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D'où Erre-Je ?

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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 14:41

Mais je plains bien les résidents de la « Socialie-Gauloise » !

Une halte sur leurs « malheurs-communs » avant de revenir sur les « votations » du week-end dernier.

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26 novembre 2014 3 26 /11 /novembre /2014 10:59

Total racket…

 

Les bandits de grands-chemins n’avaient jamais osé, même pas « Robin des bois ».

 « Sicile-Du-Flot-Vert » et « François III », si !

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25 novembre 2014 2 25 /11 /novembre /2014 10:51

Au commencement, il y a l’indignité.

 

Et puis très vite, c’est le boxon.

 

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 05:03

Le mari de la voisine étant de retour dans ses foyers…

Je n’ai pas eu accès à sa télé dimanche dernier !

 

Il m’a donc fallu attendre le lendemain pour, attiré par la rumeur, revoir son passage devant « Clarita-Charal » et confirmer l’inespéré : Une baisse des impôts !

 

Je vous demande un peu par quel tour de magie, les 650.000 foyers jusque-là exonérés de fait d’IR (sur 17 millions de redevables et 16 qui le payent réellement), qui en sont venus à en payer avec l’arrivée de « François III » aux manettes du pays, vont se retrouver à en être exclus de nouveau !

Magnifique… ose-je espérer.

 

Bon, parce que pour tout vous dire, kon comme je suis, épouvanté par le sort fiscal réservé aux cas particuliers comme le mien (je rappelle : Dans le décile des plus hauts patrimoines et dans le décile des plus bas revenus depuis au moins 20 ans) et envisageant dans un avenir proche l’exil à Folkestone, j’ai commencé à réaliser quelques-unes de mes plus-values potentielles, histoire de financer mon déménagement avec « boutanches & nichée » en terre plus hospitalière.

 

Notez au passage que l’ambassade du Portugal m’a fait savoir que je serai exonéré de tout pendant 10 ans si je rapatriais mes avoirs et domicile fiscal chez les ex-Salazar…

J’ai même répondu gentiment que j’étudierai la proposition que s’ils modifiaient la topographie de Lisbonne : Une ville « qui monte », ce n’est pas « mon truc » !

Déjà la « grimpette » sur le « Montparnasse », ne serait-ce que pour aller chez « Bébert », le roi du couscous, ça aurait tendance à épuiser mon double-quintal, alors Lisbonne, je ne vous dis même pas…

Pour l’heure, j’attends leur réponse.

 

Bref, tout ça pour vous dire que je suis rentré dans le domaine « non-optimisé » de l’IR l’année dernière et que je m’apprête à en sortir définitivement après avoir payé … « ma caution-fiscale » de libération dans les prochaines semaines !

Eh bien non : Je n’aurai rien fait, « Menuet-Valse » m’aurait exonéré en fin d’année !

Kons, ces règles qui changent, fluctuent, augmentent l’incertitude fiscale et juridique en cours d’année !

 

Une loi de finances rectificative dudit collectif budgétaire de juin prochain permettraient de faire sortir de l'impôt sur le revenu dès cette année les mêmes 650.000 ménages qui y sont rentrés par mégarde, précise-t-on !

Les personnes concernées sont celles qui gagnent de « 1,2 » à « 1,3 fois le Smic ».

Il ne sait pas trop se servir d’une calculette, lui non plus, tellement c’est précis.

 

« Il y a à peu près 650.000 ménages qui sont rentrés dans l'impôt et qui doivent en sortir. Entre 2010 et 2012, la droite a augmenté les impôts de 30 milliards. Et entre 2012 et 2014, la gauche les a augmentés aussi de 30 milliards. Ça suffit, c'est trop. Trop d'impôt, selon la vieille formule, tue l'impôt et tue surtout la compétitivité de notre pays ».

Mais non : D’abord ce sont les « taux hauts » qui tue l’impôt, ensuite, c’est le credo « anti-pique-yéti », abominablement ultra-libéral…

Et dire que même INCO il affirmait encore le contraire l’année dernière : C’est dire si l’époque est … « quantique » (*) !

Et puis attend, ce n’est pas « trop » tout d’un coup, il fallait y réfléchir avant, dis donc !

Pas après que le bestiau soit assommé, rétamé par le traitement de cheval…

 

Bien sûr, il a aussi causé des élections européennes qui représentent « un scrutin décisif qui est majeur pour l'avenir de la France et de l'Europe », notamment parce que les Européens vont désigner le président de la Commission européenne.

Pas que pour ça, heureusement.

Mais ce ne sera qu’une élection de transition…

On en sera où en 2020 ?

 

« Je sais par ailleurs le scepticisme de beaucoup de nos compatriotes : l'Europe passoire, l'Europe loin des peuples, l'Europe qui n'est pas efficace notamment dans la lutte contre le chômage. (...) »

Ce n’est pas non plus son rôle…, il suffit de le demander aux anglais ou aux danois quand ce n’est pas aux allemands !

 

Et puis ce moment de bravoure : « Et pourtant parce que je suis patriote, parce que je suis profondément français, parce que j'aime mon pays et parce que j'aime l'Europe, chacun d'entre nous doit s'engager. »

Là, il fait très fort au moment où sa ministre « des sots » elle ose refuser de faire semblant de chanter l’hymne national, lui, il la ramène avec son couplet « patriote », après avoir insulté la représentation nationale, il y a quelques semaines !

Gonflé.

J’adore : Ce doit être normal, ce genre de propos, chez un « natif catalan ».

Perso, j’apprends le « God save the Queen » en vue de mon expatriation réussie !

 

Et si le Front national ressortait « premier parti » à la suite du scrutin du 25 mai ?

« Je ne peux pas me résoudre à ces pronostics. Ces populismes, cette extrême droite qui prospèrent en Europe sur fond de rejet de l'Europe, c'est faire sortir la France de l'Histoire ».

Justement, ce n’est pas déjà fait… ?

 

Questionné sur les prix du gaz, il a confirmé qu'ils baisseraient à la faveur de « mécanismes mis en place par le gouvernement depuis 2012. Il y a une baisse déjà de 3,8 % depuis un an du prix du gaz. Cette baisse va se poursuivre au mois de mai et au mois de juin, autour de 1 % »

Mais, a-t-il prévenu, « les prix peuvent également repartir à la hausse. C'est pour cela qu'au-delà des énergies renouvelables, que nous devons accompagner avec la prochaine loi sur la transition énergétique, la France doit rester une grande puissance nucléaire », a dit le premier ministre.

Faut savoir : On démantèle ou on produit toujours plus de nucléaire (pour éviter aux allemands de polluer les délicates alvéoles pulmonaires de « ma nichée » avec leurs micropoussières de charbon) ? 

 

Il en a profité pour démentir le « plan caché » de réduction du budget de la défense. L’opposition surfe sur le sujet pour avoir assuré plus tôt dans la journée avoir connaissance d'un tel plan, visant à parvenir à 50 milliards d'économies en sabrant dans le budget de l'armée.

« Tout le monde [devrait] participer à la réduction des déficits ».

Là encore, l’UMP « Xav’-Berre-Trans » retarde d’une guerre : C’était l’année dernière que les forces armées faisaient l’essentiel de la réduction des effectifs et budgets pour assurer l’embauche de 60.000 « prof’s » analphabètes dans les « ékoles-pue-bliques ».

D’ailleurs, « les ducs-nationale » n’arrive pas à les recruter : À peine un poste sur trois et parfois un sur deux dans certaines académies et matières à la dernière session extraordinaire…

Vous pouvez vérifier.

 

Sur le plan des armées, les choses ont évolué depuis : D’abord il y a eu le « risque » de « putsch des capitaines » et les huées et quolibets sur les Champs-Élysées du dernier 14 juillet ;

Ensuite, il y a eu la LPM, qui donne tout pouvoir aux militaires en matière d’écoutes de trafic internet et téléphonique ;

Enfin, il y a eu les OPEX (des opérations de « polices musclées », en vérité) au Mali et en Centrafrique, demain les mêmes contre les sectes nigérianes…

Les payes sont assurées, les dissolutions de régiment reportées à 2017 : Il ne sera plus premier ministre.

« Coupable, mais pas responsable ! », toujours…

 

« Il n'y a pas de plan caché, nous sommes au contraire dans la vérité et dans la transparence parce que les Français le demandent ».

En fait, les « Gaulois-natifs », ils s’en foutent : Pas un pour se poser la question importante…

 

À savoir, tu prends 100 milliards de déficit courant façon « Bling-bling », tu rajoutes 30 milliards d’impôt du temps de « Bling-bling ». Tu en rajoutes encore 50 (lui dit 30 : 50 – 20 du CICE) sous « Air-Eau ». Tu retires 50 milliards d’économie dans les dépenses, tu fais comment pour te retrouver seulement à 95 milliards de déficit courant STP ?

Normalement on devrait en être avec des excédents de 10 milliards à redistribuer aux pôvres comme moi !

La bonne question : Il passe où le pognon des kon-tribuables, là ?

 

Et « Menuet-valse » de fustiger : « Les mêmes qui proposent 130 milliards de réduction de dépense ne nous disent pas comment ils feraient ».

Pour savoir, il faudrait savoir lire … et compter !

Ce qui n’est manifestement pas son cas.

 

Bon, c’est vrai que dans le tas, dans le programme de l’UMP, il n’y a pas que des additions et des soustractions : Il y a aussi des « effets de levier », autrement dit des règles de trois…

Trop compliqué pour un « soce-pure-sucre »…

En attendant, l’annonce du « frangin-trois-points-Xav’ » retarde à l’automne 2014 l’annonce desdites mesures.

Faut dire que chez les « galonnés », celui qui n’est pas « frangins trois-points », il n’a aucune chance de finir avec des étoiles sur le képi : C’est dire s’ils sont au courant de ce qui se prépare.

 

Passons, je n’ai sans doute rien raté que le « voisin de la voisine » soit rentré chez lui.

Qu’est-ce qui valait le mieux ?

Que j’assiste au triomphe de la « saucisse-barbue » à l’Eurovision ou aux pitreries de « Monsieur le premier » des… pitres ?

Finalement, je n’aurai vu ni l’un ni l’autre et je ne m’en porte pas plus mal…

 

(*) Précision : J’ai à faire actuellement à une boîte qui quand on demande un tirage du bilan de l’année 2013, celui figé dans le marbre, les chiffres changent d’une édition à une autre !

La compta, un « truc » où il n’y a que des additions et une seule soustraction en fin des opérations de « window-dressing »…

Au point que j’ai enfin compris la « théorie du tout » (à venir et donc en avance sur l’élite des physiciens de mon époque), qui doit réconcilier la relativité générale avec la théorie quantique : Tu prends l’écoulement du temps comme d’une variable (et non pas une constante que tu peux éliminer des équations) et tu gagnes le jackpot !

Simple : Merci la comptabilité à partie-double !

Vraiment un « truc » génial…

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 05:04

Et pour dire quoi au juste ?

 

Qu’il a été mauvais jusque-là, me semble-t-il…

Notez, ça, on savait déjà !

Deux ans après son élection, il avoue enfin :

 

– Bilan : « Je savais quelle était la situation du pays. Mon objectif c’était de remettre la France en marche. En 2012 si j’ai gagné c’est parce que mon prédécesseur avait échoué. Je demande à être jugé à la fin du quinquennat. »

Et un de plus…

 

– « Le rapport Gallois a très bien situé le mal français. Je n’ai alors pas tergiversé.» Une affirmation gratuite : Il était plus important de réformer le « mariage pour tous » et les rythmes scolaires, finalement, n’est-ce pas ?

 

– « Je préfère prendre mes responsabilités et être jugé sur mes résultats. »

Ah bé voilà pourquoi il bat des records d’impopularité, vu le niveau des résultats, effectivement…

 

– Réforme territoriale : Il a évoqué « 12 ou 11 régions », sur les 22 actuelles.

« La moitié, donc, pourrait être la bonne carte de notre territoire et pour les départements, je pense que les conseils généraux ont vécu ».

Pan dans les naseaux des futurs élus : Vous êtes nuls, alors « poubelle ».

Et d’envisager un report des élections cantonales et régionales en 2016, estimant qu’il « serait intelligent » de les tenir « avec le nouveau découpage » territorial.

« Si cest 2016, ça permettrait davoir le temps» de continuer à faire des konneries avec l’argent des autres sous les hospices de mes potes soces !

Et de rajouter : « Une réforme majeure doit être portée. Il ny a plus de temps à perdre. On verra alors qui sont les conservateurs et qui sont les réformateurs ».

Une belle façon de prolonger l’agonie de la « socialie »… et de ne « pas perdre de temps » !

 

– Alstom : L’offre de General Electric n’est « pas suffisante aujourdhui ».

Mais de quoi je me mêle ?

Il faut « faire en sorte que les offres soient enrichies en termes demplois ».

Mais « chéri », il n’y aurait pas eu de problème d’emploi si tu avais laissé vivre cette entreprise au lieu de l’assommer sous les charges, les impôts et les réglementations étouffantes…

 

– Aller plus vite : « Lorsque les Français disent quils veulent que cela aille plus vite et plus fort, alors jen tiens compte. On va aller plus vite sur la réforme territoriale, on va aller plus vite sur la simplification, on va aller plus vite sur l’allégement du coût du travail, on va même aller plus vite sur les impôts (…) ».

Euh, plus vite contre le mur ?

C’est-y pas casse-gueule ? Il est où l’airbag ?

 

– Chômage : « Je me suis fixé comme objectif, comme obligation – ça sera la preuve que le pays a pu sortir de la situation dans laquelle je lavais trouvé (euh non pas seulement… dans laquelle tu l’as mis) la baisse du chômage. Cest mon obsession, mon combat ».

C’est sûr qu’avec des centaines de milliers de chômeurs de plus, tu as fait très fort !

 

– Remaniement : « Air-Eau » « a fait du bon travail. (…) »… On croit rêver, hein ?

« Mais j’ai entendu la sanction des municipales. J’entends les colères, je vois les insatisfactions. (…) « Menuet-Valse », « doit donner l’impulsion nécessaire et nous allons y parvenir. Tant mieux s’il est populaire. Je n’allais pas prendre un homme qui était jugé comme impopulaire ou comme incompétent ».

Il a donc choisi le populaire-kon-pétant…

Bien vu !

 

– Réforme des rythmes scolaires : « Quil y ait eu des difficultés dadaptation (…), jen conviens volontiers, et cest la raison pour laquelle j’ai demandé (…) d’adapter, de simplifier et d’assouplir» la réforme.

Tout ça pour ça ? Et s’il avait songé à nous épargner ces délires ?

« Je ne suis pas dogmatique. (Je suis soce-sectaire) Si dans deux ou trois ans il y a des retours qui ne sont pas ceux que l’on a espérés, nous en ferons le bilan ».

Et pourquoi ne pas le faire tout de suite, au juste ?

 

– Droit de vote des étrangers aux élections locales, la vieille lune des « soces-pas-dogmatiques » : « Ce texte sera de nouveau proposé après les scrutins pour que dans la préparation (des élections) qui viendront dans six ans, il puisse y avoir cette réforme ».

Et en avant pour une reculade qui fera au passage grimper l’audimat des « frontistes »…

Comme sous « Mythe-errant », n’est-ce pas (Première cohabitation…)

 

– Vie privée : « (…) Mon comportement a toujours été digne. Jamais je n’ai été dans une forme de vulgarité ou de grossièreté.»

Vous savez quoi ? Faire des « cinq-à-sept » sur un scooter, finalement, quelle dignité…

 

– Salaire de Pierre Gattaz : « Il y a un moment où chacun doit être responsable : on ne peut pas demander la baisse du SMIC, voire sa suppression, et en même temps considérer qu’il n’y a pas de salaire maximum ». (…).

C’est « un principe contraire aux principes de la République ».

Il a vu ça écrit où, au juste ?

 

– Ukraine : Il faut « permettre que le président qui sortira vainqueur de ce scrutin (du 25 mai) puisse être légitime aux yeux de tous ».

Si la présidentielle « ne se tenait pas, ce serait le chaos et le risque de guerre civile. »

Là, il retarde d’une guerre : Non seulement il y a déjà sécession illégitime, mais aussi les morts d’une guerre sur place…

 

– Conclusion : « Je nai rien à perdre», a-t-il lâché.

Rectification : Il n’a « plus » rien à perdre, puisqu’il nous a déjà tout fait perdre.

Sa langue a dû « fourcher »…

« Ce qui compte, cest que le pays ait tout à gagner».

Sans vouloir être trop méchant, on n’a pas bien vu, jusque-là. Faudrait à la fois changer de braquet et de cap…

 

– Interrogé sur des regrets qu’il pourrait nourrir, il a admis que des réformes auraient pu être menées « plus vite », plus « promptement », plus « rapidement », comme sur la loi ouvrant le mariage homosexuel.

Parce que le viol de l'opinion publique n’a pas été assez rapide ? Je rêve là…

 

– « Jai été élu par les Français, cest un honneur considérable qui m’a été fait, une chance formidable qui m’a été donnée ».

C’est nous qui n’avons pas eu de chance, c’est vrai… Mais what else ?

« Je veux que la France se dise quelle a eu toutes ses chances pendant ces cinq ans » : Je le dis tous les jours ! On n’a que ce qu’on mérite, pas plus !

Et puis il n’en reste plus que trois, des années à te supporter…

 

– Et puis ce final : « Moi (…) jaime les gens, jaime ceux qui sont dans une difficulté (…) »

Ça aussi on avait compris !

Ils sont tellement plus nombreux depuis 2 ans, qu’on va finir par se dire qu’il les a fabriqués !

Admirable d’autisme, finalement !

 

Et vous espériez un « tournant », un « virage » de ce grand-oral ?

Pas moi.

Du coup je ne suis même pas déçu !

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6 mai 2014 2 06 /05 /mai /2014 05:02

Petit rappel « historique »

 

C’était au cours de ce fameux « face-à-face » d’entre-deux tours des présidentielles entre les deux seuls candidats qualifiés… pour un unique débat !

« François III » a gagné le scrutin avec sa fameuse anaphore qui aura fait beaucoup coulé d’encre et laissé totalement coi « Bling-bling »…

Devenu depuis et enfin notre « ex-Ô combien vénéré Président ».

D’ailleurs, celui-ci fait dire par sa troisième épouse, qu’il veut sa revanche…

Curieusement, celle-là est toujours là, tellement elle y croit elle aussi.

 

Qu’on se rappelle un peu ce qu’il en reste deux ans plus tard :

 

1 – « Moi, président de la République, je » … suis parvenu, et sans me vanter, à être le plus impopulaire locataire de l'Élysée de la Vème République.

Une performance unique, qui sera difficile à battre…

 

2 – « Moi, président de la République, je… », et sans me vanter, j’ai réussi en deux ans à liquider trente ans de socialisme municipal.

Et je m’apprête à restituer le Sénat à la « droâte » et à liquider mon parti aux prochaines européennes…

 

3 – « Moi, président de la République, je… », peux démontrer qu'avec les femmes, pour aucune ce n'est vraiment du sérieux…

Appel à candidature spontanée !

 

4 – « Moi, président de la République, je… » veille encore et toujours à ce que mon manque de résultats d'aujourd'hui ne donne pas de faux espoirs pour demain.

Vous êtes prévenus : Après moi, le déluge et les rentes au Conseil Constitutionnel !

 

5 – « Moi, président de la République, je… » m'applique à être le meilleur collaborateur de « Menuet-Valse ».

Et non pas l’inverse, vous étiez prévenus.

 

6 – « Moi, président de la République, je… » n'aime pas qu'on me cire les pompes (pas comme d'autres…)

Le « dard », il n’y a que ça à ripoliner chez moi !

 

7 – « Moi, président de la République, je… » ne suis pas le chef du PS, sauf pour exfiltrer son patron et lui offrir l'asile politique au gouvernement.

 

8 – « Moi, président de la République, je… » pratique le paritarisme malgré les difficultés, à preuve l'entrée de « Ségololo », une « ex », dans mon gouvernement.

Là encore, pas comme d’autre qui ne bandait que pour les vieilles : Chez moi, il y a des jeunettes et des vieux-pots tous les mercredis.

 

9 – « Moi, président de la République, j'ai… » un comportement tout-à-fait exemplaire même au guidon de mon scooter.

Je mets même mon casque entre deux escapades de deux centaines de mètres !

 

10 – « Moi, président de la République, je… » ne m'occupe pas de tout, mais seulement de la baisse du chômage, dont dépendrait ma réélection.

En fait, je m’en fiche comme de ma première capote, je sais bien que je reste incompétent pour ça et que seule la perspective d’un second 21 avril peut me faire réélire malgré tout !

 

11 – « Moi, président de la République, je… » considère que mon ennemi, c'est et ça reste la finance, mondiale, les « riches », les comptes en Suisse de « Cas-zut-Hack » et même, concession à la vindicte populaire, les conflits d'intérêts de « Maure-aile ».

 

12 – « Moi, président de la République, je… » ne rends pas la Lanterne à Valse, par souci de la continuité républicaine.

C’est une garçonnière tout ce qu’il y a de plus cosy et confortable.

Et lui, il faut qu’il bosse encore un peu.

 

13 – « Moi, président de la République, je… » ne vire pas le chef de l'Élysée parce qu'une de mes ministres le calomnie.

Je le remplace par mon pote de toujours qui lui cède d’ailleurs son fauteuil : On reste entre « copains » !

 

14 – « Moi, président de la République, je… » engage de grands débats citoyens sur tout, telle l'interdiction de la cigarette électronique dans les lieux publics.

Mais pas sur mes promesses électorales et le « mariage pour tous » bien qu’une pétition ait pu être recevable pour provoquer une consultation référendaire sur le sujet !

 

15 – « Moi, président de la République, je… » m'applique à moi-même la hauteur de vue nécessaire à conserver une tension artérielle raisonnable, en pensant que de toute façon, on peut avoir un futur sans avoir aucun avenir.

 

Vous aviez aimé, non, pour avoir voté pour « ça » ?

Eh bien vous aviez sans doute raison : La preuve, on continue !

 

Bonne journée quand même !

 

I3

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13 avril 2014 7 13 /04 /avril /2014 05:03

« Filiation, origines, parentalité » : Le rapport dont on ne veut pas vous parler !

 

Un volume de de 350 pages, pour un rapport dirigé par la sociologue « I-Reine-T’é-riz-en-donc », préconise notamment l’ouverture de la PMA aux couples de femmes et la reconnaissance des enfants nés à l’étranger d’une mère porteuse. Un brûlot dont la remise a été reportée à plusieurs reprises.

Et pour cause…

On se souviendra tous de l’épisode de la « manif’ pour tous ».

 

L'origine de ce collectif remonte au 5 septembre 2012 quand une cinquantaine de responsables associatifs se réunissent à Paris avec des philosophes, des psychiatres et des hauts fonctionnaires, pour définir une stratégie face au projet de loi sur le mariage homosexuel et la filiation pour personnes de même sexe.

De cette réunion émergent plusieurs personnalités appelées à devenir porte-parole du mouvement : Laurence Tcheng, fondatrice de « La Gauche pour le mariage républicain », Xavier Bongibault, fondateur de « Plus gay sans mariage », Frigide Barjot, fondatrice de « Pour l’humanité durable », Tugdual Derville, délégué général « d'Alliance VITA », Camel Bechikh, président de « Fils de France », Lionel Lumbroso, fondateur de « David et Eugena », Philippe Brillault, maire du Chesnay, Béatrice Bourges, présidente du « Collectif pour l’enfant », Antoine Renard, président des « Associations familiales catholiques » et Franck Meyer, président du « Collectif des maires pour l'enfance ».

Pas que des nains…

 

« La Manif pour tous » est déclarée en préfecture le 2 novembre 2012 avec publication au Journal officiel le 17 novembre.

Une première manifestation a lieu ce même jour à Paris : Elle réunit de 70.000 à 200.000 personnes selon les sources, tandis que plusieurs milliers d'autres défilent dans une douzaine de villes de provinces.

À la fin de l'année 2012, des antennes locales de « La manif pour tous » sont déclarées en préfecture dans 26 départements.

 

À la veille de la manifestation du 13 janvier 2013, qui réunit de 340.000 à un million de personnes selon les sources, les autorités religieuses donnent leur caution au mouvement, tout en précisant rester « au second plan », en étant représentées mais sans appeler à manifester.

Au début de l'année 2013, Ludovine de La Rochère, responsable de la communication de la « Fondation Jérôme-Lejeune », prend la présidence de « La Manif pour tous » mais reste au départ dans l'ombre, tandis que Frigide Barjot est médiatiquement à la tête du mouvement.

 

En février 2013, une pétition citoyenne ayant recueilli plus de 700.000 signatures en moins de trois semaines est déposée au Conseil économique, social et environnemental (CESE). Il s'agit de mettre pour la première fois en application la possibilité offerte aux citoyens, par une révision constitutionnelle de 2008, de saisir le CESE si au moins 500.000 signatures à une pétition sont réunies.

Mais cette pétition est jugée irrecevable sur le fond, sous l'argument que « la saisine du CESE pour avis sur un projet de loi relève exclusivement du premier ministre ».

Ce rejet, vécu par certains opposants au projet de loi comme une humiliation, renforce globalement leur mobilisation.

 

À la suite de la manifestation du 24 mars, la rupture se produit entre « La Manif pour tous » et le « Printemps français, » représenté par Béatrice Bourges.

L'UMP désavoue également le « Printemps français » et se positionne aux côtés de « La Manif pour tous ».

Le 21 avril a lieu une manifestation de moyenne importance, qui rassemble de 45.000 à 270.000 personnes selon les sources.

 

Et en mai 2013, alors que la dernière grande manifestation prévue avant la promulgation de la loi va se tenir le 26 du mois, « La Manif pour tous » compte 37 antennes locales en départements.

Des divisions ont gagné le collectif à la suite de la promulgation de la loi le 17 mai 2013, Frigide Barjot considérant qu'il faut stopper l'opposition, Ludovine de La Rochère considérant au contraire qu'il faut la poursuivre.

La manifestation rassemble malgré cela de 150.000 à un million de personnes selon les sources, et tandis que Frigide Barjot décide finalement de ne pas s'y rendre, Ludovine de La Rochère la remplace médiatiquement à la tête de « La Manif pour tous » en prononçant le discours de clôture aux Invalides.

 

À la suite de cette rupture, Frigide Barjot fonde « l'Avenir pour tous » avec quelques partisans de ses positions, notamment Xavier Bongibault et Laurence Tcheng, porte-paroles du collectif depuis ses débuts.

Ambitionnant au départ de former la suite du mouvement, ils font rapidement sécession sans parvenir à rassembler autour d'eux.

Ils ne sont même pas conviés à l'université d'été de « La Manif pour tous » et appellent à ne pas participer aux nouvelles manifestations du collectif en novembre et décembre 2013, puis en février 2014.

 

Un certain nombre d'actions plus ou moins directement liées à La Manif pour tous ont ensuite lieu au cours de l'été 2013, jusqu'à l'université d'été du mouvement en septembre.

Des manifestations régionales plus officielles reprennent en novembre, qui rassemblent de 3.000 à 6.000 personnes, et en décembre, qui rassemblent de 6.000 à 30.000 personnes.

Neuf antennes locales supplémentaires du collectif se déclarent en préfecture entre les mois de juin 2013 et janvier 2014, portant ainsi le maillage départemental du collectif à 46 associations pour la manifestation du 2 février 2014, qui rassemble 80.000 à 500.000 personnes selon les sources à Paris, et 20.000 à 40.000 personnes à Lyon.

 

Des réactions « clivantes » issues depuis le début du mouvement d'opposition à la loi « T’oublira », les manifestants rattachés de près ou de loin s'opposent au mariage des couples homosexuels et contestent l'utilisation même du terme « mariage » pour les couples gays ou lesbiens.

Ces opposants sont par contre davantage divisés face à la possibilité d'union civile ouverte aux couples homosexuels.

Les membres de « La Manif pour tous » refusent l'homoparentalité sous toutes ses formes et condamnent toute modification du code civil qu'induirait sa reconnaissance.

Ils rejettent l'adoption par des couples de même sexe (seule forme d'homoparentalité prévue par la loi à venir) mais aussi la procréation médicalement assistée (PMA) et la gestation pour autrui (GPA), bien que cette dernière n'ait jamais été envisagée par le gouvernement de « Air-Eau ».

 

Ils s'attaquent par ailleurs à l'enseignement, à l'école, de la « théorie du genre », dont l'existence est pourtant réfutée par la communauté scientifique, qui évoque les « études de genre » dont la définition est bien différente.

Le terme a pourtant été employé par « Belle-K’à-s’aime », ministre des Droits des femmes, en août 2011, mais elle reviendra en juin 2013 sur ces déclarations pour affirmer que « la théorie du genre n'existe pas ».

 

Dès la manifestation du 26 mai 2013, prévue avant la promulgation de la loi mais effectuée après, la question se pose du devenir politique de La Manif pour tous. Lors de la primaire UMP en vue des élections municipales de 2014 à Paris, le collectif appelle à favoriser les candidats qui s'étaient positionnés contre le mariage homosexuel, en vue de faire battre « Haine-qu’à-Aime » qui avait soutenu le projet de loi. L'effet de cet appel est finalement très faible, « Nath’ » remportant largement la primaire.

 

Après un certain nombre d'actions plus ou moins coordonnées par « La Manif pour tous » au cours de l'été 2013, le collectif organise son université d'été les 14 et 15 septembre. Une campagne d'adhésion est alors lancée, afin de constituer une force politique à même de peser sur les élections municipales et européennes à venir en 2014.

Le champ des revendications s'élargit également, pour passer de la simple opposition à la loi sur le mariage homosexuel au « refus du concept de genre, de la procréation médicalement assistée, de la gestation pour autrui » et à la « défense de la filiation, de l'altérité sexuelle ou de l'objection de conscience ». L'idée de constituer des listes pour les élections municipales de 2014, un temps évoquée, est abandonnée.

 

En octobre 2013, en réaction notamment au projet de loi Famille de la ministre Dominique Bertinotti, La Manif pour tous lance un « Grenelle de la famille », en expliquant, par la voix de sa présidente Ludovine de La Rochère, vouloir « participer à la reconstruction de la politique familiale en France ». Des forums thématiques sont organisés dans six provinces, avec des rapports d'experts et la participation du public.

À la fin de l'année 2013, quelques 5.000 personnes ont participé selon le magazine « Famille chrétienne », et les conclusions ont été dévoilées le 8 mars 2014 à la Mutualité à Paris. Un projet alternatif de loi Famille devrait également être proposé au printemps.

En novembre 2013, « La Manif pour tous » lance une « charte des municipales ». Cette charte s'articule autour de trois thèmes : la vie politique, la politique familiale communale et la politique éducative et de la jeunesse. La Manif pour tous souhaite « l'application d'une vraie politique familiale communale » en particulier en ce qui concerne les « transports, crèches, cantines et autres services assurés par la commune ». Le collectif réaffirme également à cette occasion son opposition à ce qu'il nomme, avec d'autres, la « théorie du genre » : « Les signataires doivent s'engager à préserver les enfants d'expérimentations sur le « genre » et à lutter contre la drogue et la pornographie ».

Trois cents candidats ont déjà signé la charte lors de son lancement selon Le Figaro et une centaine de sympathisants de « La Manif pour tous » se sont par ailleurs lancés en politique à l'occasion des municipales, avec ou sans étiquette de parti.

 

Cet engagement en politique de certaines figures du mouvement a également pris la forme d'une association : Sens commun. Il s'agit d'une association politique intégrée à l'UMP, qui ambitionne de la pousser à revenir sur la loi Taubira et à « restaurer le mariage homme-femme », mais pas seulement. Son objectif est de remettre au premier plan la notion de bien commun en réconciliant « la politique avec le réel », estimant que « nous avons trop souvent choisi de nier le réel pour mieux imposer la satisfaction de nos intérêts immédiats ». Lors du lancement officiel de l'association au sein de l'UMP en décembre 2013, ses fondateurs affirment l'ambition de « peser de tout (leur) poids » lors des primaires UMP pour l'élection présidentielle de 2017 pour « qu'émerge un candidat le plus proche possible de (leurs) valeurs ». Ils reçoivent notamment le soutien de Charles Beigbeder.

 

À l'issue de la manifestation du 2 février 2014, le collectif réaffirme son opposition à toute avancée concernant la légalisation de la PMA et de la GPA, mais réclame aussi la suspension de l'« expérimentation des ABCD dits de l'égalité », la création d'une commission d'enquête parlementaire sur le sujet et la concertation des parents d'élèves et des associations familiales.

Il demande également « la révision des mesures fiscales qui concernent la famille », et Ludovine de La Rochère invite la ministre de la Famille Dominique Bertinotti aux conclusions du Grenelle de la famille de La Manif pour tous, le 8 mars à la Mutualité à Paris.

Le lendemain, face au succès de cette manifestation, le gouvernement dit renoncer à toute avancée concernant la PMA et la GPA et décide finalement de retirer son projet de loi Famille pour l'année 2014.

Ce revirement provoque de vives réactions à gauche, tandis que La Manif pour tous se félicite de cette victoire tout en affirmant rester mobilisée.

 

Or, prêt depuis janvier 2014, le rapport « Filiation, origines, parentalité », commandé par Dominique Bertinotti en octobre 2013 n’a été rendu public que ce mardi 8 avril sur le site de l’EHESS (École des hautes études en sciences sociales).

Cela sur l’insistance des 25 experts y ayant participé.

 

Ce travail avait pour mission d’établir un certain nombre de recommandations - plusieurs dizaines rendues – dans le cadre du projet de la loi famille.

 

La remise du rapport à l’ancienne ministre de la Famille, Dominique Bertinotti, a toutefois été reportée à plusieurs reprises. Élément qui s’explique, selon « I-Reine », par la peur de ce qui pourrait être fait du contenu de ce rapport.

« Le politique a de plus en plus peur de la façon dont ces questions sont instrumentalisées », a-t-elle déclaré sur France Culture.

Une évocation en creux des réactions virulentes de certains mouvements et d’une partie des Gaulois à la loi dite du « Mariage pour tous ».

 

Ce rapport, pensé pour adapter le droit de la famille aux nouveaux modèles familiaux, contient des propositions variées, allant de l’adaptation juridique aux recommandations prospectives. Dont certaines potentiellement sujettes à controverse et dont la rétention pourrait s’expliquer par les contestations qu’elles pourraient provoquer.

Le rapport préconise notamment l’ouverture de la procréation médicalement assistée pour les couples de femmes «dans les mêmes conditions que pour les couples de sexe différent » et la reconnaissance par l’état civil des enfants nés à l’étranger d’une mère porteuse.

 

Dans le cadre de l’adaptation aux nouvelles réalités des familles, le rapport préconise également un « mandat d’éducation quotidienne ».

Celui-ci permettrait à un parent d’autoriser un tiers – son compagnon ou sa compagne, par exemple – à prendre en charge certaines missions de tous les jours.

 

Enfin, l’anonymat des gamètes et l’accouchement « sous X » sont également recommandés jusqu’à la majorité des enfants, après quoi ils devraient être libres de connaître leurs origines.

Et ce afin de mettre fin aux « secrets de famille » et aux romans familiaux qui trompent les enfants sur la réalité de leur histoire.

 

Une belle façon de rouvrir la boîte de Pandore à peine refermée avec bien du mal et de nombreux renoncements.

Je voulais vous prévenir, tout simplement, parce qu’il ne faut non plus compter sur les medias traumatisés qui s’occupent plus facilement des menus des ministères que des « choses qui fâchent ».

Avec en prime, un petit résumé des « faits-passés », le plus « objectif possible ».

 

Sans rancune, hein !

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9 avril 2014 3 09 /04 /avril /2014 16:17

Ils sont désormais 31

 

16 ministres plus leur « premier », 14 secrétaires d’État.

Et on appelle ça un gouvernement « ramassé »…

Laissez-moi rire, SVP !

 

D’ailleurs j’en connais un qui va devoir manger son chapeau : il avait parié « moins de 15 ministres », puis « moins de 10 secrétaires d’État », tout faux le futur électeur « le-pénis-te » !

Et je veux la photo sur son blog en train de le bouffer à la sauce qu’il veut…

Passons !

 

Commençons justement par les « ramassés » :

 

Vincent Peillon, le ministre philosophe qui aura mis tout le monde contre sa réforme ;

Pierre Moscovici, devenu incompétent tellement qu'il vise désormais un poste à Brussel ;

Dehors Cécile Duflot, qui ne supportait pas l’ex-ministre de l’intérieur même en peinture : De toute façon, il mange carné et même pas Bio.

Exit Nicole Bricq qui a flambé le commerce extérieur au moins aussi bien de Lagarde sous le « Chi » ;

Idem pour Philippe Martin, Victorin Lurel et Sylvia Pinel pour les seuls ministre ministres de plein exercice.

 

Mais faut compter avec Thierry Repentin, Alain Vidalies, François Lamy, Michel Delaunay, Dominique Bertinotti, Marie Arlette Carlotti, Pascal Canfin, Yamina Benguigui, Anne-Marie Escoffier, Guillaume Garot, Hélène Conway-Mouret pour les ministres délégués.

 

Soit un total de 18 « has-been » : Belle usine à métaboliser les talents, n’est-ce pas…

Enfin, talent, talent, il ne faut rien exagérer non plus, c’est vrai.

 

Pour retrouver quoi ?

Frédéric Cuvillier, aux Transports et à la Pêche,

Geneviève Fioraso, à la Recherche,

Christian Eckert, au Budget,

Valérie Fourneyron, au Commerce et à l'Artisanat,

Axelle Lemaire, au Numérique,

Kader Arif, aux Anciens Combattants,

André Vallini, à la Réforme Territoriale,

Laurence Rossignol, à la Famille et aux Personnes âgées,

Ségolène Neuville, aux Personnes handicapées,

Thierry Braillard, au Sport,

Jean Marie Le Guen, aux Relations avec le Parlement,

Fleur Pellerin, au Commerce extérieur,

Harlem Désir, aux Affaires européennes,

Annick Girardin, au Développement et à la Francophonie,

 

Ils n’ont oublié personne…

 

On se rappelle que Laurent Fabius se maintient ministre des Affaires étrangères, mais chope aussi le développement international.

Qui est comme qui dirait du commerce extérieur.

Exit donc Nicole Bricq.

 

Ségolène Royal, la première « ex » du big-boss, candidate PS en 2007 à la présidentielle, mère des quatre enfants du chef de l'État, fait son entrée.

Avec son ministère de l'Écologie, fonction qu'elle avait déjà occupée entre 1992 et 1993, elle est numéro 3 de l'équipe gouvernementale, elle hérite du Développement durable et de l'Énergie…

Déjà même pas pétroleuse pour un sou, à elle de régler le difficile problème de la fracturation dont veut le ministre Montebourg.

Mais bon, pas à peine arrivée dans ses locaux, il était déjà question de revenir sur la taxe poids-lourd (une invention de Borloo…)

Elle devra compenser à elle toute seule le refus des écologistes de participer au gouvernement, ce qui a constitué un premier écueil pour le nouveau Premier ministre.

Notez qu’au passage, sa banque pour laquelle elle avait fait des pieds et des mains, la BPI, se retrouve décapitée de ses deux têtes, puisque l’autre Pédégé se retrouve secrétaire général de l’Élysée…

 

Benoît Hamon, qui a pesé pour la nomination de Manuel Valls, bénéficie lui d'une belle promotion avec l'Éducation nationale, la Recherche et l'Enseignement supérieur et quelques dossiers pourris comme les rythmes scolaires…

 

Christiane Taubira, donnée partante de la Chancellerie du fait de ses rapports difficiles avec Manuel Valls et de sa gestion chaotique des écoutes de « Bling-bling », reste finalement garde des Sceaux.

Là, elle va être gâtée, à n’en pas douter !

Faut dire que faisant déjà ses cartons, elle a été retenue sur le trottoir, parce que Baylet, qui en rêvait, devait prendre sa place.

Et puis, celui-là a été rattrapé le 1er avril par une mise en examen dans une affaire tordue.

Beau poisson d’avril !

 

Michel Sapin, déjà à Bercy sous Pierre Bérégovoy dans les années 90 avec les succès qu’on lui connaît, est lui ministre des Finances et des Comptes publics.

Il aura la mission impossible de trouver les 50 milliards d'économies d'ici 2017 nécessaires au respect de l'engagement de réduction des déficits et au financement du futur « Pacte de responsabilité »…

 

Pierre Moscovici qui perd le portefeuille de l'Économie, est remplacé par Arnaud Montebourg, le brillant ministre des « plans-sociaux » de l’industrie, chargé aussi du Redressement productif et du Numérique en lieu et place de Fleur (recasée par ailleurs : Commerce extérieur, tellement on lui fait la fête en Corée, son pays d’origine).

 

Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales.

Force a été de constater que dans le tas, ils ont oublié la santé… Alors il a fallu préciser qu’elle en était toujours en charge, le périmètre de son portefeuille étant identique au précédent, selon son seul entourage….

 

François Rebsamen, un proche du Président est nommé au Travail pour se charger de la bataille contre le chômage, est l'autre nouvelle tête de cet exécutif.

Pas gagné avec les rigolos de l’équipe chargés de « gagner des points » de compétitivité…

 

Jean-Yves Le Drian, un autre fidèle du président donné tour à tour à Matignon puis Place Beauvau, reste à son poste de ministre de la Défense, alors que l'armée française s'est engagée sur deux terrains depuis deux ans, le Mali et la Centrafrique.

Il est surtout le mieux placé pour calmer les troupes qui avaient fait siffler (en civil) le passage du Président sur les Champs Élysées le 14 juillet dernier…

Et à forcer son kamarade des finances à ouvrir son porte-monnaie.

 

On sait que le ministère de l'Intérieur, qui a donné lieu à un bras de fer entre le Président et son premier ministre qui voulaient chacun y imposer leur fidèle, François Rebsamen et Jean-Jacques Urvoas, échoit finalement à un troisième homme, Bernard Cazeneuve, jusqu'ici chargé du Budget…

Je note pour ma part, que Cazeneuve, il fait le même parcours que « Bling-bling » avant son ère…

Budget, puis intérieur…

Qu’il fasse gaffe : on finit « mal » dans ces cas-là, non sans en faire caguer quelques-uns.

 

Najat Vallaud-Belkacem prend du galon avec, outre son précieux maroquin du Droit des femmes et autres catins, elle hérite de ceux de la Ville, de la Jeunesse et des Sports.

À elle les athlètes musclées et les banlieues enflammées comme on suppose qu’elle les aime…

Elle cède par contre le porte-parolat du gouvernement à un fidèle parmi les fidèles du président de la République, Stéphane Le Foll, devenu ministre des agriculteurs…

 

Marilyse Lebranchu, sans surprise, proche de Martine Aubry, garde pour sa part la main sur la Décentralisation, la Fonction publique et la Réforme de l'État encore et toujours en cours.

 

La très controversée Aurélie Filippetti demeure à son ministère de la rue de Valois, en charge de la Culture et de la Communication.

Un beau pied de nez à ses nombreux détracteurs…

 

Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agro-alimentaire et de la Forêt et également porte-parole du gouvernement.

Mais la pêche lui échappe : Le premier ministre n’aime pas le poisson…

Donc le secteur de compétence est rattaché au « transport » : Magnifique, non ?

 

La radicale de gauche Sylvia Pinel quitte Bercy où elle s'occupait de l'Artisanat et du Tourisme où elle n’a pas vraiment brillé, mais reste au gouvernement avec le portefeuille sensible du Logement et de l'Égalité des territoires que détenait Cécile Duflot.

À elle de déminer le terrain laissé en état de guerre civile.

 

George Pau-Langevin hérite du maroquin de l'Outremer, en lieu et place de Victorin Lurel.

 

Vous aurez noté quelques absurdités, passagères peut-on espérer : Il n’y a plus de ministre, sous-ministre ou ministre délégué du Tourisme.

Terminé : Le premier secteur d’importation de devises étrangères, la première destination mondiale des étrangers en ballade, sans aucun responsable ministériel !

Là encore, magnifique de cécité.

 

Et puis un oublié : Bartelone qui se voyait bien « quelle que part ».

Bé il restera au perchoir surplombant le crachoir…

 

Combien de temps pour cet attelage bizarroïde ?

Eh bien RDV dans 100 jours, autour du 14 juillet, n’est-ce pas !

Vous êtes prévenus, une fois de plus…

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 05:03

« Mes chers compatriotes,

 

Eh, kon, c’est à toi que je cause…

 

« Ce soir, je m’adresse à vous parce que c’est un moment important de notre vie nationale.

À l’occasion des dernières élections municipales, en votant ou en vous abstenant, vous avez exprimé votre mécontentement et votre déception. »

Euh, si tu savais lire, notamment ce blog, t’aurais pu comprendre plus tôt…

 

« J’ai entendu votre message, il est clair.

Pas assez de changements et donc trop de lenteur.

Pas assez d’emplois et donc trop de chômage.

Pas assez de justice sociale et trop d’impôts.

Pas assez d’efficacité dans l’action publique et donc trop d’interrogations sur la capacité de notre pays à s’en sortir, alors qu’il a tant d’atouts. »

Pas assez de lumière, trop d’ombre, pas assez de sucre, trop de sel, pas de nuage, trop de sécheresse, pas assez de certitudes, trop de promesses, pas assez de sexe, trop d’exilés…

Etc… On peut en faire des tonnes, comme ça !

 

« Je n’ignore rien non plus des souffrances de beaucoup d’entre vous à finir les fins de mois, à assurer l’éducation de vos enfants, à trouver un logement. Je sais que des Français se sentent oubliés, abandonnés quand ils ne sont pas relégués. »

Trahis, ce serait plus juste…

 

« Ce message, il m’est adressé personnellement. Je dois y répondre. Avec sincérité. Avec la conviction intime que je me suis forgée depuis 22 mois, comme Président de la République. »

Tu n’es pas né il y a 22 mois que je sache…

 

« Je vous le confirme ici : le redressement du pays est indispensable. Celui de notre appareil productif. Celui de nos comptes publics. Celui de notre influence en Europe et dans le monde. »

Parolé, parole, parolé, toujours des mots…

 

« Je l’ai donc décidé dès mon arrivée à la tête de l’État, et sans cet effort national, la France aurait continué à décrocher. »

Elle l’a fait malgré toi et à même accéléré sa chute depuis ton arrivée…

 

« Le gouvernement de « J’y-Aime Air-Eau » s’est consacré avec courage et abnégation à cette tâche difficile. Il a réussi à rétablir la situation très dégradée dont nous avons hérité. Il a engagé des réformes qui feront honneur à celles et ceux qui les ont proposées et votées. Je veux lui exprimer ma reconnaissance. »

Hélas, il laisse un pays encore plus détruit qu’il ne l’a trouvé…

 

« Il est temps aujourd’hui d’ouvrir une nouvelle étape. »

Aïe ! On persiste dans l’entreprise de démolition ?

 

« Et j’ai donc confié à « Menuet-Valse » la mission de conduire le gouvernement de la France.

Ce sera une équipe resserrée, cohérente et soudée. Un gouvernement de combat pour atteindre trois objectifs. »

Tout ce qu’on peut redouter…

 

« D’abord, redonner de la force à notre économie. C’est indispensable ! Ce sont les entreprises qui créent les emplois et nous devons tout faire pour qu’elles y parviennent. Car la première des injustices, c’est le chômage. C’est le sens du « pacte de responsabilité ». Moins de charges sur les entreprises, en particulier sur les bas salaires et, en contrepartie, plus d’embauches et plus d’investissement. C’est un acte de confiance pour tous les acteurs économiques et les partenaires sociaux. Voilà l’enjeu. Il est décisif pour l’avenir de notre pays. Produire plus et mieux, produire en France. »

Et c’est au bout de 22 mois qu’il s’en rend enfin compte ?

 

« Produire différemment, aussi. C’est l’exigence de la transition énergétique pour préparer la France de demain, à être moins dépendante du pétrole comme du tout nucléaire. À prendre de l’avance sur les industries vertes. »

Déjà les industries tout court, ça serait bénéfique !

Et puis tu fais quoi sans nucléaire et sans pétrole ? Tu en reviens à la bougie et à la gratuité des autoroutes pour les roulottes à cheval ?

 

« Ensuite, la justice sociale.

Au Pacte de responsabilité, doit correspondre un pacte de solidarité dont le premier pilier est l’éducation, et la formation de la jeunesse ; le second, c’est la sécurité sociale avec la priorité donnée à la Santé ; et le troisième, c’est le pouvoir d’achat avec une réduction des impôts des Français et une baisse des cotisations payées par les salariés. »

Objectifs mécaniquement incompatibles, hélas : Il faudra faire des choix !

 

« Pour y parvenir, le gouvernement aura à mettre en œuvre le programme d’économies budgétaires que j’ai annoncé. »

Si c’est pour persister à faire la même chose qu’avant, là, on est vraiment très mal…

 

« Il ne s’agit pas de faire des économies pour faire des économies. Il ne peut être question de fragiliser la croissance qui repart. Il s’agit de transformer notre État. Il s’agit de réformer l’organisation de nos territoires. Il s’agit de préserver notre modèle social. Bref, d’être plus juste et plus efficace. »

Et ça en passe par devenir « capitaliste » : Faire plus et mieux avec moins !

Autrement dit « le progrès » auquel tu tournes le dos depuis ton adhésion au PS, il y a si longtemps de ça.

 

« Le gouvernement aura aussi à convaincre l’Europe que cette contribution de la France à la compétitivité et à la croissance doit être prise en compte dans le respect de ses engagements. Car renforcer l’économie française, c’est la meilleure façon de réorienter l’Europe. »

Il est temps de s’ouvrir l’esprit et l’intellect aux réalités de ce bas-monde…

 

« Enfin, je veux terminer par un message d’apaisement et de rassemblement. La France souffre de ses divisions. Elle connaît une crise civique, et même morale. Elle subit une contestation de ses institutions y compris de sa Justice. Elle perd son énergie dans de vaines querelles. Elle cultive une angoisse que les extrêmes utilisent pour attiser les haines et les rejets. La République est notre bien commun. Je ne laisserai aucune de ses valeurs être abîmée ou froissée, où que ce soit sur le territoire national. Aucune forme d’exclusion, de stigmatisation, pas plus que de communautarisme, ne sera tolérée. »

Jusque-là, tu as fait tout le contraire…

Alors … « demi-tour-droâte » ?

Es-tu le mieux placé ?

 

« Le dialogue et le respect sont plus que jamais la meilleure méthode pour réunir les Français et leurs représentants. C’est la mienne.

Je suis et resterai fidèle à mes engagements. Je n’oublie pas qui m’a fait confiance, qui m’a élu, ni pourquoi. »

Ils ne sont plus là…

Et si tu ne changes rien à toi-même, tu finiras au mieux « démissionné »…

Au pire, je n’ose l’imaginer, même si on y va finalement à vive allure.

 

« Les choix que j’ai fait depuis deux ans ont été difficiles au regard de la gravité de la situation qui m’a été laissée. Je le savais et j’en assume la totale responsabilité. Mais, mon devoir, c’est de savoir dépasser les résultats immédiats pour inscrire mon action dans le destin d’un grand pays comme le nôtre. C’est de faire preuve d’audace dans les choix et de constance dans le cap. »

Voilà, voilà : Il reste « constant » avec lui-même après avoir dit le contraire : Magnifique !

 

« Car, je n’ai qu’un seul objectif, la réussite de la France et des Français.

C’est ma mission, je l’assumerai sans faille.

Vive la République !

Vive la France ! »

Et elle te le rendra bien le jour des comptes…

 

Bel exercice de pirouettes !

Vous avez aimé ?

 

Il n’empêche, vous aurez constaté qu’ils se sont tous défilés au moment des choix…

« Fafa-l’empoisonneur » a « déjà donné ».

« Tonton Yoyo » pédale sur son vélo rue du regard sous l’œil consterné de son chauffeur et de son garde-de-son-corps.

« Titine-Eau-Brie » le déteste trop de l’avoir cocufiée sans même lui avoir mis la main au panier.

« D’jack-Langue » s’est fait oublier sciemment…

« Pas-quale-l’a-mis » n’en veut surtout pas.

« Ségololo » est jugée inapte… Et ce serait scène de ménage tous les jours et pas seulement les mercredis en Conseil des ministres.

« Barre-to-alone » ferait de l'ombre.

« Monte-et-bourre-la », jugé contre-productif…

« Le Riant » est bien là où il est, il garde les frontières et calme les casernes, il ne délogera pas. D'ailleurs, le mieux c'est qu'il soit ministre d'un grand ministère de la sécurité interieure et extérieure !

« Moscou-vicié » est déjà éreinté. « Case-nova », tout autant.

« T’oubliera » ment sur ses diplômes.

« Nini-la-Brique » trouve la bouffe dégueulasse à l’Élysée, alors Matignon, c’est forcément pire.

« Benne-Gui-gui » triche avec sa déclaration de patrimoine.

« Déesse-khâ » organise sa succession au Luxembourg à l’abri du fisc avec sa fillette.

Quant aux autres, les filles sont trop jeunes et trop inexpérimentées pour affronter les députés furax et les « minets » ne tiennent pas à se faire châtrer par les mêmes !

C'est dire si la situation est jugée catastrophique !

Il n’y avait bien que « J’y-elfe-Coopé » qui s’y serait bien vu, en avance sur son calendrier personnel, finalement, assez cinglé pour le faire.

 

Du coup, il n’y avait que « Menuet-Valse », l'autre cinglé disponible pour y croire encore, d'assez présentable pour tenter sa chance, lui qui fait valser les contredanses des potesses de sa meuf, déloge les SDF de son trottoir (il paraît que ça fait sale et que ça pue…), et va régler leurs comptes à tout le monde en commençant par les pompiers de l’Isère.

Quoique… à ce jeu-là, il ne va pas durer autant que « Roro-Car ».

 

Et moi, je m’amuse, je m’amuse : L’été va être pourri après un printemps dense en surprises.

Vous les avez voulus, vous les avez eus.

Question idiote : Quand donc l’électeur de ce pays (que j’aime tant…) se montrera-t-il un jour raisonnable ?

Je désespère…

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 05:04

« Menuet-Valse » succède à « Air-Eau »

 

Et ce n’est pas un poisson d’avril ! Quoique…

« François III » lui a demandé de former un nouveau gouvernement hier qui devrait être « resserré » … et même épuré de quelques écolos-délirants !

On va en savoir un peu plus dans la journée…

 

Faut dire qu’au lendemain de la cuisante défaite de la gauche aux élections municipales, il fallait faire sauter « le fusible ».

Alors « Air-Eau » s’est présenté hier à l’échafaud et a présenté dans l’après-midi sa démission et celle de son gouvernement.

Sera-ce suffisant pour limiter les dégâts le 25 mai, à l’occasion des européennes ?

 

Un chef de l'État, très impopulaire, sous pression ces dernières semaines jusque dans son propre camp décimé pour changer de gouvernement et de politique.

Pour les « soces », la débâcle est en effet sans précédent et on y reviendra : 151 villes de plus de 10.000 habitants perdues ; basculement à droite de métropoles de plus de 100.000 habitants, comme Toulouse, Reims, Saint-Etienne, Angers ou Amiens ; chute de bastions historiques, comme Limoges…

On en passe et des meilleures !

 

Il faut dire qu’ils l’ont cherché : Hausse des déficits publics en 2013 = + 4,3 % au lieu de 3,6 comme promis « craché-juré ».

Du coup, déficits publics = 93,5 % du PIB.

Chômage = plus de 6.000.000 toutes catégories confondues, en hausse vertigineuse !

Imposition supplémentaire > à 50 milliards sur deux ans.

Économie sur le train de vie des fonctions publiques = même pas un euro à euro constant…

Ça fait beaucoup de pilules à avaler à la fois !

Échec sur toutes les lignes.

Pas mal, la trisomie-appliquée…

 

Mais alors le plus drôle, l’homme de la synthèse, pas pressé pour un sou, il se laisse tout d’un coup faire dans la précipitation par les sondages : 74 % de gaulois plébiscite « Menuet-Valse », la danse-multi-temps.

Alors quoi de mieux pour le griller que de l’envoyer au feu et en première ligne ?

On se souvient comment « Roro-Car » s’est fait laminer par « Mythe-errant » à ce jeu-là…

L’Histoire ne repasse pas les plats, mais décidément, elle bégaye, manifestement !

 

Que peut donc améliorer le nouveau-venu ?

Parce qu’il faut se souvenir, du comment il a traité la « Manif’ pour tous » avec poussette en première ligne… et pendant plusieurs mois !

En revanche, il s’est fait complétement dépasser par celle de « jour de colère », ridiculisé par les « bonnets-rouges » qui ont pu saccager les portiques de péage de la « taxe-poids-lourd » en toute quiétude.

Même les pompiers de l’Isère lui refusent la poignée de main.

Et puis je l’ai dit à ma « Môman-personnelle à moi-même », il reste un « mal-élevé », même s’il est policé et propre sur lui : C’était à propos de l’insulte faite à la représentation élue, jusque sous les ors de l’hémicycle du Palais des Bourbons.

En fait, ce jour-là, il a oublié ce que voulait dire de servir la « Gauloisie-républicaine » : « Honneur & Patrie »

Des patries, il en a eu plusieurs, l’honneur, je me pose encore la question…

Passons, passons !

 

Mais vous vous souviendrez aussi de la tempête politique déclenchée par la reconduite à la frontière d'une collégienne kosovare, le 9 octobre dans le Doubs.

Qui illustre bien les difficultés dans le constant exercice d'équilibrisme entre « humanité » réputée une valeur de la seule « Gôche de progrès » et les exigences de la « fermeté » de l’ordre républicain qu'il a choisi de pratiquer en matière de politique d'immigration depuis son arrivée place Beauvau.

Après avoir été annoncé pour l'été 2013, le projet de loi immigration ne sera examiné qu'en 2014 – peut-être, peut-être seulement après les élections municipales de mars ou … plus tard.

En attendant, il a multiplié les annonces et les circulaires pour ajuster la politique définie par les gouvernements précédents.

 

Le 28 juin 2012, le nouveau ministre de l'intérieur estimait que « la politique de « Bling-bling » a été marquée par des coups de menton et par l'idée que l'immigré était responsable des problèmes ».

Du n’importe quoi, naturellement, mais il n’a pas fait mieux.

Parallèlement, il annonçait qu'il « n'y (aurait) pas de régularisation massive des sans-papiers » car pour lui, « être de gauche, ce n'est pas régulariser tout le monde et se retrouver dans une impasse ».

Tout le programme du ministre en matière d'immigration se trouvait contenu dans cette réponse en deux temps.

 

La « circulaire Gué-an » et le délit de solidarité ont été, dès son arrivée place Beauvau, en mai 2012, traités comme des symboles à détruire.

Il s'attache à « détricoter » des mesures phares mises en place par ses prédécesseurs et qui cristallisaient le mécontentement d'une partie de la gauche.

La « circulaire Gué-an » limitait les possibilités pour les étudiants étrangers ayant effectué leurs études en « Gauloisie-friquée » de travailler dans l'Hexagone à l'issue de leur cursus, est ainsi supprimée dès le 31 mai 2012, conformément aux engagements de « François III ».

En septembre, c’est l’heure de la suppression du « délit de solidarité » qui est annoncée, donnant satisfaction aux associations d'aide aux sans-papiers qui y voyaient seulement un moyen d'« intimidation » des policiers et des parquets…

Et pas du tout un délit légal…

Il annonce en juin 2012 que « tout est mis en œuvre pour mettre un terme » au placement en rétention des familles avec enfants, qui « ne se fera plus que pour celles qui n'auront pas respecté leur assignation à résidence ou ne se seront pas présentées à l'embarquement en cas d'expulsion ».

Pour l'association Réseau éducation sans frontière (RESF), le compte n'y est pas : Onze familles, soit une trentaine d'enfants, auraient été placées en centre de rétention depuis mai 2012, « alors que « François III » avait promis qu'il n'y en aurait aucune ».

Les promesses ne tiennent que ceux qui y croient, comme toujours !

 

Le 7 décembre, le ministre de l'intérieur annonce la fin de l'aide au retour offerte aux Roms qui acceptaient de rentrer dans leur pays d'origine.

Les sommes allouées à ce dispositif, jugé « inopérant », sont transférées à destination de projets d'insertion en Roumanie ou en Bulgarie.

La disparition de ce dispositif d'aide au retour devrait probablement entraîner une baisse du nombre d'expulsions en 2013.

En 2012, 36.822 personnes en situation irrégulière avaient été reconduites à la frontière. Le 8 octobre, le ministère de l'intérieur annonce que le nombre total d'éloignements d'étrangers en situation irrégulière au 31 août 2013 est de 18.126.

Une « forte baisse anticipée » et « assumée » par le gouvernement, les retours aidés ayant contribué à « gonfler artificiellement les statistiques de l'éloignement » nous en a-t-on dit.

« Le chiffre des éloignements contraints devrait se maintenir en 2013 au niveau enregistré en 2012 », assurait la place Beauvau. Quant au nombre total de filières d'immigration clandestine démantelées en 2013, il « devrait atteindre un record historique ».

On attend de voir…

 

Il se montre plus réservé sur l'utilisation d'objectifs chiffrés de reconduites à la frontière, comme le faisaient ses prédécesseurs.

« Je ne jugerai pas l'action des préfets sur la base du nombre de reconduites exécutées », déclare-t-il en juin 2012. « Cela a trop pesé sur le travail du corps préfectoral. Ça ne veut pas dire qu'il faut casser le thermomètre, mais cela fera l'objet d'un travail d'évaluation dépassionné. »

 

Le 25 juillet 2013, il annonce qu'il reviendra sur « les critères de naturalisation introduits subrepticement par (son) prédécesseur », qui avait durci les conditions d'accès à la nationalité tricolore.

La loi prévoyait que le candidat à la naturalisation devait acquérir un niveau de langue équivalent à celui d'un élève de 3ème, démontrer une connaissance de la culture et de l'histoire du pays et signer une charte « des droits et des devoirs du citoyen ».

Elle ne sera finalement pas appliquée : On accueille toujours plus d’analphabètes… Ils se noient dans le paysage local.

 

Le 21 mars, une circulaire est adressée à l'ensemble des consulats pour leur demander davantage de souplesse dans l'analyse des dossiers, en particulier ceux des hommes d'affaires, des scientifiques et des artistes.

On cherche du fric, vous rappelle-je !

 

Au risque de heurter une partie de son camp, c'est sur la question des Roms qu'il marque le plus fortement sa volonté de fermeté : « Les Roms ont vocation à rester en Roumanie ou à y retourner », déclare-t-il le 14 mars 2013, ajoutant que « plus que jamais, ces démantèlements (de camps de Roms) sont nécessaires et se poursuivront ».

Surtout quand ils brûlent…

La circulaire interministérielle publiée le 29 août 2012 donnait bien un cadre relativement précis aux préfets sur la façon dont les campements illégaux devaient désormais être démantelés, mais les expulsions se sont poursuivies au même rythme que sous « Bling-bling ».

Au premier semestre 2013, 10.174 migrants roms « ont été chassés des squats et bidonvilles », soit « un nombre jamais atteint depuis le début des recensements en 2010 », dénonce l'ONG Amnesty International en septembre 2013.

 

Et vous voulez que j’applaudisse ces résultats-là ?

Encore, on ne parle pas d’insécurité, où pour masquer la réalité de l’inflation des délits, il dénonce les « chiffres truqués » de ses prédécesseurs.

En revanche, il pérore à Ajacciu pour expliquer aux autochtones qu’avec lui, les « natios » et « mafieux », ils ont intérêt à faire leurs valises !

« La valise ou le cercueil », n’est-ce pas ?

Un « hit-top » local, jusque-là…

 

En somme, un « politique » assez détestable. Mais c’est aussi le poste qui veut ça.

On le dit « libéral » ! Excusez du peu, mais ça n’existe pas en « socialie-trisomique ».

Et pourtant, tout le monde veut croire qu’il va sauver la peau de « François III », alors que ce dernier vient en fait de tendre le cou à la corde qui va le pendre.

Décidément, chez les « autistes », les choses se précipitent.

Parce que celui-là, je ne lui donne même pas jusqu’à la fin de l’année pour vous faire caguer un maximum que vous ne pourrez même plus le voir en photo.

Faut dire que comme « beau-gosse », celui qui fait sauter les contraventions des amies de sa belle du moment et mobilise les services de la police scientifique pour retrouver le sac égaré de la mère de ses gosses (une « ex »), il y a mieux.

 

Tant pis pour le pays, hein : Vous avez voté pour ça deux fois !

Une fois « Pour » et dimanche dernier pour dire « Stop ».

Alors c’est comme s’ils « avaient bien reçu le message », n’est-ce pas : Ils accélèrent !

De mon côté, je l’attends sur la préparation budgétaire 2015 et ses lois de finances : Je vous promets de sacrés dégâts !

 

Bonne journée quand même…

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