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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 04:30

Nous y reviendrons donc demain,

 

Je n’allais pas vous laisser sans post ce matin…

Je me suis donc intéressé, la semaine passée, à une « petite étude » sur la motivation salariale de nos jours.

Fournie par Météojob et Alixio, des « concurrents » bien informés dans un domaine concomitant de quelques-unes de mes activités professionnelles.

Vous le savez sans doute déjà pour les habitués, en qualité de « Corsu-bien-né » je reste spectaculairement étonné (en même temps que très respectueux) par tous ces « pinzuti » qui perdent leur vie à l’envi et avec envie à la gagner … en bossant !

Si encore c’était pour leur propre compte comme moi-même, je veux bien l’entendre.

Mais à bosser « esclave » toute une vie pour autrui, ça dépasse singulièrement et largement mon entendement.

 

Qu’est-ce qui pousse certain à se lever tôt le matin pour affronter les cohortes d’autres « esclaves-salariés » dans les transports, qu’ils soient communs ou exceptionnels, pour accomplir une série de tâches plus débiles les unes que les autres et, bien pire, à revenir le lendemain avec enthousiasme après avoir trimé comme des bêtes une pleine et entière journée de labeur ?

Au secours : Expliquez-moi, SVP !

 

Vous me direz : La paye.

Faut quand même savoir compter !

Non seulement il y a plein de métiers où il faut « apprendre-avant », donc bosser pour des nèfles (c’est le cas pour 23 millions de personnes) ;

Mais en plus certains (environ 3 millions de personnes) où il faut « vraiment payer » pour y accéder, parfois toute une vie quand on fait « notaire » par exemple, en achetant sa licence, son pas-de-porte, sa clientèle et un « droit de présentation » ;

Voire passer des concours insipides (pour quelques quatre à cinq millions de gusses) ;

Et encore, tu bosses d’abord, tu es payé ensuite … Parfois peut-être seulement.

Parce que si tu parviens même à déterminer un prix « correct » pour ta sueur, non seulement on t’en pique entre 20 et 60 % après ou avant en prélèvements obligatoires déments !

Mais en plus, il faut attendre « la fin de mois » et que même pour une partie (13ème mois et autres primes contractuelles), la fin d’année…

Une vaste kouillonnade, finalement !

 

Oui-donc, et à part la paye, qu’est-ce qui « motive » ?

La tronche du patron et ses sautes-d’humeur ou simplement les « rondeurs accortes » et attractives de quelques créatures de rêve qui peuplent les secrétariats ou cantines collectives ?

Eh bien il paraît que pour les deux tiers des 23 millions de salariés de l'Hexagone, ils se déclarent « motivés par l'idée d'aller travailler le matin » !

Dingue, ça.

Mais pas à tout prix. Car la proximité, le concret et le quotidien prennent le pas sur toute autre considération.

D'ailleurs, 64 % des salariés se disent attirés par les PME.

Ils y sont déjà pour les trois-quarts… Passons !

 

Or, constat déroutant, les ressorts historiques des employeurs pour fidéliser leurs troupes laissent nombre de collaborateurs de marbre !

Si.

Hormis la rémunération, que le sondage n'a volontairement pas prise en compte, les salariés se mobilisent « par passion pour le contenu de leur poste », privilégient, entre autres, l'autonomie, l'ambiance et la notion d'équipe mais dédaignent l'engagement sociétal plus abstrait ou le fait que leur entreprise soit leader.

« L'éthique ou la satisfaction des clients sont aux premiers rangs de leurs motivations alors qu'on pense aux formations, à l'image du groupe, à la marque employeur, à la sécurité de l'emploi ou aux projets d'entreprise », s'étonne un DRH. « Les gens ont un rapport à l'entreprise plus utilitaire, ils veulent en être partie prenante », estime-t-il.

 

Aux yeux des salariés, le déficit d'information demeure : 62 % des sondés, y compris 44 % de cadres, se considèrent « pas assez informés » des enjeux de leur société.

Un constat « effarant, compte tenu du rôle des cadres », estime le secrétaire général de FO-cadres.

Il peut !

« Nous avons l'impression de faire le maximum. Sans doute les exigences sont-elles plus fortes encore ».

Mais, à l'heure où des millions et des millions de données sur Internet saturent les esprits, « les collaborateurs ont soif de messages qui leur sont propres et qui les concernent », estime une « top-less » DRH du cabinet Deloitte.

Et « ils attendent que l'information vienne de l'intérieur, que leur PDG donne sa vision », commente la DRH du groupe Keyrus, coté en Bourse.

« Nos communiqués s'assortissent toujours, en interne, d'une petite explication de texte venant de la direction générale et diffusée à tous nos collaborateurs. D'ailleurs, aujourd'hui, une information doit être communiquée plusieurs fois pour être bien intégrée », raconte-t-elle.

Il y n’aurait que des nains du neurone dans leurs rangs qu’on ne s’y prendrait pas autrement, pense-je pour ma part : Un esclave, ça reste toujours un esclave, jusqu’à ce qu’il s’affranchisse !

 

« Il faut aussi être vigilant au décalage entre l'image qu'une société donne à l'extérieur et le vécu des salariés », souligne-t-on ailleurs. La défiance surgit dès que les comportements et la communication externe manquent de cohérence.

En interne, c'est parfois contre-productif. « Nous avons une fondation pour l'éducation et le développement solidaire. Nos collaborateurs considèrent leur contribution comme un acte privé et ne souhaitent pas qu'elle soit récupérée de façon systématique pour en faire un outil marketing. Ils refusent les mélanges. »

Mais pas le métissage-zoukage des genres…

 

L'engagement sociétal des entreprises ne séduit que 4 % des sondés !

« L'engagement doit passer par les salariés et être sincère. L'entreprise doit d'abord être irréprochable sur son propre écosystème. »

À l'inverse, les valeurs éthiques et morales au quotidien sont les plus recherchées. « La fierté d'appartenance est ancrée sur des éléments lisibles et mesurables au jour le jour auxquels les équipes peuvent rattacher leur contribution immédiate ».

De fait, ce dont ils sont le plus fiers, ce sont, et à 60 %, la qualité des services ou des produits. « Lorsqu'on est face à un Airbus, sur une chaîne de production, qui incarne tous les corps de métier, il y a un silence absolu. Une magie s'opère » raconte un FO-cadres.

Quant à la satisfaction clients, « c'est un levier inexploité. Mais, là encore, c'est du concret ». Les salariés y sont d'autant plus sensibles qu'eux-mêmes sont des consommateurs.

 

Ce n'est pas tout. « La satisfaction clients, c'est aussi une source de reconnaissance directe et immédiate pour les collaborateurs ».

Ils sont plus de 50 % des « esclaves » à en avoir soif : Ils ont des « attentes non satisfaites en matière de reconnaissance de leur travail » accompli.

« La France est un des pays où l'on dit le plus rarement à quelqu'un qu'il a fait du bon travail, contrairement au monde anglo-saxon où l'on félicite à l'excès ».

Voilà, il est vrai, une explication de « l’exode des cerveaux ».

Une partie seulement…

Mais c’est culturel jusque dans les circulaires du ministère du travail depuis des décennies : Chacun est réputé « faire bien » son travail !

Résultat, c’est quand on est « hors-norme » du « bien-fait » qu’on a du souci à se faire.

Quoique…

 

Un management défaillant reste l'une des premières sources de démotivation, avec l'ambiance dégradée. « Il y a une défiance croissante par rapport à la hiérarchie. Or, aujourd'hui, le management, à tous les échelons, est écartelé entre des injonctions contradictoires », affirme Caroline, directrice-associée chez Alixio.

Peu importe qu'un PDG soit charismatique, populaire ou respecté. Un phénomène saillant dans les grands groupes, où 58 % des collaborateurs se déclarent « indifférents » au patron.

Ils en changent parfois à un rythe étonnant, faut dire…

Tandis que 14 % disent qu'il les démotive, contre 27 % qui affirment l'inverse. Même dans les PME, où la proximité est de mise, l'indifférence à l'égard du PDG gagne près d'un salarié sur deux (46 %).

« Le nombre de salariés motivés par leur numéro un est toutefois supérieur aux démotivés », tempère-t-on de-ci-delà.

Le phénomène s'explique par les débats sur les salaires des patrons qui ont sans doute égratigné leur image, estime-ton. « Il y a assez peu de PDG exemplaires ! Et comment s'identifier à quelqu'un pointé du doigt dans les medias ? »

 

En outre, la distance entre patron et salariés s'accroît à mesure que les groupes s'internationalisent ou que les PME grandissent. « Les entreprises sont moins incarnées par un seul homme. D'ailleurs, de Microsoft à Apple, beaucoup de fondateurs ne sont plus à la barre. C'est la fin, aussi, des dynasties familiales. Les patrons sont donc perçus comme interchangeables ».

D'autant qu'ils ne sont pas à l'abri d'être « remerciés ».

Mais, dira-t-on aussi, les salariés ont gagné en maturité : « Il faut rompre avec la vision romantique du capitaine de vaisseau qui tire ses troupes. La complexité des organisations est telle que faire tout reposer sur les épaules d'un homme providentiel serait irréaliste. »

 

Les salariés se montrent aussi plus détachés à l'égard de l'entreprise : Que celle-ci figure parmi les trois premières de son secteur n'est un sujet de fierté que pour 12 % des répondants.

Et, côté motivation, les projets d'entreprise remportent moins de 10 % des suffrages.

Même si le phénomène va davantage de soi chez les moins de 30 ans que chez leurs aînés : Les plus de 45 ans estiment que la compétitivité est liée aux enjeux d'organisation et qu'elle passe par une plus grande implication du management. Pas les jeunes.

« Les seniors, qui ont sans doute été davantage confrontés à l'impact de décisions RH, attendent encore tout de l'entreprise. Les jeunes n'y croient pas. Ils se soucient davantage des enjeux globaux. C'est la fin de l'entreprise qui « babysitte » ses cadres. Ils deviennent autonomes ».

 

Est-ce vraiment une découverte ?

Parce qu’un « cadre », normalement, il se comporte en toute occasion comme un « officier-manager », un représentant de sa « boutique », un ambassadeur de son employeur.

Forcément qu’il s’émancipe pour s’adapter à la situation rencontrée.

C’est en revanche largement rarissime pour le personnel d’exécution, voire les « assimilés-cadres » (art. 4 bis de la Convention-Cadre) et autres contremaîtres, qui n’en ont rien à cirer (ou pas grand-chose).

 

De cette étude je retiens donc que le « satisfascier » semble prendre le dessus sur le « dysatisfascier » (c’est du mauvais « franglais ») et que comme premier critère de satisfaction ou d’insatisfaction, ce n’est plus l’évolution de carrière, les perspectives de croissance de sa boîte et de son poste, de sa fonction et de son salaire qui semble prendre le dessus, mais « la reconnaissance », interne et externe.

Une confirmation supplémentaire de la théorie des « deux facteurs » de Frederick Herzberg.

Au moins, je n’aurai pas à revoir mon cours magistral sur le sujet…

Voilà qui est satisfaisant… Sauf que justement, la satisfaction une fois acquise, elle n’est plus dirimante pour devenir encore et encore « indifférente ».

Donc « non-motivante ».

Bref, motif récurent de « non-absence d’insatisfaction » qui m’énerve : Je ne sais toujours pas pourquoi les gens vont bosser le lundi matin !

 

À propos : Bon lundi, bonne semaine, hein !

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 03:57

Ce matin…

 

Vous faites ni une ni deux, juste après les croissants-chauds du dimanche, vous allez voter, SVP !

Et si ce n’est pas avant l’heure de l’apéro-méridien, vous vous démerdez comme vous voulez, mais vous me faites ça avant l’heure de l’apéro-vespéral !

 

Votez pour qui vous voulez, MAIS VOTEZ !

 

Ce n’est pas tant que votre choix soit important, chacun s’en balance puisque c’est déjà « joué-plié », mais au moins, vous aurez participé (et c’est bien ce qui compte comme aux jeux olympiques) de façon à ce que personne ne puisse jamais imaginer, mais vraiment « jamais », qu’on peut tout faire dans votre dos sans que vous ayez, au moins une fois, votre mot à dire.

 

Pour ne pas l’avoir compris, « Bling-bling » n’est plus qu’un « touriste » dans le pays d’autrui.

Il ne s’agirait pas non plus que « François III » se croit tout permis à son tour : Nous y veillerons, surtout si vous allez voter aujourd’hui !

 

Alors, VOTEZ, svp !

 

Merci à toutes et tous.

 

I3

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 03:54

Ou comment virer un « petit-chef » sans bourse-délier

 

Sur le moyen unique :

Attendu selon l'arrêt attaqué (Douai, 30 novembre 2010) que M. X... engagé le 22 octobre 1980 par la société C. en qualité de dessinateur, exerçant en dernier lieu les fonctions de directeur d'établissement depuis le 1er février 2006, a été, après mise à pied conservatoire, licencié pour faute grave en raison de faits de harcèlement moral par lettre du 30 octobre 2007 ;

 

Attendu que le salarié fait grief à l'arrêt de dire son licenciement fondé sur une faute grave et de le débouter en conséquence de ses demandes en paiement d'indemnités et dommages-intérêts alors, selon le moyen :

 

1) - Qu'en cas de contestation sur la nature du licenciement, le juge doit rechercher quelle est la véritable cause de la rupture ; qu'en l'espèce, il faisait valoir que son licenciement prononcé en raison de prétendus agissements de harcèlement moral s'inscrivait en réalité dans "un contexte de valse de l'ensemble des cadres de la société C. reprise par la société K.", ce fait étant corroboré par une attestation et qu'"à cet effet, plus d'une centaine de cadres ont fait l'objet d'une rupture de leurs relations contractuelles" ; qu'en se bornant à examiner le motif de licenciement invoqué par la société C., sans rechercher si le licenciement ne reposait pas en réalité sur la volonté de cette société de se séparer d'un certain nombre de cadres de l'entreprise, la cour d'appel a privé sa décision de base légale au regard de l'article L1235-1 du Code du travail ;

 

2) - Qu'il appartient à l'employeur d'établir l'existence des agissements de harcèlement moral qu'il impute à son salarié pour justifier son licenciement ; qu'en retenant qu'il appartenait seulement à la société C. "d'établir la matérialité des faits" invoqués, à charge pour les juges de rechercher s'ils permettaient de "présumer l'existence du harcèlement allégué" contre le salarié licencié et "qu'il revient ensuite à la partie défenderesse d'établir que ces faits ne caractérisent pas une situation de harcèlement moral", lorsqu'il incombait au contraire à la société C. d'établir tant la matérialité des faits allégués que la qualification de harcèlement moral, la cour d'appel a violé les articles L152-5 et L1154-1 du code du travail, ensemble les articles L1232-1, L1235-1, L1234-1 et L1234-5 du Code du travail ;

 

3) - Que l'employeur ne peut invoquer comme motif de licenciement de prétendus agissements de harcèlement moral qu'il impute à un salarié dont il a régulièrement approuvé l'action en le gratifiant de plusieurs promotions, sauf à prouver qu'il était dans l'ignorance de tels agissements ; qu'en l'espèce, il soulignait que postérieurement à sa promotion au poste de directeur d'établissement en janvier 2006, il avait continué comme auparavant à recevoir des appréciations laudatives de ses supérieurs hiérarchiques et que son employeur lui avait proposé au mois de décembre 2006 de le nommer comme membre d'une instance éminente du groupe constituée de 136 dirigeants (le K. groupe) et ajoutait qu'il était "invraisemblable" que l'employeur n'ait pas eu connaissance des méthodes qui lui étaient reprochées au fil des nombreux entretiens d'évaluation mis en place avec les salariés de l'entreprise ; qu'en retenant "l'existence de faits laissant présumer un harcèlement moral de sa part à compter de sa nomination en février 2006 en qualité de directeur d'établissement et des services généraux", sans s'interroger sur le point de savoir comment l'employeur aurait pu demeurer ignorant d'un "mode de management constitutif de harcèlement moral" dont elle a constaté qu'il aurait été adopté au vu et au su de tous ("en public" "lors de réunion de travail" "lors d'une réunion avec S." "lors d'une réunion avec la société ISS" " sautes d'humeur permanentes" "lors de l'installation du M.C." etc …), de façon généralisée ("agent de sécurité " "collaborateurs" "à son équipe" "fournisseurs" "responsable atelier, hôtesse d'accueil, assistante de direction" etc …), et entre février 2006 et septembre 2007 soit pendant plus d'un an et demi, la cour d'appel a privé sa décision de base légale au regard des articles L1152-5 et L1154-1, L1232-1, L1235-1, L1234-1 et L1234-5 du Code du travail ;

 

4) - Que des agissements qualifiés de harcèlement moral et tenant à des méthodes de management d'un salarié ne constituent pas nécessairement une faute grave, notamment lorsque ce salarié, justifiant d'une longue ancienneté et d'une carrière exemplaire maintes fois récompensée, a dû faire face à une surcharge de travail sans pour autant obtenir de son employeur les moyens nécessaires à l'accomplissement de ses missions ; qu'en l'espèce, il soulignait que les méthodes de management qui lui étaient reprochées étaient exclusivement liées "aux aléas de gestion interne et dictées par une exigence du travail accompli dans le seul intérêt de la société C.", l'employeur exigeant de tout responsable logistique une "capacité à tenir tête" et lui ayant confié des responsabilités particulièrement étendues en matière commerciale, de sécurité des personnes et des biens sans jamais remédier au sous-effectif et à l'insuffisance des moyens budgétaires ; qu'en affirmant péremptoirement que "le harcèlement constitue nécessairement une faute grave" et que "le fait de manquer de quelques moyens en personnel ne justifie pas un comportement injurieux et humiliant", lorsqu'elle devait au contraire tenir compte non seulement des conditions concrètes dans lesquelles le salarié avait dû faire face à d'importantes responsabilités touchant en particulier à la sécurité physique de ses collaborateurs, mais aussi de l'ancienneté et de la carrière exemplaire de 26 ans dont il justifiait au sein de l'entreprise, la cour d'appel a violé les articles L1152-5 et L1154-1, L1232-1, L1235-1, L1234-1 et L1234-5 du Code du travail ;

 

5) - Que l'employeur doit indemniser le salarié qu'il a licencié dans des conditions vexatoires, quand bien même le licenciement serait justifié ; qu'en l'espèce, à l'appui de sa demande d'indemnisation, il faisait également valoir qu'il avait subi un préjudice du fait d'une "rupture brutale, vexatoire et humiliante", qui avait porté atteinte à son "intégrité morale et physique" ; qu'il soulignait à cet égard que le licenciement était intervenu "au cours d'une période par ailleurs éprouvante sur un plan personnel et dans un contexte de rapidité extrême sans aucune possibilité d'explication avec ses supérieurs, ses collègues de travail ou même les personnes considérées comme ses victimes", l'employeur lui ayant demandé "de partir sur le champ sans même la possibilité de prendre dans son bureau ses affaires personnelles" ; qu'en se bornant à dire que son licenciement était justifié pour lui refuser toute indemnisation, sans à aucun moment s'interroger sur les conditions mêmes de la rupture, la cour d'appel a privé sa décision de base légale au regard de l'article 1382 du Code civil ;

 

Mais attendu d'abord, qu'abstraction faite du motif erroné mais surabondant critiqué par la deuxième branche du moyen et relatif au régime d'administration de la preuve, la Cour d'appel a retenu que l'employeur établissait des faits répétés de la part du salarié de pressions diverses, propos insultants et dénigrants tant à l'égard des subordonnés que des prestataires de services, des méthodes de management humiliantes en dépit de contre-indication médicale connue portant atteinte à la dignité et dégradant les conditions de travail de ses subordonnés, altérant la santé de plusieurs d'entre eux ; qu'elle a ainsi caractérisé un harcèlement moral constitutif d'une faute grave malgré l'ancienneté importante de l'intéressé et l'absence de remarque de la part de l'employeur pendant cette période, qui ne valait pas approbation de ces agissements, excluant par là-même toute autre cause de licenciement ;

 

Attendu ensuite qu'il ne résulte ni de l'arrêt, ni de la procédure, que le salarié ait formé une demande tendant à la réparation d'un préjudice spécifique lié aux circonstances vexatoires de son licenciement ;

 

D'où il suit que le moyen, irrecevable comme nouveau et mélangé de fait et de droit en sa dernière branche, n'est pas fondé pour le surplus ;

 

Par ces motifs : Rejette le pourvoi ;

 

M. Bailly, Président faisant fonction de Président

 

Les juristes-patentés traduiront cette affaire comme le fait que pour l'auteur de harcèlement moral sur ses subordonnés (réputé être une faute grave) ne peut excuser son attitude par les pressions de rentabilité qu'il subit de la part de son employeur.

Des faits répétés de la part du salarié, consistant en des pressions diverses, des propos insultants et dénigrants tant à l'égard des subordonnés que des prestataires de services, des méthodes de management humiliantes en dépit de contre-indication médicale connue et portant atteinte à la dignité et dégradant les conditions de travail des subordonnés, altérant la santé de plusieurs d'entre eux sont caractéristiques d’un harcèlement moral constitutif d'une faute grave. Malgré l'ancienneté importante de l'intéressé et l'absence de remarque de la part de l'employeur pendant cette période, qui ne valait pas approbation de ces agissements, excluant par là-même toute autre cause de licenciement.

 

Ils vous diront que la chambre sociale de la Cour de cassation a donné raison à un employeur qui avait licencié pour faute grave avec effet immédiat, un salarié auteur pendant près d'un an et demi de faits de harcèlement moral dès lors que les faits répétés consistaient en des pressions diverses ; des propos insultants et dénigrants ; des méthodes de management humiliantes.

On n’en saura pas plus

 

Alors que pour le salarié, les faits qui lui étaient reprochés étaient la conséquence de la politique de rentabilité imposée dans l'entreprise.

Il fait valoir que l'employeur exigeait de tous ses responsables logistique, une capacité à tenir tête, et qu'il lui avait confié des responsabilités particulièrement étendues en matière commerciale, de sécurité des personnes et des biens, sans jamais remédier au sous-effectif et à l'insuffisance des moyens budgétaires.

Il estime que les méthodes de management qui lui étaient reprochées, n'étaient que la conséquence de la surcharge de travail qui pesait sur lui, et de l'absence de moyens nécessaires à l'accomplissement de ses missions.

Enfin, il explique que l'employeur avait régulièrement approuvé son action en le gratifiant de plusieurs promotions, de sorte qu'il ne pouvait lui reprocher des pratiques contraires au droit au travail qu'il avait lui-même encouragées.

 

Mais ni la Cour d'appel, ni la Cour de cassation ne considèrent qu'il existe des « circonstances atténuantes » à l'attitude du salarié auteur de harcèlement moral, et ne retient aucun de ses dires comme étant avérés.

Aussi, le licenciement pour faute grave est-il justifié dès lors que « l'employeur établissait des faits répétés », caractérisant « un harcèlement moral constitutif d'une faute grave… »

En conséquence de quoi, en aucun cas un salarié ne peut se rendre auteur de faits caractérisant un harcèlement moral sur ses subordonnés, quelles que soient les pressions qu'il subit de la part de sa hiérarchie pour obtenir les résultats demandés.

Le licenciement se trouve donc justifié.

 

Et vous, patron ou « petit-chef », vous aurez compris comment jeter salement les « sales-meks » qui pourrissent la vie de tous au travail.

 

1 – Vous le surchargez de boulot ;

2 – Vous lui refusez les moyens humains et matériels

3 – Vous l’augmentez quand même et lui donnez des titres ronflants pour flatter son ego ;

4 – Vous le bichonnez à chaque fois qu’il en rajoute une couche de tortionnaire ;

5 – Vous le jetez dans l’heure quand il aura durablement cassé tout le monde autour de lui !

De toute façon, celui-là vote forcément pour « Marinella » ou « Mélangeons » et des « p’tit-kons » qui pètent au-dessus de leur kul, même du haut de leurs talonnettes, ils finissent par « se kasser » tôt ou tard, c’est bien connu !

 

Bref 5 étapes comme d’un quinquennat…

Vous aurez d’ailleurs noté sans aucune ironie le choix dans la date, un 10 mai, retenue par la Cour.

À peine 4 jours après quelques élections majeures qui eurent porté « François III » au-dessus de MA future cave !

Il y a des moments si délicieux dans la vie d’un juriste, qu’on ne s’en lasse jamais…

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 04:30

« Bling-bling », prix Nobel de la paix !

 

C’est très sérieux : « Dans une lettre adressée à l'ensemble de ses collègues parlementaires, aux responsables du Comité Nobel et au Premier ministre français « J’y-aime Air-haut », l'ancien ministre et député UMP de Seine-Saint-Denis « Riton-Rat-houle » vient de proposer la candidature de l'ex-président à ce prix international, pour voir reconnue la part essentielle de l'action internationale de « Bling-bling » (notre ex-« Ô combien vénéré Président »)durant son quinquennat pour le maintien de la paix dans le monde », selon un communiqué remis à l’AFP.

 

Voilà qui me troue-le-kul, comme dirait ma pote la « flotteuse ajaccienne », la spécialiste de la formule adéquate !

 

Personnellement, je lui aurais remis le premier prix de « sciences politiques », avec les félicitations du jury : Après tout, il est bien le seul d’un parti de droâte qui aura réussi le tour de force de refiler tous les leviers du pouvoir d’un pays à son opposition !

 

 

Au prix de la « Meilleure réplique politique » du moment, il faut citer « Titine-Eau-Brie » :

« Vous plaisantez ! Je n’allais pas travailler sous l’ordre de ce naze ! »

Le « naze » en question n’est autre que « J’y-aime-Air-Haut » qui plane…

La Première secrétaire du PS a vivement démenti avoir tenu ces propos et d’en rajouter une couche :

« La médiocrité de certains, il faut s'asseoir dessus ».

« Je pense qu'il y a toujours des aigris ! Moi, je ne suis pas aigrie, je suis heureuse. »

 

Heureuse de quoi ? D’avoir des nazes qui gouvernent à la place des aigries ?

 

 

Notez aussi la candidature spontanée de « Blabla33 » qui revient sur le « combat de coqs » dénoncé par « Rama qu’a-des-ratés ».

L’une affirme que : « Ce combat de coqs manque singulièrement de dignité. Les électeurs de l'UMP méritent mieux. Ce n'est pas le temps de s'écharper de manière aussi sanglante devant les caméras en pleine élection législative. Je crois qu'il serait beaucoup plus malin pour ces leaders de l'UMP de travailler à organiser une alternative au PS et au FN »

Même MAM sort de son placard pour estimer que tout cela « ressemble à des chamailleries de gamins dans une cour d'école ! »

Quant à « Gay-no », qui se sent orphelin de « pas son père-politique », il enfonce le clou : « Tout ça c'est une affaire montée par les surinterprétations des journalistes »…

 

Et « Blala33 » leur répond sur Twitter : « Combat de coqs ? De poussins plutôt ! Ils veulent nous proposer la cohabitation mais ils ne sont pas fichus de cohabiter au sein de leur propre parti, ça s'annonce bien ! En tout cas, qu'est-ce qu'on se marre ! »

 

Wesh ! C’est sûr que c’est mieux qu’à Disneyworld : Un scénario inimaginable jusque-là !

 

 

Et puis on a appris aussi qu’Éric « Baissons », ex-ministre de l'Industrie d’ouverture, n'était pas présent lors de la passation de pouvoir avec le nouveau ministre du « Redressement productif » le 17 mai dernier : Selon Paris Match, il a préféré assister au mariage de « J6M », l’ex-de Vivendi, en Floride.

Il convole encore, celui-là ?

Quelle est la tarte qui se laisse approcher de la sorte ?



Question drôlerie, le « Grand prix du rire » va au faux tract distribué par le FN appelant, en « francilien-natif » et dans un arabe « approximatif », à voter pour « Mélangeons » : « Il n’y a pas d’avenir pour la France sans les Arabes et les Berbères du Maghreb. »

Le FG a porté plainte contre X pour « engagement illicite de frais de campagne » et « distribution de tracts anonymes ».

De son côté, le FN a déposé plainte pour « séquestration » après que des militants FG aient coincé dans leur van les militants FN distribuant les tracts en question.

Les deux camps ont commenté l’affaire, l’une affirmant que « le camp communiste perd les pédales ».

L’autre dénonçant « l’escroquerie » du FN.

« L'idée, c'était de faire le buzz et de remettre le sujet de l'immigration au centre de la campagne. Ça a très bien réussi. J'assume complétement cette opération que je ne trouve pas du tout déloyale, et politiquement efficace ! Vous avez déjà vu un tract politique qui fait autant parler de lui ? Je vous fais le teasing. Le prochain arrive la semaine prochaine, vous aurez la surprise »…

 

Allez donc voter à « Haine-hun-beau-mont », juste pour faire passer le seul futur député Modem du pays !

Renvoyant donc les uns et les autres dos-à-dos… La démocratie ne s’en portera que mieux.

En attendant, on en rit encore.

 

 

Dans le même ordre d’idée, on s’est franchement marré avec « Fifi-le-déchu » qui se la ramène : Les représentants syndicaux seraient les « premiers cocus de la gauche ».

« « Fifi-le-déchu » est bien vulgaire, bien méprisant, mais c'est dans la ligne de ce qui s'est passé pendant ces cinq années où les représentants de salariés et des organisations syndicales ont été plus que méprisés » lui rétorque Ségololo pas si sûre que ça d’être élue dans sa circonscription…

 

Premier, second, ou énième, de toute façon, il n’y aura que des « cocus » pendant 5 ans.

On a pris le pli avec « Bling-bling » … depuis 5 ans !

 

 

Le ministère du travail serait-il devenu un asile pour ministres « à la ramasse » ?

C’est en tout cas ce qu’on a cru dans la semaine avec ce superbe lapsus de « Xav’-Berre-Trans », l’ex : « J'ai toujours été pour les excès de rémunération », a-t-il affirmé péremptoire au micro d’Europe 1.

Après que son interlocuteur ait répété, dubitatif, sa phrase, il est quand même parvenu à corriger : « J'ai toujours été pour limiter les excès de rémunération ».

Comme il a pu le démontrer par son action régulière durant ses apparitions aux précédents gouvernements de « Fifi-le-déchu »…

Chacun aura pu le remarquer !

Et alors là, quand l’actuel ministre du Travail, à qui on a demandé ce qui se passerait ce 10 juin prochain, et qu’il n’a pas su quoi répondre … On en a eu froid dans le dos !

C’est pourtant le jour du premier tour des législatives, auxquelles il est candidat.

 

Comme quoi, « le travail », ce n’est décidément pas la santé … mentale !

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 04:26

 

Début des délires de « l’habitat écolo ».

 

 

 

« François III » nous avait prévenus. Et « un mois de boulot-acharné » plus tard, on y est : 6 décisions « majeures » !

 

Si :

 

– Il abaissera les salaires des ministres : C’est fait !

 

– Il abrogera la circulaire « Gué-an » : C’est en voie d’être fait.

 

– Il rapatriera nos troupes d’Afghanistan : Ce n’est pas vraiment fait, mais c’est dit…

 

– Il revisitera la réforme des retraites : On en sait un peu plus depuis hier. Nous y reviendrons.

 

– Il réécrira la loi sur le harcèlement au boulot : C’est prévu dès la session de l’été !

 

– Il encadrera l’évolution des loyers à l’habitation : C’est dans le tuyau pour septembre prochain.

 

Une bonne nouvelle ?

 

Pas sûr pour tous, pour moi, c’est certain : Je vous explique pourquoi en fin de post.

 

 

 

Et là c’est subjuguant : Je trace ces lignes lundi après-midi dernier… Je programme le post mardi matin après l’avoir relu pour ce jour.

 

Et pas plus tard que mardi après-midi, je suis dans l’obligation d’y revenir.

 

Vous allez comprendre pourquoi : Parce que « les grandes oreilles » d’un « service qui n’existe pas » de MA république est capable de lire ma prose avant tout le monde, d’émettre une « note blanche », qui est analysée en urgence par les services publiques et Miss « Sicile-Du-Flot » d’en corriger le tir dans la matinée : Absolument extraordinaire que « François III » !

 

 

 

Donc première phase, j’écris ceci :

 

« 

 

Car c’en est une mauvaise nouvelle pour les bailleurs (dont je suis) : Un décret encadrant les loyers des logements « à la relocation » est bel et bien en préparation, selon l'annonce de la ministre du Logement, « Sicile-Du-Flot » qui sera présenté fin juin en Conseil d'État, et publié à la mi-juillet pour entrer en vigueur à la rentrée de septembre.

 

 

 

Dans la pratique, ce nouveau texte ne bloquera pas les loyers. Mais les propriétaires ne pourront plus librement majorer leur loyer, lors d'un changement de locataire.

 

Comme en présence d'un locataire restant en place, ils devront augmenter leur loyer en fonction de l'IRL (indice de revalorisation des loyers).

 

Le dernier IRL connu, celui du premier trimestre 2012, affiche une hausse annuelle de 2,2 %.

 

Ce score est proche de l'IPC (indice des prix à la consommation) traduisant l'inflation et ressortant à 2,1 % en avril 2012.

 

Ce décret national touchera essentiellement toutes les zones d’habitat, mais surtout celles où le « marché est tendu », à savoir la région parisienne et la région PACA (Provence Alpes Cotes d'Azur).

 

Par exemple, à Paris, les loyers de relocation après éviction ont augmenté en moyenne de 8,3 % par an entre 1998 et 2012. Et environ 30 % des relocations s'effectuent, une fois que le propriétaire a réalisé des travaux, peinture, changement de moquette, pose de double vitrages, travaux en vue des Grenelles de l'environnement, plomberie électricité, désamiantage, etc.

 

Les obligations réglementaires ne manquent pas pour remettre son bien en état, notamment quand le locataire est un « j’en-foutre » !

 

 

 

En dehors de la région parisienne ou du Midi, il faut quasiment toujours faire des travaux avant de remettre un bien en location.

 

« Avec ce nouveau dispositif d'encadrement des loyers, les propriétaires bailleurs risquent de ne plus investir pour entretenir leurs biens locatifs (d’après l’Union nationale des propriétaires immobiliers). Comme d'autres préféreront carrément retirer leurs logements du marché locatif, ce tour de vis ne constitue pas une solution pertinente pour résoudre la crise du logement ».

 

Pas à Paris où « De-La-Nuée » taxe les locaux vacants…

 

Pas de taxe d’habitation qui rentre, ça vaut de l’argent pour compenser, hein !

 

 

 

Ce qui est assez drôle, parce que le Haut Conseil de la Famille (HCF) va encore plus loin. Dans son dernier avis publié en mai dernier, il est certes partisan de favoriser la mise en location des logements, à des conditions raisonnables, mais signale que « certains membres craignent toutefois qu'un tel encadrement décourage les investisseurs à choisir l'actif immobilier plutôt qu'un autre, en raison de la baisse du rendement des biens loués ».

 

C’est sûr qu’on n’a pas ce genre de problème dans les locaux commerciaux ou d’activité… Ni même les bureaux.

 

De toute façon, tous les travaux sont à la charge du locataire quand le bail est bien rédigé…

 

Pas pour les baux à l’habitation.

 

Un truc qui freine durablement l’investissement privé, malgré les dispositifs successifs du type « Scellier » (dont on cause qu’il serait supprimé…) !

 

 

 

En fait, ce n’est toutefois pas comme ça qu’il faut compter.

 

Vous achetez 200.000 € un deux pièces dans les beaux-quartiers et pour lequel vous fendez de quelques travaux pour 50.000 (ça va vite). Et vous donnez en en location à 1.000 euros (hors charges) par mois (12 K€/an) : 4,8 % de rendement brut (en exigeant de votre locataire des revenus de l’ordre de 3 à 4.000 euros/mois ou une caution bancaire solidaire et indivisible).

 

Mieux que la Caisse d’épargne, croyez-vous, même si vous paierez de l’IR et de la CSG qui vous en prendra entre 40 et 50 % !

 

 

 

Comme en cas de changement le nouveau locataire continuera de vous verser 1.000 euros mensuels, le rendement brut ne change pas immédiatement.

 

Cependant la conjonction de plusieurs facteurs, hausse de la taxe foncière, une éventuelle tranche d'impôt sur le revenu, le futur barème ISF pour 2012, la majoration de 2 points des taux de prélèvements libératoire dès le 1er juillet prochain, l’augmentation des charges irrépétibles, plombent vos comptes. Résultat : Le rendement net qui est d'environ 2,4 % pourrait tomber autour de 2,3 % à terme plus ou moins rapproché.

 

Moins bien que la Caisse d’épargne, non ?

 

On pare le coup en revendant : En cinq ans, vu la conjoncture et l’absence radicale de nouveaux logements, vous pouvez être sûr que votre « deux-pièces-cuisine » vaudra au moins 250 à 260 K€, voire plus !

 

Pour un loyer de 1.100 €/mois, n’est-ce pas… Rendement facial à la baisse en seconde-main.

 

 

 

Donc les bailleurs seront d’autant plus exigeants quant aux cautions et garanties et ils ne manqueront pas d'être très vigilants sur la revalorisation annuelle de leur loyer. Tous les ans, car jusqu'à présent, certains propriétaires « oublient » ce rendez-vous annuel.

 

D’autant qu’une offre de biens disponibles plus réduite entraînera immanquablement un certain nombre de locaux à louer « en l’état », donc détérioré par le locataire précédent.

 

Pire dixit un « pro » : « On ne peut non plus exclure que la contrainte réglementaire sur la fixation des loyers entraîne des pratiques indélicates, et pour tout dire des dessous de table ».

 

Ces pratiques se sont déjà vues notamment en Italie où les loyers de relocation ne pouvaient pas évoluer librement.

 

 

 

Personnellement, moi « j’adore » la perspective : Avec le nouveau dispositif promis, on atteindrait alors l'objectif inverse de celui que l'on s'était assigné !

 

Non seulement on fera « tourner » tous les trois ans les locataires en donnant congé, plus vite quand ils ne payent pas, mais en plus, on se fera « du black » à chaque occasion !

 

Bien sûr, il faudra habiter sur place quelques mois avant de remettre en location pour refaire l’opération ailleurs.

 

Si on possède le bien en SCI, c’est tous les 6 ans sauf exception (SCI « familiale »).

 

6 ans, c’est du bon : Un bien immobilier de rendement doit « sortir » en moyenne tous les 7 ans du patrimoine pour être réinvesti dans du neuf ou de la rénovation… Histoire d’encaisser la plus-value, de remonter le rendement financier et de recommencer jusqu’à plus soif !

 

Et alors, quand on se le fait pour raison de vente entre deux « SCI à soi-même », on peut aussi espérer du locataire qu’il préempte au prix fort…

 

À 4.000 euros de salaire, normalement, il a les moyens d’emprunter à vie pour rester cloîtrer dans son « deux-pièces-cuisine »…

 

 

 

Je vous avais prévenus : C’est’ y pas merveilleux, les « soces au pouvoir » ?

 

Je vais finir par les admirer…

 

»

 

 

 

Deuxième phase : Les meks ils lisent ça sur leurs prompteurs qui piratent ma machine et miss « Sicile-Du-Flot » se précipite sur BFM-TV pour expliquer qu’elle est pour la dépénalisation du cannabis (bon ça, on savait : Un truc pour faire entrer du pognon dans les caisses de l’État, pognon piqué à des shootés qui se shootent pour oublier, tout va bien … Mon post de lundi, mis en ligne vendredi dernier).

 

Et pour m’expliquer ad abrupto que ne seraient pas concernés par la mesure les logements dans lesquels il y aurait eu des travaux avant relocation (comme dans 30 % des cas ... sauf en région parisienne et PACA, où il faut le faire à chaque changement de locataire : Vous suivez toujour ?) !

En conséquence de quoi, le dispositif prévu ne sert strictement à rien !

 

 

 

Décidément, « j’aime pas les écolos » : Avec les soces, au moins on peut espérer faire de bonnes affaires.

 

Les écolos, eux, ils te bousillent mes « bons-plans » avant même qu’on puisse les mettre en place.

 

Ce n’est pas croyable de détruire toute la portée du dispositif à « blackérsiser » du pognon, alors qu’il n’est même pas encore dans l’œuf !

 

Et tout ça parce qu’on a la police la mieux faite du monde, à lire mes « futurs-posts » avant même que vous ne les voyez…

 

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 04:22

Mes « cousins » font parler la poudre !

 

Ça avait commencé dès après l’élection de « François III ».

En fait à « Calvi-plage » sur la plage, au fond près des « tennis-sous-pinède », pas très loin des terrains de Monsieur-le-Maire et du « Club Olympique ».

Boum ! La paillote « Le Belgodère » saute et brûle par inadvertance une nuit étoilée.

« Pépère », qu’est même plus gros que moi, que je ne sais pas comment il fait pour passer par la porte, il n’était pas à bord : Heureusement.

Mais depuis le temps qu’il cherchait à vendre sa « place au soleil », lui qui bénéficie, par l’effet d’un brise-lames situé juste devant sa concession de plage pour étaler ses parasols, d’une surface intense, ce sont ses assurances qui paieront sa retraite !

Pas plus tard qu’un peu plus tard, ce sont ses voisins immédiats des « Dunes » mieux dotés par la nature pour avoir un arrêt de Micheline à son nom, qui subit le même sort, des fois que la concurrence s’exacerbe trop dans le coin.

Le prochain serait-il « U Pinu » ou « la Licorne » ?

Mais là, on se rapprocherait des zones « habitées ».

 

Pour être franc, le premier, on y mangeait des acras assez extraordinaires jusqu’à ce que la « cuistote » se fasse virer.

Le second, je n’y suis jamais allé : 20 mètres à faire depuis le parking.

Le troisième est devenu hors de prix, mais le patron c’est Michel « Bouge-na » en plus gros, l’accent en plus … torride et les calamars sont superbes.

Quant au dernier, c’est là que j’y ai tiré des « bords d’enfer » sur 5O5, 4-20, Duo, Vaurien et le 4-7 du toubib…

Y’a longtemps : Je ne sais même pas si « Marcel » opère encore dans les lieux !

Il doit être atteint par la limite d’âge, depuis le temps…

 

Bien on croyait quoi ? Une vulgaire vendetta-locale ?

Pas du tout : Toute la première semaine du quinquennat de « François III », les « cousins » s’en sont donné à cœur-joie.

Et ça continue : Le Front de libération nationale de la Corse (FLNC) a revendiqué samedi la vingtaine d'attentats qui ont visé des résidences secondaires depuis la « nuit bleue » du 11 mai, dans un communiqué authentifié et remis au magazine d'information Corsica et dont l'AFP a pu lire des extraits.

 

« Nous revendiquons la campagne menée ces jours derniers contre la dépossession de notre terre », écrit le FLNC faisant référence aux attentats qui ont touché contre des résidences secondaires appartenant à des continentaux ou étrangers, notamment italiens, et même corses, dans la quasi-totalité des microrégions de l'île.

 L'organisation clandestine précise à toutes fins utiles que ses actions « ne constituent (pas) une mise en garde ou une menace en direction du nouveau pouvoir politique en place » mais « s'inscrivent dans notre combat de ces dernières années face à l'accroissement programmé des menaces spéculatives sur notre terre ».

 

« La donne politique française n'a jamais pesé sur nos choix et il n'a jamais été dans nos intentions de vouloir influencer les échéances électorales qui sont les leurs », indique ainsi le FLNC, ajoutant que les actions « étaient programmées de longue date ».

Selon le mouvement nationaliste, ces attentats visent « la dérive spéculative », l’ « une des principales menaces pour l'intégrité » du « Peuple corse », précise le texte.

« Aujourd'hui la dérive spéculative a aiguisé trop d'appétits, déclenché trop de mécanismes, pour certains mortifères (...) Nous ne laisserons pas faire. Nous ne laisserons pas s'installer impunément plus de 4.500 résidences secondaires étrangères par an soit plus de 45.000 en dix ans », sur une île qui compte « 300.000 âmes ».

 

Dans sa missive, il faut préciser que le FLNC tend la main au nouveau gouvernement : « Aujourd'hui, nous retrouvons des socialistes au pouvoir en France. Nous leur rappelons si besoin en était qu'ils sont les héritiers de ceux qui ont construit avec nous les deux précédents statuts de la Corse » créés par les ministres de l'Intérieur Gaston Defferre en 1983 et Pierre Joxe en 1991, précise le document de revendication.

 

Et alors ?

Bé eux seulement savent de quoi qu’ils parlent !

Ou alors, c’est qu’un lot d’explosif allait être atteint par la date-limite de péremption.

Bref : Bienvenue en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » !

Ne vous affolez pas et poursuivez vos réservations : Les touristes sont les bienvenus s’ils n’envisagent pas d’acheter de la « Terra-Corsa » en souvenir pour leurs vieux jours !

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 04:36

Dépenses de l'État : Le rapport de l’IGF

 

On rappelle les enjeux : PIB 1.900 milliards pour simplifier, croissance molle ou nulle. Recette votées en 2011 197,8 milliards. Dépenses votées 286,4 Milliards. Déficit votées et prévu par l'article 47 du projet de loi de finances est donc de 91,993 milliards d'euros en comptant les annexes

Dont 45 milliards rien que pour payer l’intérêt de la dette publique de 1.600 milliards.

Quand on rajoute la dette privée et celle des entreprises, on a plus d’un an de PIB (le total de toutes les créations de richesse du pays) dans la vue.

Pas mal pour une simple « comptabilité de caisse » (où il ne peut physiquement pas sortir plus d’argent qu’il n’en est rentré…)

 

Et l'Inspection générale des finances de nous sortir un rapport qui chiffre à seulement 5 milliards par an les économies à réaliser par l'État pour redresser les comptes !

Fort, non ?

 

Mais d’identifier les « leviers » pour le moins sensibles : Prestations, subventions, nombre de fonctionnaires, salaires, niveau des pensions.

Au gouvernement de trancher rapidement, nous dit-on !

 

Parce après la Commission européenne et avant la Cour des comptes, l'avertissement dudit rapport de l'Inspection générale des finances (IGF) intitulé « Maîtriser les dépenses de l'État » (pas encore en ligne) est dans les mains du nouveau gouvernement, alors que celui-ci vient de lancer la préparation du budget 2013.

Commandé à l'automne par « Fifi-le-déchu » pour déterminer les « leviers d'action » permettant de faire contribuer l'État au retour des comptes à l'équilibre, il a été remis juste avant la présidentielle (période de réserve) et n'a donc pas été publié.

Autrement dit, ce document de 122 pages (qui doit être complété par un autre rapport non finalisé sur l'assurance-maladie) est riche d'enseignements, paraît-il.

Notamment à tout ce à quoi on a peut-être échappé : L’avenir nous le dira.

 

D'abord, les auteurs (Jean-Mi et Martine) soulignent qu'il faut faire porter l'essentiel de l'effort sur les dépenses : « Une trajectoire de retour à l'équilibre qui reposerait essentiellement sur une hausse des recettes [...] singulariserait la France et serait contradictoire avec les efforts visant à améliorer la compétitivité de son économie et le pouvoir d'achat des ménages. »

Et vous savez quoi ?

Bé « Titine-Eau-Brie », la « future-ex », elle en profite pour te nous balancer qu'il y avait d'« énormes marges de manœuvre en faisant rentrer des impôts complémentaires » !

Elle a tout compris, celle-là : « Il y a d'autres moyens que de réduire les dépenses ».

« Il faut d'abord faire rentrer des impôts complémentaires de ceux qui ont eu tant de privilèges aux dépens des autres » (*)…

Voilà un avertissement bienvenu pour « François III » qui te nous cause de « relance de la croissance » !

 

Ce jalon posé, plusieurs scénarios sont envisagés, en fonction de la croissance et de la répartition des efforts. Le scénario central reprendrait la stratégie du précédent gouvernement, avec une action visant principalement (aux trois quarts) les dépenses publiques : 56 milliards d'économies devraient être réalisées d'ici à 2016.

Pour le seul État, cela implique de trouver 21 milliards, soit 5,3 milliards d'économies par an, calcule l'IGF. Cela ne veut pas dire que les dépenses de l'État (365 milliards) baisseraient, mais que leur progression naturelle, évaluée à 42 milliards d'ici à 2016 serait ralentie de moitié.

Pour le seul État : Le reste, 35 milliards, presque les deux-tiers, ce serait le lot de ses démembrements et autres organismes sociaux.

La « culture de la dépense » n’est donc pas vraiment bannie.

Parce qu’avec 5 milliards en moins de croissance de ladite dépense, ça représente 18,4 ans avant le retour à l’équilibre…

Fin 2030, hein !

 

Autre enseignement clef : De nombreuses dépenses sont quasiment incompressibles, à l'instar de la charge de la dette de l'État, des dotations à l'Europe, etc.

En mettant ces postes de côté, les économies à trouver par rapport à l'évolution tendancielle représentent une baisse de 8 % (taux d'effort) des autres dépenses.

Un niveau énorme : 1/12,5ème de 12 mois !

 

Car les leviers identifiés sont très sensibles : Baisse du nombre de fonctionnaires, gel de leur salaire et/ou de leur avancement, gel des pensions, réexamen des dépenses d'intervention (prestations, subventions), etc.

Des gains peuvent certes encore être obtenus sur les dépenses de fonctionnement mais « les marges de manœuvre semblent désormais limitées ». En clair : il faudra faire des choix !

 

Le gouvernement sera cependant intéressé par un autre scénario évoqué par l'IGF, à savoir le report de l'équilibre à 2017, qui correspond au calendrier du PS.

Report jugé d'ailleurs « utile » en cas de « faible vigueur de la reprise ». Cela ramène l'effort d'économie pour l'État à 3,9 milliards par an, et même encore moins en réalité, puisque le PS entend faire porter l'effort à 50 % sur les dépenses et 50 % sur les recettes.

La contrainte restera néanmoins très forte sachant que la gauche a promis l'arrêt des suppressions de postes, se privant dès lors d'un levier important.

Globalement, ça veut dire qu’à Bercy, ils ne savent pas comment faire.

 

Pourtant, sur 57 milliards de « dépenses d'intervention » (plus de la moitié de notre déficit), une dizaine pèse pour 28,6 milliards (50,1 %).

Du côté des prestations : L'allocation adulte-handicapé (7,5 milliards) est suivie des aides au logement (5,6 milliards), des retraites de la SNCF (3,4), des prestations aux anciens combattants (3) et des bourses aux étudiants (1,7).

Côté subventions : Après les dotations à Réseau Ferré de France (2,6 milliards), viennent les contrats aidés (1,8), l'assistance éducative (1,5), le Fonds européen de développement (0,9) et l'hébergement d'urgence (0,6).

Faut-il « tailler » dans toute ?

 

Je l’ai déjà proposé : « Suspendre (et non pas raboter) les effets de toutes les niches fiscales » année par année. Gains estimé : 77 milliards.

Diviser par deux les dépenses d’investissement : 28,5 milliards.

Et on retrouve l’équilibre rien qu’en claquant dans les doigts (+ 105,5 milliards).

 

Quand même pas si compliqué, d’autant qu’il y a des recettes à aller chercher avec ma « CSPM » et ses 114 milliards qui doivent servir à « relocaliser » les emplois au pays…

Un enjeu nettement plus important et probant pour l’avenir de « nos jeunes ».

Mais comme ils sont tous nains du neurone, personne n’en est encore-là !

 

(*) Juste un mot sur « la révolution fiscale » qui se prépare (Pique-t’y-pique-pas et consorts) : Entre un smicard à qui on pique déjà 11 % de « son jus annuel » entre IR et CSG-CRDS, les prélèvements fiscaux sont outrageusement progressifs jusqu’à 7 fois le Smic annuel (pour une part).

Ensuite, ils sont étals entre 45 et 47 % de taux moyen pour dépasser les 50 % au-delà de 45 fois le Smic…

Je n’ai pas encore simulé les charges sociales dans le détail, mais on sait qu’elles deviennent dégressives autour de 11 Smic, puis ensuite elles redeviennent légèrement progressives tout en restant des « flat-tax » : C’est une question d’assiette sans prestation !

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 04:27

« Pet-Quand-Tchin-tchin » soi-même

 

En cette campagne des législatives, y’en a qui s’occupent de ma santé pulmonaire et te nous prépare une énième démonstration du « Trop d’impôt tue l’impôt ».

Il s’agit de mon tabac personnel, celui que je ne cultive pas encore sur mon balcon, mais je sens que ça va venir…

 

En effet, affirme-t-il, les États se sont engagés – sous l'impulsion notamment de la convention-cadre de la lutte antitabac de l'OMS entrée en vigueur en 2005 –dans une logique de « dénormalisation » et de pénalisation croissante du marché officiel du tabac.

En plus d'une fiscalité de plus en plus lourde, un véritable « arsenal réglementaire » est également déployé depuis les lois « Ève-hun » d’une incommensurable débilitée, qui en « délocalise » même nos meilleurs œnologues jusque dans « l’empire du milieu » (la Chine).

Si bien qu'on voit clairement – face à une demande qui « refuse » de disparaître – se profiler le fantôme de la question pure et simple de sa prohibition totale et radicale.

 

En Finlande, l'objectif serait de rendre le pays « sans fumée » en 2040 et, en Islande, on propose d'interdire la vente de tabac, sauf en pharmacie et, après quelques années, seulement avec une ordonnance.

Quel est le « kon-de-toubib » qui délivrera de telles ordonnances ?

En tout cas, sa fortune personnelle sera faite, mieux que pour des arrêts de travail, dès qu’il sera identifié.

Le Bhoutan quant à lui, en Asie, a même franchi le pas, en interdisant totalement la vente de tabac depuis 2004.

Depuis, leurs fumeurs font comme les nôtres : Ils s’approvisionnent par voie postale le plus parfaitement légalement du monde en quelques clics…

 

La politique proposée engagerait la « Gauloisie fumiste » sur cette même voie.

Elle préconise ainsi de nouvelles hausses de prix, une nouvelle taxe sur le chiffre d'affaires des compagnies de tabac, mais aussi l'imposition d'un paquet générique (comme en Australie) et l'obligation d'une vente « sous le comptoir », entre autres choses.

Si l'ambition n'est pas encore de rendre le pays « sans fumée », comme en Finlande, les conséquences de la nouvelle politique seront les mêmes.

Car qu'il s'agisse d'une prohibition de jure comme au Bhoutan ou de facto via une politique de « dénormalisation » consistant à « étouffer » (et pas seulement dans des fumées irrespirables) graduellement l'offre légale de tabac, il convient de noter que de telles politiques ignorent les principes économiques et sont même pires que le mal.

Mais pas trop quand même, histoire d’encaisser au passage taxes sur les tabacs et TVA sur la taxe sur les tabacs…

 

Elles sont toutes impuissantes à faire disparaître les raisons pour lesquelles le tabac est au fond désiré, recherché et demandé.

L'expérience – que ce soit celle du Bhoutan ou celle des États-Unis lors du « régime sec » de l’époque de la prohibition de l’alcool dans les années 20 – confirme que les politiques de prohibition ne font pas disparaître la consommation du produit interdit. Au contraire : Le « petit-goût » de la transgression ne fait qu’en rajouter.

 

D’ailleurs, les « néo-prohibitionnistes » semblent préférer ignorer que tant que cette demande persiste, il existe du coup des opportunités de profits considérables.

Ainsi, mettre l'offre légale de tabac « hors-jeu », c'est forcément ouvrir toute grande la voie au marché noir.

Et celui-ci prend systématiquement le relais pour satisfaire la demande, partout dans le monde, à toutes les époques.

Pas étonnant qu'au Bhoutan, comme le souligne une étude, « du fait de l'interdiction, la contrebande de tabac illégal et le marché noir restent solides ».

 

Un marché noir qui est déjà très dynamique et bien organisé au niveau mondial : Il est estimé à 11 % du marché mondial, nourri par une fiscalité écrasante, qui atteint par exemple en « Gauloisie tabatière » 80 % du prix de détail d'un paquet !

Depuis je suis passé au « tabac à pipe », trois fois moins taxé !

Sur un marché illicite, les consommateurs font face à un manque d'information chronique et à des produits de moindre qualité, parfois plus puissants et plus dangereux pour la santé.

Par exemple, il a été constaté que les cigarettes de contrebande, produites dans l'illégalité, pouvaient avoir des niveaux de cadmium et de plomb – des métaux nocifs pour la santé – 6,5 à 13,8 fois plus importants que dans les cigarettes originales de marque.

De plus, les politiques « néo-prohibitionnistes » aggraveront immanquablement la situation des finances publiques.

En plus de supprimer les recettes fiscales de la filière légale (environ 13,2 milliards d'euros sans compter les recettes liées à la fiscalité des entreprises telles que l'impôt sur les sociétés, etc.), elles génèrent des coûts supplémentaires pour lutter contre les trafiquants.

La population dans son ensemble risque également de souffrir de l'augmentation du crime organisé avec son lot de violence et de corruption qui l'accompagne habituellement : « Tuerie pour un paquet de tabac sur les boulevards » voilà qui risque d’être chaud…

La présence d'une offre légale de tabac est ainsi paradoxalement le seul « rempart » contre les effets pervers de la prohibition.

 

Et très curieusement, c’est justement l’argument de caciques et autres suppôts de « François III » quant à l’attitude à tenir face aux usagers d’opiacés et autres substances hallucinogènes.

Ce serait quand même curieux que les mêmes autorisent, décriminalisent la « consommation personnelle » de drogues ET, interdisent l’usage quand même moins nocifs parce que moins durables de la nicotine.

C’est un de nos commentateurs qui nous l’avait brillamment exposé jusqu’ici : La nicotine et soluble dans l’eau et file dans les urines, alors que les principes actifs de drogue ne sont pas hydrosolubles, mais liposolubles à se disséminer plus durablement dans les graisses, y compris le cerveau qui n’est pas du muscle ni même un os…

(Bon, il est vrai que pour mon « nerf-honteux », parfois j’ai un doute : Il se comporte bizarrement trop souvent comme un os…)

 

Personnellement, je m’en contre-cogne : En « Corsica-Bella-Tchi-tchi », le régime fiscal allégé et la vente libre de tabac, totalement libre (n’importe qui peut en faire commerce sur simple déclaration et sans payer les cautions habituelles) divise par pas tout-à-fait par deux le prix d’un paquet de « continental ».

Ce n’est pas pour autant que les « Corsi » fument plus ou fume moins que le reste de la population des « pinzuti ».

En revanche, ce « statut » spécial et ancestral (puisque chacun peut cultiver dans son jardin ses feuilles de tabac à l’air pur de la mer et au soleil de nos montagnes et depuis toujours), si par hasard y’a un « poli – tique » qui s’amuse à venir appliquer des lois européennes débiles sous nos cyprès, châtaigniers, figuiers et arbousiers, ce serait une cause supplémentaire de plus pour exiger l’indépendance immédiate !

Pour l’heure, on y est abrité par le « statut spécial » de la « communauté territoriale » et c’est bien ainsi.

 

Bref, tout cela pour nous rappeler qu’on va sans doute augmenter la taxe intérieure sur la consommation de cigarettes dès après les opérations électives terminées : Une occasion de plus pour passer à la pipe ou au cigare (qui sont quand même meilleurs, puisque l’essentiel des nocivités tient dans le papier des cigarettes, trafiqué, en plus, pour s’éteindre tout seul : Que du poison, le papier à cigarette !).

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 07:08

Un « petit point » en passant,

 

Juste pour signaler le passage des 334.000 pages/lues, tout-rond, mercredi dernier.

128.380 visiteurs/jour à la même date à minuit.

1.880 posts en lignes le lendemain (plus 95 en « mémoire-machine » qui ne seront jamais visibles).

13.049 commentaires enregistrés et validés (85 à la poubelle des censures outrecuidantes).

Le tout pour 1.989 jours d’existence…

 

Toujours un « tout-petit-petit-blog ».

Et heureusement : « Pour vivre heureux, il faut vivre caché ».

Et ça me convient très bien comme ça…

 

Blog classé ce jour-là à 92ème place de la plate-forme « Over-blog » (section « Politique ») et là, ça me fâche !

Il est habituel qu’il se classe entre la 10ème et la 225ème place au jour le jour, quand je passe regarder de temps à autre les statistiques fournies par « Over-blog ».

Sur plus de 2.500 sites référencés sur la plate-forme, je n’ai pas de remarque particulière à formuler sur le sujet.

 

En revanche, le blog de « Fifi le déchu » qui se perdait au fin fond dudit classement jusque-là et durant des mois et des mois et …

Et là, il était classé 5ème ce mercredi-là, quand je préparais ce post !

Ce gars-là n’a vraiment aucun intérêt sauf « que quand » il se retrouve … « déchu ».

C’est vraiment incroyable !

 

Bref, on entre dans l’avant-dernière semaine des législatives : Je me tâte à mettre « pédale douce » sur les thèmes d’actualité politique, pour ne pas influencer vos jugements le jour où vous aurez à choisir votre député(e).

Pourtant, je vous assure qu’ils (et elles) nous en font voir de toutes les couleurs, en ce moment : Une vraie grande partie de rigolade !

Comme disait ma Grand-mère : « C’est que la place doit être bien payée ! »

 

Et puis j’aimerai profiter de mes quelques temps-libres pour finaliser le tome II de « Au nom du père » terminé le 3 février dernier : Il y reste des « coquilles » et j’aimerai bien préparer la mise en ligne pour le mois d’août afin que les aoûtiens aient les adresses pour lire ses chapitres dès le mois de juillet : J’enverrai l’ensemble par voie de « newsletter » aux abonnés pour qu’ils puissent y accéder en avance des « visiteurs » de passage…

Bref, un peu de boulot … « compliqué » pour mon « unique neurone » surmené !

 

Bonne journée à toutes et tous.

 

I3

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 04:03

Et pour « le journaliste » d’Inco, celui du « canard déchaîné » si bien informé de tout !

 

« Joël Blaucher », son nouveau patronyme dans le deuxième tome de « Au nom du père », du roman duquel vous retrouverez deux chapitres consacrés au « banksterisme » international dans le mien pour s’inspirer de ses expériences passées de banquier à Taïwan au moment où les affaires « Bravo et Tango » n’étaient connues que de quelques « privilégiés » mais ni du public, ni des juges de mon pays, vient de se faire arrêter.

La semaine dépassée, à Cagnes-sur-Mer, pour « délit de fuite ».

17 heures passées menotté à un brancard avant d’être libéré dans un service psy d’une clinique perdue dans la garrigue, risquant l’embolie durant l’intervalle…

C’est lui qui le dit.

 

Il y a longtemps que je lui recommande de filer en Suisse ou en Helvétie – à son meilleur choix – se réfugier de nos « pandores-aux-ordres », comme Ferrayé pour l’affaire de l’escroquerie sur l’extinction des puits de pétrole en feu koweïtien en 1991 – première guerre d’Irak – et celle de l’argent détourné de la division Daguet…

http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_du_Golfe_(1990-1991)

Il en est ressorti vivant, mais pas indemne : Son site a été « écrasé ».

Il en rebâtira d’autres.

Le mien prend le risque de la même « punition-administrative », malgré les « conditionnels-impératifs » qui entourent toute ma prose depuis toujours.

 

Mais il me faut témoigner à la fois du niveau extraordinaire de corruption atteint dans mon pays, de l’immense « ignorance-volontaire » de nos medias « démocratiques » : C’est une obligation morale impérieuse.

Ne pas témoigner, se serait mentir à notre avenir.

Alors je me lâche, quitte à ouvrir les yeux au moins à un seul : Incognitoto (qui m’énerve au plus haut point quand il en nie jusqu’à l’évidence… sur ces sujets !)

 

« J’anonymise » les patronymes par simple prudence : Chacun est averti de toute façon que sur ce blog « que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.

Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! »

 

   

Re-copitage/collage :

« Taiwan : scandales Bravo et Tango, faits et documents

Sur ce lien sont rassemblés par des militants (es) anti-corruption taïwanais et français faits et documents sur les scandales d'État Bravo et Tango, ces contrats sulfureux de ventes d'armes françaises à Taïwan. Documents et faits authentifiés seront ainsi accessibles au public francophone.

   

 

2008 417日星期四 Tableau des comptes Andrew W… :

 

Tableau des comptes bancaires privés et de sociétés relevant de Monsieur Andrew W… – incluant sa famille dans des agences bancaires situées en Suisse ayant été gelés par décision judiciaire :

 

Date du gel Nom du titulaire Nos de comptes Total du solde gelé :

 

20/06/2001 : W… cha Hsin - Geneva EFG n°515.480 K… - 177.316,20 US$

25/06/2001 : idem – Zurich LEU n° 766.054.5 P… - 9.839.085 US$

25/06/2001 : Idem – Geneva Darier Hentsch T.D.M n° 230.555 Kadoghan- 19.774.926 Euros

25/06/2001 : idem Zurich BANK LEU n° 5287 S… - 53.801.785 US$

27/06/2001 : idem – Zurich BANK Julius B… n° 301.2604 ABUNDANCE- 149.259.860 US$

27/06/2001 : idem- Geneva Lombard O… n° 37.738 AO/CO CUSTODIAN- 58.881.958 US$

30/06/2001 : idem- Zurich Rothschild Bank n° 65321 - 44.315.995 US$

03/07/2001 : Eurom… Ltd- UBS n° 710.741 SUB ACC n° 710.781- 685.539 Euros

03/07/2001 : Eurom… Ltd- Zurich UBS PO n° 091.541- 229.411 Euros

04/07/2001 : Kou Li H… - Zurich UBS PO N° 60583 - 17.377.411 US$

04/07/2001 : Kou Wen T… - Zurich UBS n° 63760 - 7.219.234 US$

12/07/2001 : W… cha Hsin- Zurich BSI SA Lugano n° 91.783 Aviano- 29.875.619,90 FS

26/06/2001 : Middle-b… Ltd- Zurich Bank Vontobel n° 6175?- 50.331.504 FS

13/07/2001 : Middle-b… - Geneva HSBC Republic Bank n° 290301309269 – 31.099.057 US$

 

Nombre de comptes personnels gelés : 26

Nombre de comptes de sociétés gelés : 7

Total des comptes gelés : 33

Montant total des soldes gelés : 633.252.251,80 US$

 

Sigles des monnaies : FS : Francs Suisses – Euros- US$ : dollars US

 

État connu des opérations de transfert sur les comptes connus d'Andrew Wang -septembre 2006) :

 

15/10/1991 : UBS n° 955591 KD- transfert de 17.588.141 US$ au compte de Mr Kuo Li H…

15/10/1991 : UBS n° 955590 KC-transfert de 28.000.000 US$ de décembre 1991 à septembre 1993

31/05/1994 : UBS n° 956932 TB – Transfert de 24.437.600 US$

27/04/2001 : LGT n° 58122- 1.103.078 US$- 2 transferts ce jour plus un autre le 01/05/2001

16/04/2001 : EFG n° 241.170 Perrier - Transfert de 17.785.215.95 US$

25/03/1994 : BNP n° 30004-0567-08211- 10.000.000 FS en 2 transferts

02/10/1992 : SUNRISE BANK OF CA.n° M-602508 – 3.411.800 US$ (placement en titres)

10/06/1993 : SBC N° 201476 – Transfert de 3.500.000 US$

08/09/1993 : Morgan Guaranty Trust n° A22763 – Transfert de 5.000.000 US$

22/06/1994 : INVESTMENT BANK ZURICH – Transfert de 150.000 US$ à Global Realty Ltd

14/07/1994 : BANK LEU n° 9020-24992-4 – Transfert de 500.000 US$

12/12/1995 : BANK LEU n° 9020-24992-4 – Transfert de 500.000 US$

19/08/1997 : BANK LEU AG n° 9020-24992-4 – Transfert de 1.434.500 FS

31/05/1994 : Zurich UBS n° 52527 – Transfert de 7.320.000 US$ x 4 = US$ 29.280.000 (aux 4 enfants de Andrew W…)

13/08/1996 : Zurich UBS n° 757.378 – Transfert de 2.000.000 US$ à Yeh Cha B… et Kou Chun L…

18/02/2000 : Zurich UBS n° 703.709 – 8.340.328 US$ à Andrew W…)

21/12/2000 : Pictet Bank & Trust n° 189.037 – 2 transferts : 1.9035.338 euros et 320.000 euros

17/05/2000 : Deutsche Bank n° 661891000814 – Transfert de 250.000 US$

12/12/2000 : Deutsche Bank n° 661891000814 – Transfert de 15.830.130 US$

23/05/2000 : Deutsche Bank n° 661891000814 – Transfert de 34934,91 US$

19/04/2001 : Deutsche Bank n° 661891000814 – Transfert de 375.000 US$

23/05/2001 : Deutsche Bank n° 661891000814 – Transfert de 3493,91 US$

 

(TOTAL des transferts repérés : 16.524.999,82 US$)

 

À ajouter ce transfert supplémentaire reçu après la liste ci-dessus :

16/05/2001 : Banca Del Gottardo n° 195.472 – Transfert de 5.388.000 US$

 

Remarques complémentaires des enquêteurs :

 

Après mai 2001 : Total approximatif des transferts connus à identifier : Environ 60 millions de US$.

Répartition en termes monétaires des transferts : 40.801.294,59 US$ et 19.355.338 euros

 

Éléments nouveaux reçus (depuis) :

 

Total des 20 comptes gelés de Bruno W… : 526.500.000 US$

 

Création de comptes bancaires secrets et noms des sociétés fictives de couverture :

 

07/12/1992 : compte au nom de B… International

18/10/1994 : compte au nom de S… International

21/12/1994 : compte au nom de Middle-b… International

 

Une autre société domiciliée aux Îles-Caïmans a été créée en 1991 avec un compte bancaire à l'agence UBS locale : Nom de la société : K… Ltd

 

Quelques opérations mises hors liste indiquée ci-dessus :

 

Le 15/10/1991 : Le compte Eurom… Ltd – UBS n° 710.741 SUB ACC n° 710.781 qui avait le 14 octobre un solde de 340.533.140 US$, alimenté par 7 transferts d'un total de 140.888.900 US$ en provenance du compte de la société THOM… à la banque INDOSUEZ est débité de la somme de 123.535.190,55 US$.

 

Le 27 septembre 1993 : le compte de la banque INDOSUEZ de Thom… envoie au compte EUROM… Ltd la somme de 4.760.461 Francs suisses.

 

Le 18 février 2000 : Le compte EUROM… est débité de 8.340.328 US$. Son solde indique après l'opération un montant de 207.498.698,29 US$.

 

Le 21 décembre 1994 : Andrew W… ouvre à Zurich le compte UBS n° 377373 au nom de la société Middle-b… Ltd

 

Le 3 mars 1998 : Andrew W… ouvre le compte UBS n° 204.000 à Zurich au nom de la société Middle-b… Ltd.

 

Le 5 janvier 1995 : Le compte UBS n° 377 373 de la société Middle-b… Ltd reçoit 29 transferts en provenance de la société THOM… pour un total de 122.546.720 US$

 

Le 20 octobre 1996 : Le compte UBS n° 377 373 de l'UBS au nom de la société Middle-b… Ltd reçoit de la société THOM… 12 transferts pour un total de 125. 786.004 Francs suisses, soit à l'époque l'équivalent de 144.770.399,60 US$.

Le 13 septembre 1993 : La somme de 77.601.165 US$ est transférée du compte UBS n° 60581 appartenant à Andrew W… au compte d'Andrew W… UBS n° 955591 KD. Il s'agit de sommes visiblement destinées à des destinataires taiwanais, de l'avis de la Justice taiwanaise.

 

Le 9 septembre 1998 : Le compte UBS n° 204.000 de la société Middle-b… Ltd reçoit 7 virements pour un total de 78.248.378 Francs Suisses de la part de la société THOM…

 

Les sources sont du MJIB de Taiwan lors de mon audition à Taipei.

Vous avez aussi celles de l’ex “”ambassadeur” à Paris son fax est dans ce lien

 

Audition Procureur Lu et mon attaque d’un agent Thom… qui était dans boom n’est pas encore en ligne car des centaines de liens ne sont plus. »

 

À la question de votre serviteur à Joël hier matin quant « aux sources » de ces informations, il me répond de la sorte :

 

« Les pages du carnet de Sir-Veinne viennent de CDJ j’ai les originaux !!

Les transferts de W… sont de Mme M… qui était Head auditor au Control Yuan 

Je l’ai rencontrée longuement à Paris et TJP à Taipei

Son mari est le dernier président ... »

 

Quant à savoir quels liens je vais pouvoir « programmer » au moment de la mise en ligne du tome II de « Au nom du père » prévu pour cet été (je relis les « coquilles » pendant mes week-ends, actuellement, et elles sont nombreuses : Il me faut écrire un manuscrit en deux étapes. La première « au kilomètre ». Il faut que « j’oublie » et que je reprenne plusieurs mois plus tard, sans ça je « ne vois rien ») :

« Le duable sera dans www.boom2000.ue en cours … »

 

Bref, je diffuse, sans calcul, sans esprit polémique, sans volonté diffamatoire, comme je l’ai fait il y a deux ans ces sources-ci : Mais celles-là, avaient été sorties des rapports de l’ONU soi-même et recoupées par des coupures de presses de l’époque, synthétisées par Basano, actuellement à l’examen par des experts en un énième procès devant le Tribunal correctionnel de Paris…

 

Extraits (pour vous rafraîchir la mémoire) :

« On y retrouve, datant tous de la même période, des mouvements de fonds « entrants » suivants :

Étienne T… : Banca dei Gottardo (États-Unis), compte n° 191.974 : 5.263.000.000 US $ ;

François C… : UBS (Genève), compte n° 248.466.71 : 710.000.000 US $, VOLKSBANK (Fribourg), compte n° 240.075.7739 : 1.280.500.000 US $ ; Bank America International (New-York), compte n°393.72139 : 1.750.000.000 US $ ;

Serge R… : BNP (Luxembourg), compte n° 63.114.887 : 1.320.000.000 US $, BNP (Luxembourg), compte n° 52.195.582 : 50.000.000 US $, BNP (Luxembourg), compte n° 165.964 : 3.363.600 US $, UBS (Genève), compte n° 564.911.DF : 380.000.000 US $, UBS (Genève), compte n° 20.087 S : 410.000.000 US $, Bankgesellschat (Buelach), compte n° 80.5696.7 : 300.000.000 US $;

Fouad H… : Lloyds Bank (Genève), compte n° 952.655 : 563.200.000 US $, Kreddietbank (Genève), compte n° 195.583 : 109.000.000 US $, UBS (Genève), compte n° 22.633 M : 690.000.000 US $, Citibank (Londres), compte n° 400.515.018 : 130.500.000 US $ ;

Victor G… : ABN AMRO Bank (Rotterdam), compte n° 18.157 : 29.500.000 US $, SBS (Genève), compte n° 15.018/C.3.112.957 : 650.000.000 US $, SBS (Genève), compte n° 16.287/C.3.112.957 : 715.000.000 US $, SBS (Genève), compte n° 15.018/C.3.112.957 : 9.000.000 US $, DANER HENTSEH & Cie (Genève), compte n°10.465 : 13.000.000 US $, ABN AMRO (Basel), compte n° 1.068.635 : 1.420.000.000 US $, BMB (Genève), compte n° 7915 : 2.485.000.000 US $, Royal Trust (Toronto), compte n° 436.543 : 1.811.000.000 US $, First Interstate Bank (New York), compte n° 477.925 : 1.200.000.000 US $, First Home Bank (Grand Cayman), compte n° 392.857 : 1.122.000.000 US $ et enfin UBS (Genève), compte n° 231.215 : 381.987.200 US $

Pour un total hallucinant de vingt-deux milliards sept-cent-quatre-vingt-seize millions et cinquante mille huit cents $ US... »

 

Mais non, mais non !

« Tout cela n’a jamais existé ! On le saurait, sans ça, depuis le temps ! »

CQFD, n’est-ce pas… ?

Bref, quand même les juges de mon pays ne parviennent pas à comprendre de quoi il retourne, effectivement, ça n’existe véritablement et juridiquement pas.

Tant pis pour nous tous !

 

Et de réaffirmer avec force que : « En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !

Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains… »

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