Selon le « Daily Mail »...
… Les hommes ne deviennent pas matures avant 43 ans !
C’est précis…
On s’en doutait un peu à relever les effets de la « crétine-attitude » de nos gouvernants qui touche parfois à « l’autisme-natif »…
Quoique nos amis d’Outre-Manche restent un peu optimistes : Chez nous, l’immaturité peut manifestement durer beaucoup plus longtemps.
Roter et péter (et en rire), jouer aux jeux vidéo, manger vite et n’importe quoi (à 2 heures du matin, de préférence), courser les autres voitures avec de la musique très forte, toujours raconter les mêmes blagues avec ses potes, rester silencieux pendant une dispute et essayer de battre un enfant aux jeux et en sport… Voici quelques-uns des « 30 signes majeurs » de l’immaturité persistante des hommes selon les femmes britanniques interrogées par des chercheurs.
La conclusion de cette étude, commandée par la chaîne de télévision « Nickelodeon UK to » pour le lancement d’un nouveau programme « Wendell & Vinnie » et citée mercredi dernier dans le « Daily Mail » est sans appel : Les hommes ne deviendraient complétement mâtures qu’à l’âge de 43 ans en moyenne, contre 32 ans seulement pour les femmes.
Mais oui, leurs dames vieillissent le plus vite !
D’ailleurs, elles en sont toutes persuadées à user de tous les artifices possibles et imaginables pour paraître plus jeune.
Jusqu’à dormir avec des emplâtres gras, dégueulasse et aux couleurs impossibles étalés sur la tronche ou à se faire tirer la caouane pour faire disparaître les rides.
Notez que le « truc » idéal, c’est encore celui de ma « petite-sœur » (celle que si elle n’existait pas il faudrait définitivement l’inventer) : Elle se vieillit systématiquement de dix ans.
Comme ça, elle a toujours droit au si réconfortant : « Qu’est-ce que tu es bien conservée pour ton âge ! »…
Mais si, même que pour être son aîné, je ne sais jamais quel âge j’ai, finalement…
Et puis comme ça change tous les ans !
Les principaux intéressés seraient d’ailleurs assez lucides sur cette situation. Selon les résultats de l’enquête, les hommes sont deux fois plus enclins à se décrire eux-mêmes comme immatures, et un homme anglais sur quatre estimant même être « activement immature ».
Yes, they can !
Plus inquiétant, 8 de leurs femmes sur 10 pensent que leurs hommes ne cessent jamais d’être puérils.
C’est sans doute assez proche de ce que nous pouvons nous-mêmes relever.
De quoi tendre la vie de couple au quotidien !
Les femmes britanniques seraient ainsi contraintes de dire à leur partenaire de se « comporter comme un adulte » plus d’une fois par mois, et au moins 14 fois par an !
Un quart ont même le sentiment d’être les seules à prendre les décisions importantes dans leur relation.
Et trois femmes sur dix ont d’ailleurs mis fin à cette relation parce qu’elles ont perdu patience.
Petit point positif : 4 personnes sur 10 estiment que l’immaturité permet de continuer à s’amuser et de conserver une certaine fraîcheur dans sa relation.
Et un tiers que ça permet de créer des liens avec les enfants.
Ça me fait penser qu’il faudrait que je termine de monter mon « train-électrique » qui prend la poussière sous le lit depuis plusieurs décennies…
Autre découverte passionnante et qui mérite de figurer en bonne place dans ce blog : Les pénis anglais en érection ont perdu en moyenne 2,29 cm en dix ans...
Ce n’est pas une blague !
Il y a des meks (ou des femmes) qui sont payés pour en faire la mesure, chez eux !
Alors que de précédentes études scientifiques avaient déjà démontré une tendance à la diminution de la taille des pénis, de nouvelles statistiques anglaises, relayées par « Gentside », viennent confirmer la tendance.
Le site de vente de préservatifs « TheyFit » a évalué, d’après sa base de données, que les tailles de préservatifs les plus commandées étaient de plus en plus petites.
Ils en ont conclu que la taille moyenne d’un pénis britannique en érection était passée de 15,4 cm en moyenne il y a dix ans à 12,95 cm aujourd’hui.
À ce rythme, dans 56 ans, il ne leur restera plus rien : Imaginez donc un monde où les clitoris des dames anglaises dépasseront en taille les pénis de leurs partenaires !
En deviendront-elles « transgenre » pour autant ?
Ces statistiques n’ont heureusement pas de valeur de recherche scientifique mais viennent appuyer de précédentes études, dont une réalisée en Italie début 2012 qui concluait à une diminution de la longueur moyenne du pénis au repos de 9,7 cm en 1948 à 8,9 cm en 2012 chez les italiens !
Coupables dénoncés (h)ardemment : Les polluants, comme les perturbateurs endocriniens, mais aussi le surpoids et l’obésité.
Pour ma part, je ne constate pas ces effets-là, à savoir que plus on s’en sert, plus ça rétrécit, comme pour les lavages-essorages successifs à forte température.
En revanche, il semblerait donc que plus « l’engin » se rapproche de la taille minimale, plus le titulaire consomme du préservatif.
C’est donc qu’il change de partenaire plus souvent pour être rapidement … insatisfaite !
Autre découverte fondamentale et récente pour l’avenir de l’espèce, mais américaine, cette fois-ci :
Des chercheurs se sont penchés sur les raisons de l'incompréhension entre les sexes…
Si les hommes ont tant de mal à comprendre les femmes, ce n’est parce qu’elles viendraient d’une autre planète, ni qu’ils sont « immatures ».
C’est, selon ces scientifiques, que le malentendu viendrait plutôt du cerveau.
Selon leur étude, parue dans la revue scientifique « Plos One », les hommes n’arrivent pas à lire les émotions transmises par le regard, élément de langage corporel qui peut considérablement nuancer, préciser ou enrichir les paroles.
De mon côté, j’ai toujours affirmé que l’âme des femmes se reflétait dans leurs yeux…
Et qu’il faut savoir lire « OUI » dans leur regard !
En testant les capacités de reconnaissance des émotions transmises par les yeux, l’équipe du psychologue Boris Schiffer a constaté que chez les hommes, la partie du cerveau qui permet de faire ressurgir ses émotions passées pour comprendre celles exprimées par son interlocuteur ne s’active que très peu quand ils sont en face d’une femme.
Les kons !
Un problème d’empathie, en somme, qui en revanche et curieusement ne se produit pas lorsque les hommes sont entre eux !
Chez leurs congénères-kouillus, ils savent reconnaître les signaux de colère, d’énervement, de peur…
Peut-être, peut-être seulement, parce que leurs ancêtres avaient besoin de prévoir les réactions d’un adversaire potentiel.
Et qu’ils n’avaient déjà pas besoin de lire « l’âme des femmes » (qu'ils ont longtemps niée) dans leur regard pour les sauter…
Vraiment des immatures, finalement.
Parce qu’après le « démon de midi » de la quarantaine, dernier « épisode-frénétique » (paraît-il), alors que chez madame ça intervient plutôt vers la trentaine (je peux vous l’affirmer de sources sûres… quoique…), tout ce petit monde fini peut-être par s’assagir !
Allez donc savoir pour quelle raison impérieuse : C’est juste une hypothèse de ma part, qui admet de nombreuses exceptions et toujours plus d’érections…
Notamment chez « Déesse-khâ » et quelques autres dont je tairais les noms par simple convenance policée.
Parce que des fois, j’en apprends encore des vertes et des pas mûres.
D’ailleurs à ce sujet, il y a urgence pour Anne, pas encore 40 balais un môme de 12 ans (je crois), togolaise-native d’origine et accessoirement auxiliaire-puéricultrice, logée dans un HLM de la ville de Paris, qui me supplie à chaque fois que je la croise, de lui trouver un « mari » (pas une « grognasse-transgenre ») !
Comme si je savais faire ce genre de chose, moi, hein !
Personnellement, je me suis désisté d’emblée, parce que je suis son Président et que je ne mélange surtout pas le boulot et la gaudriole, même « gauloise » (source d’emmerdements impossibles à gérer).
Téléphonez-lui au 06.98.69.33.85 : Tous les moyens lui sont bons pour arriver à ses fins, y compris de m’encourager à filer son numéro sur ce blog !
C’est dire « l’urgence ».
Attention, elle prétend que « l’essayer, c’est l’adopter ».
Impétrants, vous êtes prévenus.
Et puis soyez gentil avec elle. Parce devoir la remplacer sur le pouce parce que vous l’auriez « cassée », ça m’embêterait : On ne trouve plus de « petit-personnel » qualifié, même pour des crèches !