De « l’Ordre du Tartuffe »,
S’inquiète de la grande et apparente inertie de l’Association, ci-dessus dénommée, dont votre correspond est encore le « Délégué général » attitré.
Il est vrai que notre dernière Assemblée générale, convoquée le 26 juin 2010, devant approuver les comptes et rapports d’activité ne s’est pas tenue, faute de quorum : l’actualité était chaude, nous étions tous « surbookés » à l’approche de la fin du premier semestre de l’année ;
Elle a été reportée le 24 juillet suivant, entre deux verres de bière bien fraîche (ça mousse sévère quand vous y rajoutez quelques glaçons : souvenez-vous, ce n’était pas encore « canicule » et ni redressement du régime vieillesse à grands coups de « chaud sur les vieux ») et on s’inquiétait, les uns et les autres des « petites affaires » de « Lili et ses copains » en se posant déjà la question de savoir quand et qui se ferait virer du Conseil des ministres.
Quand, nous y sommes toujours.
Qui, à peu près tout le monde sauf :
– « Cricri La-garde-meurt-mais-ne-se-rend-pas » ; c’est une quasi-certitude : Mauvaise sous le « Chi » au commerce extérieure, elle est quasiment nulle aux finances sous « Bling-bling », pour avoir laissé creuser les « découverts » publics.
Alors bien sûr, celle-là, on la gardera car c’est dans « le plan » qui l’a poussée de chez les « juristes » de l’école de Chicago – dont elle est issue et qu’elle a même dirigé – que de pousser à la faillite de l’Europe et de l’Euro, envers et contre tout, afin de maintenir la suprématie mondiale du dollar.
Pas là pour rien ni par hasard, celle-là : elle devrait même « monter en grade », si c’est encore possible, ayant en trois ans quasiment doublé l’endettement par tête de pipe !
De quoi réjouir Washington, les anglo-saxons d’une façon générale, le groupe Bilberg et d’une façon plus globale, les « sionistes opératifs » (qui redoutent la toute puissance de l’Opep) : avec une Europe atone et un « super dollar », tout peut encore être « manipulé » à bon escient partout dans le monde…
– « Bord-l’eau » le cheveu en pétard ; c’est une évidence : il apporte ce petit « plus » déjanté venant, et ça ne gâche rien, du « centre-mou » qui font la gloire de ces « inexistants-politiques » de pouvoir faire la différence dans les urnes avec une tout petite poignée d’électeurs fidèles.
Et puis il a su se montrer reconnaissant en coulisse en épargnant la faillite définitive à « d’autres potes centriste », même proclamé de « gôche », comme notre « bon Nanar » à l’honneur qui vaudra toujours plus que la vie de ces tous les smicards que ce dernier aura licencié : on n’est pas « faux-kuls », chez les centristes de tous horizons, pour rien !
Le financement des futurs campagnes politiques est assuré en douce, n’en doutons pas !
D’ailleurs, « Nanar le flamboyant de l’argent des autres », il œuvre tranquillement pour remettre une « usine à cash » en place et état de fonctionnement : ça peut toujours être utile.
Je rappelle comment on fait (ce que n’ont pas compris la plupart des dirigeants de parti, pas même l’ex-trésorier de l’UMP) : on ne sollicite plus de « généreux donateurs ». C’est indécent !
On emprunte. À travers une multitude de « formations-personnelles » d’élus.
Si on gagne, on rembourse avec les subsides de l’État.
Si on perd, on dissout la structure et on ne restitue plus rien.
Naturellement, on recommence avec une structure « bis » dès le lendemain…
Les autres, tous les autres, c’est plus ou moins incertain.
Et c’est justement là que notre « Sage parmi les sages » réunis au « Haut comité des sages » de « l’Ordre du Tartuffe », nous fait remarquer que « Wouarf-à-tes-souhaits », qui nous a chanté sur tous les octaves son assurance à ne pas avoir à démissionner, pour finalement démissionner de ses fonctions de Trésorier du parti des « blings-blings dans leur tête », aurait ainsi manifesté son violent et intense désir d’être honoré par « l’Ordre du Tartuffe », au moins au premier grade des chevaliers.
En qualité de « Délégué Général », je ne peux que soumettre cette candidature au « Haut Comité des Sages » : à eux d’en décider.
Le même propose à peu près à tous les membres du gouvernement comme candidat potentiel à un grade quelconque.
« Yama-qu’à-déradé » pour ses frasques Sud-Africaine. « Kouche-nerf » pour son insistance à s’épuiser à ne rien faire. « Barre-ointe » pour sa façon d’enterrer les dossiers. « Dévide-gens » pour son silence honteux sur sa grande réussite de la relance. « Mama la justicière » pour sa façon de dire n’importe quoi et son contraire. « Ducastel » pour sa réforme du second cycle auquel personne ne comprend rien, pas même les profs. « Mort-rein » pour son absence d’envergure (normal : encore un « centriste mou »). « Bâche-l’eau » pour ses soins apportés à la lutte contre la pandémie de grippe du « konnard » (cochon-canard). « Freddie Mythe-errant » pour les coupes-sombres dans les budgets des théâtres qui ne lui plaisent pas. « Beau-quel » pour la fermer après avoir retourné sa veste. « Kirsch » pour l’avoir fermé « in » et l’ouvrir « out ». Idem pour « Bout-thym ». « Radada Mimi » pour twitter n’importe quoi depuis Strasbourg. « Brice Boutefeu » qui a pris le relais de « l’Orfèvre » en communication et nous balance de l’exclusion avec rapatriement obligé, non pas en réaction à quelques faits divers, mais bien préparés à l’avance.
Etc, etc.
Une vraie charge anti-gouvernementale !
Quant à notre « Ô combien vénéré Président », naturellement, il tient le pompon pour une longue liste de reproches justifiant une élévation à un grade supérieur.
Je rappelle à l’occasion, que « l’Ordre du Tartuffe » est totalement apolitique. Ni de droite, ni de gauche, ni du centre, ni d’ailleurs, d’ailleurs.
Il n’a pas à fonder ses décisions sur des convictions politiques : Ne sont distingués par l’Ordre, que des personnages qui disent une chose et font le contraire (ou vice-versa).
« Riton à tes souhaits » est excellent dans ce rôle.
Et il en est un autre que je transmettrai : Le cas de « Baissons » !
Preuve par l’image qui n’avait échappée (mais je transmets).
Voilà un type extraordinaire, qui non seulement « intègre », mais n’est pas au courant d’une circulaire « anti-Roms », celle du 5 août dernier, alors même qu’un membre de son cabinet participe aux travaux d’élaboration.
Bon, qu’il retourne sa veste une première fois dans sa carrière, admettons : « Ségololo » avait dû lui faire savoir qu’il n’était pas son type d’homme.
On peut comprendre : je suppute qu’elle a mauvais goût en la matière !
Qu’il ait des « trous de mémoire » à en dénéguer son ministre de tutelle, quand on sait qu’il est en pleine phase « d’amour fou » avec sa nouvelle épouse, on peut admettre.
Qu’il ait poussé, par amour ou calcul politique, à s’assumer « converti à l’islam », même si c’est faux, juste pour épouser sa seconde moitié, j’avoue que le geste est à son honneur.
Encore qu’on peut se demander s’il a des convictions religieuses suffisamment fortes pour aller jusqu’à se faire circonscrire… à moins qu’il ne l’ait été déjà auparavant ! Mais bon, je trouve ça beau : Pour « être Papiste », je ne me convertirai à rien, pour être revenu de tout en ce domaine de la morale basique !
Qu’il ait le culot de transformer ses gardes-du-corps en porte-bagages pour franchir sans les contrôles idoines les portes aéroportuaires, passe encore.
À condition de reconnaître que tout le monde n’est pas égal devant les « privilèges de fonctions », même payés et offerts de bon cœur par la Nation et ses kontribuables.
Notons que nenni : il assure avoir payé ses billets « classe éco » sur ses deniers personnels, lui qui se plaint de n’avoir pas le sou. Enfin, un ministre de la vraie gauche qui voyage en classe éco, quand ses gardes du corps volent en classe affaires…
Et d’ajouter, pour sa défense que : « Seul « Air-Transe » a décidé au dernier moment, de nous surclasser, je n’y peux rien ».
Un peu court.
D’autant qu’à Capri, selon le magazine « Voici », le ministre et son épouse se sont offerts « la Villa Marina », un cinq-étoiles discret, où la nuit, par exemple pour une lune de miel, peut vous coûter au moins 1.600 euros en « pool suite » (« suite avec une piscine »).
Sans parler des restaurants, de la location d’un bateau, de l’achat d’une paire de chaussures « de la meilleure facture », précise Voici, « dans la très hype (« chic ») boutique Hogan ».
Convoler avec une si jeune pouliche de la haute société bourgeoise tunissoise, justifie bien quelques sacrifices, même lorsqu’on voyage en éco.
Or, il fait exactement l’inverse dans son propos tenu quelques heures plus tard.
Trop fort le gamin ! D’autant qu’il en aurait « péter un câble »…
Je ne peux que transmettre la candidature au « Haut comité des sages ».
Nous avons prévu une réunion du Conseil d’Administration de notre « Ordre » pour une « promotion de Noël 2010 » (après avoir loupé celle de 2009 et la « Promo du 14 juillet suivant »), le 18 décembre.
De ma propre initiative, je rajouterai volontiers « Bling-bling » descendu dans un « luxueux hôtel » de New-York, la grosse pomme à l’occasion du dernier sommet onusien.
Non pas qu’il n’en ait pas eu le droit, même aux frais du « kontribuable gaulois » : ça reste attaché à sa fonction (et on aurait glosé à l’infini et partout dans le monde sur l’état des finances du pays s’il s’était contenté d’un « bed an breakfast » dans le Bronx ou à Harlem) et le joli sourire de « Miss Karla » vaut bien quelques sacrifices aussi.
Mais à la condition qu’il ne joue pas les « pingres » avec son ministre des « affaires étranges » l’accompagnant et de nous priver de « garden-party » élyséenne au 14 juillet.
D’autant qu’elle a eu lieu, mais sans journaliste ni « invité » républicain : chacun a fait la fête de son côté et je n’ai pu faire les buffets que des mairies de quartier.
C’est que j’y tiens, moi, à vérifier l’état de la pelouse et des parquets de mes futurs bureaux de fonction !
Mais bon, là encore, au « Haut comité des sages » d’en décider.
En attendant qu’ils rendent un avis autorisé, ce qui permet au « Conseil d’administration » d’attribuer ou non une nouvelle distinction à l’impétrant, vous êtes, amis lecteurs, autorisés et même encouragés, à influer sur toutes ces décisions à venir par vos commentaires et réactions.
Vous en remerciant vivement.