

Jean-Marc sort d'un bar en titubant avec un trousseau de clefs de voiture dans la main.

Un agent de police qui l'a repéré s'approche de lui et lui demande :

« – Je peux vous aider Monsieur ?

– Ouaip mon gars ! Y a quéqu'un qu'a volé ma voiture.

– Et où était votre voiture la dernière fois que vous l'avez vue ?

– Elle était au bout d'cette satanée clef ! »

À ce moment-là, le policier voit à qui il a affaire et observe le poivrot de haut en bas.

Il constate que la braguette Jean-Marc est ouverte et que son sexe pend lamentablement hors du pantalon...

« – Monsieur, avez-vous remarqué que vous vous donnez en spectacle ?

– Ah les salauds… Ils ont pris ma petite-amie aussi ! »

 

Jean-Marc est tellement bourré ce soir-là, qu'il est incapable de se déplacer jusqu'aux toilettes du bar pour aller pisser.

Et pourtant, ça urge.

Il demande à Jean-Paul, un peu moins bourré que lui, de l'aider à aller jusqu'à l'urinoir.

Jean-Paul accepte en maugréant, traîne Jean-Marc jusqu’aux toilettes et en profite pour lui faire une petite blague : Arrivés en face de l'urinoir, il baisse et remonte aussitôt, la braguette de Jean-Marc.

Et lui place une banane dans sa main.

Naturellement, Jean-Marc sentant quelque chose dans sa main commence à se soulager... et il sent alors la « douce moiteur » de son urine lui couler le long des jambes.

Il est tellement surpris qu'il lève brutalement les mains et aperçoit alors la banane dans l’une d’elle.

Alors il panique et rentre dans le bar en courant et criant :

« Au secours ! Aidez-moi ! Appelez une ambulance ! Je me suis arraché la bite et je saigne à mourir ! »

 

Jean-Marc et Jean-Paul rentrent d'une tournée des bars en voiture.

Ils sont complétement bourrés, naturellement.

Tout à coup, Jean-Paul qui conduit se rend compte qu'une voiture avec un gyrophare bleu est juste derrière.

La voiture des flics le double et lui fait une queue de poisson pour lui intimer l'ordre de se ranger.

Il dit à Jean-Marc :

« – Merde ! Les flics. On va être bon pour être obligés de rentrer à pied.

– Attends. J'ai une idée ! Fais exactement ce que je fais, et ensuite, quand le policier arrivera, tu me laisseras parler ! »

Et Jean-Marc prend une canette de bière, décolle l'étiquette et se la colle sur le front.

Ensuite il cache la canette sous son siège.

Jean-Paul l'imite sans rien dire.

Le policier arrive au niveau de la portière du conducteur.

Il regarde les deux zigotos avec leur étiquette de « Kro » sur le front et a du mal à réprimer un sourire.

Puis il demande les papiers du véhicule ainsi que le permis de conduire du conducteur.

Après les avoir soigneusement contrôlés, il demande au conducteur :

« – Vous n'auriez pas abusé de la boisson par hasard ?

– Non monsieur l'agent. On a rien bu ce soir. »

Le policier persiste :

« – Vous me permettrez d'en douter : On vous a suivi tout à l'heure et on a bien remarqué que vous ne rouliez pas droit !

Et puis d'abord, comment vous expliquez ce que vous avez sur le front ? »

Alors Jean-Marc répond :

« – Ben, vous voyez bien, on est tous les deux des alcooliques chroniques, et on s’est placé un patch sur le front pour arrêter. »

 

Un soir Jean-Marc fait la tournée des bars.

Dans l'un deux, alors qu'il est déjà bien torché, il rencontre une petite souris.

La main Jean-Marc n'étant plus très contrôlée, laisse tomber quelques gouttes d'un bon whisky par terre.

La petite souris reçoit ces quelques gouttes et se délecte à son tour.

Elle décide donc de suivre Jean-Marc et s'installe dans l'ourlet de son pantalon. Plusieurs bars passent....

Vers 2 heures du mat, rentrant chez lui, notre Jean-Marc passe dans une rue et renverse plusieurs poubelles faisant un boucan d'enfer.

Un voisin réveillé en sursaut se penche alors à l'une des fenêtres d'un immeuble proche et lui dit :

« Vous pouvez pas faire moins de bruit, non ? »

L'ivrogne répond en braillant :

« Qu'est-ce que t'as toi, là ? Descends donc si tu es un homme ! »

Et la souris de rajouter :

« Ouais ! Et amène ton chat aussi ! »

 

Bon à savoir :

– Vous n'avez pas le dessus en vous disputant avec des objets inanimés ;

– Vous vous accrochez à l'herbe pour ne pas tomber sur le sol ;

– Une analyse sanguine a montré que votre alcool contenait des traces de sang ;

– La lunette des W.C. tombe régulièrement sur l'arrière de votre tête ;

– Vous pensez sincèrement que l'alcool représente un type d'aliment comme les glucides, les lipides, les protides...

– Vous vous concentrez mieux en fermant un œil ;

– Le parking n'était pas au même endroit lorsque vous êtes arrivés ;

– Chaque femme que vous rencontrez se ballade avec sa sœur jumelle ;

– Votre lit vous fait penser à un bateau sur une mer démontée ;

– Dans votre tête, lorsque vous fermez les yeux, vous rejouez la scène de la charge des hélicoptères dans Apocalypse-Now ;

– Vous appelez vos enfants Heineken et Kanterbrau ;

– Vous avez votre nom gravé sur un tabouret du bar ;

– Votre verre s'obstine à rater votre bouche ;

– Vous commencez à comprendre ce que dit Michel Rocard ;

– Ils ne veulent plus de vous au « Don du Sang »…

– Les moustiques meurent d'overdose quand ils vous piquent ;

– Un troupeau d'éléphants roses a fait son nid dans un arbre de votre jardin…

Il est probable que vous soyez devenu alcoolique.

Parole d’expert !

 

Bonne fin de semaine à toutes et tous !

 

I3

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13 juin 2013 4 13 /06 /juin /2013 04:09

Droits des femmes : Le projet de loi du gouvernement

 

Parfois, on ne regrette décidément pas d’être né sur cette planète, dans ce foutu-pays qui est le mien, à l’époque contemporaine.

Au moins, on peut rigoler tous les jours de nos ministres (et de beaucoup d’autres) qui se prennent au jeu de « marquer » leur époque avec leurs délires législatifs.

Et puis la « parité » voulue par « François III » nous a mis sous les feux de l’actualité quelques « jolis-sourires » dont on aimerait faire briller les yeux de désirs dans des « positions-convoitées » propres à provoquer leurs plaisirs.

« Belle-qu’à-s’aime » en est un : Elle serait dans mon pieu, que je n’irai pas dormir dans la baignoire.

Mais bon, il faut reconnaître qu’elle n’est pas près d’y arriver.

 

D’autant qu’elle va me haïr depuis que j’ai pu lire des condensés (les communiqués de presse) relatifs à son projet de loi sur le droit des femmes, à présenter en conseil des ministres le 3 juillet prochain (pas avant tellement il y a urgence depuis plus d’un an), parce qu’ils m’ont fait monter la moutarde jusqu’à la narine.

Un texte qui réforme le congé parental en en réservant une partie aux pères et abaisse aux entreprises de plus de 250 salariés les quotas de femmes dans les conseils d’administration, notamment.

Ça s’appelle « projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes ».

Attendez, stop : Arrêtez tout !

 

De quoi parle-t-on ?

Des hommes et des femmes qui se prennent pour des hommes et des femmes ou des hommes qui se prennent pour des femmes et des femmes qui se prennent pour des hommes ?

Quitte d’ailleurs à copuler entre eux, tous genres modifiés, mêlés-zoukés, imbriqués, toutes tendances-sexuelles confondues…

Parce que là, depuis l’autre jour, moi je reste un peu perdu et perplexe.

Ma « ComtesseÔpiednu » m’ayant même suggérer, dans son commentaire, de demander systématiquement un test ADN avant tout « rapport-sensuel » avec autrui…

Que déjà, avec tous les OGM qui se promènent un peu partout, je ne suis même pas sûr que ce soit suffisant…

 

Oui, parce qu’en plus, on nous en dit que ce texte serait le premier à aborder les questions d’égalité selon une « logique transversale » !

Mais oui, transversale, vous avez bien lu !

Et non pas dans « les grandes profondeurs » comme il est de coutume chez les gens « biens-nés ».

Ou de façon homéopathique comme chez les « soces-coutumiers », où il s’agit seulement de survoler le problème abordé, un peu comme « Sicile-Du-Flot-vert » et ses 44 réquisitions de logements vides qui vont enfin endiguer le problème de centaines de milliers de miséreux « mal-logées » dans mon pays !

 

Je me frotte donc les yeux-ébahis par tant de lucidité à venir, car il s’agit de mesures dont on m’annonce brutalement que c’est « une nouvelle pierre à la construction d’une troisième génération des droits des femmes », après la reconnaissance des droits civiques à la Libération et la construction dans les années 70 et 80 de droits économiques et sociaux.

Qu’on peut même se demander ce que sera la quatrième…

Et pourquoi l’ultime tout de suite ?

Manquerait-on de kouilles au ministère des femmes ?

 

« Il sagit désormais de bâtir les droits porteurs d’égalité réelle », pointe même l’exposé des motifs du projet de loi.

Parce qu’avant (mais c’était avant), nos femmes n’avaient pas de droits réels, juste des ersatz de droits, c’est ça ?

Bravo la suffragette… un beau pied-de-nez à l’Histoire de mon pays !

Passons, puisque déjà aujourd’hui, des hommes-bio se prennent aussi pour des « genres-féminins », parfois à en être « lesbiens » pour n’aimer que les « femme-bio »…

Et reprenons les propositions…

 

Congé parental : 6 mois pour les pères … sommés ainsi d’allaiter « leur nichée » !

Magnifique : Le projet de loi réforme le complément de libre choix d’activité (CLCA), une prestation versée par la Sécurité sociale aux personnes qui interrompent leur activité pour prendre un congé parental.

Il est actuellement de six mois maximum pour le premier enfant et de trois ans maximum pour les deuxième, troisième, etc.

Le CLCA est pris aujourd’hui à plus de 96 % par les femmes : Il est temps que ce scandale sexiste cesse au plus vite, effectivement et qu’elles retournent au taf le plus tôt possible pour laisser pouponner le « parent 2 » (pas forcément « bio » d’ailleurs) à jouer les nounous et établir ce lien particulier, plein de phéromones et de sensualité entre le nourrisson et son « parent-bio 1 », exclusivement jusque-là !

Que le gamin, s’il est « normal », son premier mot sera « môman », quel que soit le « parent »…

 

Une période de six mois sera donc réservée au second parent (de la famille « recomposée » peut-être ?).

Concrètement, pour les 2ème et 3ème enfant, cela reviendra à raccourcir le congé pour les « parents 1 », de 3 ans à deux ans et demi.

Salauds, va !

Pour les enfants de rang « un » en revanche, le congé sera potentiellement plus long (six mois pour chacun des deux parents).

Dégueulasse, finalement… que de priver de sa mère le nourrisson qui n’a pas demandé à venir !

Et aux meilleurs jours de sa vie en plus.

 

Cette réforme, qui ne concerne pas les congés en cours, entrera en vigueur le 1er juillet 2014, nous prévient-on.

Elle générera une économie d’environ 200 millions d’euros par an pour la Sécurité sociale à l’horizon de 2017, estime l’exécutif.

Ah, bé voilà la bonne raison, tiens !

Même si je ne sais pas comment, mais passons…

 

Elle entraînerait, de fait, un recul de la durée moyenne du CLCA, seule une partie des pères (parent 1 ou 2 ?) bénéficiant du nouveau dispositif (le gouvernement estime que 20 % d’entre eux pourraient être concernés d’ici à la fin du quinquennat).

Le projet de loi met fin par ailleurs à une autre prestation, le complément optionnel de libre choix d’activité (COLCA), qui s’adresse aux familles d’au moins trois enfants, et dont ne bénéficient que 2.000 foyers environ.

Flûte, encore une « minorité » d’aidés qu’on passe à la trappe.

Passons.

 

Et pour favoriser leur retour au travail, les allocataires du CLCA bénéficieront du dispositif d’accès prioritaire aux places en crèche.

Encore faut-il en avoir sous la main…

L’élevage dans les kolkhozes de la République, il n’y a que ça de vrai chez les « soces », finalement…

 

Second volet : Les Conseils d’administrations avec des quotas de femmes étendus aux entreprises de plus de 250 salariés et aux Epic !

Les quotas de femmes dans les conseils d’administration (40 % d’ici à 2017) instaurés par la loi Copé-Zimmermann de janvier 2011, vont être élargis à de nouvelles entreprises.

Aujourd’hui, cette obligation s’applique aux entreprises de plus de 500 salariés faisant plus de 50 millions de chiffre d’affaires. Ce seuil va être abaissé aux entreprises de plus de 250 salariés, tout en maintenant le seuil de 50 millions de chiffre d’affaires : Va pas y en avoir beaucoup, n’est-ce pas !

Cette obligation va en outre être élargie aux établissements publics industriels et commerciaux (Epic).

Et pour les récalcitrants, les sanctions seront renforcées.

M’en tamponne complétement : Chez moi, il y a autant de femmes que d’hommes dans mes Conseils.

D’abord, ça évite de perdre du temps à se raconter des blagues dévergondées entre-meks, ou à causer des bagnoles, du foot et des femmes du voisin, tous sujets sans intérêt et hors-sujet ;

Ensuite, ça se prolonge beaucoup plus souvent en « siestes-coquines » que si on ne les avait pas sous la main.

 

Le projet de loi met aussi en œuvre l’engagement de « François III » de durcir les sanctions financières à l’égard des partis ne respectant pas les objectifs de parité fixés par la loi en 2000 (l’Assemblée nationale ne compte toujours que 26 % de femmes).

La mesure entrera en vigueur lors du prochain renouvellement de l’Assemblée nationale, c’est à dire en 2017 (sauf si une dissolution intervient d’ici là), mais pas avant.

Faut dire aussi que les femmes font moins « carrière-politique » que les hommes : Pas folles les guêpes !

Et ont plus de mal à se faire élire par l’électeur de base, dont la moitié sont des femmes qui n’en pince que pour des élus-meks-bio…

Mais avec la « théorie du genre », peut-être verra-t-on bientôt l’exigence d’une parité avec le « troisième sexe »…

À ce rythme-là, ça va franchement devenir infernal !

 

Tout autant, le code du sport va être modifié pour introduire le principe de parité dans les modalités de désignation des représentants des instances de gouvernance des fédérations sportives agrées (FFF, FFT, etc.).

La mesure entrera en vigueur lors des prochaines élections dans chacune des fédérations concernées. Un dispositif transitoire devrait dans un premier temps imposer un minimum de 25 % des sièges pour les personnes de chaque sexe.

Parfait : Dites-moi tout de la fédération des haltérophiles, par exemple ?

Et puis moi, je veux des meks « fédérés » jusque dans le vestiaire des filles (et inversement), histoire de récompenser les guerrières (et guerriers).

Logique, non ?

Et attention aux « genres » là aussi, parce que dans les milieux sportifs, la gélatine durcie, ça sert à beaucoup de choses…

 

Le projet de loi ajoute aux cas d’interdiction de soumissionner aux marchés publics les personnes qui ont été condamnées, dans l'année précédente, pour des motifs liées à la discrimination ou au non-respect des dispositions du Code du travail en matière d’égalité professionnelle.

Il ouvre en outre la possibilité pour les pouvoirs adjudicateurs de ces marchés de tenir compte, dans l’attribution des marchés publics, des conditions dans lesquelles « les candidats favorisent la mixité dans leurs métiers ».

Cette disposition est inspirée d’une politique en place au Québec et visant à assurer l’exemplarité des entreprises se plaçant dans le champ de la commande publique.

Encore un certificat de plus à fournir… à moins de se laisser dépasser par les québécois soumissionnaires !

Que ça ne va pas être facile, dans les magasins de sous-vêtements féminins.

Ni chez les « tailleuses de pipe » de Saint-Claude.

 

Le texte met aussi en place une expérimentation, de deux ans, pour permettre aux salariés, en accord avec leur employeur, d’utiliser les droits affectés sur leur compte épargne temps pour financer des prestations de services à la personne via les chèques emplois service universel (Cesu).

Pourquoi pas ?

Va seulement falloir revoir tous nos accords CET à coup d’honoraires et de mandats…

 

Dans le prolongement de la conférence de lutte contre la pauvreté de décembre 2012, le gouvernement va aussi lancer des expérimentations, durant 3 ans et dans une dizaine de départements (la liste reste à préciser par décret) pour «développer lactivité des caisses dallocations familiales en soutien des mères isolées. »

Et pas les pères ?

Sont notamment prévus un renforcement des dispositifs de recouvrement auprès des pères ne versant pas leur pension alimentaire et le versement d’«une allocation différentielle bénéficiant au parent dont la créance alimentaire pour enfants est inférieure au montant de lallocation de soutien familial. »

Et toujours pas les pères qui courent après les pensions dues par leurs épouses volages ?

Curieuse façon de concevoir le progrès-social et de consacrer le principe d’égalité des citoyens, au moins en droit.

Passons, « Belle-qu’à-s’aime »…

 

Enfin, le texte renforce le dispositif de l’ordonnance de protection, instituée mi-2010, des femmes victimes de violences conjugales.

Il pose notamment le principe du maintien de la victime de violence dans le logement du couple et met fin à la procédure de médiation pénale sauf si la victime en fait expressément la demande.

Le dispositif de télé-protection remis aux victimes de violences et expérimenté aujourd’hui dans 4 départements sera généralisé sur l’ensemble du territoire.

Ça, c’est une bonne chose : Il est absolument inhumain de faire subir des violences dans un couple par l’un des conjoints sur un autre !

Qu’il soit « parent 1 » ou « parent 2 » (ou autre) !

C’est proprement dégueulasse et barbare, à moins que ce soit le fait de pétales de rose.

Comme toute violence faite à autrui, bien sûr, mais encore plus infect que de se réfugier derrière l’intimité du domicile-conjugal.

Reste que ce dispositif s’appliquera-t-il à tous les couples homos ?

Et même à ceux dits « transgenre » ?

Là je doute.

 

Parce que bon, elle a beau semer, la « belle-qu’à-sème », elle n’a manifestement pas encore tout compris de comment le monde il est fait dans la réalité quotidienne.

Ouvrir des droits « nouveaux », c’est bien, mais encore faut-il pouvoir les exercer.

Quant à les créer ex-nihilo en fabricant des « inégalités-légales », je ne suis pas sûr que ça reste fondamentalement sain pour la République.

Enfin, « qui vivra verra », dit-on : Qui n’essaye pas au moins une fois, ne saura jamais.

Alors bon courage « va-l’eau ».

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 04:03

Et pour autant, affreusement vrai.

 

Il n’y a qu’à chausser ses lunettes, allumer les phares et regarder un peu dans le rétroviseur.

 

L’élection de « François III » était attendue de tous. D’abord parce qu’on en avait marre sur les deux rives de l’atlantique, les deux rives de la Manche, les deux rives du Rhin, mais également au sud de la Loire de « Bling-bling », le sauveur de la Géorgie, de la Libye, du monde-libre…

 

D’autant qu’il aura fini par défaire toutes ses promesses électorales, une à une, en seulement un an, constatant dans un rare moment de lucidité que ses réformes n’auront servi à rien, sinon à paupériser tout le monde, riches, pauvres, classes-moyennes, pays du sud et encore d’ailleurs.

Ou comment passer pour un génie quand on s’est trompé durant 4 ans !

Ce gars-là a déchiré, dès la première année de son quinquennat, le pacte qui le liait avec le pays de réduire les déficits et d’endiguer la dette publique : C’était marqué comme ça dans son programme.

 

Il était temps qu’il sorte, lui et sa bande de fantoches qui lui ripolinait le dard.

Chose faite : C’aurait été une vache laitière ou un canasson, c’était pareil !

Et je vous jure que dans l’Europe du sud, ils attendaient beaucoup de son successeur, quel qu’il soit.

Combien de fois n’ai-je pas entendu « ça va enfin changer ! »

 

Et ça n’a pas changé. Rien du tout, rien de neuf au niveau européen, que des coups de gueule, des vindictes, des mentons tendus, style « c’est qui qui a la plus grosse ? »

« Monte-bourre » a fait très fort à ce jeu-là des mariolles.

Mais rien pour réguler la finance, même pas la mondiale, juste la nôtre, apaiser mes banlieues qui déboulent maintenant s’entre-tuer jusque sur les pavés des quartiers piétons des grands-magasins de la capitale.

D’une rare sauvagerie irresponsable et ce n’est pas fini.

D’autant qu’il y en a un paquet qui se sont couverts de ridicule par leurs tweets grotesques et leurs dires invraisemblables, dictés par leurs dogmes qui touchent désormais au plus bas de la bêtise politique des caniveaux !

Et ils ont été nombreux…

 

Rien pour équilibrer a minima les comptes publics : On dépense toujours autant, en revanche on matraque beaucoup plus.

Du coup, la TVA ne rentre pas, le PIB est en chute libre, les échanges commerciaux sont « contractés », les déficits plongent, on galère toujours autant pour se loger décemment et encore plus demain.

Mais on enseigne le « progrès social » dans les bouquins de science de la vie à nos gamins avec la théorie du genre, on nous bourre le mou avec le « mariage pour tous » pendant des mois et des mois : Ça c’est de la « social-démocratie » avancée !

 

Première étape : On tape sur « les riches ».

Pas concerné, la plupart applaudit du bout des doigts et conspuent les exilés.

Très bien, ça occupe les medias et l’opinion.

Et puis ça montre accessoirement qu’il y a un capitaine à bord…

Même si le Titanic est poussif et avance à l’allure d’un pédalo pour avoir pris de la bande.

 

Deuxième étape : On taxe les « aisés ».

Parce que taxer les riches, tout le monde vous le dira, ils ne sont pas assez nombreux pour redresser à eux tous seuls la gîte.

Les « pigeons », les « poussins », les allocations, tout y passe et ce n’est pas fini quand on va vous augmenter les « prix-non-concurrentiels » par secteurs entiers (essence, tabac, TVA, médicaments, électricité, titres de transport, gaz, taxes diverses qui ne se voient pas, péages, redevances, contributions, etc.).

 

Troisième étape : Comme ça ne suffira toujours pas, on va devoir « taxer » les « aidés », ceux qui ne demandent rien, puis ceux qui en font la demande.

Moindre remboursements, retraites bloquées, avancements et progressions salariales en retrait.

D’autant qu’il faut bosser plus (sauf dans les « fonctions ») pour payer tous ces « bras-cassés » de chômeurs, de handicapés et autres « incapables » ou malades de la vie.

Sur 27 millions en capacité de trimer, quand vous retirez les rentiers du boulot, fonctionnaires, chômeurs, ils ne restent que 17 millions qui en font vivre … 67 !

Vous avez bien lu : 1 seule personne est obligé de faire vivre, plus ou moins bien, 3,94 personnes.

Elles sont loin les années où on comptait 1 million de chômeurs (et encore…), et 1 million de fonctionnaires et assimilés pour 30 millions de laborieux.

Heureusement qu’on a des robots (pas assez), des machines performantes (et allemandes) pour faire face à ce « choc de compétitivité » !

 

Quatrième étape : On va tailler dans les effectifs. D’abord l’armée, parce qu’elle est réputée « muette » et aux ordres.

C’est en cours jusqu'en ... 2019.

Demain dans les effectifs non-remplacés, en fermant les bureaux des sous-préfectures, des missions et agences notoirement inconnues.

Mais pas dans l’éducation nationale, où la Cour de comptes compte 200.000 « fonctionnaires » qui ne sont pas affectés à l’enseignement et plus de la moitié n’ayant même aucune de tâches à accomplir.

Mais pas à l’éducation nationale où pour faire passer la future réforme de la morale laïque du « ministre-philosophe-Payons », sur 60.000 postes à créer en 5 ans, 1.980 ETP sont d’ores et déjà affectés à des « heures syndicales »…

Mais là non plus, ça ne suffira pas.

 

Tout cela parce que finalement personne n’a eu l’idée de tailler tout de suite dans les dépenses : Externaliser toutes les tâches publiques qui ne relèvent pas du pouvoir régalien de l’État, moyennant contrats, conventions, régies et reprise du personnel ;

Vendre et privatiser ce qui peut l’être ;

Faire disparaître toutes ces inutilités que sont les avantages-acquis et cachés de statuts particuliers… et cachent des tombereaux de règles liberticides que quelques obscures sont chargés de poursuivre sans relâche.

On en a même remplacé la « RGPP » par son équivalent-jumeau, un clone, pour mieux savoir où compter, même si faire et défaire c’est toujours travailler et a l’avantage de remettre les compteurs à zéro pour 5 ans !

Genre les radars qui tuent ou qu’on retire parce qu’ils ne rapportent rien.

Mais là, on vous expliquera que justement ces « gardiens du temple » et de la règle sont nécessaires pour la sécurité de tous et des transactions…

Vous verrez : L’organe crée toujours sa fonction !

 

On nous annonce même une grève des contrôleurs du ciel qui ne veulent toujours pas se bouger le kul au détriment de la Nation, malgré les diktats européens.

Et ils sont bien les seuls à mettre le boxon dans le ciel de leur pays.

Tous les autres ont franchi le cap de la réorganisation de leurs métiers depuis bien longtemps !

On nous annonce la même chose pour le réseau ferré, parce que finalement, les « privatisés » de RFF ne voudraient pas perdre leurs avantages-acquis à l’occasion de leur « filialisation » quand ils seront renationalisés bientôt.

Une manœuvre qui fonctionne toujours aussi bien entre « gens du même monde » : Souvenez-vous des cheminots des premiers TGV !

Ils voulaient être payés au kilomètre parcouru, mais la nouvelle ligne Paris-Lyon était plus courte que l’ancienne, alors on leur a gardé l’ancien tarif…

Peu importe si en allant deux fois plus vite, ils pouvaient doubler leur paye…

Où va-t-on, n’est-ce pas !

 

Il y avait 100 jours pour refaire le monde, notre monde à nous, et depuis plus d’un an, tous les chantiers sont branlants … quand ils ont été entrepris seulement !

Voire à peine ébauchés.

 

Dans les entreprises, chez les syndicats, dans les partis politiques, dans les collectivités locales et chez les maires des grandes villes, c'est la grande inconnue, l’attentisme qui domine parce que personne ne sait où nous mène « François III » à force de ne pas conduire le pays.

En revanche, on a un premier ministre qui a réussi à sanctuariser son aéroport-modèle au fin fond de sa province, mobilisant plusieurs compagnies de CRS qui font défaut dans les quartiers chauds des grandes-villes !

Chapeau l’artiste…

 

Les rapports tous très pessimistes sur la situation de l'économie s'accumulent, tous les signaux d'alarmes sont au rouge.

La croissance est décroissante, en pleine « contracture, le déficit extérieur marque des pertes historiques, le déficit budgétaire s'est encore creusé de 100 milliards en un an.

Tous les diagnostics de droite comme de gauche qui sont faits à Paris, à Bruxelles, à Francfort, à la BCE, à l'OCDE, au FMI disent tous la même chose : Le pays est en déclin-grave.

La seule chose qui progresse, c’est le chômage et la paupérisation qui s’aggrave.

Le degré d'attractivité de l'hexagone, qui était jusqu'à une époque récente un outil fort de développement, est en perte de vitesse.

Les investisseurs étrangers, les entreprises et les cadres dirigeants hésitent désormais à venir s'installer chez nous.

Instabilité fiscale, manque de visibilité sur la politique économique et absence de souplesse sociale, mettent-ils en avant.

Croyez-vous que ça émeut notre Président ou son gouvernement ?

Non, ils vont préférer nous causer du droit de vote des étrangers…

Et nous remettre le couvert pour une prochaine réforme du droit de la famille.

 

En dépit de toutes ces études, ces avertissements et ces alertes, le Président de la république reste figé, immobile, inconsistant, quasi-absent.

À la fin de l'année dernière, la négociation sur les conditions de travail, le rapport Gallois sur la compétitivité et la décision de créer un « choc » par le crédit d'impôt, avaient donné le sentiment qu'il allait abandonner les promesses électorales irréalisables pour un pragmatisme capable de dégager des moyens pour sortir de la crise.

Au moins l’endiguer et ne pas nous laisser entraîner vers des abysses plus désastreux.

Le discours plus convenable adressé aux chefs d'entreprise, la réflexion menée à haute voix sur la social-démocratie ont été interprétés comme autant de signes d'une évolution vers la prise de conscience des réalités.

Que nenni.

En fait, ce qui s'annonçait comme un virage a été de courte durée.

 

Tout le monde reconnaît désormais que les réformes engagées (l'assouplissement des conditions de travail et le crédit d'impôt) sont insuffisantes, voire pourraient être contre-productives.

La prochaine des réformes promises, sur les retraites, est déjà plus que très floue, le redressement des comptes des allocations familiales est inadéquat.

Ils permettent seulement d'opposer aux demandes de Bruxelles un affichage qui ne résout en rien le financement global du modèle social.

 

Les allocations familiales n'étaient pas en danger. Leur déficit de 2,5 milliards est lié au fait qu'on a ponctionné la trésorerie pour boucher des trous dans certains systèmes de retraite.

Plus grave, on rééquilibre le système non pas par une baisse des dépenses mais par une nouvelle augmentation d'impôts.

 

Ne parlons même pas de la déconstruction du système des auto-entrepreneurs, sous le seul prétexte que c'est une des seules inventions de « Bling-bling » qui a plutôt bien fonctionné (même si elle existait déjà dans les faits).

800.000 personnes ont créé leur emploi. Emplois modestes et fragiles certes, mais emplois marchands qui ne doivent rien à personne.

On va en fusiller la moitié pour crime de « lèse-État ».

Leur seul crime ? Ils ont préféré cela au chômage ou au travail au noir.

Incroyable !

On les repousse dans les limites du « système D » de la démerde…

Chapeau l’autisme !

 

Blague, pour vous en convaincre, remettez-vous un an en arrière à « donner une majorité » au nouveau pouvoir entrant.

Et dites-moi s’il est signifiant d’appeler un père ou une mère d’élève, « parent 1 » et « parent 2 » ?

Dites-moi si taxer l’huile de palme est vraiment plus important que de taxer les sodas ?

Dites-moi s’il est vraiment important de payer une administration pléthorique (et à découvert) à contrôler l’ADN des lasagnes et qui se laisse berner par le premier boucher-charcutier venu ?

 

N’a-t-on jamais vu faillite plus éclatante de la « crétine-attitude » ?

Eh bien oui, nous y sommes, figurez-vous, aussi incroyable que cela paraisse.

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11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 04:08

Tu sais que ceux-là, ils sont vraiment kons !

 

On ne me l’a affirmé que dimanche dernier entre deux ondées autour d’un barbecue qui avait du mal à s’allumer et s’était réfugié dans le garage : C’est dire si nous avions l’esprit passablement enfumés en mettant nos vies en danger dans cet environnement clos de nos vapeurs éthyliques de l’apéro qui n’en finissait pas !

À savoir que le conseil de « Paris-sur-la-plage » se serait réuni hier (c’était donc au futur) pour voter à l’unanimité « une charte » et avaliser 15 projets conçus avec 80 entreprises.

Objectif ?

La Ville veut diminuer la part du camion diesel d'ici à 2017 !

Pas les bennes à ordures, ni même les bus de la « rapt », non bien sûr…

Ce serait bien trop commode, mais ceux « des autres ».

 

Ils font enfin le constat que le « pôle économique et commercial qu’est « Paris-sur-mer » est assez exceptionnel » !

Je n’en doute pas : La plus forte densité du pays, ça réconforte.

Du coup, les artères circulatoires drainent une flotte de camions hors du commun : 1,5 million de mouvements hebdomadaires, plus de 32 millions de tonnes transportées par la route, 20 % du trafic urbain…

C’est qu’il faut apporter à bouffer à tout le monde, aussi : Ce n’est pas tout de lever des impôts-locaux, faut des meks en vie pour les payer !

 

Et de constater que la tendance va crescendo : L'essor de l'e-commerce et la prolifération des petits supermarchés boostent de 20 à 30 % par an les livraisons aux Parisiens.

Faut dire aussi que les « grandes-surfaces » sont assommées de taxes, alors pour vivre heureux, faut savoir rester petit, quitte à se démultiplier…

Et à ce rythme-là, dans dix ans, si on ne fait rien on aura 10 millions de mouvements de camions dans les rues, soit un trajet sur 2,3 !

 

Bé oui, c’est mécanique : Les « parigots » sont désormais moins nombreux à posséder une voiture.

Parce que c’est carrément dément de vouloir garer son « tas-de-boue-à-roulette » le long des trottoirs tellement l'équipe municipale a pu détruire des emplacements (vélib', auto-lib', emplacements de livraison, ...) à se prendre des crises de nerfs à tourner au ralenti à forte émission de CO2/km dans les quartiers pour trouver un emplacement… payant !

Les autres n’existent plus…

La faute à avoir interdit la construction de parkings publics, voire même dans les sous-sols des immeubles en construction.

Quoique récemment, la mairie centrale revient sur son diktat d’antan : Mais bien trop tard !

Dix ans de retard sur le sujet, ça se paye par ailleurs.

 

Et puis avec le barrage-naturel du tramway qui bloque les entrées/sorties de la capitale, là où les transports en communs ne vont plus rendant la voiture indispensable, quand on n’a pas à « sortir », on n’a pas non plus besoin d’un véhicule personnel…

 

Oui mais voilà … Moins de moyens de locomotion = plus de moyens logistiques de livraison !

Logique.

Donc plus de camions sur la chaussée !

Bravo à Monsieur le Maire « De-la-nuée » qui en tombe de ces folles dérives !

Gloire à lui !

Ses services (et tous les autres) vont comprendre enfin qu’il y a des limites aux utopies…

 

Parce que ce n’est pas tout.

Il y a bien 2 millions d’habitants intra-muros, mais il y en a 5 fois plus qui y viennent tous les jours.

Pour bosser, pour y consommer.

Et côté commerces, le manque de place rend aussi les livraisons plus fréquentes. « Paris est, fort heureusement, une ville qui consomme et importe beaucoup », fait valoir l'adjoint aux transports, « mais la sensibilité des habitants aux risques de nuisances y est aussi de plus en plus forte. »

Pas partout non plus : Il existe encore plein de rues et avenues « paisibles » où l’on peut voir des pigeons et des moineaux becqueter à même la chaussée… heureusement.

En revanche, un marché des « 4 saisons » qui s’installe tous les jours à 4 du matin sur les trottoirs, c’est vrai que c’est pénible…

 

Mais, mais, mais, paraît-il que le transport de marchandises participe aussi pour une part importante aux émissions de gaz à effet de serre.

Parfaitement logique : Pour nourrir tout ce monde-là sur des terrains infertiles, faut de l’énergie, donc du CO2 (respiratoire ou autre…).

Va-t-on donc équiper tous nos camions de perche allant chercher de l’électricité sur des câbles aériens à la mode des trolleybus, mettant ainsi à disposition une énergie (nucléaire) gratuite à tous ceux qui livrent et font vivre les parigots ?

Que nenni, que nenni !

Quand on est autiste-politique et natif, c’est difficile d’évoluer…

 

Démonstration : Si une écrasante majorité des marchandises (90 %) sont livrées par la route, Monsieur le Maire veut donc développer les petits-bateaux du transport fluvial !

Qui ne représente que 2,5 millions de tonnes de marchandises par an…

Chouette la pollution olfactive des berges.

Et puis moi, je me vois bien emprunter ma voiture pour aller sur « super-marché-nautique » pour acheter la barbaque destinée à « ma nichée ».

D’autant que si ça descend pour y aller, faut remonter ensuite, mais « chargé-à-bout-de-bras » sur le chemin du retour !

Magnifique idée, n’est-ce pas ?

 

Il paraît que déjà, sur les canaux, les volumes ont crû de 30 % entre 2009 et 2010. Faut-il aller plus loin ?

La ville projette ainsi de développer un port logistique sur le site du Gros caillou, pas loin des berges « reconquises » aux piétons du 7ème arrondissement.

« Tout cela est louable, mais limité car, en réalité, peu d'enseignes sont assez importantes pour faire du transport fluvial, qui concerne les gros volumes. Par ailleurs, le vrai sujet est celui du dernier kilomètre, pour lequel il est difficile d'éviter un recours à un véhicule ».

Idem pour le « tram-fret », expérimenté en vraie foirade en 2011 et que la ville aimerait lancer dès 2014.

C’est vrai que le dernier kilomètre, c’est toujours le plus coûteux.

D’abord, il faut y aller, ensuite il faut se garer, enfin, c’est le nombre de ruptures de charges qui rendent les livraisons onéreuses.

 

Alors pour éviter le défilé des camions, nos élus s’organisent en « bandes-organisées » unanimes et suggèrent de réintroduire dans Paris de « grandes plates-formes de stockage », qui ne sont qu'une dizaine aujourd'hui.

Ils plaident même pour le développement d'« hôtels logistiques », destinés à accueillir de gros chargements en provenance de l'extérieur…

Et multiplier les « petits véhicules » pour prendre ensuite le relais pour la livraison finale, le dernier kilomètre.

Vous avez suivi le raisonnement ?

Avec autant de marchandise, je fais encore plus de transport !

Et je ne vous raconte même pas les flottes de camionnettes qu’il faudra entretenir !

 

Du coup, se mordant le nœud, on parle aussi de promouvoir l’essor de « points logistique d'envergure plus modeste » !

Donc, encore plus de livraisons directes dans des magasins existants, mais, tenez-vous bien quand même, des « grandes plates-formes de stockage » qui déstockent ensuite sur des « hôtels logistiques » et enfin, troisième rupture de charge, des « points logistique d'envergure plus modeste ».

Et au bout, la livraison en camionnette du dernier kilomètre !

Génial, non ?

Quand on pense que les commerçants ont fait disparaître les demi-grossistes de leurs chaînes logistiques depuis un demi-siècle au moins, ils te nous les réinventent sans sourciller !

Et puis pourquoi faire simple et peu coûteux quand on peut faire compliqué et onéreux après tout ?

 

Question épineuse : Reste à trouver du foncier disponible !

Pour ça, parce qu’ils y croient dur comme fer à leurs utopies, un projet « d’hôtel-logistique » devrait voir le jour dans le quartier de Chapelle International, au nord, où la Sogaris compte investir 50 millions d'euros.

Là où personne ne va d’ailleurs, tellement c’est un désert de transport en commun, sauf pour récupérer sa bagnole quand elle part à la fourrière…

Et puis, ce n’est pas qu’avec un seul qu’ils arriveront à livrer les 32 millions de tonnes…

 

Pour rajouter aux délires-utopiques, les transporteurs se plaignent de leur côté de devoir multiplier les tournées pour des clients de plus en plus absents en journée : Bé oui, ils essayent de bosser, eux aussi.

Ils demandent aussi, aux côtés des déménageurs, que les 9.000 places de livraisons, puissent être plus sanctuarisées.

Ce qui me fait marrer, parce qu’un déménageur, il ne déménage pas depuis un emplacement réservé, mais sous l’appartement à déménager…

Passons !

Car « la Ville » ira même jusqu’à expérimenter un service de réservation.

 

Autre problème crucial, la circulation, puisque Paris réduit de jour en jour la place des véhicules, il devrait y en avoir moins à circuler et la circulation devrait donc être plus fluide et moins polluante.

Pas du tout : C’est même l’inverse !

« Il y a beaucoup d'embouteillages, et, pour les transporteurs classiques, il est parfois difficile de respecter les délais » reconnaît une start-up spécialisée dans la livraison … par triporteur !

Où ça va se nicher que de réinventer les « galériens de la pédale »…

 

Paris s'est fixé comme objectif 50 % de véhicules diesel en moins d'ici à 2017… Mais en regardant de plus près, c’est juste pour « le dernier kilomètre », la belle ambition !

Les précédents, n’est-ce pas, tout le monde s’en tamponne dans leur « gang-d’élus » réuni en « bande-organisée ».

Elle veut encourager le développement des bornes et véhicules électriques.

Bien vu : Je change de voiture sans problème si je fais 1.000 kilomètres dans la journée pour 80 euros partout où je dois pouvoir aller.

Quitte à acheter deux moteurs en un !

 

Enfin, concernant les nuisances aux riverains, elle cherche à développer les livraisons nocturnes silencieuses : Faire bosser les gens la nuit et sans un bruit (qui porte loin la nuit), volonté d’un « soce au pouvoir » dans sa ville, pour pallier les conséquences des errements de sa politique de la ville et des transports, avouez que ça ne manque pas de piquant !

 

Parce que tout ça, ce n’est que la conséquence d’une « vision-écolo » qui aura marqué 12 ans de « crétine-attitude » appliquée.

Et dire qu’il aurait été si simple de creuser partout des parkings à bagnoles jusque sous le niveau de la mer, quitte à les subventionner un maximum, libérant de la surface en surface, fluidifiant ainsi le trafic.

Et réduire du même coup les temps d’attente à l’arrêt, moteurs tournant.

 

Mais non, quand on naît kon, on est kon, parce que jusque-là, personne n’y a pensé…

Enfin, l’avantage de ces travaux du conseil municipal, ça reste qu’en fin de seconde mandature, ils avalisent tous officiellement la faillite du « système-De-La-Nuée ».

L’année prochaine, je saurai m’en souvenir avec mes bulletins de vote.

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10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 04:02

On vit dans un monde fabuleux.

 

Avant … on était « normal » quand on naissait « fille » ou « garçon » et qu’on avait une appétence toute « naturelle » pour le sexe opposé.

On s’appelait « Demoiselle » ou « Damoiseau » quand on était pucelle ou puceau, quoique le second terme ait pu tomber en désuétude.

Puis « Madame » ou « Monsieur » quand on finissait par être « déniaisé ».

Si par hasard naissait un « petit-d’homme » de vos coïts féconds et répétitifs avec le sexe opposé, fille ou garçon, il avait une « Maman » et parfois même un « Papa ».

Mais ça, c’était « avant » !

 

Parce que bon, entre-temps, une « fille » pouvait avoir des appétences sexuelles pour les « filles » (de mêmes appétences) : On disait qu’elle était « lesbienne ».

Pour les « garçons » attirés par d’autres garçons, on en disait qu’ils étaient « gay » dans la terminologie « politiquement-correcte » de l’époque ex-post-contemporaine.

Y’avait et il y a toujours des « filles » qui se prennent pour des garçons, et des « garçons » qui se prennent pour des filles : Selon que la chirurgie était ou non passée, c’étaient des « Trans » ou des « Trav ».

Et puis à toute époque, nous avions des « bi », qui profitaient de toutes les opportunités se présentant à leur entre-jambe…

Mais ça, c’était « avant » !

 

Désormais, c’est un peu plus compliqué, mais drôlement plus « riche ».

Premièrement, « Hétéro, Gay, Lesbienne, Trans, Trav, Bi » peuvent tous et toutes accéder au mariage civil et non plus seulement au Pacs déshonorant et discriminatoire.

Avec toutes les conséquences qui vont avec : Droit de forniquer entre-soi, de se reproduire (notamment par les voies naturelles, mais aussi en « PMA »), d’adopter et surtout de divorcer !

Et paraît-il même de se « reproduire » par voie de « GPA », demain.

Je doute parce qu’avec l’âge je suis devenu un « vieux-kon-des-neiges-d’antan », mais bon, il paraît que c’est en marche.

Dont acte.

Plus les avantages fiscaux (quotient familial certes aux effets réduits, successions allégées,…) et sociaux attachés (pension de réversion notamment, assurance-maladie,…).

Ça, c’est maintenant.

 

Maintenant, il n’y a déjà plus la possibilité de signaler qu’on est un « corps et un cœur à prendre » par la mention « Mademoiselle » : C’est même devenu suspect et discriminatoire passé un certain âge…

Maintenant, même « aux z’ékoles », les mentions « père » et « mère » ont disparu des fiches d’inscription des « bout-de-choux…de-rose » des « têtes blondes … brunes » … j’hésite… des écoliers-écolières, des gamins-gamines, des enfants !

Il y a exclusivement « parent 1 » et « parent 2 ».

Demain « 3 » ou « 4 » ou plus encore, quand il faudra prendre en compte les « bio » et les « légaux » des familles recomposées.

 

Peut-être même que l’académie des belles-lettres renoncera d’ailleurs aux genres masculin et féminin, pour rester « politiquement » neutre, face à la théorie du genre.

Ce qui va drôlement simplifier la grammaire des participes passés au passage : Tout le monde sera « neutre » !

Le « the » anglais, par exemple…

Demain, il n’y aura plus de compétition sportive réservée aux femmes et d'autres aux hommes, ni de double mixte au tennis, puisque tout sera mélangé-zouké !

Peut-être même que demain, ira-t-on en Mairie jusqu’à interdire les prénoms « trop prononcés », dans les déclarations d’état-civil de naissance !

Allez savoir ?

Que des André(e), René(e), Daniel(le), Dominique, Claude etc.

Ou des prénoms composés : Anne-Pierre, François-Marie, Jean-Christelle, je ne sais pas moi…

 

Pourquoi ?

Mais parce qu’on peut désormais naître « couillu » et se considérer comme une « poulie-fendue » et inversement ou « vice-et-versa »

Il s’agit non seulement de ne point « discriminer » mais en plus, de laisser le gamin « se déterminer » biologiquement dans sa tête.

Voire l’adulte selon les goûts et tendance du moment…

Avec le principe de non-discrimination qui veut que ton « genre » n’ait en plus rien à voir avec tes attirances sexuelles du moment…

Un beau bordel en perspective, mais légal, entretenu et encouragé, celui-là.

C’est ça la « théorie du genre », telle qu’elle est enseignée depuis l’année dernière dans les bouquins de nos lycées et collèges.

 

Genre qui ne préjuge effectivement en rien de l’orientation sexuelle future de l’impétrant-citoyen enfin libéré de ses archaïsmes passéistes !

D’ailleurs, on pourra changer de genre tout au long de sa vie et d’orientation sexuelle tout autant.

Non seulement c’est désormais permis, mais c’est un acquis dans la loi du « mariage pour tous » et une « non-discrimination » qui va entrer dans les mœurs de nos contemporains.

J’admire, car c’est « maintenant ».

 

Tu es né « mec », mais tu deviens « fille » dans ta tête, que, selon ton orientation-sexuelle, tu as le choix d’être hétéro ou homo (ou bi).

Tu peux alors copuler avec un autre mec qui se prend comme toi pour une fille et reste homo-dans-sa-tête pour aimer les filles : Tu n’es pas « gay » mais « lesbien » !

Pareil si tu aimes une fille qui se prend pour une fille et aime les mecs-bio : Tu es toujours homo, mais elle devra être « bi » dans sa tête !

Tu restes « mec » dans ta tête pour l’avoir été dès ta naissance et tombe amoureux d’une « fille » qui est devenu(e) « mec » dans sa tête à tendance « gay ». Tu n’es plus « hétéro », mais bien « homo » de fait !

Et puis ça peut changer : Tu deviens fille dans ta tête qui aime les lesbiennes, ta femme devra devenir « mec » dans sa tête pour rester hétéro… ou rester « fille » et devenir homo…

Les interactions sont désormais démultipliées à l’infini et j’admire le procédé.

 

J’y vois un avantage immédiat : Pour être « mec-bio-ET-dans-la-tête » totalement hétéro de surcroît (déjà, les suppositoires, je ne supportais pas quand j’étais bambin…), je vais pouvoir entrer dans les WC pour dame en prétendant être « fille-lesbienne-dans-la-tête » et enfiler mon espars viril dans « le-réa-de-ces-dames », dès lors qu’elles sont « filles-bio-lesbiennes »…

Tout un public nouveau à appâter et séduire !

Et que pas question que ça fasse scandale dans ledit WC : Y’aurait du procès pour discrimination dans l’air !

Que ça fera même des économies : Il n’y aura bientôt plus que des chiottes-unisexes !

Équipés de pissotières-pour-dame-mec-dans-tête, mais pas « bio »…

C’est dire si l’époque à venir va être formidable !

 

Inversement, j’angoisse un peu si l’académie des « belles-lettres », pour se mettre « à la page » et pas à l’index, va nous obliger à jeter tous nos bouquins au bûcher des délires de nos ancêtres-arriérés, parce qu’il y aura des expressions féminines (et des accords du participe-passé du même genre-discriminatoire) et masculines s’y côtoyant !

Faudra-t-il rééditer nos ouvrages-papiers ?

Refaire nos blogs et documents informatiques ?

 

Un travail colossal qu’il faudra bien financer par un impôt-nouveau…

Vous êtes prévenus, n’est-ce pas !

Décidément un monde fabuleux…

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9 juin 2013 7 09 /06 /juin /2013 04:02

Une histoire de vocabulaire…

 

Chez nous, dans la langue de Molière, Racine, Hugo et quelques autres, le mot le plus long n’est pas « anticonstitutionnellement », avec ses 25 lettres.

D’aucuns prétendent que c’est « élastique »… Parce qu’il s’étire facilement.

 

Notez que le mot « inter-départementalisation » a lui aussi long de 25 lettres. « Apopathodiaphulatophobie », contient ainsi une syllabe de plus, une lettre de moins, pas de suffixe mais trois préfixes.

Mais « l'hexakosioihexekontahexaphobie », qui signifie la peur du nombre 666 en possède 29.

D'autre part, si l'on admet les formes infléchies, on peut citer « déconstitutionnaliseraient » et « déconstitutionnalisassions » (26 lettres chacun), formes, respectivement au conditionnel présent et au subjonctif imparfait du verbe « déconstitutionnaliser », avec pour chacune une lettre de plus.

Du même ordre, « Niederschaeffolsheimoises » et « Mittelschaeffolsheimoises » (25 lettres) désignant respectivement les habitantes de Niederschaeffolsheim et Mittelschaeffolsheim, deux communes du Bas-Rhin qui tiennent la corde.

Saint-Vincent-et-les Grenadines (27 lettres) est quant à lui un État des Petites Antilles et les dépasse.

 

Le vocabulaire de la médecine produit aussi des mots très longs, par exemple :

« électro-encéphalographiquement » (29 lettres), comme les « hexakosioihexekontahexaphobes ».

« Œsophago-gastro-duodénoscopie » (28 lettres), le suit.

Mais « glycosylphosphatidyléthanolamine » en a 32.

La « psychopharmacothérapeutique » en a déjà 27, tout comme le « myélosaccoradiculographique ».

« L’oligoasthénotératospermie » en possède 25, au même titre que le « pseudohypoparathyroïdisme » alors que l'adjectif dérivé « hexakosioihexekontahexaphobique » en a 31 !

 

On trouve aussi, mais dans un registre plaisantin « l’hippopotomonstrosesquipédaliophobie » (35 lettres), peur des mots trop longs, n’est-ce pas, ainsi que l'adjectif associé « hippopotomonstrosesquipédaliophobique » (37 lettres)

La variante « d’hippopotomonstrosesquippedaliophobie » (36 lettres) et « hippopotomonstrosesquippedaliophobiques » (39 lettres) ne se justifie pas du point de vue étymologique.

 

Le vocabulaire de la chimie, non spécifiquement francilien, permet de construire des mots aussi longs que l'on veut (si on construit les noms de molécules fictives).

Par exemple, le nom systématique de la vitamine B2 (dite aussi riboflavine) est aussi le chlorure « d’aminométhylpyrimidinylhydroxyéthylméthythiazolium » (49 lettres).

 

Ceci dit, pour plus de clarté, des tirets sont souvent interposés pour marquer les pauses à la lecture (et surtout ajouter de la clarté au mot), montrant ainsi le côté « composé » du mot : Le « chlorure d'aminométhylpyrimidinyl-hydroxy-éthylméthy-thiazolium ».

 

« L’orthochlorobenzalmalonitrile » (30 lettres/12 syllabes) est plus couramment appelé gaz CS. C'est un gaz lacrymogène courant classé comme irritant oculaire.

Le DDT autrement dit le « dichlorodiphényltrichloroéthane » a 31 lettres.

Le mot « contraventionnalisations » a déjà de son côté 23 lettres (24 au pluriel)

 

Les « littérateurs » ne sont pas non plus inertes : Dans Candide, Voltaire invente la « métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie » (35 lettres) et le mot « λοπαδοτεμαχοσελαχογαλεοκρανιολειψανοδριμυποτριμματοσιλφιοκαραϐομελιτοκατακεχυμενοκιχλεπικοσσυφο- φαττοπεριστεραλεκτρυονοπτεκεφαλλιοκιγκλοπελειολαγοσιραιοϐαφητραγανοπτερυγών », traduit par « lopadotemakhoselakhogaleo­kranioleipsanodrimypotrimmato­silphiokarabomelitokatakekhymeno­kikhlepikossyphophattoperistera­lektryonoptekephalliokinklope­leiolagōiosiraiobaphētraga­nopterygn » de 182 symboles !

Christophe, dans la bande dessinée « Le Savant Cosinus » (1893), invente « l’anémélectroreculpédalicoupeventombrosoparacloucycle » (51 lettres).

Dans Mary Poppins, le mot anglais « supercalifragilisticexpialidocious » (34 lettres) est inventé, et sera traduit par « supercalifragilisticexpidélilicieux » (35 lettres) en francilien-natif.

Dans Cyrano de Bergerac, Edmond Rostand cite l'animal « hippocampéléphantocamélos » (24 lettres).

Dans la principale bande dessinée du 114ème « Super Picsou Géant », on rencontre le « télégicloétrocongélateur » (24 lettres).

Dans Le Pendule de Foucault d'Umberto Eco, les acteurs citent « l'avunculogratulation » mécanique.

Le site de la xyloglottie invente et recense de nombreux mots à caractère plus ou moins sérieux et parfois assez longs, par exemple « apaléopithécoaneucéphalodidactisme » de 34 lettres.

Dans la saga mp3 « La Légende de Xantah », on découvre le mot « Xantahouhastikatiimaritatouhoupetchiikahmaal » (43 lettres) qui est le nom complet de Xantah, l'astre mystérieux.

Dans le livre Tara Duncan on peut voir le maître « Chemnashaovirodaintrachivu » (26 lettres) aussi appelé maître Chem.

Dans la série Harry Potter, Lord Voldemort est surnommé « Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom » (34 lettres).

 

Mais d’après « le Point.fr », les allemands sont quand même pas mal.

« Rindfleischetikettierungsüberwachungsaufgabenübertragungsgesetz », que l'on pourrait traduire par « loi sur le transfert des obligations de surveillance de l'étiquetage de la viande bovine », était, avec ses 63 lettres, le mot le plus long de la langue allemande.

Et ils viennent de le supprimer de leur législation.

Introduit en 1999 dans un Land du nord du pays au moment de la crise de la vache folle, ce mot, qui était souvent remplacé par une abréviation totalement imprononçable - RkReÜAÜG -, n'a plus lieu d'être puisque l'Union européenne n'impose plus aux éleveurs de tester systématiquement leur bétail contre la maladie de Creutzfeldt-Jakob.

Dont acte !

 

Mais ils restent assez doués pour décourager à tout jamais les étrangers d'apprendre la langue de Goethe à l'école.

Dans les dictionnaires le mot le plus long compte tout juste 36 lettres « Kraftfahrzeughaftpflichtversicherung », qui signifie « assurance de responsabilité civile pour véhicules automobiles ».

Car l'allemand permet de construire sans fin des mots composés de longueur arbitraire. « Rindfleischetikettierungsüberwachungsaufgabenübertragungsgesetz » aurait ainsi encore pu être allongé si des protestataires s'étaient assis près du « cendrier de la table d'habitués des opposants à la loi sur le transfert des obligations de surveillance de l'étiquetage de la viande bovine » :

« Rindfleischetikettierungsüberwachungsaufgabenübertragungsgesetzesgegnerstammtischaschenbecher ».

Désolé, la fin est coupée par Over-blog...

 

Autre exemple : Le stylo bille du capitaine se dit « Kapitänskugelschreiber ».

Si ce stylo appartient au capitaine de la compagnie des bateaux à vapeur du Danube, vous obtenez « Donaudampfschiffahrtsgesellschaftskapitänskugelschreiber ».

Au cas où vous souhaitez parler de l'encre de ce stylo, vous devrez écrire « Donaudampfschiffahrtsgesellschaftskapitänskugelschreibertinte ».

Et dans le cas où un magasin existe pour ce type d'encre, vous devrez demander à un passant le chemin pour vous rendre au « Donaudampfschiffahrtsgesellschaftskapitänskugelschreibertintenfachgeschäft ».

Là encore, le geschäft final est coupé par Over-blog.

 

Et voilà comment vous arrivez à un mot de 81 lettres...

Record à battre ?

Pour ma part, j’en resterai à élastique : « Elastische », car chez eux comme chez nous, il s’étire !

 

Bon dimanche !

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8 juin 2013 6 08 /06 /juin /2013 04:06

Petit rappel de l’étendue de l’obligation de moyen

 

Encore un arrêt « trop-drôle » s’il ne cachait pas le drame d’une vie.

Lorsque plusieurs médecins collaborent à l'examen ou au traitement d'un patient, chacun d'eux doit assurer le suivi de ses prescriptions.

Le médecin doit toujours donner à son patient des « soins attentifs, consciencieux et conformes aux données acquises de la science ».

C’est un acquis du droit positif.

 

Et lorsque plusieurs médecins collaborent à l'examen ou au traitement d'un même patient, chacun d'eux doit assurer un suivi de ses prescriptions afin d'assumer ses responsabilités personnelles au regard de ses compétences.

 

Petit résumé :

 

Sur le moyen unique :

 

Vu l'article 1147 du Code civil, ensemble l'article 64 du code de déontologie devenu l'article R.4127-64 du Code de la santé publique ;

 

Attendu que l'obligation de tout médecin de donner à son patient des soins attentifs, consciencieux et conformes aux données acquises de la science emporte, lorsque plusieurs médecins collaborent à l'examen ou au traitement de ce patient, l'obligation pour chacun d'eux, d'assurer un suivi de ses prescriptions afin d'assumer ses responsabilités personnelles au regard de ses compétences ;

 

Attendu que, pour rejeter l'action en garantie de M. Y..., gynécologue obstétricien, condamné à réparer, à hauteur de 80 %, le préjudice subi par Mme D..., victime, à la suite d'un accouchement le 18 décembre 1992, d'une phlébite cérébrale qu'il avait tardé à diagnostiquer, contre M. C..., anesthésiste, la cour d'appel, statuant sur renvoi après l'arrêt de cassation du 28 avril 2011 (pourvoi n° 10-16230), ayant constaté, d'une part, que la pathologie était une suite de l'accouchement et non de l'anesthésie, d'autre part, que c'est M. Y... qui assurait, en sa qualité de gynécologue obstétricien, le suivi de l'intéressée au sein du service de "suites des couches", en a déduit que le diagnostic de phlébite cérébrale, qui relevait de sa compétence, incombait à lui seul sans que l'on puisse admettre que ce diagnostic devait être posé par M. C... au seul motif que lui avaient alors été signalés ces maux, Mme D... restant sous la surveillance du médecin obstétricien seul compétent pour contrôler toutes les suites de l'accouchement, avec leurs conséquences éventuelles, partant, sous sa seule responsabilité au regard, notamment, du diagnostic qui devait être posé plus précocement ;

 

Qu'en statuant ainsi, quand elle avait constaté que M. C... avait été appelé au chevet de Mme D... en raison de la survenance de céphalées et lui avait prescrit un neuroleptique pour les soulager, de sorte qu'il lui incombait de s'informer de l'effet de ce traitement, notamment aux fins de déterminer, en collaboration avec le gynécologue obstétricien, si ces troubles étaient en lien avec l'anesthésie ou avec l'accouchement, ce qui aurait pu permettre un diagnostic plus précoce, la cour d'appel n'a pas tiré les conséquences de ses constatations au regard des textes susvisés ;

 

PAR CES MOTIFS :

Casse et annule, en toutes ses dispositions, l'arrêt rendu le 11 avril 2012, entre les parties, par la cour d'appel de Dijon ;

Remet, en conséquence, la cause et les parties dans l'état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Lyon.

 

Point-barre.

 

Des motifs desquels il ressort que le médecin anesthésiste doit s'assurer préalablement que ses prescriptions sont compatibles avec l'état de santé de la patiente, ainsi que de vérifier auprès des autres médecins qui collaborent au suivi du patient, à savoir dans cette affaire le gynécologue obstétricien, que les symptômes traités ne cachent pas une pathologie non diagnostiquée.

 

En l'espèce, vous avez compris que suite à son accouchement, une patiente souffrait de maux de tête.

Le médecin anesthésiste lui a prescrit un neuroleptique pour les soulager, sans consulter le gynécologue obstétricien seul responsable devant Dieu, la déontologie et la loi.

Or, le risque de thrombose veineuse est à prendre en considération avant de prescrire un neuroleptique.

Et il se trouve que justement, des séquelles cérébrales sont apparues, si bien que la phlébite cérébrale (une veine bouchée dans le cerveau) a été diagnostiquée tardivement.

 

Maline, la patiente a recherché la responsabilité de son gynécologue obstétricien, seul compétent pour contrôler toutes les suites de l'accouchement, avec leurs conséquences éventuelles.

Et sa responsabilité a été retenue très logiquement.

 

Mais celui-ci a appelé l'anesthésiste, en garantie : Il n’avait pas consulté « le patron » légitime et déontologique.

Le gynécologue obstétricien a été condamné à réparer, à hauteur de 80 %, le préjudice subi par la patiente.

Mais son action en garantie contre son collègue a été rejetée par la Cour d’appel de Dijon qui n’est pas allée plus loin, se contentant de l’exclusivité de la relation « patient-toubib ».

 

Il se trouve que ce n’est pas tout-à-fait le droit positif de l’obligation de moyen (et non pas de résultat) incombant aux praticiens.

Au moins pour la Cour de cassation.

L’obstétricien ne devait pas assumer seul cette responsabilité, car « l'obligation de tout médecin de donner à son patient des soins attentifs, consciencieux et conformes aux données acquises de la science emporte, lorsque plusieurs médecins collaborent à l'examen ou au traitement de ce patient, l'obligation pour chacun d'eux, d'assurer un suivi de ses prescriptions afin d'assumer ses responsabilités personnelles au regard de ses compétences ».

Disons surtout la qualité des bons-soins.

 

L'arrêt d’appel rejette alors l'action en garantie du gynécologue obstétricien, contre l'anesthésiste et se retrouve ainsi cassé et annulé.

 

Ne vous en faites pas : Il s’agit seulement d’un jeu de prime d’assurances entre toubibs.

En revanche, je m’épate moi-même que « l’affaire » finisse d’être dénouée seulement en mai dernier, soit à l’âge adulte du gamin qui a pu naître avant Noël … 1992 !

Et que d’avoir à supporter une mère « phlébiteuse-du-cerveau » par la faute d’autrui, disons par le manque de « soins attentifs, consciencieux et conformes aux données acquises de la science », ça ne doit quand même pas être simple durant toute sa prime jeunesse, pas plus que dans sa vie d’adulte… à suivre !

 

Et puis pourquoi une responsabilité de 80 % seulement, ça je l’ignore.

Estime-t-on dans les prétoires que « Madame-Mère » aurait dû s’abstenir de faire un gosse-désormais-cotisant à hauteur de 20 % ?

Je ne te raconte même pas ce que c’est que de « faire un gosse à 20 % »…

Parce que je l’ignore également : Chez moi, c’est ou rien !

J’apprends que ce n’est pas le cas de tout le monde.

 

Normal : Je vous ai toujours dit que j’étais, ignoble, infreequentable et en plus incroyable !

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 04:02

Et diverses.

 

Jean-Marc entre dans son restaurant préféré, et s’assoit à sa table habituelle.

Il lance un regard furtif aux alentours et découvre une jeune-femme magnifique à une table toute proche.

Elle est toute seule.

Jean-Marc appelle le serveur et lui demande d’envoyer à la jeune-femme la bouteille de champagne la plus chère qu’ils aient en réserve, pensant que si la jeune-femme accepte la bouteille, elle se rendra immédiatement à ses pieds.

Le serveur apporte la bouteille à la table de la femme :

« C’est de la part de l’homme à cette table », dit-il, montrant Jean-Marc de la main.

La jeune-femme regarde la bouteille avec froideur durant une seconde, puis décide d’envoyer un petit mot à Jean-Marc.

Elle le donne au serveur qui l’envoie immédiatement au destinataire.

Le mot dit :

« Pour que j’accepte cette bouteille, vous devez avoir une Mercedes dans votre garage, un million de dollars à la banque et 20 cm dans votre pantalon. »

Après avoir lu le mot, Jean-Marc décide de répondre.

Il donne à son tour un mot au serveur qui l’apporte à la jeune-femme.

Le message dit :

« Pour répondre à votre requête, je pourrais revendre ma Ferrari Modena 360 et ma BMW 850 pour qu’il ne me reste que la Mercedes 600 SEL dans mon garage.

Je pourrais également investir même les 2 des 3 millions de dollars que j’ai sur mon compte pour qu’il n’en reste qu’un seul.

Mais… Même pour une femme aussi belle que vous je ne me couperais jamais 5 centimètres !

Bien cordialement,

J-M

P.S. Rendez-moi la bouteille ! »

 

Jean-Marc est en pleine action, la pression commence à monter...

Elle : Vas-y sauvagement !

J-M : Oui, oui !

Elle : Continue ! Continue !

J-M : Oui, oui !

Elle : Ne sois pas timide !

J-M : Oui, oui !

Elle : Montre que tu es un homme !

J-M : Oui ! Oui !

Elle : Dis-moi des choses bien dégueulasses !

J-M : La cuisine, la salle de bain, les chiottes, le salon, la bagnole....

 

Jean-Marc fait la rencontre d'une très belle femme…

Après quelques heures, ils conviennent de passer la nuit ensemble moyennant un montant de 500 euros que Monsieur versera à Madame.

Au petit matin, Jean-Marc dit à la très belle femme qu'il n'a pas d'argent sur lui mais que sa secrétaire lui enverra un chèque de 500 euros pour motif de « location de logement ». 

Sur le chemin du retour, il regrette et estime que cela ne valait finalement pas autant.

Lorsqu'il arrive à son bureau, il demande donc à sa secrétaire d'envoyer un chèque de seulement 250 euros à la dame avec le message suivant :

« Je n'ai pas envoyé le montant convenu parce qu'en louant votre logement je croyais qu'il n'avait jamais été occupé, qu'il était beaucoup plus chaud et qu'il était assez petit pour m'y sentir chez moi.

Malheureusement, j'ai découvert qu'il avait déjà été souvent occupé, qu'il était difficile à chauffer et qu'il était trop grand. »

Sur réception de cette note, la femme lui renvoya le chèque avec le message suivant :

« Cher Monsieur,

Comment avez-vous pu penser qu'un si bel appartement ait pu rester vacant jusqu'à votre arrivée ?

En ce qui concerne le chauffage, il n'en manque pas, il vous suffisait simplement de l'allumer.

Enfin, pour ce qui est de l'espace loué, je vous assure qu'il n'est pas plus grand qu'ailleurs : ne blâmez donc pas la propriétaire si vous n'avez pas assez de mobilier pour le remplir convenablement ».

 

Ce matin-là, Mohammed va trouver son patron et lui dit :

« – Patron, ji ni peux plus travailler chez toi, tous tes employés sont di racistes !

– Quoi ? Qu'est-ce que tu racontes là Mohammed ? Qu'il y ait un ou deux « blackos » qui soient racistes, je veux bien, mais pas tous quand même !

– Si, si. Ji til dis qu'ils sont tous racistes ! D'ailleurs, ji ai fait un test : ji liz ai tous posé la mime question et tous m'ont donné la mime réponse.

Ils sont tous racistes, ji ti l'dis.

– Mais, quelle est cette question ?

– Et bien, ji leur ai demandé ci qu'ils diraient si on exterminait tous liz arabes et tous li boulangers... »

Jean-Marc hésite et puis répond :

« – Les boulangers ?... Pourquoi les boulangers ?...

– Ah, ti vois... toi aussi ! »

 

Dimanche 7 heures du matin, Jean-Marc se lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller son épouse.

Il charge son vélo sur la voiture et s'en va en randonnée.

Arrivé sur la place il se met à tomber des trombes d'eau.

Sa matinée est foutue, il décide de rentrer chez lui.

Il revient, se déshabille sans faire de bruit, et se recouche doucement tout près de son épouse et lui chuchote à l'oreille :

« Il pleut comme vache qui pisse ! »

Et elle de répondre :

« Quand je pense que l'autre con est en train de pédaler ! ».

 

Un ventriloque qui fait la tournée des clubs, s'arrête dans une petite ville pour une représentation.

Il commence son show en racontant des blagues sur les blondes, quand une très belle jeune femme blonde se lève et crie :

« Mais j'en ai assez de vos blagues stupides sur les blondes, espèce d’enfoiré !

Qu'est-ce qui vous permet de stéréotyper les femmes de cette façon ?

Quel rapport peut avoir la couleur de cheveux d'une personne avec sa personnalité et son âme ?

Ce sont de pauvres gens comme vous qui empêchent des femmes comme moi d'être respectées professionnellement et humainement.

À cause de vous et de vos préjugés les gens continuent de répandre ce genre de légende.

Vous êtes un retardé pathétique et pitoyable, et ce que vous faites est non seulement contraire à la loi sur la discrimination de tout pays civilisé mais également extrêmement offensant pour toute personne sensible.

Vous devriez en mourir de honte ! »

Jean-Marc commence à bafouiller des excuses quand la blonde l'interrompt :

« Vous ... restez en dehors de ça ! Je parle à l'imbécile qui est assis sur vos genoux. »

 

Jean-Marc et Jean-Paul veulent faire la tournée des bistrots, mais ils n'ont que deux euros en poche.

Soudain Jean-Marc dit :

« – J'ai une idée ! On va acheter une saucisse et je vais la mettre dans mon pantalon. On boira un coup, et puis au moment de payer, tu te mettras à genoux, j'ouvrirai ma braguette, et tu prendras la saucisse dans ta bouche.

Et là, c'est sûr on nous flanquera à la porte.

– Excellente idée ! » répond Jean-Paul.

Avec leurs deux euros, ils achètent une saucisse, puis ils vont dans un premier bistrot, boivent un verre, et quand l'autre s'agenouille et met la saucisse dans la bouche, le patron scandalisé les jette dehors immédiatement !

Ils font la tournée des cafés et ça marche à chaque fois.

En sortant du quinzième, Jean-Paul, celui qui s'agenouille, dit :

« – Je commence à avoir mal aux genoux, et puis je n'ai plus soif. Par contre j'ai une petite faim. Si on mangeait la saucisse ?

– La saucisse ? Ben je l'ai perdue au second bistrot ! »

 

La fille de Jean-Marc, 17 ans rentre penaude chez ses parents au petit matin.

« Papa, maman, j'ai couché avec un homme et je suis enceinte... »

Jean-Marc devient fou, prend et brandit son fusil, demande qui est le coupable et jure qu'il va le plomber.

La gamine :

« Mais c'est un type bien, il va prendre ses responsabilités ».

Sur ces entrefaites une grosse berline entre dans la cour de la fermette et un grisonnant ultra-classe en descend.

Il salue, s'assied à la table et s'adresse aux parents de la petite :

« J'ai eu commerce avec votre fille et mes obligations familiales m'interdisent de prolonger notre relation, cependant je suis un homme d'honneur et je tiens à ce qu'elle et son enfant ne soient pas laissés dans le besoin, c'est pourquoi je vous propose l'arrangement suivant :

– S'il naît un garçon je lui ouvre un compte que je crédite d'un million d'euros, et j'ajoute une chaîne de 5 concessions de Rolls-Royce dans tout le pays.

– Si en revanche il lui naît une fille elle aura la même somme et une chaîne de 10 salons de coiffure à Lyon et Paris.

– Par contre, si elle perd l'enfant.... »

Jean-Marc lui pose la main sur l'épaule et l'interrompt :

« Tu la rebaises ! »

 

Jean-Marc se trouve dans la banque au moment où un homme y commet un hold-up.

Le voleur prend les personnes présentes en otage et demande au premier d'entre eux :

« – M'avez-vous vu voler la banque ?

– Oui ! »

Le voleur lui tire une balle dans la tête.

Il passe au 2ème otage, lui pose la même question

« – M'avez-vous vu voler la banque ? »

Jean-Marc répond :

« – Moi ? Non, mais ma femme a tout vu ! »

 

Jean-Marc entre dans un bar et aperçoit Jean-Paul, l'air désœuvré et avachi sur le comptoir, avec 4 ou 5 verres vides devant lui.

Il s'assoit à côté de lui et lui demande ce qui ne va pas.

« – Eh ben, tu te rappelles de cette nana au boulot, avec qui je voulais sortir ? Celle qui me file une érection pas possible à chaque fois que je la vois ?

– Oui, bien sûr !

– J'ai finalement eu le courage de lui demander rendez-vous par e-mail et elle a accepté...

– Eh bien, mais c'est génial ! Quand est-ce que vous avez ce rendez-vous ?

– C'était ce soir il y a une heure... Je suis allé chez elle mais j'avais peur d'avoir une érection devant elle, alors j'ai pris du gros ruban adhésif et je me suis scotché la bite le long de la jambe, pour ne pas que ça se voie au cas où je bande...

– C'est une belle marque d'attention !

– .... Enfin, j'arrive à sa porte, et là elle m'ouvre, habillée avec une jupe hyper courte et un décolleté incroyable !

– Et alors ?

– Je lui ai envoyé mon pied dans la gueule... »

 

Deux petites vieilles se croisent dans la rue d’un village.

« – Comment vas-tu Marguerite ?

– Oh ! Je n’ai pas le moral… Je viens de perdre mon mari !

– Ah bon ! Qu’est-ce qui s’est passé ?

– Je l’ai envoyé dans le jardin chercher des carottes et des poireaux pour faire la soupe. Il a été pris d’un malaise. J’ai appelé les secours, quand ils sont arrivés, il était déjà mort. Une crise cardiaque…

– Qu’est-ce que tu as fait alors ?

– Des pâtes… »

 

Bon week-end à toutes et à tous !

 

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