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D'où Erre-Je ?

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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 04:08

Et autres big-bosses de grandes entreprises.

 

Il serait temps, notez bien : Tous ils ont lorgné vers la carotte tendue par « François III » pour les leur faire se bouger le kul !

20 milliards d’Euros d’une cagnotte à se partager s’ils embauchaient, c’est le mécanisme du Crédit d’Impôt Compétitivité des Entreprises Emploi ou « CICE »…

Perso, les « niches », j’aime bien.

 

Les « cadeaux fiscaux » aussi, même si je sais que c’est toujours sous conditions et que celles-ci, elles ne sont jamais acquises définitivement.

Même que quand elles sont remises en cause, un peu comme d’une « ristourne conditionnelle » sur prix d’achat, il faut parfois aller la chercher avec les dents chez celui qui l’a promise.

Mais bon, comme entre-temps il va devenir « légal » de vendre à perte, on ne risque plus la prison d’en tenir compte tout de suite et de se planter au final.

Nous y reviendrons.

 

Seulement voilà : Déjà, on avait fait tourner les « règles à calcul » et on s’était aperçu que l’intérêt du dispositif perdait de son « attractivité » pour les contrats de travail nouveaux de longue durée.

Pas grave : Un patron, ça a appris à vivre dans la précarité totale depuis bien longtemps, c’est même le cœur de son métier, ils sauront donc s’adapter.

Même si les salariés, eux, ils ne savent pas encore se contenter de la « fexi-précarité-sécurité » votée récemment.

Pas pour rien que les deux principales centrales syndicales n’ont pas signé l’accord proposé et ont même défilé dans les rues avec leurs troupes pour signifier clairement l’idée que le salarié n’est pas « corvéable et taillable » à merci, au moins comme proposé…

Encore une « trahison du prolétaire » de promesses de campagne qui n’auront pas abouti, mais ce n’est ni la première ni la dernière…

 

En revanche, ils commencent à pointer du doigt un effet pervers qui va te nous envoyer au chômage quelques centaines de milliers de salariés, pour cause de dépôts de bilan.

Et que personne parmi toutes les élites de la planète n’avait encore vu jusque-là sous les ors des palais des « sachants » : C’est dire s’ils sont assez extraordinaires !

 

Par exemple, la Fédération des entreprises de la propreté (FEP) (et de décontamination – amiante, suies, produits cancérigènes, irradiations, etc. – qui n’a rien à voir, mais j’ai échoué à créer une convention collective adéquate), qui revendique 25.000 sociétés employant près de 430.000 salariés, a fait aussi tourner sa « boîte à calcul » pour finalement monter au créneau en envoyant fin avril un courrier au Premier des ministres.

Elle y explique que « cette disposition (de « Lyne-sait-tout ») nous fait craindre des formules de révision de prix défavorables, produisant de façon systématique une baisse du prix révisé et anéantissant totalement les effets bénéfiques du CICE ».

 

De quoi s’agit-il ?

Ma copine « Lyne-Sait-Tout », elle est là pour compter. Compter quoi sinon les tous coûts des uns et des autres ?

Et d’en faire des règles de trois pour rapporter l’ensemble à des indices qu’elle fait varier selon les résultats de ses calculs sur les « tout » : Les loyers, les prix à la consommation, des produits à consommer spécifiques, etc.

Or, c’est-y pas malheureux, figurez-vous que le CICE, normalement il est fait pour rendre moins cher la main-d’œuvre employée dans divers secteurs économiques.

Et rendre plus compétitives les « boutiques » qui emploient ladite main-d’œuvre et les pousser à pousser les feux de leur activité redevenue économiquement attractive en embauchant des esclaves du personnel en surnombre !

Devant réduire ainsi le nombre des chômeurs en déshérence par contrecoup.

 

Le « bon plan » que tout le monde a adoubé assez niaisement (prendre l’impôt en plus pour le refiler ailleurs, c’est un « truc » à sommes nulles qui perturbe toujours durablement une économie en créant des effets d’aubaine absurdes).

 

Que donc, comme les abattements « Fifi-le-déchu » sur les bas-salaire du temps où il était le ministre du travail sous « le Chi », évidemment que le CICE impacte le prix final de la main-d’œuvre…

Donc les indices de « Lyne-sait-tout ».

Jusque-là, rien que du très logique.

 

« Ah que » donc, anticipez un peu le problème, si le crédit d'impôt baisse de fait, et même de manière indirecte, le coût du travail, le calcul de « Lyne-sait-tout » aura pour effet de réviser les indices à la baisse.

Or, comme dans ces entreprises les prix sont fixés par contrat de longue durée (de 2 à 5 ans) intégrant des clauses d'indexation automatiques, comme dans la plupart des marchés publics, mais aussi dans le privé, ces clauses d’indexation servant à ajuster et réévaluer les tarifs des prestations en fonction des évolutions de l'indice du coût du travail (appelé, depuis 2010, « indice du coût horaire du travail révisé tous salariés »).

Il en est d’autres, notamment pour les prix des matières-finies, le prix des cours des matières-premières, etc. qui viennent impacter les factures finales d’une même convention appliquée de façon continue.

 

Si par hasard les prix de la main-d’œuvre viennent à provoquer in fine une diminution du chiffre d'affaires « c'est comme si, d'un côté, on donnait aux entreprises, via le CICE, mais qu'on leur reprenait de l'autre », explique le secrétaire général de la CGPME !

Et il y a de quoi s’affoler : Si les coûts diminuent mais que le CA diminue proportionnellement, non seulement c’est une perte de valeur (on est bien dans la « déflation » redoutable prônée par les « déclinistes » que vous avez élus en mai 2012 malgré mes avertissements). Mais il n’est même pas sûr que cela profite à quiconque pour tarir les flux financiers qui font vivre une entreprise, notamment quand le crédit d’impôt est versé avec retard pour éviter de rajouter des coûts aux coûts en le mobilisant auprès des banques.

Là, y’en a qui s’inquiètent de l’embolie annoncée dont ils sont tous menacés…

 

Car ce n'est pas le seul secteur à s'alarmer. Plusieurs activités sont concernées : Eau, assainissement, sécurité, transport public de voyageurs, restauration collective, travaux publics, équipements de loisirs, etc.

Donc pas seulement les 25.000 sociétés et leurs 430.000 salariés de la FEP, mais des centaines de milliers d’entreprises portant les effectifs menacés et à disparaître à plusieurs millions d’emplois.

Où les meilleures intentions du monde de nos « sachants » générant un enfer diabolique du dirigisme absolu…

J’adore la perspective.

 

Ce qui me chagrine un peu, c’est qu’il faut attendre la proximité de la descente de l’Esprit-Saint sur la cervelle des « sachants » du patronat pour qu’ils commencent à « s’énerver ».

La présidente du Medef a envoyé en début de semaine un courrier à notre ministre de l'Économie (« Moscou-vicie », qui doit aussi faire face à une atmosphère de guerre civile dans ses locaux partagés avec 3 autres ministres et se demandait encore ce qu’il faisait dans ce « paquebot » à la dérive), pour qu'il corrige ce « dysfonctionnement ».

 

On indiquait même que « son entourage avait saisi « Lyne-sait-tout » du sujet, qui devrait trancher rapidement. »

Mais il est peu probable que Bercy accède à la demande du patronat de ne pas prendre en compte le CICE dans l'indice.

– D’abord parce qu’un calcul, c’est un calcul et il devient ipso-facto faux si on ne va pas au bout du calcul.

Ce serait un peu comme si on comptait un indice des prix à la consommation sans compter les TVA et autres taxes à la consommation, pour ne saisir que le « HT-HD »…

– Ensuite parce que la baisse des prix induite fera des bénéficiaires du côté des donneurs d'ordre, qu'ils soient publics ou privés, mais surtout publics, et « améliorera la compétitivité », soulignait-on à Bercy.

Et c’est justement le fondement du CICE, sa cause première, celle sans laquelle il n’aurait pas existé.

 

Alors quid ?

Si on ne va pas au bout du calcul, on a des indices faux et pas d’amélioration des indices généraux d’activité.

Mais on améliore les résultats indus des entreprises concernées… seulement celles qui entrent dans le dispositif.

Si on va au bout des calculs selon les saintes-écritures, on casse de l’entreprise et des emplois… surtout celles qui n’entrent pas dans le dispositif parce qu’elles n’en ont pas les moyens (leur marché est trop « étriqué » et elles se feront avaler par plus grosses qu’elles : La ruine des « petits-patrons » !).

Et pas moyen de « renégocier » les contrats, sauf à mettre la clé sous la porte ou à provoquer de « nouvelles ententes illégales » sur certains secteurs.

 

Conclusion (provisoire), quand on n’a pas appris à compter, on ne se mêle pas des affaires d’autrui !

Et c’est bien le tort de nos « sachants », plus fats les uns que les autres, que d’avoir oublié d’apprendre à compter dans leurs « grandes-ékoles-des-lites »…

Nous y revenons dès demain, parce qu’il y a vraiment de quoi en rigoler fermement, n’est-ce pas ?

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18 mai 2013 6 18 /05 /mai /2013 04:01

De l’intérêt des sociétés de personne : Pourvoi n° : 11-27745

 

Il est des journées absolument extraordinaires, là comme ça, au passage…

Je reste un fan des sociétés de personnes, dites de l’article 8 (du CGI) qui ne sont pas imposables en tant que telle, comme d’une vulgaire SARL, SA, SAS ou SERL, réputées « opaques » du point de vue de l’imposition des bénéfices (pour être soumises à l’IS).

Certes, l’IS est une « flat-tax » au taux connu d’avance, alors que dans une société dite « transparente », ce sont les associés qui sont imposés chacun en fonction du barème qui leur est applicable au titre de l’IR.

 

D’accord, un dividende de « société de capitaux », est re-taxé ensuite à ce fameux barème progressif de l’IR, mais moyennant un abattement important qui diminue un peu la « doudoune », mais ça reste une « double taxation » de droit interne et je déteste par principe.

La façon honnête d’y échapper, c’est de ne pas distribuer de dividende et de « capitaliser » les résultats. Une façon comme une autre d’autofinancer les investissements à faire et de faire une plus-value ultérieure elle-même imposable, mais là encore, d’après la future loi de finances, moyennant d’importants abattements, voire quelques exonérations sous conditions.

Il s’agit d’être patient, en somme.

 

Alors que côté « société de personnes », qu’il y ait ou non versement de dividende, l’associé est de toute façon imposé sur sa quote-part de « bénéfice acquis » selon le régime d’imposition (cédule des BNC, des RF, des BA, voire des RCM et PV), autrement dit le régime des « encaissements/décaissements », mais jamais au BIC (régime des « engagements », qu’ils soient ou non encaissés), parce qu’ils basculent automatiquement à l’IS.

Avec une exception de taille au principe ci-dessus énoncé, dès lors que la société de personnes est déjà commerciale par la forme et fiscalement à l’article 8, comme les sociétés en nom collectif, les sociétés en commandite (pour les commandités), voire les Sarl de famille qui n’ont pas opté pour le régime de l’IS, alors les résultats sont imposables chez l’associé au titre des BIC.

 

Tout cela est « archi-balisé » et on a tendance aussi à considérer qu’une société de personnes de l’article 8 doit « domicilier » les déficits d’un groupe d’activité (parce que les déficits professionnels sont imputables à l’IR), venant compenser des distributions de dividendes eux-mêmes soumis à l’IR provenant d’une société du même groupe économique, ou activité, malgré la double imposition de principe.

C’est un calcul, ni plus ni moins, qui ne figure pas parmi les « niches fiscales » officielles, mais qui est bien utile dans les « optimisations fiscales » bien-faites.

 

On avait aussi tous compris dès avant la fin d’études spécialisées en droit fiscal qu’un patrimoine de « rentier », ça se loge dans une SC (de l’article 8), d’abord parce qu’elles sont faites pour ça, ensuite parce qu’on pouvait aussi démembrer, non pas l’actif, mais les parts sociales représentants les droits sur l’actif en cas de donation ou de succession.

Plusieurs fois j’ai ainsi préconisé un « démembrement croisé » où l’amant et la maîtresse (mais pourquoi pas des « époux pour tous » parfaitement légitimes), possèdent chacun la nue-propriété de la moitié des parts du capital social, et seulement l’usufruit de l’autre moitié. Le premier qui trépasse, son usufruit s’éteint au profit de l’autre associé, qui se retrouve à se disputer tout seul avec les autres héritiers putatifs que sur la moitié de la nue-propriété : Ça aide aux négociations dans les familles…

 

Ces schémas sont des voies royales pour transmettre aux fameux héritiers de la « génération montante » tout un patrimoine hors-droit de succession : Le prédécédé éteint l’usufruit avec son dernier souffle et les héritiers se retrouvent à la tête de la pleine propriété en totalité sans bourse délier, pour peu qu’ils aient eu à recueillir la nue-propriété des parts…

Fabuleux.

 

J’avais aussi tenté avec succès le coup de la « clause de croupier » durant la vie de la société : Il y a un résultat, comment il est attribué, au moins sur le plan fiscal ?

Il l’est selon les statuts. Et si les statuts décident que le bénéfice va en proportion du volume d’affaires traités par chacun des associés durant l’exercice (la clause-croupier), les impositions iront en fonction de la même règle.

Ce qui ne provoque aucun contentieux fiscal, en général.

 

Selon le même principe, je rajoute une corde à mon arc (multi-cordes) à ses « grands-classiques » :

 

REPUBLIQUE FRANCAISE

AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS

 

LA COUR DE CASSATION, CHAMBRE COMMERCIALE, a rendu l'arrêt suivant :

 

Attendu, selon l'arrêt attaqué, que M. Michel X... et Mme Colette X..., son conjoint, ainsi que Mme Dominique X... et M. Denis X..., leurs enfants, détiennent chacun, en pleine propriété, une fraction des parts représentatives du capital de la société civile Sogesgo (la société), les époux X... détenant, en outre, l'usufruit de la majorité des parts, dont leurs enfants sont nus propriétaires ; que, sur cette base, M. et Mme X... ont vocation à percevoir, ensemble, 95 % des bénéfices distribués ; que lors de l'assemblée du 3 avril 2000, les associés ont décidé, à l'unanimité, que pendant une durée de cinq ans, la répartition des dividendes s'effectuerait à proportion de 17 % pour chacun des parents et de 30,5 % pour chacun des enfants ; que, faisant valoir qu'en renonçant, dans une proportion de 61 %, au profit de leurs enfants, à leur droit à distribution de dividendes pendant la période considérée, M. et Mme X... leur avait consenti une donation indirecte, l'administration fiscale a assujetti M. Denis X... aux droits de mutation à titre gratuit, assis sur les distributions de dividendes intervenues entre 2001 et 2007 ; qu'après mise en recouvrement de ces droits et rejet de sa réclamation, M. Denis X... a saisi le tribunal de grande instance afin d'obtenir la décharge de son imposition ;

 

Sur le moyen unique, pris en sa première branche :

 

Vu les articles 894 et 1842 du code civil ;

 

Attendu que pour rejeter cette demande, l'arrêt retient que la décision de modifier la répartition des dividendes a été prise à l'unanimité par l'assemblée des associés de la société ; qu'il en déduit qu'elle émane nécessairement des époux X..., donateurs, qui disposent en tant qu'usufruitiers, de l'essentiel des droits de vote dans les assemblées ;

 

Attendu qu'en statuant ainsi, alors que la modification de la répartition de la part de chaque associé dans les bénéfices de la société ne pouvait résulter que d'une décision collective des associés et qu'en participant à cette décision, émanant d'un organe social, M. et Mme X... n'ont pu consentir à une donation ayant pour objet un élément de leur patrimoine, la cour d'appel a violé les textes susvisés ;

 

Et sur le moyen, pris en sa troisième branche :

 

Vu les articles 894 et 1842 du code civil ;

 

Attendu que pour se prononcer comme il fait, l'arrêt, après avoir relevé que la donation en cause échappe à la prohibition des donations de biens à venir car seul son exercice se trouve retardé jusqu'aux assemblées des associés décidant de l'attribution des bénéfices sous forme de dividendes, retient encore que le dépouillement des époux X... d'une partie de leurs droits est irrévocable puisque s'il y a distribution de dividendes, ils ne peuvent durant cinq années demander une répartition autre que celle décidée lors de l'assemblée du 3 avril 2000 ;

 

Attendu qu'en statuant ainsi, alors que les bénéfices réalisés par une société ne participent de la nature des fruits que lors de leur attribution sous forme de dividendes, lesquels n'ont pas d'existence juridique avant la constatation de l'existence de sommes distribuables par l'organe social compétent et la détermination de la part attribuée à chaque associé, de sorte que M. et Mme X..., n'ayant été titulaires d'aucun droit, fût-il affecté d'un terme suspensif, sur les dividendes attribués à leurs enfants, soumis à l'imposition litigieuse, n'ont pu consentir aucune donation ayant ces dividendes pour objet, la cour d'appel a violé les textes susvisés ;

 

PAR CES MOTIFS, et sans qu'il y ait lieu de statuer sur les autres griefs :

 

CASSE ET ANNULE, en toutes ses dispositions, l'arrêt rendu entre les parties, le 5 septembre 2011, par la cour d'appel de Douai ; remet, en conséquence, la cause et les parties dans l'état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Douai, autrement composée ;

 

Condamne le directeur général des finances publiques aux dépens ;

Vu l'article 700 du code de procédure civile, rejette les demandes ;

Dit que sur les diligences du procureur général près la Cour de cassation, le présent arrêt sera transmis pour être transcrit en marge ou à la suite de l'arrêt cassé ;

Ainsi fait et jugé par la Cour de cassation, chambre commerciale, financière et économique, et prononcé par le président en son audience publique du dix-huit décembre deux mille douze.

 

Personnellement, j’avais jugé ce schéma un peu « hasardeux » dans la mesure où l’administration fiscale possède l’arme absolue, la bombe thermonucléaire, la munition ultime contre laquelle personne ne peut rien, hors les articles L.80 A et B du LPF (la doctrine administrative opposable à elle-même).

À savoir le principe du « réalisme fiscal » qui veut que quel que soit le schéma juridique d’une opération, elle n’est pas opposable à l’administration si elle a pour objet de réduire une imposition normalement due (Art. L 64 du LPF) :

« Afin d'en restituer le véritable caractère, l'administration est en droit d'écarter, comme ne lui étant pas opposables, les actes constitutifs d'un abus de droit, soit que ces actes ont un caractère fictif, soit que, recherchant le bénéfice d'une application littérale des textes ou de décisions à l'encontre des objectifs poursuivis par leurs auteurs, ils n'ont pu être inspirés par aucun autre motif que celui d'éluder ou d'atténuer les charges fiscales que l'intéressé, si ces actes n'avaient pas été passés ou réalisés, aurait normalement supportées eu égard à sa situation ou à ses activités réelles ».

Mais bon, il s’agit d’une procédure particulière, qui n’est pas évoquée dans l’affaire ci-dessus relatée.

Et on en réchappe quand on administre la preuve que l’objectif de l’opération « non-opposable » à l’administration, avait un autre but que d’éluder l’impôt.

Ça arrive, mais ça se fait rare…

 

Il n’empêche, modifier les statuts « à l’unanimité » des associés en ce qu’ils prévoient un coup de tronçonneuse quant à la répartition des résultats, et donc de leur imposition, si ça reste possible et d’application constante dans la « vraie vie » dès lors que la loi le permet, ce n’est pas fait pour les chiens !

Sauf peut-être à partir du jour où l’administration considérerait qu’il s’agit d’une donation déguisée, justement.

 

Et là, le fisc se montre gourmand à vouloir le beurre et l’argent du beurre.

Comprenez, les « fistons », non-contents d’avoir déjà la nue-propriété qui ne donne aucun droit sur les dividendes à distribuer, ils chopent à l’unanimité d’éventuels « fructages » à venir sans bourse délier : Il y a bien transfert d’un droit futur, d’une créance virtuelle (tant que la décision de distribuer n’est pas prise en AGO), qui vaut donc quelque chose aux yeux du fisc qui réclame son dû (en votre nom).

 

Donc « fiston » est redressé et il va devant les tribunaux : Il se fait débouter une première fois, et de nouveau en appel.

Ce que la Cour de Cassation casse (elle est faite pour ça) au double motif que :

– Les statuts ont été librement modifiés (des précautionneux) : Le pacte social n’a donc pas été violé ;

– Quant à faire donation de choses futures, c’est parfaitement valable, à condition que la chose existe…

C’est effectivement assez spécieux de « donner la Lune » alors qu’on ne la possède pas… Et là, la Cour redit qu’un résultat (la chose) n’existe pas tant qu’il n’est pas constaté.

Dès lors, les associés « n'ont pu consentir aucune donation (même future) ayant ces dividendes pour objet ». Bien vu.

Y’aurait pu y avoir des déficits, effectivement (qui d’ailleurs permettent de réduire des résultats imposables de même nature…).

 

Il n’empêche, le dividende a existé à un moment donné, puisqu’il a été versé, mais à l’occasion d’une donation antérieure vide d’objet.

Conclusions des spécialistes : Modifier la répartition des bénéfices n'est pas un « don indirect » dans une entreprise familiale.

Je me marre : Il s’agit de rester prudent, hein ! Pas de bêtise sans un bon avocat !

Car en fait, je ne vous reproduis qu’un seul des cinq arrêts du 18 décembre 2012, où la Cour de cassation décide que la modification temporaire de la répartition statutaire des droits à dividendes entre les associés ne constitue pas une donation indirecte entre eux (1 M€ sur les 5 ans).

La Cour de cassation casse les arrêts d’appel pour un double motif :

 

– En participant à une décision d’assemblée générale, qui est un organe collectif de la société, les parents ne pouvaient avoir consenti seuls une donation portant sur un élément de leur propre patrimoine ;

Ils se seraient fait imposer cette décision par des enfants majoritaires, la solution aurait pu être différente.

Aurait pu seulement : On n’en sait rien pour l’heure.

 

– Lors de l’assemblée générale extraordinaire tenue en 2000, les parents n’étaient encore titulaires d’aucun droit sur les dividendes qui allaient être ensuite distribués de 2001 à 2007 (ils pouvaient mourir, l’actif pouvait être cédé, etc.), et ne pouvaient donc pas les avoir valablement « donnés ».

La décision n’auraient pas été « temporaire », là encore il n’est pas sûr que la décision aurait été la même.

Pas sûr seulement, parce que pour l’heure on n’en sait rien : La renonciation définitive (quitte à revenir dessus à l’occasion d’une nouvelle AGE) se serait peut-être analysée comme une renonciation à l’usufruit et donc une « vraie » donation.

 

Des arrêts intéressant, à un double titre :

– Ils trouveront à s’appliquer aussi à des créations « d’actions de préférence » qui ont aussi pour effet de modifier la répartition des droits entre actionnaires au sein de la société.

Mais là encore, on n’a pas de contentieux à venir sur les dividendes d’actions prioritaires, les actions dites « amorties », les renonciations temporaires ou définitives et autres bizarreries que recèlent les « pactes d’actionnaires » mais qui restent des « autoroutes du droit » depuis de longues années : Pas de surprise à attendre.

– L’opération de donation temporaire d’usufruit des « loyers » procurés par « la chose » (une créance quelconque, des OAT, etc.) n’auraient pas engendré les même résultats : On connaît la « valeur des choses » justement par les gains qu’elles procurent.

Et là, il y aurait donc eu droit de mutation à titre gratuit !

D’où l’intérêt d’user d’une société comme d’un intermédiaire, qui est un être vivant à plein capacité juridique.

N’en déplaise au fisc…

 

Pour ma part, je retiens aussi qu’un dividende n’existe de toute façon que quand l’AG en décide et jamais « avant » : Mais ça on savait déjà.

Ce qui n’a aucune incidence sur l’IR des associés d’une société transparente quant à la distribution ou sa non-distribution : On continue d’appliquer le pacte social…

Et mes « clauses-croupiers » sont ainsi validées fiscalement !

Superbe.

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 04:02

Jean-Paul et Jean-Marc discutent :

 

« – Tu connais la blague du petit déjeuner?

– Non

– Pas de bol ! »

 

Un jour, Dieu ordonna à David de guetter... et David Guetta !

Un jour, Dieu ordonna à Hélène de s'égarer... et Hélène Ségara !

Un jour, Dieu ordonna à Bruce de lire... et Bruce Lee !

Un jour, Dieu ordonna à Katy de mourir... et Katy Perry !

Un jour, Dieu ordonna à Marra de donner... et Maradona !

Un jour, Dieu ordonna à Clara Morgane de savoir ça... et Clara suça !

Un jour, Dieu ordonna à Fred d’avoir cet air... et depuis, Fred Astair !

Un jour, Dieu ordonna qu'on arrête Franklin... alors on Aretha Franklin

Un jour, Dieu ordonna à Hannah de rire... et je peux vous dire qu'elle Rihanna !

Un jour, Dieu ordonna à Nir de vanner... et Nirvana !

Un jour, Dieu ordonna à Michael-Jack de sonner à la porte... et depuis, Michael Jackson !

Un jour, Dieu ordonna au lait de dire « Gaga »... et le Lady Gaga !

Un jour, Dieu ordonna à Nathalie de dormir... et depuis, Nathalie Baye !

Un jour, Dieu ordonna que Rita mette Souko... et Rita Mitsouko !

Un jour, Dieu ordonna à Mat de mater... et Matmata !

Un jour, Dieu ordonna à Jean de ferrer... et Jean Ferrat !

Un jour, Dieu ordonna à Lady de faire un gag... et Lady Gaga !

Un jour, Dieu ordonna à Emin d'aimer... et depuis, Eminem !

Un jour, Dieu ordonna que Mozart hèle... et Mozzarella !

Un jour, Dieu ordonna à Nafissatou de répondre au téléphone... et Nafissatou Diallo !

Un jour, Dieu sema le blé, et Marc Lavoine !

Un jour, Dieu ordonna à Thierry d'en rire... et Thierry Henry !

Un jour, Dieu ordonna à Benz d'aimer... et Benzéma !

Un jour, Dieu ordonna à Fatou de mater... et Fatou Matta !

Un jour, Dieu ordonna à Madame Sarkozy de bronzer... et Carla Bruni !

Un jour, Dieu dit à Julien qu’il avait un bouton... et depuis, Julien Lepers !

Un jour, Dieu ordonna à Julien de se tenir droit... parce que Julien Courbet !

Un jour, Dieu ordonna à Philippe de faire des créneaux... et depuis, Philippe Manœuvre !

Un jour, Dieu ordonna à Tony de sauter Anna... et depuis, Tony Montana !

Un jour, Dieu ordonna à Laurent de gérer... et Laurent Gerra !

Un jour, Dieu ordonna que le père fourre... alors le père Fouras !

Un jour, Dieu ordonna aux gens de brader Pitt... et depuis, les gens Brad Pitt !

Un jour, Dieu ordonna à Rocky de battre le Boa... et depuis, Rocky Balboa !

Un jour, Dieu ordonna à Léonardo de dire « Caprio »... et Léonardo Di Caprio !

Un jour, Dieu ordonna à Adriana de Limer... et Adriana Lima !

Un jour, Dieu ordonna à Chuck Norris de mourir... et Chuck Norris à bien rigolé !

Un jour, Dieu ordonna à Ni de coller Sarkozy... et Nicolas Sarkozy !

Un jour, Dieu ordonna à Liliane Bétand de courrir... et depuis, Liliane Bettencourt !

Un jour, Dieu ordonna à Chi de raquer... et depuis, Chirac !

Un jour, Dieu ordonna à Lionel Jos de peindre... et depuis, Lionel Jospin !

Un jour, Dieu ordonna à Charles 2 de gauler... et depuis, Charles De Gaulle !

Un jour, Dieu ordonna à George de boucher... et depuis, George Bush !

Un jour, Dieu ordonna à Bill Clinton de rire... et Hilary !

Un jour, Dieu ordonna à Jésus de parler plus fort... et depuis, Jésus Christ !

Un jour, Dieu ordonna à Léonard de devenir une scie... et Léonard De Vinci !

Un jour, Dieu ordonna à Socque de rater... et depuis, Socrate !

Un jour, Dieu ordonna à Plat de tondre... et depuis, Platon !

Un jour, Dieu ordonna à Bernard-Henry de les voir... et Bernard-henry Lévy !

Un jour, Dieu ordonna à Robinson de croire Zoé... et Robinson Cruzoé !

Un jour, Dieu ordonna à Kiri de coudre... et depuis, Kirikou !

Un jour, Dieu ordonna à Bob d'éponger son verre... et depuis, Bob l'éponge !

Un jour, Dieu ordonna au Petit de pousser... et hier encore, le Petit Poucet !

Un jour, Dieu ordonna à Gargan de tuer... et Gargantua !

Un jour, Dieu ordonna au Coca de coller... et le Coca Cola !

Un jour, Dieu ordonna à Hugo de bosser... et depuis, Hugo boss !

Un jour, Dieu ordonna à Lustu de croire... et Lustucru !

Un jour, Dieu ordonna à Bana de nier... et Banania !

Un jour, Dieu ordonna à Mam d'innover... et Mami Nova !

Un jour, Dieu ordonna à Choca de ne plus se raser... et depuis, Chocapic !

Un jour, Dieu ordonna à Maly de boire... et Malibu !

Un jour, Dieu ordonna de tuer Zani... et Pan-Zani...

Un jour, Dieu ordonna à Carre de fourrer... et depuis, Carrefour !

Un jour, Dieu ordonna au riz de coller... et le Ricola !

Un jour, Dieu ordonna à Rex de sonner... et Rexona !

Un jour, Dieu ordonna à au Castor de ramer... et le Castorama !

Un jour, Dieu ordonna à Confo de ramer... et Conforama !

Un jour, Dieu a dit : "Ton petit lira"... et le petit Lu !

Un jour, Dieu ordonna à Benné de dicter... et Bénédicta !

Un jour, Dieu ordonna à Mono de prendre... et Monoprix !

Un jour, Dieu ordonna à Goo de gueuler... et depuis, Google !

Un jour, Dieu ordonna à « O » de ranger... et depuis, Orange !

Un jour, Dieu ordonna à Neuf de boxer... et depuis, NEUFBOX !

Un jour, Dieu ordonna à « X » de boxer... et depuis, XBOX !

Un jour, Dieu ordonna à Micro de manier... et Micromania !

Un jour, Dieu ordonna à Mario de brosser... et depuis, Mario Bross !

Un jour, Dieu ordonna à quelqu'un de dire « Bou »... et cette personne Adibou !

Un jour, Dieu ordonna à Mousse de taffer... et Mousstafa !

Un jour, Dieu ordonna à Véro de niquer... et Véronica !

Un jour, Dieu ordonna à Moha de m’aider... et depuis, Mohamed !

Un jour, Dieu ordonna à Dim de trier... et depuis, Dimitri !

Un jour, Dieu ordonna à Jon d’attendre... et depuis, Jonathan !

Un jour, Dieu ordonna à Sébas de tenir... et depuis, Sébastien !

Un jour, Dieu ordonna à Passe de caler... et depuis, Pascal !

Un jour, Dieu ordonna à Zac de rire... et Zachary !

Un jour, Dieu ordonna à Al de foncer... et depuis, Alfonse !

Un jour, Dieu ordonna à Ali de scier... et Alicia !

Un jour, Dieu ordonna à Laeti de scier... et Laetitia !

Un jour, Dieu ordonna à Clé de mentir... et depuis, Clément !

Un jour, Dieu ordonna à Sam de hanter... et Samantha !

Un jour, Dieu ordonna à Inch d'aller... et Inchallah !

Un jour, Dieu ordonna à Harmo d'assurer sa descendance... et Harmonica !

Un jour, Dieu ordonna à Sodo de mettre... et Sodomie !

Un jour, Dieu ordonna à Harry de zoner... alors Arizona !

Un jour, Dieu ordonna à Léo de partir... et aussitôt, Léopard !

Un jour, Dieu ordonna au croco de dealer... et depuis, le crocodile !

Un jour, Dieu ordonna aux roux de se soulager... et depuis, les roupettes !

En 1903, Dieu interdit aux gendarmes d'être tristes... et depuis, la Gendarmerie !

Un jour, Dieu ordonna à Delta de fumer... et depuis, Delta plane !

Un jour, Dieu ordonna à « Ca » de roter... et depuis, Carotte !

Un jour, Dieu ordonna d’être content quand on se couche... et depuis, on est Ravioli !

Un jour, Dieu ordonna au rat d’avoir froid... et maintenant le Racaille !

Un jour, Dieu ordonna à la Lampe d’adhérer... et aussitôt, la Lampadaire !

Un jour, Dieu ordonna à Charles de patienter... et depuis, Charlatan !

Un jour, Dieu ordonna à Passe de tisser... et depuis, Pastis !

Un jour, Dieu ordonna au zée de boire... et le zébu !

Un jour, Dieu ordonna à Lin de jeter... et aussitôt, Lingette !

Un jour, Dieu ordonna au chaud de coller... et le chocolat !

 

C'est l'histoire de Jean-Marc qui entre dans un bar et qui demande :

« Une limonade s'il vous plait ! »

Le barman lui donne et là, Jean-Marc sort un dé à coudre, verse un peu de limonade dedans et dit :

« C'est bon Jean-Paul, tu peux sortir. »

Et là un minuscule bonhomme sort, et boit dans le dé à coudre.

Alors le barman demande :

« Ça alors, qu'est-ce qu'il lui est arrivé ? »

Jean-Marc lui répond :

« Oh, c'est une longue histoire ! Nous étions en Afrique, dans le petit village de, euh . . . Dis donc Jean-Paul, c'était quoi le nom du village où tu as traité le sorcier d'abruti ? »

 

Quand on lui dit que l'ampoule a grillé, voilà ce qu'il répond...

– L’électricien : Ça fera 350 euros !

– Le mécano : Ha ma p’tite dame, va falloir remplacer tout le lustre !

– Le dealer : La première fois c'est gratuit...

– L'économiste : Le marché s'en chargera si c'est nécessaire.

– La psy : Il faut vraiment qu'elle veuille changer, sinon je n'y pourrais rien faire

– La Nounou : Changer l'ampoule ? J'ai pas de couche pour ça, moi !

– L'alchimiste : La changer en quoi ?

– Le chirurgien : Je vais tenter une greffe de filaments...

– Le programmeur : Ça ne me regarde pas, c'est un problème de hardware.

– Le linuxien : Ok, normalement c'est plus facile chez nous que chez windows, par contre va falloir chercher un moment...

– Bill Gates : Non, l'ampoule n'a pas grillé, elle s'est mise à jour !

– Le politicien : Pas la peine, il y a encore de la lumière là-bas, au bout du tunnel...

– Le communiste : Ah bon ? C'est pourtant comme ça qu'on marche depuis 60 ans...

– Le révolutionnaire : Ça ne sert à rien de vouloir la changer, il faut l'écraser purement et simplement !

– L'anarchiste : Comment ça une douille ? Si moi j'ai envie de mettre une ampoule à vis ? Dictateur !

– Une blonde : D'accord. On la remplace. Je tiens l'ampoule, tu tournes la chaise ?

– Le surréaliste : Un poisson au pneu brûlé.

– L'administration : Pour un remplacement d'ampoule, il faut que Gérard vienne constater qu'elle est bien grillée, que Luis la démonte, que Sandra remplisse le bon de commande, que Jean-Marc le tamponne, que...

– SOS racisme : Et qu'est-ce que vous avez contre le noir ?

– Le Nord-Coréen : Chez nous, chaque citoyen du glorieux empire peut changer ça bien mieux et bien plus rapidement qu'ailleurs ! Par contre, on n’a pas d'ampoule neuve.

– Le « Gaulois » : C'est mon aura qui masque sa lumière...

– Le Sicilien : Elle a trahi la famille... Que Luigi s'en charge, et j'éliminerais les témoins.

– Le Québécois : C'est pas l'ampoule, c'est la ligne électrique qui a cédé sous le poids de la neige…

 

Quelques réalités :

– Quand un unijambiste se lève du mauvais pied, il s'en rend compte de suite !

– Je ne bois jamais à outrance... Je ne sais même pas où c'est !

– Si le flic me dit « papiers » et que je réponds « ciseaux », j'ai gagné ?

– Je ne suis pas croyant, Dieu merci !

– En Chine, si t'as pas de bol, ben t'as pas de riz...

– Tu penses aussi que l'invention du suppositoire restera dans les annales ?

– On vit dans un monde où la pizza arrive plus vite que la police...

– À ceux qui ne voient jamais la rosée du matin à cause du rosé de la veille, je lève mon verre !

– Mettre une gifle à une voyante et lui dire « et celle-là, tu l'as vue venir ? »

– Jeanne d’Arc s'est éteinte le 30 mai 1431, environ deux heures après sa mort.

– Il y a 40 ans, la SNCF présentait le TGV. Grande invention qui permet aux voyageurs d'arriver plus vite en retard.

– Le taux de radiation est plus élevé au pôle emploi qu'à Tchernobyl…

– Le gars qui a convaincu les aveugles de porter des lunettes de soleil est quand même un excellent commercial !

– Ne contredis jamais ta femme ! Attends 5 minutes et elle le fera d'elle-même.

– J'ai postulé pour travailler dans un pressing et ils m'ont dit de repasser demain. Je ne sais pas comment le prendre.

– Mieux vaut être une vraie croyante qu'une fausse sceptique.

– Il est impossible de faire 10.000 pompes par jour… sauf si vous êtes un enfant chinois dans une usine Nike.

– Un milliardaire change de Ferrari tous les jours. Un SDF change de porche tous les jours.

– J'ai l'intention de vivre éternellement. Pour le moment, tout se passe comme prévu.

– Je me demande si à moyen terme, le changement climatique finira par avoir des conséquences irréversibles sur les pizzas 4 saisons.

– Comme dirait Dracula, j'irais bien boire un cou.

– Quand un crocodile voit une femelle, il l'accoste.

– Que celui qui n'a jamais bu me jette la première bière.

 

C’etait la collecte de la semaine.

Bon week-end à toutes et tous !

 

I3

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 04:04

Alors levez le pied !

 

Nous ne sommes pas tous de la « viande à pneu » et quelques 4.047 radars, qui ont flashé plus de 21 millions de fois et ont rapporté 730 millions d'euros, sont là pour vous le rappeler tout du long de tous vos parcours.

 

Selon la sécurité routière, il y aurait 66 % de morts en moins à proximité des radars depuis leur installation et la courbe de baisse de la mortalité sur la route suit rigoureusement celle de la baisse de vitesse (http://securite-routiere.gouv.fr) : C’est pour votre bien, nous dit-on.

Et non pas pour vous rançonner, tiens donc !

D’ailleurs, on estime que le strict respect des limitations de vitesse aurait permis de sauver entre 577 et 1.281 vies en 2011, puisqu’en 2012, la vitesse excessive est la cause principale de 26 % des accidents mortels.

 

Ce qui reste assez curieux comme assertion, d’ailleurs.

En Allemagne, il n’y a pas de limitation de principe sur les autoroutes ni sur les 2 x 2 voies séparées par une ligne continue, une double ligne continue, ou par un terre-plein central. Voire lorsqu'elles sont constituées d'une seule chaussée pour chaque direction, mais séparés entre-elles par un terre-plein central.

Et la vitesse sur route est limitée à 100 Km/h.

Ce n’est pas l’hécatombe pour autant, n’est-ce pas ?

Mais l’assertion sera confirmée quand nous roulerons tous au pas à suivre un piéton agitant un drapeau rouge devant chaque calendre.

Et encore, on aura probablement toujours des décès sur la voie publique : Sous le soleil, les risques d’AVC ou d’insolation risquent d’être légion…

 

D’autant que nous sommes 28 % à ne pas respecter les limitations de vitesse. Plus de la moitié d’entre nous pense que la route le permet (53 %), ou parce qu’ils sont pressés (33 %) ou/et parce que nous savons maîtriser notre véhicule (26 %).

Ce qui n’est pas mon cas : Moi je ne maîtrise que la consommation de pétrole, que je limite en me mettant en aspiration derrière un bolide.

Et le mek, il a intérêt à ne pas trop freiner brutalement : J’ai des pare-chocs en béton-armé !

 

Il n’empêche, à 34 euros le bout (la moyenne nationale ou un peu plus d'une heure de PIB pour une personne), au bout de la troisième fois, ça fait un plein de moins à assumer. 1.200 bornes que je ne ferai pas.

Réduisant ainsi ma « signature carbone ».

Noter que d’autres ont fait le point et relevé 70 radars absurdes…

Une goutte d’eau dans l’océan.

Revue de détail des diverses façons dont on vous piège, arnaque, en rajoute au racket fiscal généralisée et en bande organisée :

 

1/ L’incohérence : Le piège caractérisé.

Comment justifier qu’une même route soit limitée à une vitesse différente dans les deux sens de circulation ? 90 km/h lorsque l’on roule dans un sens et pas de radar… 70 km/h dans le sens inverse et… un radar !

 

Notez qu’il y a le même sur une portion de l’autoroute A7 : 110 là, 130 en face. Devinez où se trouve le radar ?

D’ailleurs, un peu plus loin, il y en a deux qui se succèdent à moins de 100 mètres d’écart (à moins que ce soit sur l’A8, je ne me souviens plus…)

Comment obtenir la compréhension de l’automobiliste « flashé » dans ces conditions ?

Aussi, comment un automobiliste peut-il considérer l’implantation d’un radar sur autoroute sanctionnant les vitesses supérieures à 50 km/h ?

Et pourtant c’est le cas du radar de Saint-Julien-en-Genevois… ou nombre de chauffards se disent « choqués » de recevoir une amende pour excès de vitesse sur autoroute pour une vitesse de… 51 km/h !

 

Pire encore : Des règles différentes selon l’horaire de passage. Un radar qui oscille entre vitesse autorisée à 110 km/h et 90 km/h, automatiquement re-calibré selon l’horaire.

Autre incohérence : La présence de 12 radars en moins de 18 kilomètres sur un tronçon de l’autoroute A86.

La tronche du mek quand il reçoit plusieurs amendes à quelques minutes d’intervalles !

À trois points le bout, le type il n’est pas sorti de l’autoroute, que déjà il roule sans permis…

 

2/ La vitesse à respecter est-elle véritablement respectable et même adaptée ?

On peut souvent se poser la question…

Qu’en est-il de la difficulté de respecter une vitesse jugée non-adaptée par exemple dans des portions d’agglomérations aménagées en 2 x 2 voies…

Si la règle liée à la limite de 50 km/h n’est jamais remise en question dans sa généralité, il apparaît néanmoins que les routes en 2 x 2 voies, limitées à 50 km/h, bordées de dispositifs de sécurité ou totalement sécurisées vis-à-vis des piétons sont des « pièges à kons ».

 

Même à 70 km/h, à quoi ça sert de jeter l’argent du kon-tribuable à équiper les routes de la sorte ?

Pour protéger les matériels ?

C’est le cas du radar de Loucelles situé sur une 2 x 2 voies longées de glissières de sécurité, flashant les automobilistes au-dessus de 70 km/h !

 

3/ Les implantations en descente, sont parmi les situations jugées particulièrement inacceptables par les automobilistes.

Pour beaucoup de « chauffards », les radars implantés en fin de zone de descente « piègent » le manque de précision « des régulateurs de vitesse », lors des phases de descente, qui génèrent un dépassement de la vitesse autorisée sans pour autant avoir délibérément voulu dépasser la limitation.

En bas d’une descente, il paraît en effet naturel que la voiture ait tendance à légèrement accélérer sans pour autant causer un danger potentiel.

Et poser le pied sur le frein, c’est aggraver la pollution.

 

4/ Le scandale des radars cachés

Quand il est « caché », le radar semble venir à l’encontre du principe de volonté de faire respecter la vitesse en des endroits jugés potentiellement « accidentogènes ».

Quel intérêt, sinon de racketter ?

 

5/ Le radar positionné dans une zone courte de vitesse abaissée…

Ces implantations de radars sont incontestablement celles qui engendrent les réactions de rejet les plus dures à l’encontre des verbalisations.

Ils « piègent » des « chauffards » convaincus de respecter les limitations, et le piège fonctionne à tous les coups, grâce à une zone de vitesse abaissée qui ne se reflète pas par un danger rendant essentiel cet abaissement de vitesse doublé d’un radar.

 

Le cas du radar de Saint-Avertin (le plus « rentable » en 2012) illustre parfaitement la problématique de cette vitesse soudainement abaissée.

Le chiffre exorbitant du nombre de flashes annuels met parfaitement en lumière le délire d’une vitesse abaissée assortie de l’implantation d’un radar.

Un automobiliste roulant à 100 km/h avant l’implantation du radar respectait la règle. Quelques jours plus tard, il était flashé !

Il paraît que le principal critère soit celui de la pollution !

Nullement la sécurité…

 

6/ La remise en cause de la signalisation

Elle est parfois insuffisante lorsque le dernier panneau de limitation de vitesse se situe trop loin du radar. Mais elle peut aussi porter à confusion quand le radar pédagogique qui précède le radar sanction peut induire en erreur l’automobiliste.

Ainsi on fait état d’au moins un radar sanctionnant les vitesses supérieures à 70 km/h alors que le radar pédagogique est positionné en amont dans une zone limitée à 90 km/h.

 

7/ Le radar… après le danger !

Des radars positionnés après des croisements ou après des zones d’insertion et de sorties sur autoroute, à quoi ça sert pour votre sécurité ?

 

Quant au radar de Lille, il doit son implantation à une série d’accidents de camions. La vitesse a alors été abaissée à 70 km/h (90 km/h auparavant) conjointement à l’implantation du radar.

Le directeur inter-régional des routes du Nord-Pas-de-Calais le justifiait alors ainsi : « Le problème n'est pas la pente en elle-même, mais le virage vers la droite qui suit ».

Problème : Le radar est situé dans un virage à … gauche !

 

8/ Autre situation considérée piégeuse par les automobilistes, le radar positionné en zone de dépassement.

Il est des situations où, en cours de dépassement, les automobilistes doivent accélérer pour finir leur manœuvre.

Doit-on privilégier le regard sur le compteur de vitesse ou sur la route lors d’une manœuvre de dépassement ?

Doit-on prendre le risque de décélérer en cours de manœuvre pour renoncer au dépassement lorsque l’on est suivi par un autre véhicule ?

 

9/ L’entrée et les sorties d’agglomération

Ce n’est pas la réglementation du 50 km/h en ville qui est contestable mais bien le positionnement jugé particulièrement abusif de certains radars.

Dans les cas d’implantations en début d’agglomération, les automobilistes remettent en cause le fait que les premières habitations sont bien souvent encore à plusieurs centaines de mètres ou que le radar semble délibérément caché.

Dans les cas de fin d’agglomération, les automobilistes dénoncent majoritairement des implantations jugées piégeuses du fait même de la proximité de la fin de zone de limitation de vitesse.

Par exemple les cas des radars d’Angers dans le Maine-et-Loire et d’Humières dans le Pas-de-Calais : Dans ces cas, la zone d’implantation est clairement remise en question du fait de l’absence de danger notable au niveau du radar et de la proximité de la fin de la zone de limitation de vitesse.

 

« Quelle est la vitesse autorisée ? », « À combien cette route est-elle limitée ? ».

Bien souvent, les « chauffards » sont confrontés à des successions de limitations qui sèment le doute sur la vitesse à respecter.

En cause, une signalisation insuffisante et les dépassements de poids-lourds qui peuvent notamment masquer les panneaux.

Je me souviens ainsi d’un parcours à 110 km/h sur l’A4, de nuit : J’ai bien vu le panneau de signalisation et j’ai déconnecté le « régulateur automatique » (comme je ne touche que rarement la pédale d’accélérateur : ça me « fatigue » et en « bon Corse » et je « me ménage »), je passe donc le radar à 110, en doublant un camion et du coup je ne le vois pas…

L’air kon, puisque toutes les vallées se ressemblent de nuit, j’ai poursuivi ainsi un bon quart-d’heure à conduire « comme un escargot », à m’inquiéter bêtement avant de remettre le turbo en fonction…

 

Et pour la bonne bouche et vous dire combien on pense à vous garder en vie malgré vous, le mot de « Freddie Pêche-nard », le délégué Interministériel à la Sécurité Routière : « Le meilleur des radars, c’est celui qui ne flashe pas » !

 

Et il se trouve qu’il est situé en Corrèze et « flashe »… une fois tous les 370 jours !

Situé entre Saint-Aulaire et la route de Varetz sur la D17, c’est le meilleur radar de « Gauloisie sécuritaire ».

En 2011, il n’aura flashé qu’une seule fois dans l’année.

Selon l’argumentaire de la Sécurité Routière, ce radar s’avérerait donc être particulièrement utile en ce qu’il contribue à un total respect de la règle bien qu’il n’engendre aucun Procès-Verbal.

Et pourtant…

Il n’est plus là : Les Pouvoirs Publics ont ainsi fait le choix de se séparer du « meilleur d’entre eux ».

Si la question de la rentabilité n’en est pas la cause, alors, pourquoi l’avoir supprimé ?

Je vous le demande.

 

En attendant, soyez prudents.

Pas pour vous-même, on s’en contre-cogne tous !

Mais il se pourrait qu’avec vos konneries de « chauffards », vous provoquiez des dommages « collatéraux » sur autrui…

Que « vos victimes » non consentantes n’étaient pas forcément nées et élevées au bon grain de leurs parentèles juste pour venir claquer sur ou sous votre capot…

Songez-y !

Et bonne route.

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 04:07

La stat 2012 sur les coûts de la main-d'œuvre dans la zone euro

 

Les coûts horaires de la main-d’œuvre dans la zone euro (Belgique, Allemagne, Estonie, Irlande, Grèce, Espagne, « Gauloisie », Italie, Chypre, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Autriche, Portugal, Slovénie, Slovaquie, Finlande) s'élèvent à 28 euros, contre 23,40 euros dans l'Union européenne des 27.

 

Ils sont compris entre 3,70 euros (Bulgarie) et 39 euros (Suède).

La « Gauloisie » se situe dans la fourchette haute avec un coût horaire estimé à 34,20 euros.

C’est cohérent avec mon propre calcul « pro domo » à partir des heures travaillées rapportées au PIB.

À l'opposé en Roumanie et en Lituanie, le coût horaire est respectivement de 4,40 et de 5,80 euros.

Nos « chinois » à nous…

 

Sont compris dans les coûts de la main d'œuvre, les salaires, mais aussi les coûts non salariaux, comme les cotisations sociales.

La part de ces coûts non-salariaux s'élevait à 23,7 % pour l'ensemble de l'Union européenne, alors qu'ils atteignent en « Gauloisie éternelle », 33,6 %, « ce qui est le taux le plus élevé en Europe », souligne Eurostat.

Alors qu’à Malte ils ne sont que 8,2 %, sans pour autant être plus mal soignés…

Dix points d’écart, voilà qui n’est pas rien pour un modèle social que le monde entier nous envie avec envie et gourmandise.

 

Dans l’économie marchande, les coûts horaires de la main d’œuvre étaient les plus élevés dans l’industrie (24,20 € dans l’UE27 et 30,30 € dans la zone euro), suivie des services (respectivement 23,70 € et 27,60 €) et du secteur de la construction (21,00 € et 24,30 €).

Dans l’économie principalement non-marchande (hors administration publique), les coûts horaires de la main d’œuvre étaient de 22,90 € dans l’UE27 et de 27,20 € dans la zone euro.

Les coûts de la main-d’œuvre comprennent les salaires et traitements auxquels s'ajoutent les coûts non salariaux tels que les cotisations sociales à la charge des employeurs.

 

Quant aux progressions, elle a été de + 9,5 % de 2008 à 2012 en « Gauloisie prolétaire »…

Ou tout le poids de la politique poursuivie par « Bling-bling » dans l’intervalle, là où la moyenne est cantonnée de + 8,6 % dans l’UE27 et de + 8,7 % dans la zone euro.

 

Au sein de la zone euro, les hausses les plus marquées ont été enregistrées en Autriche (+ 15,5 %), en Slovaquie (+ 13,8 %), en Finlande (+ 13,7 %) ainsi qu’en Belgique (+ 13,1 %), et les plus faibles au Portugal (+ 0,4 %) et en Irlande (+ 0,8 %).

La seule baisse a été observée en Grèce (– 11,2 %).

S’agissant des États membres situés en dehors de la zone euro, les augmentations les plus marquées entre 2008 et 2012 des coûts horaires de la main-d’œuvre dans l’ensemble de l’économie, exprimés en monnaie nationale, ont été observées en Bulgarie (+ 42,6 %) et en Roumanie (+ 26,7 %), et les plus faibles en Lettonie (+ 1,3 %) et au Royaume-Uni (+ 5,2 %).

La seule baisse a été enregistrée en Lituanie (– 1,4 %).

 

Naturellement, il s’agit des coûts horaires de la main-d’œuvre dans l’ensemble de l’économie hors agriculture et administration publique !

Les coûts totaux de la main d’œuvre couvrent les coûts salariaux et non-salariaux, déduction faite des subventions.

Ils n’incluent pas les coûts de la formation professionnelle ainsi que d’autres dépenses telles que les frais de recrutement, les achats de vêtements de travail, etc.

En revanche, les salaires et traitements comprennent les rémunérations directes, primes et indemnités versées par un employeur en espèce ou en nature à un employé en paiement du travail accompli, les versements au titre de la formation d’un patrimoine, les rémunérations pour journées non-ouvrées ainsi que les avantages en nature tels que nourriture, boissons, carburant, véhicule de société, etc.

 

Et de préciser que l’ensemble de l’économie (hors agriculture et administration publique) comprend :

– L’économie marchande inclut les « sections B à N de la NACE » (révisée) et représente environ 76 % des coûts de la main-d’œuvre de l’ensemble de l’économie dans l’UE27 et la zone euro.

– L’industrie compte pour 23 % du total, soit l’industrie à proprement parlé (Industries extractives, Industrie manufacturière), la production et la distribution d’électricité, de gaz, de vapeur et d’air conditionné, la production et la distribution d’eau, l'assainissement, la gestion des déchets et la dépollution.

– La construction, qui compte pour environ 7 % du total.

– Les services incluent le commerce de gros et de détail, la réparation d’automobiles et de motocycles, les transports et l’entreposage, l’hébergement et la restauration, l’information et les communications.

Mais aussi les activités financières et d’assurance, les activités immobilières, les activités spécialisées, scientifiques et techniques ainsi que les activités de services administratifs et de soutien.

Et les services comptent pour environ 47 % du total.

– Quant à l’économie « non-marchande » (hors administration publique) elle représente environ 24 % des coûts de la main d’œuvre de l’ensemble de l’économie dans l’UE27 et la zone euro.

Il s’agit de l’enseignement, la santé humaine et l'action sociale, les arts, les spectacles et les activités récréatives et puis, le fourre-tout habituel des « Autres activités de services ».

 

Il convient de noter que les données des États membres n’appartenant pas à la zone euro sont aussi influencées par les variations des taux de change.

Et que toutes ces estimations couvrent les entreprises de 10 salariés et plus et sont basées sur l’enquête 2008 sur le coût de la main d’œuvre ainsi que sur l’indice du coût de la main d’œuvre.

Les estimations pour les années postérieures à 2008, nous prévient-on sont obtenues par extrapolation des coûts horaires de la main d’œuvre en monnaie nationale issus de l’enquête 2008 sur le coût de la main d’œuvre, en utilisant l’indice de coût de la main d’œuvre (ICM) transmis par les États membres.

Afin de calculer des estimations monétaires en euros et d’en déduire les agrégats européens, les fluctuations des taux de change doivent être prises en compte.

À cet effet, un ICM ajusté en fonction des taux de change est calculé pour les pays situés en dehors de la zone euro.

L'ICM « non-ajusté » des effets de calendrier est utilisé dans les calculs pour tous les États membres, à l'exception du Danemark, de la « Gauloisie financière » et de la Suède, pour lesquels seules des données corrigées des effets de calendrier sont disponibles.

       

Mais notons que pour la « Gauloisie de l’intelligence », l’agrégat de l’ensemble de l’économie exclut également l’enseignement.

Pour le Portugal et la Grèce, les valeurs de 2012 sont des estimations basées sur l’indice du coût de la main d’œuvre pour les premier, deuxième et troisième trimestres 2012 et sur des estimations d’Eurostat basées sur des données des comptes nationaux pour le quatrième trimestre.

Pour la Roumanie et l’Espagne, les données des années 2009 à 2011 sont issues de sources nationales.

 

En conclusion, une heure de prolo coûte 34,20 €/h chez nous contre 4,40 € en Roumanie (7,77 fois plus…).

Un quart de plus que la moyenne de la zone euro, tout confondu, là où le différentiel avec la « grande Allemagne » (30,40 €/h) n’est que 12,5 %...

Alors que nos voisins belges coûtent 37,20 €/h (+ 8,7 %), danois 37,50 €/h (+ 9,6 %) et luxembourgeois 34,60 €/h (+ 1,1 %).

Vit-on mieux que chez nous au Grand-Duché… pour si peu ?

 

En revanche, je ne sais pas ce que vous en pensez, mais + 9,5 % de progression, soit un peu plus de + 1,8 %/an, c’est moins que l’inflation constatée ex-post…

« Bling-bling » et « Fifi-le-déchu » nous ont donc « appauvrit » en un quinquennat. Et vous voudriez que je vote pour eux, plus tard ?

Même pas dans vos délires les plus fous…

Par ailleurs, on attend mieux de « François III », naturellement.

Même qu’il faudrait qu’il s’en occupe dare-dare au lieu de nous faire du millier chômeurs en plus tous les jours…

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 04:02

Elle vous en voudra « à vie »…

 

Et vous pourrira jusqu’à l’éternité, si tant est qu’elle existe.

Regardez donc « J’y-aime-Air-haut » notre premier des ministres : Lui, il a dit « oui » à Birgit !

Bé outre les charentaises nantaises qu’elle lui chauffe tous soirs et les « bons-petits-plats » qu’elle lui mijote, quand il est critiqué, au lieu de faire ses cartons et valises en carton à Matignon, elle estime au contraire qu’il « est l'homme de la situation. Il est courageux, il fait le travail, il est loyal. Je le crois indispensable à » « François III ».

Bref, le « grand-manitou », il sait ce qu’il perdra, pas ce qu’il y gagnerait, puisqu’il est prévenu…

Et de rajouter : « Jean-Marc est serein, sûr de sa ligne politique. Il est parfois fatigué mais il n'est pas déstabilisé par les attaques. Il a la sagesse et le recul ».

« Il sait que ce qu'il a semé germera ».  

Bref, elle y tient à son deux pièces-cuisine de la rue de Varennes, elle !

 

Même si à force de vouloir en dire trop, elle devient « non-crédible » dès la phrase suivante : « L’affaire « Cas-zut-hack », c'est une souffrance. Le sentiment d'une très grande trahison », qu’il en serait même « tombé des nues ».

Que là franchement, si le gusse a pris tellement de recul qu’il en a appris par la presse les délires de son ministre « anti-fraude-fiscale », soit la police est vraiment mal-faite dans ce foutu-pays, soit il est devenu « total-autiste » depuis un moment !

Même qu’il n’est toujours pas le seul, tellement les hurlements de Tracfin sur les millions divagants du fils à « Fafa l’empoisonneur » se perdent dans un silence insondable…

 

Alors que « l’ex-à-l’autre », celle de ses quatre gamins (ce n’était donc pas un « accident de la vie »), en pleine promotion de son livre, elle ne ménage pas ses critiques !

Faut dire qu’il lui a dit « non » alors qu’à une autre il a dit « oui ».

Notez que perso, ne disant jamais « non », j’aurai dit « oui » au moins tacitement aux deux !

Mais pas un « oui-tout-court », jamais. « Oui-si » !

Car moi, je suis un chien et je ne choisis pas la puce qui me dévorera l’épiderme : C’est elle qui s’y colle toute seule, à ses risques et périls !

 

« Si le pouvoir est dans une si mauvaise posture, c'est d'abord à cause de sa lenteur »…

« Il y a d'abord le sentiment que du temps a été perdu »…

« Il aurait fallu aller beaucoup plus vite : Le mariage pour tous aurait dû être fait l'été dernier, de même que la réforme de la décentralisation. Il fallait réformer par ordonnances dès le début » !

Une adepte des « éjaculateurs » précoces, des trousses-jupons à la va-vite ?

Un viol-consenti, c’est quoi sinon un mauvais moment à passer ? Alors plus vite c’est terminé, mieux c’est ?

 

Typique des « déçues » que fournissent à notre libido et unique nerf-honteux tous les « bandes-mou » de l’univers : « Pas à la hauteur » !

« Les réformes faites dans le domaine de l'emploi ne sont pas à la hauteur des enjeux.

Les emplois d'avenir et les contrats de génération, c'est très bien, mais tout le monde sait que cela ne suffit pas.

Il faut impérativement une bataille globale ».

 

« Depuis un an, le rapport au pouvoir n'a guère changé, et c'est un des facteurs de la déception » des « Gaulois ».

Même que « Ségololo » sait de quoi qu’elle parle, notamment quant au cumul des mandats : « Il faut avoir le courage de le faire maintenant ».

Après ce sera trop tard, la « belle » ce sera enfuie !

C’est elle qui l’affirme puisqu’elle ne veut pas lâcher la présidence du Conseil régional du Poitou et des Charentes réunis, même pour vice-présider la BPI, le nouveau joujou bancaire de son « ex-perso » à elle-même !

Même pas la reconnaissance du ventre…

 

Et « il ne faut pas reculer sur les class-actions » (comme il a pu être fait sur la séparation des activités bancaires, peut-être ?).

Plus loin, concernant la mutation écologique, le jugement tombe comme un couperet : « C'est l'inertie depuis un an alors que les collectivités locales agissent beaucoup ».

 

Pire, si elle déplore le « temps perdu » à chercher des madeleines proustiennes dans les réformes, elle juge qu'une « restructuration est nécessaire à Bercy ».

Non pas parce que la fraude fiscale y est facile (« Cas-zut-hack », le « fiston à fafa » entre autres), mais plus que « ce qui n'est plus acceptable, ce sont les zizanies entre ministres ».

Principaux visés : « Moscou-vicie » et « Monte-bourre » qui ne parviennent pas à s'entendre après un an de cohabitation.

« Ce n'est un mystère pour personne qu'il y a des domaines où une restructuration est nécessaire, comme par exemple la vaste galaxie de Bercy »,

 

Accélérer sur les questions symboliques pour mieux se concentrer sur la lutte contre le chômage, mère de toutes les batailles aux yeux de la « soce », qui reste sur sa faim : « Une forme de guerre contre le chômage », ajoute-t-elle.

Et sur le plan des solutions pour stimuler l'emploi, elle a en plus le culot de ne rien proposer de nouveau, préférant développer ses marottes du moment :

La mutation écologique – un « formidable levier de croissance » – ;

L'économie sociale et solidaire – « un gisement important d'emplois » ;

Et le recours à la banque publique d'investissement, qu'elle copréside, justement.

Avec cumul des rémunérations et des « menus-avantages » qui font tout le charme de ce beau-pays d’élites-trisomiques & autistes !

 

Et comme par hasard, tout cela se passe juste avant la conférence de presse de « François III » d’après-demain, aube d'un probable remaniement ministériel !

Qu’elle en exige, du prochain gouvernement, qu'il fixe un cap une fois pour toutes.

« Insuffler de la confiance », « donner des perspectives », « dire ce que la « Gauloisie » sera dans cinq ans », tels sont les éléments de la « stratégie globale » pour regagner la confiance de l'opinion.

Elle demande également plus de discipline au sein du gouvernement.

Et que quoi elle se mêle au juste, sinon de n’en pas finir de régler ses comptes avec « Flanby-à-la-fraise-des-bois » ?

(Normalement, ça s’écrit « Flamby » m’a fait remarquer ma « petite-sœur-à moi », celle que si elle n’existait pas, il faudrait l’inventer quand même... Mais comme c’est une marque d’un groupe international Helvète, je ne le ferai que quand ils me paieront des royalties).

 

Difficile de croire, après ces propos très … « politiques », qu’elle ne souhaite pas intégrer le dispositif gouvernemental à l'issue du prochain remaniement.

Et pourtant, elle répète que la question n'est encore « pas d'actualité ».

Puisqu’elle redit qu'elle sera candidate à sa propre succession à la tête du Conseil régional de Poitou-Charentes aux prochaines régionales.

Un poste qu'elle devrait abandonner si elle acceptait de devenir ministre :

« J'ai lancé de grands chantiers dans ma région laboratoire et je veux les mener à leur terme », jure-t-elle. « C'est une conception de la morale de l'action ».

 

C’est sûr que le pays est ainsi pris en otage d’expérimentateurs novices (rien que le « philosophe » de son côté entre les réformes des rythmes scolaires et de la « morale laïque & républicaine » et l’autre avec son « mariage pour tous », même les « moches, petites et chauves », pour ne prendre que deux exemples), qui fleurent bon la troisième République et ses « loges ».

Y’a qu’à se faire relater les « planches » des dernières années…

On en arrive même à expérimenter un virus de la grippe tous les ans, maintenant et une crise sanitaire tous les deux ans, alternant avec un scandale médical ou pharmacologique, histoire de nous rappeler qu’« ils » ont aussi droit de vie ou de mort sur tout ce qui bouge !

Même s’ils s’en défendent, naturellement…

Ils ont même réussi à faire 3 morts en cramant une usine désaffectée à Lyon 8ème, bourrée de Rom réunis en squat illégal, comme pour mieux accélérer les reconduites aux frontières ; « Gué-an » n’y avait pas pensé, lui !

De toute façon, c’est pour notre bien : On devra les remercier.

 

Bé on va expérimenter la cohabitation entre deux fausses « premières dames ».

La coexistence n’ayant pas été de tout repos jusque-là, la suite de l’expérimentation risque franchement d’être rigolatoire…

La suite à partir de jeudi, paraît-il.

Tout ça parce que le « capitaine de pédalo », il ne sait pas dire « non » sans pour autant savoir dire « oui » à la fourrer dans n’importe quel pot… et que ça se sait de tout le monde.

Nul le mek : On dit « oui si » ou « non mais », ça remet l’initiative entre les mains de « la belle-convoitée » aux conditions sous-entendues, même si elles sont « non-dites » à ce moment-là, et permet d’y mettre fin sans égard, et de ne même de risquer l’incident diplomatique persistant.

Ce n’est quand même si compliqué que ça !

Et en plus, ça soulage le nerf-honteux au passage…

C’est moi qui vous le dit !

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13 mai 2013 1 13 /05 /mai /2013 04:01

BCE étude n° 1518 de mars 2013 : Petit résumé

 

Juste pour le plaisir…

Les keynésiens affirment que les déficits sont « bons pour la croissance », ce qui conduit à soutenir davantage de dépenses publiques.

Les partisans de l’« austérité », telle qu’elle est défendue dans des lieux comme le Fonds Monétaire International, jugent au contraire que les déficits sont « mauvais pour la croissance », ce qui conduit à soutenir des impôts plus élevés.

Et vous avez aussi des institutions comme le « Congressional Budget Office » américain qui souhaitent le pire des mondes possibles : Soutenir les dépenses keynésiennes à court terme tout en préconisant une augmentation des impôts sur le long terme.

Les uns comme les autres ont tout faux.

 

Car, la Banque Centrale Européenne (BCE) a publié (en anglais, des fois qu’on puisse en faire publicité en « francilien ») une nouvelle recherche intitulée « Composition du budget et croissance à long terme », passée totalement sous silence par nos « medias-aux-ordres », alors qu’elle devrait nourrir au moins un débat de « sachants », qui conclue que les déficits publics sont la seule variable clé qui provoque ou non un « climat propice » à la croissance.

Mais au-delà de ça, ses « experts » regardent de façon factuelle comment les différentes variables de la politique budgétaire influencent les performances économiques.

 

Résumé : « Dans cette étude, nous utilisons les données d’un large échantillon de pays développés et en développement durant la période 1970-2008. (… Et des outils mathématiques hors de portée du commun des mortels…)

Plus précisément, nous examinons la question suivante : quels éléments du budget ont une incidence (positive ou négative) sur le taux de croissance du PIB par habitant. (…)

Notre étude suggère que, pour l’ensemble de l'échantillon, (…) les dépenses publiques apparaissent avec des signes négatifs significatifs. »

 

Autrement dit qu’elles soient financées par l'impôt ou par l'emprunt, les dépenses publiques excessives nuisent à l’économie en détournant les ressources des emplois productifs.

 

Même si toutes les dépenses publiques ne génèrent pas les mêmes effets. Par exemple :

 

« Pour conclure, nos résultats montrent notamment que :

Sur l’ensemble de l’échantillon, les recettes n'ont pas d'impact significatif sur la croissance tandis que les dépenses publiques ont des effets négatifs importants.

Nous l’affirmions déjà quand nous étions bien plus jeunes : Péter au-dessus de son kul, (et à crédit) ce n’est pas raisonnable !

 

La même chose est observée pour le sous-échantillon de l'OCDE avec la nuance que le total des recettes de l'État a un impact négatif sur la croissance ;

Plus tu enfles du ciboulot plus vite que tes chevilles, plus tu charges la barque sans augmenter la flottaison, plus tu ralentis la marche du navire jusqu’à prendre le risque de te casser la gueule…

En « dériveur-sportif », on appelle ça « dessaler » : Grèce, Chypre…

À la baille et tout mouillé, quoi !

 

Les impôts sur le revenu ne sont pas les bienvenues pour favoriser la croissance ;

Ça, on s’en doutait également. Plus tu t’en laisses piquer, moins il t’en reste pour becqueter !

Ou autre chose d’ailleurs…

Ce qui est autant de moins qui vont ailleurs, sans que tu ne le revoies jamais !

 

Les traitements des fonctionnaires, les paiements d'intérêt, les subventions et les dépenses de consommation publique ont un effet négatif sur la croissance de la production ;

Comme pour mieux le dire, ce n’est finalement pas tant le poids de la recette publique qui compte, mais bien le poids de la dépense publique.

Et qu’elle que soit la façon de la financer.

Mais jusque-là, j’avais un peu l’impression de prêcher tout seul dans un grand désert.

Depuis désormais, je me félicite que même les « experts » de la BCE s’inspirent de ce « piti-blog », figurez-vous !

Ne serait-ce que pour mieux claquer du pognon à confirmer mes « géniales-intuitions »…

 

Les dépenses de sécurité sociale et autres revenus de transfert n’améliorent pas la croissance. »

Autrement dit, les « redistributions », si elles restent nécessaires dans nos pays, n’est pas un facteur de croissance.

Je n’irai pas jusqu’à dire qu’elle la plombe, même si beaucoup franchissent le pas, mais disons qu’elles sont neutres.

Le tout serait de savoir à quels coûts de « gestion & administration » elles fonctionnent encore si mal chez nous… incapables de réduire, voire de contenir la « fracture-sociale » qui va nous sauter à la tronche…

 

Autrement dit, vous avez bien lu : C’est exactement le contre-pied de tout ce qu’on entend depuis des décennies sous nos latitudes, comme autant de vérités incontournables émises par nos « sachants » et tout autre « autiste/trisomique » qui conseillent nos princes et font la « pensée unique » !

Assez peu banal pour être quand même signalé dans ces colonnes !

Parce que la mort de Keynes, par des « experts » qui ne sont pas vraiment des « monétaristes » et encore moins des « libéraux », je la trouve assez formidable.

Keynes serait-il rangé au rang des « erreurs-historiques », un peu comme la Révolution d’Octobre ?

 

Conclusion : « Les dépenses publiques sont négativement corrélées avec la performance économique des pays en développement et avancés. »

Autrement dit plus tu claques du fric public, plus tu plombes l’économie du pays …. Économie qui est d’ailleurs la seule à générer ce « fric-publik ».

À moins que ce soit l’inverse : Plus ça va mal, plus il faut ouvrir le porte-monnaie public !

 

Mais au-delà et pour répondre aux interrogations et prétentions d’antan d’Incognitoto affirmant l’inverse, il est également intéressant de constater que les impôts sont mauvais pour la croissance dans tous les pays, et que la pression fiscale totale est mauvaise pour la croissance des pays avancés…

Les auteurs de l'étude constatent également que certaines formes de dépenses publiques sont particulièrement préjudiciables à la croissance.

Si les biens publics de base peuvent être bons pour la croissance, les autres types de dépenses publiques sapent la prospérité.

 

Alors qu'est-ce que tout cela signifie ? Simplement que le problème financier de presque tous les pays n'est finalement pas d’avoir des comptes publics dans le rouge.

Mais plutôt d’avoir trop d’État qui coûte trop cher pour ne rien « rapporter » de positif aux populations ni à l’économie d’un pays.

Pour reprendre une image nautique, ils nous forcent à galérer comme des esclaves pour leur permettre de s’agiter en tous sens à faire des bulles…

 

Et ça là tous les effets de la dérive de nos démocraties qui se transforment au bout du compte en « impérialisme des élus ».

Cet « impérialisme-électif » repose seulement sur 4 fondements :

La défense des intérêts personnels des politiciens qui, pour se donner de l'importance et entretenir leur clientèle électorale, veulent dépenser toujours plus d'argent public (voir en haut-à-gôche, la présentation de ce blog inchangée depuis… 2006 !) ;

Le refus de la concurrence fiscale qui pourrait favoriser la baisse des impôts ;

Mais en revanche la volonté « d'harmonisation fiscale » qui favorise l'augmentation des impôts sous prétexte d'organiser la concurrence ;

L'interdiction faites aux contribuables de discuter et de décider des taux d'imposition auxquels ils sont soumis.

 

Les quatre cibles prioritaires qui, une fois abattues, redonneront un sens à la vie publique. Ce qu’ont parfaitement su faire notamment les pays scandinaves, par exemple.

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12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 04:02

Suite de notre rubrique

 

On se souvient tous du débat « d’entre-deux-tours » du 2 mai 2012, où « pépère-pingouin », futur « capitaine de pédalo », mais déjà « fraise des bois » nous avait fait un numéro d’anaphore qui a failli laisser sans voix notre déjà futur « ex-Ô combien vénéré Président » dit aussi « Bling-bling » : « Moi je » !

Quinze fois, pour 15 phrases qui sonnent comme autant de promesses dans la bouche de celui que vous avez désormais porté aux commandes du pays depuis une année.

 

Petite récréation dominicale :

 

« Moi président de la République, je ne serai pas le chef de la majorité, je ne recevrai pas les parlementaires de la majorité à l'Élysée. »

Promesse non-tenue !

Devant le risque de se « couper de sa base » que sont les élus PS, le président a reçu en toute discrétion une dizaine de parlementaires le 19 avril dernier, pensant sans doute que la mémoire du « Gaulois de Gauloisie » moyen ne dépasse pas celle du poisson rouge.

Et ce genre de rendez-vous pourrait se renouveler de manière régulière…

 

« Moi président de la République, je ne traiterai pas mon Premier ministre de collaborateur. »

Lui non, mais certains ministres ne se sont pas privés de remettre en cause l'autorité de leur « big-bosse », obligeant ce dernier à s'affirmer.

Les exemples sont légion : « Domino Berthe-i-notti », « Sicile Du-flot-vert », « Vingt-cent Payons » et « Art-no Monte-Bourre », ont dû être « recadrés » à plusieurs reprises : De quoi faire désordre !

 

« Moi président de la République, je ne participerai pas à des collectes de fonds pour mon propre parti, dans un hôtel parisien. »

Il ne l’a pas fait : Faut dire aussi qu’à aucun moment il n’a eu besoin de le faire, puisque la campagne électorale est terminée depuis 1 an.

Mais sait-on jamais : Il y en a d’autres à venir…

Et je lui conseille de m’inviter dans « ma » cave élyséenne : Nous serons nombreux à y faire agapes et donations !

 

« Moi président de la République, je ferai fonctionner la justice de manière indépendante. Je ne nommerai pas les membres du parquet, alors que l'avis du Conseil supérieur de la magistrature n'a pas été dans ce sens. »

La « garde-des-sots » a effectivement émis une circulaire en ce sens.

Elle prévoit que le ministre définit « la politique pénale au travers d'instructions générales et impersonnelles », mais ne donne plus d'instructions individuelles sur les affaires en cours.

« Je souhaite que le parquet, grâce à un nouveau mode de nomination où serait inscrite dans la loi l'impossibilité de passer outre à un avis négatif du Conseil supérieur de la magistrature, puisse mener une action publique efficace, cohérente à l'impartialité renforcée », peut-on lire.

Mais ces dispositions doivent encore être entérinées dans la future loi constitutionnelle portant réforme du Conseil supérieur de la magistrature.

 

« Moi président de la République, je n'aurai pas la prétention de nommer les présidents des chaînes publiques. Je laisserai ça à des instances indépendantes. »

Hélas, le pouvoir de nomination des présidents de l'audio-visuel public (Trans-Télévisions, Radio-Intox…) revient depuis 2009 au président de la République.

Même un projet de loi doit être présenté dans le courant du mois de mai afin de transmettre cette prérogative au CSA.

Et le nouveau président du CSA, « Oliver Meck-à-Schra », a été nommé en janvier par... « François III » !

Promesse non-tenue !

 

« Moi président de la République, je ferai en sorte que mon comportement soit à chaque instant exemplaire. »

Il faisait référence à des expressions et attitudes pas toujours très dignes de la fonction, comme le fameux « Kasse-toi, pôv’ kon ».

En revanche, s’il a bien un langage « châtié », hâché bêtement, même, comme s’il cherchait ses mots, personne ne lui a expliqué comment faire un nœud-cravate qui ne tourne pas.

Ni qu’il ferait bien de s’acheter des costumes une taille au-dessus de ses habituelles vestes qui lui donnent un air de fagot quand il les boutonne.

Ni qu’il n’est pas très « exemplaire » de promener sa « poupée à galipettes », divorcée seulement en 2010, sans la pacser ou la marier, et qui n’a pas repris son nom de jeune-fille, dans tous ses déplacements étrangers…

Ça encore, ce n’est pas bien grave : En revanche payer par le denier public un secrétariat complet à la dame, ça reste indécent surtout en « période de crise »…

Promesse non-tenue !

 

« Moi président de la République, j'aurai aussi à cœur de ne pas avoir de statut pénal du chef de l'État, je le ferai réformer. »

Seule l'immunité civile du président de la République pourrait être supprimée (pour l'essentiel, les conséquences de cette responsabilité sont le versement de dommages et intérêts).

Le gouvernement s'est néanmoins empressé d'encadrer cette possibilité nouvelle d'attaquer en justice le chef de l'État : Une autorisation préalable de la Commission des requêtes sera nécessaire.

Quant au volet pénal, l'immunité devrait rester la règle.

Jusqu'à aujourd'hui, en vertu de l'article 67 de la Constitution, le président ne peut pas être cité ou convoqué au cours d'un procès.

Promesse non-tenue !

 

« Moi président de la République, je constituerai un gouvernement qui sera paritaire. »

Il l’a fait ! Sur les trente-huit ministres, dix-neuf sont des femmes.

En revanche, la composition des cabinets ministériels, à l'image de l'Assemblée, est avant tout masculine, notamment parmi les plus hautes fonctions. Et il n’y a pas de « transgenre » avéré, autrement dit le « troisième » ou « quatrième » sexe.

Quant à la venue d’un handicapé…

Notez qu’il semble qu’ils le sont tous, mais seulement du neurone : Ça ne se voit pas !

 

« Moi président de la République, il y aura un code de déontologie pour les ministres. »

Un « code », non ! Promesse non-tenue !

Mais une « charte » dont nous vous avions déjà fait une « approche » de tous les non-dits.

D’ailleurs, il n’a même pas fallu un an pour qu’elle montre ses limites avec l'affaire « Cas-zut-hack » : Vous étiez prévenus.

Et ce n’est pas fini…

Dans un premier temps, tous les ministres ont été sommés, sur la base de leur seule bonne foi, de révéler au public leur patrimoine, en tout cas la partie visible, même si certains ont fait des « omissions » ou des sous-évaluations.

D’ailleurs, le Président lui-même donnait l’exemple un an avant en évaluant sa propre garçonnière méridionale à une valeur défiant toute concurrence…

Et puis, lors du conseil des ministres du 10 avril, plusieurs projets de loi ont été dévoilés : Ils ont pour objectif d'instaurer une « haute autorité, totalement indépendante », chargée de contrôler les déclarations de patrimoine et d'intérêts avec de vastes pouvoirs d'investigation (possibilité d'auto-saisine, réquisition des services fiscaux...).

Plus tard seulement, on passera peut-être par « les fistons », alliés et collatéraux et enfin à tous les élus nationaux…

 

« Moi président de la République, les ministres ne pourront pas cumuler leur fonction avec un mandat local. »

Là encore, on en rigole : L’incompatibilité est constitutionnelle avec des mandats ressortant de du domaine du pouvoir législatif. Il aurait dû dire « cumul de mandat local exécutif ».

Si les ministres ont dû démissionner de leur fonction de maire, maire-adjoint ou président de collectivité territoriale (comme « Valse » à Évry, par exemple), ils peuvent toujours rester « simples » conseillers.

Et continuer, ainsi, de cumuler fonctions nationale et locale.

Promesse non-tenue !

Ce dont certains ne se gênent pas, même si « J’y-Aime-Air-Haut » n’arrive plus, et depuis au moins un an, à tracer ses pistes à « Notre-Dame-des-landes » : C’est dire l’incompétence l’incapacité du bonhomme…

 

« Moi président de la République, je ferai un acte de décentralisation, parce que je pense que les collectivités locales ont besoin d'un nouveau souffle, de nouvelles compétences, de nouvelles libertés. »

Il aura fallu attendre le 10 avril dernier pour voir arriver trois projets de loi distincts qui constituent l'« acte III de la décentralisation ».

À l’ordre du jour du parlement fin mai.

Un « tronçonnage » censé réduire les oppositions des élus, qui défendent leurs prérogatives locales…

Néanmoins, les propositions ont déjà été largement édulcorées par rapport aux promesses formulées sur la feuille de route du candidat. Par exemple, elles ne suppriment aucun échelon administratif du fameux « mille-feuille territorial ».

Elles en créent au contraire un nouveau, avec l'apparition de la notion de « métropoles » au statut particulier (Paris, Lyon et Aix-Marseille-Provence) : Promesse non-tenue !

 

« Moi président de la République, je ferai en sorte que les partenaires sociaux puissent être considérés, aussi bien les organisations professionnelles que les syndicats, et que nous puissions régulièrement avoir une discussion sur ce qui relève de la loi ou de la négociation. »

Le vote par l'Assemblée du projet de loi sur la « flexi-précarisation-sécurité » de l'emploi de l’accord signé avec retard le 11 janvier dernier seulement entre les partenaires sociaux (du côté du patronat : la CGPME et l'UPA ; du côté des syndicats de salariés : la CFDT, la CFTC et CFE-CGC) en témoignerait.

L'essentiel du projet a déjà été validé par les députés, mais des voix se sont élevées parmi certaines organisations qui dénoncent les coups de griffe portés au texte par certains amendements !

Quant à la CGT et à FO, elles sont carrément hostiles à l'accord.

Quant à la « régularité » promise : Ensemble vide !

D’ailleurs, on a rien vu sur les lois de finances de la sécurité sociale, l’âge du départ à la retraite, le CICE, et quelques dispositions de lois de finances qui concernent quand même les syndicats salariés et même patronaux…

Promesse non-tenue !

 

« Moi président de la République, j'engagerai de grands débats, on a évoqué celui de l'énergie. Il est légitime qu'il puisse y avoir sur ces questions-là de grands débats citoyens. »

Le « débat national sur la transition énergétique » (DNTE) ainsi promis est actuellement mené par la ministre de l'Écologie « Delph’-Bateaux ». Mais jusque-là c’est un débat cantonné par quelques « technocrates-de-sachants » en diverses commissions qui discutent entre eux de l’avenir, sans véritable participation des citoyens…

Alors, grand, grand, grand, c’est surtout long et silencieux !

Quant à d’autres domaines de compétence, comme le « mariage pour tous » par exemple, le débat se déroule seulement dans la rue entre flics et « manifestants pour tous »…

Promesse non-tenue !

 

« Moi président de la République, j'introduirai la représentation proportionnelle pour les élections législatives, pour celles de 2017, car je pense qu'il est bon que toutes les sensibilités politiques soient représentées. »

Le rapport commandé à « Tonton Yoyo » préconisait en novembre une dose de proportionnelle de 10 % pour les législatives.

Depuis, la proposition est sortie des écrans radars... Notamment parce que chacun a pu en mesurer tous les dangers en 1986 !

Très logiquement : Promesse pas encore tenue !

 

« Moi président de la République, j'essaierai d'avoir de la hauteur de vue pour fixer les grandes orientations, les grandes impulsions, mais je ne m'occuperai pas de tout et j'aurai toujours le souci de la proximité, avec les Français. »

« Ne pas s'occuper de tout » entraîne « ne pas paraître assez concerné » !

Pour la proximité, il se réveille seulement depuis le début de l’année…

Et dans les esprits, l'éloignement s'agrandit de plus en plus entre le peuple des électeurs et leur élu : Seuls 24 % d'entre eux lui font encore confiance au début du mois…

Selon d’autres simulations, si ç’avait été à refaire, on aurait même eu un second « 21 avril » : C’est dire !

Autrement dit, il était temps qu’il tienne sa promesse en son entier.

 

En conclusion, sur 15 « promesses », neuf sont « non-tenues » !

Comme pourrait dire « l’autre » causant de « l’ex-ministre de l’intérieur » : « C’est soit un voleur (…) soit un menteur ! »

Rien que du très « normal », finalement.

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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 04:06

Ou la portée des « gros-mots ».

 

REPUBLIQUE FRANCAISE

AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS

 

LA COUR DE CASSATION, chambre civile, a rendu l'arrêt suivant :

 

Attendu, selon l'arrêt attaqué, que la société Agence du Palais qui avait employé Mme Y..., et sa gérante, Mme X..., ont assigné leur ancienne salariée en paiement de dommages intérêts et prescription de diverses mesures d'interdiction et de publicité, pour avoir publié sur divers réseaux sociaux accessibles sur internet, les propos suivants, qu'elles qualifiaient d'injures publiques :

•"sarko devrait voter une loi pour exterminer les directrices chieuses comme la mienne !!! (site MSN)

•"extermination des directrices chieuses" (Facebook)

•"éliminons nos patrons et surtout nos patronnes (mal baisées) qui nous pourrissent la vie !!!" (Facebook)

•"Rose Marie motivée plus que jamais à ne pas me laisser faire. Y'en a marre des connes" ;

 

Sur le moyen unique, pris en ses quatre premières branches

Attendu qu'il est fait grief à l'arrêt de rejeter les demandes de Mme X... alors, selon le moyen :

 

1) - Que les informations publiées sur un site de réseau social, qui permet à chacun de ses membres d'y avoir accès à la seule condition d'avoir été préalablement agréé par le membre qui les a publiées, sont publiques ; que dès lors, en rejetant le caractère public des propos publiés par Mme Y... sur les sites Facebook et MSN, auquel n'importe quel membre de ce site pouvait avoir accès dès lors qu'il était agréé par Mme Y..., la cour d'appel a violé les articles 23, 29, alinéa 2, et 33, alinéa 2, de la loi du 29 juillet 1881 ;

 

2) - Que l'élément de publicité des infractions de presse est constitué dès lors que les destinataires des propos incriminés, quel que soit leur nombre, ne forment pas entre eux une communauté d'intérêt ; qu'en l'espèce, Mme Y... a publié les propos incriminés sur les sites Facebook et MSN, qui étaient accessibles à ses différents « amis » ou « contacts » ; qu'en déduisant le caractère non public de ces propos au motif inopérant qu'ils auraient été diffusés à des membres choisis en nombre très restreint, ce qui serait exclusif de la notion de public inconnu et imprévisible, la cour d'appel a violé les articles 23, 29, alinéa 2, et 33, alinéa 2, de la loi du 29 juillet 1881 ;

 

3) - Que la communauté d'intérêts peut se définir comme un groupe de personnes liées par une appartenance commune, des aspirations et des objectifs partagés ; qu'en relevant que les membres choisis par Mme Y..., compte tenu du mode de sélection, par affinités amicales ou sociales, forment une communauté d'intérêts, bien qu'ils ne fussent liés entre eux par aucune appartenance commune, ni aucune aspiration ou objectif partagés, la cour d'appel a de nouveau violé les articles 23, 29, alinéa 2, et 33, alinéa 2, de la loi du 29 juillet 1881 ;

 

4) - Qu'en affirmant que les contacts choisis par Mme Y... l'avaient été par affinités amicales ou sociales, la cour d'appel s'est prononcée par un motif alternatif équivalent à un défaut de motifs et ainsi a violé l'article 455 du code de procédure civile ;

 

Mais attendu qu'après avoir constaté que les propos litigieux avaient été diffusés sur les comptes ouverts par Mme Y... tant sur le site Facebook que sur le site MSN, lesquels n'étaient en l'espèce accessibles qu'aux seules personnes agréées par l'intéressée, en nombre très restreint, la cour d'appel a retenu, par un motif adopté exempt de caractère hypothétique, que celles-ci formaient une communauté d'intérêts ; qu'elle en a exactement déduit que ces propos ne constituaient pas des injures publiques ; que le moyen n'est pas touché en ses quatre premières branches ;

 

Mais sur la cinquième branche du moyen

 

Vu l'article R621-2 du Code pénal ;

 

Attendu que pour rejeter les prétentions de Mme X..., la cour d'appel s'est bornée à constater que les propos litigieux ne constituaient pas des injures publiques ;

 

Qu'en statuant ainsi sans rechercher, comme il lui incombait de le faire, si les propos litigieux pouvaient être qualifiés d'injures non publiques, la cour d'appel a violé par refus d'application le texte susvisé ;

 

PAR CES MOTIFS :

Casse et annule, sauf en sa disposition déclarant irrecevable l'action de la société Agence du Palais, l'arrêt rendu le 9 mars 2011, entre les parties, par la cour d'appel de Paris ;

Remet, en conséquence, sauf sur ce point, la cause et les parties dans l'état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Versailles.

 

M. Charruault, Président

 

Absolument époustouflant !

Selon cet arrêt de cassation de la Chambre civile, la publication sur les réseaux sociaux d'injures à l'encontre d'une personne, n'est pas forcément passible de l'incrimination d'injures publiques.

Pour tout vous dire, elle peut aussi être une injure non-publique…

La belle affaire : Dont acte !

Tel est le cas lorsque les propos litigieux, diffusés sur les comptes Facebook et MSN d'une personne, sont accessibles aux seules personnes agréées par l'intéressée, en nombre très restreint.

Dont acte : La Cour de cassation admet que la communauté d'intérêts fait obstacle à la notion « d'injure publique ».

 

Du coup, lorsqu'un employé critique un membre de l'équipe dirigeante de la société sur les réseaux sociaux, il peut perdre sa place mais aussi devoir répondre en justice des propos qu'il a tenus.

Dans l'affaire en cause (premier paragraphe : les faits), une ancienne salariée a été assignée (la procédure) en paiement de dommages intérêts et prescription de diverses mesures d'interdiction et de publicité, pour avoir publié sur divers réseaux sociaux accessibles sur internet, les propos suivants, que l'employeur qualifiait « d'injures publiques » (que la décence nous interdit de reproduire dans ces colonnes).

Prose pour le moins assez claire du ressentiment vécu par la défenderesse à l’égard de son ancien dirigeant, qui n’a pas manqué de la licencier…

Mais c’est une autre histoire.

 

L'entreprise fait donc valoir que les informations publiées sur un site de réseau social, qui permet à chacun de ses membres d'y avoir accès à la seule condition d'avoir été préalablement agréé par le membre qui les a publiées, sont publiques, et que dès lors, l'ancienne salariée était passible de l'incrimination pour injure publique.

Quoique là, je qualifierai plutôt ces propos de « haine de classe » ou « d’appel à la violence ! ». On y cause quand même « d’extermination », non pas de la peste ou des nuisibles, mais de quelques humains du genre « Sapiens-sapiens »…

Notez que ce n’est pas soulevé par les avocats…

Comme quoi… passons !

 

Après avoir relevé que les membres choisis par l'ancienne salariée, compte tenu du mode de sélection, par affinités amicales ou sociales, formaient « une communauté d'intérêts », bien qu'ils ne fussent liés entre eux par aucune appartenance commune, ni aucune aspiration ou objectif partagés, la Cour d'appel de Paris rejette la qualification « d'injure publique ».

Ce sont juste des « opinions »… qui ressortent donc de la sphère « privée » et de ses libertés garanties par la Constitution de ce pays…

 

Elle admet dès lors que les propos échangés sur les réseaux sociaux, entre quelques personnes ayant des affinités proches (famille, amis, collègues de travail, etc.) après des paramétrages de confidentialité, et pouvant être lus uniquement par elles, ne puissent pas être qualifiés de propos tenus « publiquement ».

En conséquence, même s'il s'agit d'injures, l'incrimination d'injures publiques n'est pas retenue.

 

Et l’arrêt ci-dessus reproduit confirme au motif que « les propos litigieux avaient été diffusés sur les comptes ouverts par Mme Y... tant sur le site Facebook que sur le site MSN, lesquels n'étaient en l'espèce accessibles qu'aux seules personnes agréées par l'intéressée, en nombre très restreint ». Les propos incriminés ne constituaient pas des injures publiques.

Attention, il n’en va pas de même pour un blog… ouvert à tous ceux qui cherchent « un peu » : Méfiez-vous de vos commentaires, en quelque sorte !

 

En revanche, la Cour d'appel de Paris a, à tort, également rejeté la qualification « d'injures non publiques ».

En effet, l'article R621-2 du Code pénal sanctionne l'injure non publique envers une personne, lorsqu'elle n'a pas été précédée de provocation, d'une amende correspondant à une contravention de la 1ère classe (amende plafonnée à 38 euros…).

Quand il y a provocation, propos outrancier destiné « à faire réagir », il y a « excuse absolutoire »…

Un vieux principe de droit pénal.

Pour la Cour de cassation ce n'est pas parce que les propos ne pouvaient pas être qualifiés d'injures publiques, qu'ils ne constituaient pas des injures non publiques. Et sur ce point, l'arrêt est cassé et renvoyé devant la Cour d'appel de Versailles.

 

Compliqué, à démêler, mais assez rigolatoire à souhait : Même en cas de provocation, laisser une trace écrite de propos désopilant et non-conforme à la bienséance, ça vous rattrape toujours un jour…

J’en ai auto-suicidé plusieurs sites comme ça et je fais attention depuis.

Si franchement vous voulez être insultant, soit vous inventez un mot qui n’existe pas (le cas de la faute de frappe, mais n’importe quoi d’autres, exemple : « Extrait de noix de clachetamouffe ! »), soit vous vous référez aux 1.400 injures du capitaine Haddock : Hergé savait y faire.

 

Bref, une petite leçon de savoir vivre à Miss Y… : 4 fois que des magistrats « +++ » seront mobilisés pour lui dire que ce n’est « pas bien » !

Et avec vos impôts, en plus…

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 04:06

La « clé du paradis »…

 

C'est un gamin qui demande à son père :

« – Papa comment on fait les bébés ? »

Jean-Marc répond :

« – Écoute mon fils, maman a le paradis entre ses jambes et moi j'ai la clé du paradis, tu comprends ?

– Oui papa mais est-ce que le voisin a aussi la clé du paradis ?

– Oui mon fils, il en a une. Pourquoi cette question ?

– Parce qu’hier c'est le voisin qui l'a ouvert, le paradis. »

 

Une actrice de théâtre se plaint à une collègue :

« – Mon fiancé est d'une jalousie maladive !

Il m'accuse de le tromper alors que depuis 6 mois je n'ai eu qu'un seul amant : Le pompier de service !

– Oui, mais tu oublies de préciser qu'il change tous les soirs ! »

 

Un gentleman anglais va voir son avocat pour entamer une procédure de divorce.

« – Vous avez un motif grave ?

– Oui maître, elle m'a traité d'idiot !

– Mais enfin, monsieur, ce n'est pas un motif grave !

– Peut-être pas pour vous mais quand je suis rentré à l'improviste chez moi, je l'ai trouvée couchée avec un autre.

– Voilà qui est mieux…

– … Je lui ai demandé ce qu'elle était en train de faire et elle m'a répondu : Tu le vois bien, espèce d'idiot ! »

 

Une dame revient vers minuit et trouve la baby-sitter avec la jupe déchirée, le corsage en lambeaux, la tignasse défaite, le soutien-gorge pendant, la savate éparpillée, la jarretelle dégoulinante, etc.

« – Mon fils a été insupportable ?

– Non madame, il s'est endormi à huit heures et demie.

Par contre, votre mari est rentré beaucoup plus tôt que prévu ! »

 

Un lièvre se fait shooter par une voiture.

Il atterrit 50 mètres plus loin dans un champ, entre les sabots d'un taureau.

Celui-ci lui dit :

« – Tu es quand même un peu con, avec les oreilles que tu as, tu n'as pas entendu la voiture arriver ?

– Et toi, tu as vu la paire de cornes que tu as malgré tes grosses boules entre les jambes ? »

 

Jean-Marc rentre d’un long voyage.

« – Alors chérie, tu as été fidèle ?

– Oui, bien sûr, pas de problème. »

Ravi, Jean-Marc lui saute dessus et ils font l'amour comme des fous.

C’est alors que le voisin frappe à la porte et crie :

« Alors, c'est tous les soirs maintenant ? »

 

Variante :

« – Papa, comment cela s'appelle, là entre les jambes de Maman ?

– Cela s'appelle le Paradis, fiston.

– Et chez toi Papa, comment ça s'appelle ?

– C'est la clé du Paradis.

– Dis, Papa, tu devrais faire gaffe, le voisin du dessus a un passe-partout ! »

 

C'est deux filles qui arrivent au Paradis, l'une dit à l'autre :

« – Salut ! Tu es morte de quoi toi ?

– Crise cardiaque et toi ?

– Congelée. Comment est-ce arrivé, ta crise cardiaque ?

– Oh, hum... J'avais un mari adorable, un jour en rentrant chez moi je l'ai retrouvé nu. J'ai pensé qu'il me trompait. J'ai cherché la fille partout et puis je ne l'ai pas retrouvée. Alors, énervée, épuisée, j'ai fait une crise cardiaque...

– Punaise !

– Pardon ?

– T’es con ! Si t'avais regardé dans le congélateur on serait encore en vie toute les deux ! »

 

Le voisin de Jean-Marc vient chaque matin frapper à sa porte depuis peu.

Jean-Marc partant toujours très tôt au boulot, c'est sa femme qui ouvre et là, l'homme lui demande gentiment :

« Madame, avez-vous un cul ? »

Question de mauvais goût, telle que madame lui ferme aussitôt la porte au nez.

Mais le voisin ne tarde pas à revenir le lendemain et le lendemain du lendemain avec la même question :

« Madame, avez-vous un cul ? »

Embarrassée la femme en parle à Jean-Marc le soir dès son retour du travail.

« Chérie, je ne vais pas bosser demain. Il nous trouvera tous les deux et il m'expliquera ce qu'il veut. Dès qu'il te pose la question, réponds et je serai derrière la porte avec un gourdin. »

Le lendemain, voisin se ramène :

Toc, toc, toc : « Bonjour madame avez-vous des seins ? »

– Oui et que voulez ? Les toucher ?

– Non madame, je voudrais seulement que vous disiez à votre mari d'arrêter de toucher à ceux de ma femme. »

 

Jean-Marc se méfie de sa femme.

Il installe sous le lit conjugal un pot de crème fraîche et suspend une cuiller qui trempe dans le pot.

Le lendemain il regarde sous le lit : Il trouve une motte de beurre !

 

Jean-Marc et Jean-Paul discutent.

Tout à coup, l'un d'eux demande à l'autre :

« À ton avis, sans te compter, combien crois-tu qu'il y ait de cocus dans la ville ? »

L'autre répond, furieux :

« – Comment ça, sans me compter ?

– Excuse-moi », reprend Jean-Marc un peu gêné. « Je n'ai pas voulu te froisser. Alors, en te comptant, combien crois-tu qu'il y en ait ? »

 

Jean-Paul rentre chez lui plus tôt que de coutume et trouve sa femme très occupée sur le canapé avec le facteur.

Le lendemain, il retrouve son meilleur ami Jean-Marc au bar et lui raconte ses malheurs.

« – Qu'est-ce que tu as fait ?

– J'ai claqué la porte un bon coup en partant, pour bien montrer que je n'étais pas content !

– Oui, mais encore ?

– Eh bien, je vais vendre le canapé ! »

 

Jean-Marc rentre chez lui à quatre heures du matin.

Pour ne pas réveiller sa femme, il se déshabille avant d'entrer dans la chambre. Puis, il entre sans faire de bruit.

C'est alors qu'il croise un homme qui en sort et qui lui dit :

« Bonne chance, mon vieux. Mais je vous conseille de faire vite : Elle attend son mari d'un moment à l'autre ! »

 

Dernière variante :

« – Dis papa, c'est bien le paradis qui est entre les jambes de maman ?

– Oui.

– Et c'est vrai que c'est toi qui a la clef ?

– Oui.

– Alors tu devrais changer de serrure : Le voisin a le double. »

 

Elles sont mimis, hein !

Sans rancune et bonne fin de week-end : La semaine prochaine, il vous faudra rattraper tout le retard accumulé en votre absence !

 

I3

 

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