« Nous arrivions au bord d’un immense précipice, c’est alors que nous avons fait un grand bond en avant ! »
C’est un peu ce qui arrive une nouvelle fois à ce blog : La troisième !
On m’avait bien dit, « Jamais deux sans trois ! ». C’est fait.
Si c’est nettement moins menaçant que les deux fois précédentes (je ne compte même pas l’histoire arrivée au précédent blog, dans le lot : Là, il était question de se « frotter » à la cohorte des juristes du groupe TOTAL…), j’ai donc appris à vivre avec depuis.
Bon, il est vrai qu’entre mai 2010, où « trahi » par « l’Ami-râle » qui avait cru bon de dévoiler mes futurs posts d’août 2010 à une kyrielle « d’obscures », je me suis retrouvé avec un « service qui n’existe pas » planqué dans une camionnette immatriculée en Pologne, dotée d’une bardée d’antennes aux dimensions diverses, carrément garée sur un trottoir à proximité de mes bureaux parigots, sans que celle-ci ne prenne le moindre PV sur le pare-brise durant plusieurs semaines, alors même que mes « perruches-locales » ont la main plutôt leste en la matière, que j’en ai fui loin, loin, loin en peu de temps !
Évidemment, lesdits services, ou d’autres, m’ont finalement repéré en Polynésie.
On a gentiment fait savoir à mon « Momo » national (qui vit sur place depuis son accident cardiaque en compagnie d’une jolie-demoiselle-infirmière-et-autre-activité, d’origine locale), que j’avais l’imagination trop fertile et mal placée : On me « protégeait » en haut-lieu.
Ces posts-là devaient sortir…
Comme « instrumentalisés », finalement, après lecture et dépiautage, imagine-je.
Je suis donc rentré pour les mettre en ligne : « L’Ami-râle » en témoignera peut-être, mais fin juillet dernier, ces posts une fois mis en ligne pour le mois d’août, ont déclenché une vive activité des « robots internetiques » au point que le blog était devenu inaccessible, même pour son « administrateur », que je reste, pendant au moins 24 heures !
Je vous assure que je n’ai pas dormi chez moi ce soir-là et que je suis passé refaire le plein de « cartouches de 12 » chez mon marchand habituel (un « cousin ») et en vitesse.
Et puis c’est revenu.
Et puis j’ai pris la route des vacances les fesses bien serrées, les mains cramponnées au guidon, le regard virevoltant dans les rétroviseurs : Je ne les avais jamais autant usés.
Y’a bien eu ce « sabotage » impromptu d’une des pièces mobiles de mon « tas de boue à roulette », qui normalement aurait dû me faire perdre son contrôle à vive allure.
Par bonheur, j’avais déjà le pied sur le frein quand c’est arrivé et j’ai évité le pire grâce au frein-à-main : Un réflexe quasi-inné.
Quand votre voiture devient tout d’un coup « sous-vireuse »… le frein-à-main lui fait reprendre sa trajectoire initiale en jouant un peu avec le « guidon » de l’autre main !
C’est un peu brutal, ça sent la gomme surchauffée, ça « fume », mais c’est salvateur sur le moment.
Et j’ai pu, cahin-caha, me réfugier dans mes montagnes Corses.
Pour avoir « quelques assurances » à pouvoir rentrer sans dégâts par la suite.
Je suis donc revenu, un peu moins inquiet.
Là, on entre, grâce à l’ami « Liberté-chérie » (je change son nom à sa demande, ex-post) toujours hors-sujet, dans une autre tourmente qui s’est traduite par un courriel arrivé via le blog. La vie des délateurs-nés, quand ils n’y sont pas obligés par une prompte application du Code de procédure pénale et leur état de « fonctionnaire » cumulés, je ne comprendrais jamais, mais c’est comme ça.
Passons, c’est d’une autre époque, paraît-il révolue…
Mais il faut savoir que même le Code général des impôts organise encore des « commissions locales » de délation dans chaque commune…
Comme quoi, comme quoi, c’est bien une seconde nature assez courante.
Son auteur m’interdit de le citer sous peine des pires déboires judiciaires à venir et d’une saturation du blog jusqu’à l’étouffement (j’en sais tous les dégâts, mon « Conseiller très spécial », Jacques Heurtault en a été victime à une époque reculée : Depuis, il se tait et contrôle jusqu’à la place de la moindre virgule de chacun).
Bref, vous ne saurez pas, ni qui, ni quoi : Pas du tout envie de faire face à des « grincheux » anonymes-révélés qui se planquent derrière des groupes de pression « d’alternoiement » fort actif et nombreux.
Brassens nous le chantait déjà : « les gens n’aiment pas que l’on suive une autre route qu’eux », et ça se vérifie encore tous les jours.
J’aurai pu répondre : « Mon bon Maître, vos désirs vénérés sont des réalités !
Il n’est pas question que mon minuscule et unique neurone, tourné pour l’essentiel vers le sexe réputé faible qu’il qualifie de « si beau », puisse envisager de faire de l’ombre à la lumière si puissante du phare que vous êtes, éclairant l’Humanité des sublimes vérités éternelles qui illumine de votre nom son avenir irrémédiable.
Même par quelques ragots hors de propos…
J’obtempère, j’obtempère, bien volontiers ! »
Vous priant mille et une fois de bien vouloir m’excuser de ces quelques outrecuidances déplacées, mises en ligne sous forme de ragots nécessairement absurdes, etc, etc.
« Veuillez croire à la sincérité de mon insondable repentir, votre immensément dévoué… » etc, etc.
Je n’ai pas rajouté qu’à ce jeu-là, ce n’est pas moi qui ait commencé : Les écrits en attestent.
En 1988, je n’existais même pas sur la toile ni encore moins dans les bouquins : Je ne « butinais » qu’un maximum, matin, midi, soir et à nocturne et c’était déjà pas mal !
Et on m’appelait déjà le « six-coups de la rive-gôche » : On a seulement les occupations que l’on mérite, finalement…
Première mesure : La censure ! Eh oui…
Certes, elle est patente et toujours en marche (le fameux « précipice » cité en sous-titre de ce post), alors plongeons-y avec allégresse !
Mode « modéré » dans les commentaires… depuis désormais et jusqu’à dorénavant.
Désolé de vous (et nous) « punir » ainsi (je sais, j’en ai horreur moi-même !), mais ce n’est plus de mon fait : Car il vaut mieux étouffer un début d’incendie que de se battre contre un grand feu bien nourri !
Idem quand il s’agit d’une voie d’eau sur un navire (même s’il est sans doute trop tard pour la « Gauloisie Galère »…) !
C’est juste une question de « bon sens ».
Naturellement, « Liberté-chérie » (je change son nom à sa demande, ex-post) et tes autres avatars (filentrop, dupont et quelques autres à venir ou déjà dépassés), même pas la peine d’essayer !
J’ai les moyens de les reconnaître.
Ce qui me navre profondément… Soyez-en sûrs !
D’autant, « Liberté-chérie » (je change son nom à sa demande, ex-post) que je reste persuadé que tu tiens un « truc », que si tu avais quelques ambitions de faire œuvre d’originalité en réfléchissant par toi-même, au lieu que de ne répéter, incessamment et comme un perroquet, que les dires d’autrui et questionnement délirant d’autrui, sans même parfois les comprendre, me semble-t-il…
Enfin… Passons !
Dans un autre univers, peut-être…
Même si c’est encore plus navrant pour tous les autres, bien sûr.
Deuxième mesure, les commentaires de « Liberté-chérie » (je change son nom à sa demande, ex-post) et nos échanges vont disparaître : Pas question de donner de la matière à procès « auxdits grincheux ».
Pour ceux qui auront eu le bonheur de les lire « avant », ils comprendront mieux les causes de ce post et l’origine des « patents des vérités absolues » dont il s’agit.
En même temps que les méthodes tout-à-fait avancées desdits, futurs « maîtres-du-monde » dont ils pensent encore pouvoir faire partie…
Non pas que je craigne de MA Justice nationale, mais je n’ai pas de temps à consacrer aux délires des égos d’autrui : J’en ai eu plus que mon compte, dans mes activités professionnelles, cette année, croyez-moi !
C’est chronophage au possible et moi je ne fais de pub pour aucun bouquin à vendre pour m’assurer des rentes pour mes vieux jours : La preuve, même le roman de l’été prochain (et celui de l’année dernière), il n’est pas à vendre, même si le « pote d’un pote » est venu à Pâques jusqu’à ma Kapitale depuis sa Californie pour me proposer d’acheter les droits filmographiques.
J’ai refusé, pensez-donc : Le dollar, ce n’est pas une valeur refuge, dans mon esprit.
Et puis je n’avais pas terminé le suivant…
Et comme la loi Hadopi (la I ou la II, je ne sais plus) laisse un mois à la plateforme pour faire le ménage et au moins autant pour le titulaire des pages (et commentaires) des posts en ligne pour se conformer à toutes les « premières demandes », je m’en occupe rapidement.
Pas la peine, « aux grincheux » d’envoyer LR avec AR ou autre mise en demeure, je me plie volontiers à la règle commune et avec une joie non feinte.
Troisième mesure : Je bloque tous les commentaires des posts passés !
Ça va prendre un peu de temps pour remonter jusqu’à décembre 2006 (plus de 1.500 à se tamponner la manœuvre), mais c’est promis, je le ferai.
Tant pis si une fois de plus, ça nuit au dialogue et à l’expression des opinions… même contraires.
Je me navre moi-même, là, moi qui ai une sainte horreur du masochisme appliqué.
C’est la conséquence du prix à payer, réclamé par les « Grincheux » et autres vils délateurs.
Quatrième mesure envisagée (envisagée seulement) : Supprimer les news aux « abonnés ». Fort nombreux et fidèles.
En fait j’hésite sur ce dernier point, parce qu’ils participent tous à la diffusion et l’écoute dudit blog (et de mes délires…)
Supprimer l’adresse du Vichyste potentiel-révélé, naturellement.
Même s’il niera toute connivence avec quiconque, bien sûr : « Il fallait un coupable, il a été désigné « volontaire d’office » !
Bref, j’hésite pour tous les autres…
Et cinquième mesure : Dès dimanche, je marque « la pause »… Vous n’êtes pas tous en vacances (vus les scores d’audience), mais tout de même…
Je comptais de toute façon « alléger » le rythme des mises en ligne (vus mes retards accumulés par ailleurs).
Mais l’actualité a été tellement débridée et dense ces derniers temps, que je n’ai pas vraiment pu.
Tenez, la Terre a tremblé en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » hier soir et fort pour une fois : 5,3 sur l’échelle de Richter.
Elle réclame ma présence, la « Terra Corsa », pour l’apaiser…
Ou un danger plus grand, je ne sais pas encore.
Pas eu le temps d’en faire un post en attendant les répliques et le tsunami potentiel…
Je vous avais pourtant prévenu que ça tremblerait. Mais pas là où elle l’a fait !
Un coup de semonce de plus…
Et puis ce silence à s’imposer, c’est peut-être, une mesure salvatrice : On vient, par exemple et tout juste, d’apprendre que la BCE augmentait ses taux directeurs alors que la FED pourrait les baisser…
Quelle signification donner à cette divergence antagoniste ?
Bien sûr, le chômage peut prospérer aux USA et l’inflation gagner les foyers (+ 4 % anticipés dans un premier temps, vue la façon dont on a comblé les trous avec les « QE » depuis deux ans.)
Bien sûr elle gagne l’Europe (vous noterez l’augmentation mécanique du SMIC au 1er août prochain, celui du taux d’intérêt des Caisses d’épargne, la flambée des prix publics, passés et à venir).
Mais pourquoi deux réponses si antinomiques alors que ces banques centrales se sont nécessairement concertées ?
Elle participe manifestement à des « anticipations » qui sont déjà décrites dans mes posts récents : Ai-je à y revenir, finalement, si même les directeurs des banques centrales se laissent guider par mes « petites analyses » poussives ?
Ce serait bien le comble de l’absurde, non ?
Sujet de philosophie d’un baccalauréat ancien : « Pourquoi le sage se tait-il ? »
Bref, je n’en dis pas plus : Remercions ensemble et vivement « Liberté-chérie » (je change son nom à sa demande, ex-post) pour ses interventions intempestives et néfastes, jeté ainsi en pâture, peut-être à tort… nous ne le saurons jamais.
Grâce à lui, nous entrons dans une ère nouvelle, me semble-t-il.
À qui le tour désormais puisqu’on me force à devenir aussi « kon » ?
Bien à toutes et tous.
I-Cube.