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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 05:03

Pas moi, mais le pouvoir « soce »...

 

Parce que c’est très fort qu’on puisse instrumentaliser le pouvoir judiciaire de la façon dont il l’est depuis quelques jours…

 

À ceux qui parlent d'un scandale d'État, Maître « Air-zog », avocat et ami de l'ancien président « Bling-bling », a accordé une interview aux journalistes de « Calvi-Corse-Matin », dimanche dernier.

J’ai lu pour vous.

Son « j'accuse » s'adresse à « des juges qui s'autorisent tout ».

 

Près d'une semaine après la série de perquisitions à Nice, Paris et Bordeaux qui vise directement « Bling-bling », son client, il ignorait encore si l'ancien président de la République, sur écoute depuis un an, l'est encore ou non.

 

L'affaire de « trafic d'influence » n'a pas fini de faire couler de l'encre.

Une encre qui a un goût de vitriol (en dit le journaliste de province).

Bé oui, lisez plutôt :

 

« – Certains parlent d'une affaire d'État, qu'en dites-vous?

– Cette affaire est montée de toutes pièces. Pendant plus d'un an, et au prétexte de cette manipulation, on a écouté les conversations de l'ancien président de la République et de beaucoup d'autres de ses interlocuteurs.

À quelques jours de la décision de la Cour de cassation sur la restitution des agendas privés de « Bling-bling » (sur une affaire close), on vient chez son avocat.

On repart en lui confisquant son portable pour l'empêcher de travailler, pour lui nuire. Et surtout on opère une perquisition qui n'a d'autre objet que de pouvoir consulter tous les dossiers de « Bling-Bling ».

– Mais encore ?

– Je dis bien tous les dossiers de « Blinb-bling ». Notamment ceux dans lesquels il est le plaignant. C'est-à-dire ceux qui permettent de dévoiler la stratégie que nous avons mise en œuvre.

– Ce serait selon vous une sorte d'espionnage judiciaire ?

– J'interviens pour « Bling-bling » dans le prétendu financement de sa campagne de 2007 par la Libye, suite à la publication d'un document par Médiapart dont nous persistons à dire qu'il s'agit d'un faux grossier.

Au prétexte de ce prétendu « trafic d'influence », les juges se sont autorisés à consulter d'autres dossiers alors que rien – je dis rien – ne les y autorisait.

On verra le moment venu qui sont ces juges…

(…)

J'observe que (…) un juge qui, depuis un an, a placé sur écoute l'ancien président (…) et deux anciens ministres de l'Intérieur.

(…) Enfin, (que le juge) qui s'est déplacé à mon domicile niçois, est, avec les deux autres, un des magistrats qui, très curieusement, instruit l'affaire Tapie/Crédit lyonnais.

– C'est par le nouveau Parquet national financier, voulu par « François III », que cette enquête a été ouverte ?

– Je ne sais pas s'il y a collusion entre le pouvoir et ce parquet financier. Je ne sais pas non plus si le président « Bling-Bling » est venu subrepticement à Monaco pour arranger une nomination d'un haut magistrat. Je constate simplement que le gouvernement de Monaco a publié un communiqué, certifiant qu'aucune intervention que quelque nature que ce soit n'a été faite. »

 

D’autant que si je m’abuse, l’impétrant n’a finalement pas été retenu.

Sans doute le Prince et son entourage ne souhaitaient pas voir venir si près dans les affaires du Rocher un « franc-maçon » doublement assermenté, une fois sous la houlette du code de la fonction publique et une autre fois en loge…

 

« J'ai quand même le droit de penser à ce stade qu'on a peut-être été vite en besogne.

Et si ce n'est pas le cas, que tout cela n'était que prétexte pour venir perquisitionner chez moi, c'est un véritable détournement de procédure.

– Vous dénoncez également les conditions des perquisitions dont vous et votre épouse ont été la cible ?

– Je dis simplement que douze juges, greffiers et policiers à mon domicile, autant à Nice, sans compter les moyens déployés dans les bureaux de Gilbert Azibert à la Cour de cassation et dans ses appartements de Paris et de Bordeaux, ce n'est plus raison garder.

Et par ailleurs, oui, j'ai été mal traité !

Mais moi, c'est différent, je peux subir les fouilles, la douche avec la porte de la salle de bain ouverte, le retournement de tous mes dossiers, de tous mes papiers, pour rien. En revanche, ma femme et ma belle-fille (qui a 15 ans) n'ont pas vocation à être salies, suspectées de cette manière et pendant près de dix heures ! »

 

Personnellement, je n’en démords pas : Les écoutes téléphoniques d’un client et de son avocat est un viol des droits de la défense dans ce pays (que j’aime tant…)

La saisie des dossiers d’un avocat préparant la défense des intérêts de son client, tout autant.

Deux raisons qui rendront caduques toutes les procédures attachées.

Peut-être serait-il plus que temps pour l’autorité de la « Garde-des-sots »  de remettre ses troupes, répète-je, à réviser leurs codes de procédure…

Afin d’appliquer enfin la loi, toute la loi, rien que la loi de la République où les mots de « Liberté » et « d’égalité » devant la charge de l’État devraient prendre tous leur sens !

Ne serait-ce que par « Fraternité » avec tous les autres citoyens de ce pays (que j’aime tant… vous le savez !)

 

Si en plus, il s’agit d’inculper le client seulement de « trafic d’influence », qui n’a en plus même pas pu aboutir, voyez donc le niveau de ridicule absolu dans lequel les juges se sont enfoncés tête baissée !

C’est totalement absurde.

Surtout quand on laisse vivre en paix autant de délinquants dans nos banlieues de non-droit !

Passons, une fois de plus…

Mais le plus drôle de cette affaire, c’est que l’escouade de flics et de juges qui ont su débarquer à l’improviste contre toute déontologie (ce qu’a d’ailleurs pu rappeler le bâtonnier de l’ordre des avocats directement au Président « François III », ultime garant de la constitution de ce pays que j’aime tant…), c’est qu’ils cherchaient un téléphone « secret »…

Celui réservé aux conversations « anonymes » entre l’avocat et ses « clients-fébriles & sensibles » pour se savoir sur le grill…

 

Un détail qui m’a fait exploser de rire : Après des heures de vaines recherches, quand ils repartaient bredouille, le téléphone a vibré dans la poche de la robe-de-chambre dont s’était revêtu l’avocat pour accueillir ses visiteurs !

Trop drôle !

 

La police scientifique sera ainsi en mesure d’établir qu’il y a bien eu des conversations téléphoniques entre tel et tel : Comme si on ne le savait pas déjà !

Ils sont vraiment arrivés à un niveau d’abrutissement rarement atteint par la première police du monde (démocratique) !

 

Doucement, lentement mais sûrement ma Patrie (démocratique) s’enfonce dans la dictature numérique et même judiciaire.

J’admire la manœuvre à un moment où l’on va pouvoir passer devant les urnes sanctionner les « trisomiques dans leur crétine-attitude » absolue…

 

Parce que le défi est là :

Si le peuple laisse passer, ç’en est fini de notre démocratie imparfaite ;

Si le peuple sanctionne en votant massivement pour un des deux extrêmes, ç’en est fini de nos espérances à une démocratie améliorée, puisqu’elle empirera ;

Si le peuple relève la tête et vote massivement pour l’opposition démocratique et républicaine, il faudra en finir avec les « trisomiques-internes » pour faire aboutir une démocratie plus « propre ».

 

Et passer les réformes absolument nécessaires, au moins deux :

Pas plus de deux mandats publics d’affilée !

Une rémunération desdits mandats plafonnée à la tranche A de la Sécurité Sociale.

Au moins ces deux-là, on y reviendra !

 

C’est dire les enjeux, totalement imprévus, du prochain scrutin, soi-disant « mineur » !

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 05:03

J’ai « mes têtes » !

 

Et la sienne ne me revenait de toute façon pas pour ressembler bien trop à celle du toubib de mon enfance qui venait soigner mes maladies infantiles … insoignables pour être d’origine virale…

C’est dire si j’en garde un mauvais souvenir !

C’est simple, à chaque fois que mes parents se tiraient en vacances ou croisière, que ma grand-mère (celle de mon cimetière) venait faire la nounou à la maison, ma sœur ou moi, voire les deux en même temps, on se prenait du 40 de fièvre.

Et figurez-vous que je savais après seulement deux secondes de fonctionnement de l’ascenseur, que c’était lui, le début du cauchemar dans le cauchemar fiévreux, venu rien qu’exprès pour m’enfiler le thermomètre au plus profond de mon anus !

Je ne savais pas comment je faisais, mais je ne me trompais jamais.

Et pourtant, il tournait, l’ascenseur sur 6 étages…

En bref, ma nature « homosexuelle » (innée d’après la « théorie du genre ») a été définitivement détruite lors de ces années-là à cause de ces méthodes invasives de mon intimité scatologique !

 

Passons, avec un physique pareil, franchement, ce gars-là, de toute façon je changerai de trottoir pour ne pas avoir à le croiser, tellement je serai capable de lui marcher dessus par inadvertance !

Or, même le pécheur, je ne veux pas sa mort… chrétien comme je le reste.

Sauf que quand l’année dernière je me mets en quête de quelques distinctions pontificales pour clore le roman de l’été dernier, je m’aperçois ainsi qu’il est titulaire de de l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand, une décoration accordée par le Saint-Siège, à titre civil ou militaire. Fondé le 1er septembre 1831 par le pape Grégoire XVI en l'honneur du pape saint Grégoire (590-604), qui fut modifié la dernière fois le 30 mai 1834.

Que nenni pour « Charlotte » !

Ce sera l'Ordre du Christ (ou Ordre Suprême de Notre Seigneur Jésus Christ), la plus haute distinction pontificale créée en 1319 par Jean XXII.

D’autant qu’il se trouve que ses origines remontent à l'ordre des Templiers dont est aussi issu l'Ordre du Christ décerné par les rois de Portugal.

Et qu’il en sera de nouveau question dans le prochain roman, parce que « Harry Harrison Junior », Franc-Maçon états-uniens du 33ème degré, s’estime l’unique héritier de tout ce qui touche « au Temple » de Jérusalem.

Mais c’est une autre histoire, source de bisbilles infinies entre les uns et les autres, notamment depuis qu’il n’est plus nécessaire d’être « croyant » pour devenir « frères-trois-points ».

D’ailleurs, dans le texte quasi-sacré des « frangins », celui de Jean-de-Jérusalem, qui refond la totalité de la pensée scolastique du moment, il n’est question de Dieu (et encore, comme d’une métaphore), qu’une ou deux fois, pas plus !

 

Bon, « Pas-trique », depuis plus d’une semaine, il est devenu l'homme par qui le scandale arrive. Les historiens parleront peut-être de « Buissonagate » tant l'affaire est hors norme. Homme de confiance aveugle de « Bling-Bling », il a tout enregistré !

Du coup, non content d’avoir scié la branche de « centre-droâte » sur laquelle était assis l’ex « Ô combien vénéré Président », avec ses ministres d’ouverture et quelques autres âneries, pour lui faire prendre un virage à 90° sur les chapeaux de roues vers la « droâte-dure » et y perdre son âme et son élection, il se fait aussi piquer ses cassettes d’enregistrement et se prend désormais des actions en justice entre les naseaux de son ex-protégé pour violation de la vie privée.

Vous savez combien que j’en rigole, finalement.

 

D’abord, il n’est pas le premier. Si je ne m’abuse, « D’jack @Thalys », il faisait pareil quand il était dans l’ombre du grand-homme des trisomiques socialistes, mais en plus, lui il publiait dans ses célèbres « Verbatim ».

Alors pensez bien que d’entendre toute cette famille politique applaudir à l’un, voire faire leur livre de chevet des ragots colportés par l’un et parler de scandale pour l’autre, franchement, c’est « Groβ Rigoladeu » tous les jours de la semaine passée !

Là encore, de qui se moquent-ils donc, tous ses fats à la mémoire d’un poisson rouge, abrités derrière leurs élans de « transparence » ?

Comment peut-on d’ailleurs être aussi schizophrène que ça et pourtant vouloir se faire payer par l’impôt piqué aux « pôvres-gens-heureux » ?

Enfin passons, une fois de plus…

Au moins, « Pas-trique », il « transparaît », finalement, lui…

 

Et puis je vais vous dire, j’ai aussi eu un « Boss » qui notait tout de nos réunions (et de toutes les réunions) dans des petits-cahiers d’ékoliers à petits-carreaux et spirale, de son écriture fine.

Compte-rendu intégral, daté, et avec l’heure, de toutes ses journées depuis son plus jeune-âge et jusqu’au moment où le cerveau a flanché pour l’emmurer dans la maladie d’Alzheimer à 86 ans…

Prédestinée fabuleuse s’il en est.

Il en avait des cartons entiers dans sa cave, qu’il mettait à jour et rangeait pendant ses nuits d’insomnie (tellement insomniaque qu’il était capable de vous téléphoner à 4 heures du matin pour y retranscrire un détail dont il espérait que vous vous en souviendriez), que ces gamins auront tout brûlé dans son jardin après son décès, détruisant définitivement tous ces souvenirs de guerre et d’affaires…  

Les kons !

 

Mais au moins, il avait le mérite de nous ressortir qu’à la fameuse réunion du 22 mai 1962, il avait été décidé, et plus tard confirmé lors de celle du 13 juin 1973, tel ou tel accord avec quelques partenaires commerciaux du moment et désormais toujours d’actualité.

Là encore, un truc fastueux : Il arrivait avec ses petits-cahiers exhumés de sa cave, et causait de choses à des gens qui devaient encore avoir des culottes-courtes à l’époque des faits, pour les prendre en otage du « passé glorieux » où « Ton père et moi, le 22 mai 1962, avions convenu que… »

Effet garanti pour le mek qui tombe des nues à ce moment-là, ignorant être l’héritier de tel ou tel accord, dont mon « Boss » était le dépositaire !

Et en général le bénéficiaire.

Il m’en a raconté tellement, y compris des épisodes moins roses de sa vie : Sa brève captivité, ses visites à sa mère déjà enfermée à Sainte-Anne, les tentatives de suicide de sa femme, les humiliations subies de son père, etc. qu’il en restait humble, finalement.

Bref, que des choses qui ne me regardaient pas.

Vous me direz, il en était le « propriétaire » légitime, alors hein…

Buisson aussi, mais ce kon se les ai fait voler…

 

Tout ça pour vous dire qu’enregistrer, retranscrire, archiver, même pour la gloire ou pour rien, c’est d’un banal absolu.

Alors pourquoi tant de haine ?

D’autant que je me sens visé dans la mesure où « ce blog » est un peu un devoir de mémoire du fil du temps : Je poste, je ne touche plus à rien, même si je me suis trompé (et même en y laissant mes fautes d’orthographe et mes accords de grammaires loupés).

Un témoignage du moment, ni plus ni moins.

Qui restera le temps que les archives électroniques persisteront chez « Over-blog.com » et consultables depuis n’importe quel bout de la planète, à n’importe quelle heure, tant que ces pages seront indexées par les moteurs de recherche internétiques.

C’est dire si j’ai confiance dans la planète Web…

 

Quant à « Pas-trique », lui l’homme secret, redouté, qui trace à travers tous les leaders-politiques de tous les bords son propre chemin, il manque justement de sagesse et de flair.

Comment ces enregistrements arriveront-ils à être publiés ?

De mauvaises langues rappellent que, sous un prétexte futile, des argousins de la police politique de l’actuel Président avaient fait irruption au domicile de l’ex-conseiller pour perquisitionner, c’est-à-dire fouiller dans ses affaires et, peut-être, peut-être… s’emparer de… de quoi ?

 

Cette question n’est guère posée par les actuels commentateurs qui crient au scandale, pas plus qu’ils ne réclament que les journalistes, en l’occurrence peu soucieux d’informer, ne disent pas à leurs lecteurs de qui ils ont reçu les fameux enregistrements (et à qui soulèverait l’exception du secret des sources, nous répondons que les enregistrements ont été volés, et que les journalistes en sont des receleurs).

Vous avez lu ces enregistrements publiés, ce sont des propos futiles dont l’intérêt est finalement aussi nul que leurs auteurs, et pourtant, quel scandale, quelle affaire d’État !

 

Il ne s’agit pourtant que d’une historiette privée : Si le conseiller a « enregistré » à l’insu de ses interlocuteurs, il n’a commis qu’une indiscrétion (qui aurait dû rester ignorée à jamais), et ce n’est qu’un goujat.

Si le Président en a été averti, il n’y a aucune entorse au plus laxiste savoir-vivre.

Et pourtant, les députés de la majorité (soce) réclament la création d’une commission d’enquête parlementaire sur la prétendue affaire !

Et plus tard, les historiens (s’il en existe encore) disserteront sur l’étonnante propension des élites de 2014 à croire qu’existent des riens transformés en montagnes par leurs propres discours, tout en ignorant ce qui réellement importe au peuple.

 

D’autant que ce tir de missiles vient en rafale avec tant d’autres affaires chargeant l’ex « Ô-combien vénéré Président » qu’on ne peut plus désormais parler d’autre chose que de « règlements de comptes ».

Pourquoi tant de haine et d’acharnement…

Il y a plusieurs hypothèses : La revanche des juges malmenés par « Rachi-Dada-Mimi » pendant des années ; des guerres de loges ; la volonté d’effacer les années d’humiliation exprimées sur le « mur des kons », ou d’autres ?

Pour ma part, je veux simplement y voir un « pouvoir aux abois » à l’approche des prochaines élections : Ce serait la cause la plus « … honorable ».

Parce qu’on avait prévenu, depuis presque deux ans, non pas pour aller lécher les « faces d’en face », mais pour mon pays, celui que j’aime tant, et son intérêt supérieur à lui-même…

 

Parce que oui les tirs se poursuivent et ça reste à suivre !

Pendant ce temps-là, on ne parle plus du chômage, on ne parle plus des échecs à ralentir l’endettement publique, à même seulement parvenir à ralentir la hausse des déficits…

J’adore ce pays, qui va faire passer une première addition électorale, là, sous quinzaine.

Pour le coup, si on sait désormais qui va la payer, on ne sait pas qui va en encaisser les dividendes.

Et là, j’attends beaucoup de la « grande sagesse » des peuples de « Gauloisie ».

Peut-être trop !

On verra bien.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 05:03

Et ce n’est pas fini…

 

On avait terminé la semaine 9 avec la sortie incroyable de « Menuet-Valse », insultant la représentation nationale à travers un de ses membres.

Du coup, sans vraiment s’en rendre compte, il injuriait à l’occasion son propre gouvernement et par au-delà, toute l’Institution étatique.

Passons : Il s’est cru sans doute supérieurement intelligent, ce jour-là…

 

On avait commencé « très fort » la semaine suivante (n° 10) avec les « copénades » et ses surfacturations délirantes au moment où le parti qu’il dirigeait roulait déjà à découvert… presque au bord de la ruine et de la faillite financière.

Évitée d’ailleurs avec quelques « turpitudes » dont personne ne dira rien par la suite !

Les malins auront retenu que pour toute explication, le « chef » si mal élu, il enferme ses comptes dans un coffre blindé et sous scellés jusqu’à ce qu’une nouvelle loi soit votée, des fois qu’on veuille lui piquer ses « petits-secrets ».

La loi est déjà votée et publiée, remarqueront quelques autres, et lui il a déjà voté contre, n’oublions pas…

C’est vous dire s’il y croit, le bonhomme, même pas droit dans ses pantoufles !

 

On progressait vers un retour cahoteux sur les routes des stations hivernales à travers les « buissonades » et les « cassettes-audio-pirates » et perdues par son détenteur.

En fait, on ne sait pas qui s’en est vraiment saisies.

Mais elles ont fini par prendre une telle ampleur que d’aucuns en disaient qu’il s’agit d’une « affaire d’État » particulièrement grave.

Je ne vois pas trop en quoi : On connaît le personnage dans ce qu’il a de plus trouble, méprisable, écœurant et retord, je ne suis finalement pas très surpris.

Et j’y reviendrai parce qu’ils avaient été nombreux à alerter « Bling-bling » qui en avait fait à tort son « Kon-fi-dent » exclusif et abusif.

Même « Haine-k’a-Aime » qui tente de le crier très fort dans le tumulte !

Mais bon, c’est le propre des autistes de n’écouter personne : Ils ne peuvent de toute façon pas faire autrement !

Au moins, on sait que celui qui voulait « juger les fous » a échappé à l’échafaud en renonçant à cette belle ambition-là…

 

D’ailleurs, j’avais prévu de vous faire un « post » sur ces « buissonades » pour ce lundi matin, semaine 11.

Mais il faut que je redevienne « sérieux » …

L’audience du blog pour le mois de février, un mois court de seulement 28 jours, a percuté tous les pronostics : 13.224 pages lues/IP… 472 par jour !

Record de 2009 largement battu.

961 IP ont lu 1.471 pages rien que le 6 février, jour où j’enrageais contre « Sœur-Âne » la parigote.

4.505 visiteurs/jour pour le mois… le blog a passé 10 jours sur 28 au top des tops catégorie « Politique » de la plate-forme Over-blog, avec des « blogrank » oscillant entre 83 et 89/100 (75 le 6/02), à la première place des classements : Ça n’était jamais arrivé depuis l’origine !

2.836ème blog européen du mois, pour le coup.

Presque aussi bien qu’en janvier 2012 : 2.629ème.

Donc on se méfie : Il s’agit de ne pas trop raconter de konneries, si par hasard la « bestiole » devient un blog de référence, même pour seulement 160 personnes par jour, autrement dit « quelques-uns », les « happy-few » dont vous êtes.

D’ailleurs, vendredi 7 (jour où j’écris ce post), j’ai eu comme un doute…

Je vais y revenir.

 

Et puis on a eu, « Nagea-va-l’eau-Belle-qu’à-sème » la « porte-la-parole » du gouvernement quand même, étouffée par le brouhaha général du moment, qui annonce que la diplomatie « Gauloise » a eu tort de ne pas se faire entendre durant trois semaines dans l’affaire de la Crimée.

La Crimée, on s’en bat l’œil et les cils : Ils prennent leur destin en main après que les Ukrainiens aient pris le leur entre les milices anti-émeutes et l’ombre des cendres de l’armée rouge !

Fallait du culot, mais 37 milliards de dollars détournés par leur ex-président, même en « Gauloisie » on ne fait pas mieux, et chez nous, plus personne ne se lève pour si peu depuis plus de 20 ans !

Eux, ça les motive encore… Tant mieux.

 

Mais avouez que pour la petite « Nagea-va-l’eau-Belle-qu’à-sème », il faut oser le faire, n’est-ce pas, que « d’allumer », pour un tir de Scud nourri et ciblé, « Fafa-l’empoisonneur », qui de son côté a fait savoir l’avant-veille que Matignon, il avait déjà donné et que ça ne l’intéressait plus du tout…

Quand on pense au sort de « Bateau-sur-l’eau » limogée pour s’être simplement étonnée du sous-financement des activités de son ministère de l’écologie-bobo dans la préparation du budget 2014, c’est à ne plus rien y comprendre.

Le gouvernement voudrait se tirer une balle, non pas dans le pied, mais dans la tête, elle n’aurait pas fait autrement, ni fait dire autre chose !

 

Parce que le brouhaha de la fin de la semaine dernière, il n’est pas mal non plus : Je l’avais vu venir en lisant les colonnes de « Calvi-Corsu-Matin ». L’édition du 5 mars annonçait la perquisition du domicile et de l’étude de maître « Air-Zog », la veille à Nice et à Paris, ainsi qu’à son cabinet…

J’y fais même allusion dans le post de samedi, mis en ligne jeudi soir, dans l’attente de réactions normalement nationales.

Qui auront mis 3,5 jours à remonter par l’A8, l’A7 et l’A6 jusqu’à la kapitale, là où je le fais en 10 heures au régulateur de vitesse et pauses-pipi inclues.

 

Entre-temps, on apprend par le même canal du matin, que les téléphones des sieurs étaient sur écoutes jusqu’à Monaco et concernaient aussi un procureur général auprès de la chambre civile de la Cour de Cassation…

Permettez que je tousse : Qu’un juge d’instruction puisse délivrer un mandat d’écoutes téléphoniques sur un de ses supérieurs hiérarchiques du même parquet, là, j’en reste passablement étonné.

Mieux : Que celui-ci n’ait pas été averti pour rester prudent, ça m’en bouche un large orifice ouvert à l’explosif dans mon unique neurone…

 

Et après on dira que la justice est aux ordres…

Mais aux ordres de qui ?

D’autant que ledit magistrat instructeur reçoit entre deux une promotion et passe ses dossiers à sa nouvelle successeuse… qui doit gérer le problème sans même savoir de quoi il retourne !

 

Et il faut attendre la fin de matinée et l’édition de l’après-midi du « Monde » de vendredi, pour comprendre qu’en fait la filature, l’enquête et tout le toutim remonte à plusieurs semaines en arrière, dans les bobines de fil rouge entremêlées des « affaires-Bling-bling », « Bête-en-cour », « Khad-à-Fi versus 2007 », « Car-Hachis », « Voest-à-tes-souhaits », l’arbitrage de « Nanar-Tapis », le financement  du meeting de Toulon (versus 2011), etc. etc. etc.

La liste est longue comme un jour sans pain ni rigolade !

 

Ce qui m’étonne ce matin-là (je reviens sur mes doutes), c’est que dans les stats de trafic du blog de la veille (jeudi), disponibles vendredi matin, ledit post prévu pour samedi aurait été lu par 7 IP différents…

Je ne vois pas trop comment.

Moi encore, je veux bien, puisque quand je mets en ligne pour une programmation ultérieure, je jette un œil sur l’apparence du bidule et corrige in extremis encore deux trois babioles qui ne me siéent pas… quand j’ai le temps.

Mais je ne compte que pour un seul IP/jour.

Et en principe, personne d’autres n’y a accès : Il faut des codes que seuls, ma sœurette (celle que si elle n’existait pas…), « mon gardien » et moi possèdons.

Ce qui fait 3 IP/jour, pas plus. Et encore, je suis sûr que les uns et les autres les ont oubliés.

Notez que le même phénomène, mais en plus atténué et pas tous les jours, apparaît quant au « dernier post », celui du « clap de fin » dont je repousse la parution de 31 décembre en 31 décembre : Il apparaît d’ailleurs en premier sur la liste « du stock » des 2.622 billets en ligne, fournie par Over-blog.

Comme quoi, c’est significatif, que « l’on » parvient à « pister » même ce qui n’est pas encore accessible.

Et ce ne sont pas des robots, ce coup-ci, puisqu’ils sont expurgés des stats tous les jours, comme je l’explique par ailleurs.

Et il y en a entre 145 et 177 selon les jours, en ce moment… Plus que de « vrais » visiteurs, finalement.

 

Deuxième étonnement : Fouiller un cabinet d’avocat, pendant 10 heures, ses domiciles et autres, ça vicie immédiatement toute la procédure qui va suivre, pour se terminer comme dans d’autres affaires par un classement à la verticale.

Pire, déjà que les journalistes protestent vertement quand ils se savent sur écoute téléphonique, et à raison (on aurait encore une « presse libre » dans ce pays déclassé au niveau de la corruption et sous-classé pour ce qui est de la liberté de la presse), et là personne n’en dit rien quand il s’agit du téléphone d’un avocat !

Quel qu’il soit, d’ailleurs.

Manifestement merveilleux, n’est-ce pas !

Je serai le patron de leur ordre, je demanderai immédiatement, impérativement et solennellement au ministre de l’intérieur et à la « garde-des-sots » de faire appliquer la loi, toute la loi et rien que la loi à leurs agents, payés pour ça par les nombreux et généreux déficits publics, ou de se démettre eux et leurs troupes !

 

Parce que bon, il s’agit manifestement d’une affaire de plus qui aura fait les choux gras de la presse d’opinion tout le week-end (et sans doute une partie de la semaine qui s’ouvre), avec moult déclarations outragées ou scandalisées, qui ne peut pas aboutir sur le plan judiciaire : Autrement dit, un « non-événement »…

Alors ?

 

Alors, mais « ils » savent tout simplement et déjà qu’ils auront tout perdu à la fin du mois.

Pas seulement des centaines de villes et des milliers de communes, mais aussi des grands électeurs pour les prochaines sénatoriales (après les cantonales reportées à mars 2015 : Effet de l’article 47 de la loi n° 2013-403 du 17 mai 2013).

Ni même pu sauver leurs confortables fauteuils et indemnités des élections européennes de 2014 des 22 au 25 mai…

Et jusqu’à leur légitimité qui pourra alors être contestée même par la rue !

C’est déjà la débâcle de la campagne de Russie, c’est « Water-l’eau » avant l’heure…

 

Alors, perdu pour perdu, autant dégueulasser tout le monde autour de soi avant que d’être fusillés dans les jardins de l’Observatoire par les « Capitaines putschistes » ?

En tout cas, c’est l’impression qu’ils donnent.

Ce qui renforce encore plus l’hypothèse qui n’était pour l’heure que romanesque, il n’y a pas à dire.

 

Bon, tout ça pour vous dire que les prochains jours vont encore nous surprendre.

D’où viendront les coups et quelles cibles ils atteindront, c’est à suivre.

Parce que naturellement, non seulement le tir de barrage peut encore se poursuivre, mais il peut y avoir des répliques de représailles !

Comme me disait un « cousin » grand flic à l’époque de la guerre des « Natios-Corsi » : « Je ne fais pas que compter les morts, je fais faire des économies à l’administration pénitentiaire qui n’aura pas à les héberger ! »

 

Le drame, puisqu’on sait déjà que dans quelques semaines la participation sera très forte, c’est que ça pourrait profiter vraiment à « Marinella-tchi-tchi » qui envisage très sérieusement franchir le cap des 1.000 élus depuis peu…

On pourra alors dire merci à « François III » à devoir gérer « le diable » laissé derrière lui, dans son sillage.

Finalement, ce blog-critique pourrait avoir encore de longs jours devant lui à dénoncer la décadence-politique de mon pays, celui que j’aime tant…

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6 mars 2014 4 06 /03 /mars /2014 05:02

Le retour de « Déesse-khâ » ? …

 

Là, franchement, je trouve les « gaulois de Gauloisie » absolument magnifiques, sublimes même !

Presque magiques de clownerie

 

Avouez que ça a « de la gueule », cette histoire-là !

Tout le monde connaît, même de loin, le bonhomme, sa carrière, ses frasques et même ses activités actuelles, à travers le monde entier.

Un auteur de roman – qui est d’ailleurs attaqué par le sieur – en rajoute une couche en précisant que le « grand-queutard » se gave de viagra à longueur de journée, aurait un tatouage sur l’aine, et que même « Bling-bling » serait passé sur l’ombrageuse « Âne » son épouse…

Il en pince infiniment pour les brunes (qui ne comptent pas que pour des prunes).

 

Du grand n’importe quoi, n’est-ce pas, mais ce n’est qu’un roman, un de plus.

Moi-même, j’en ai raconté et raconté sur ce phénomène, tel que j’envisage de créer une rubrique spéciale sur ce blog, rien que pour lui…

Parce que bon, il y en a à dire et redire, sur ce « grand-économiste » qui n’a jamais écrit la moindre ligne « d’économie ».

Pour être avant tout formé « avocat »… à l’origine !

 

Alors que voilà, quelques galopins imaginent de faire un sondage idiot sur qui que les « Gaulois-de-Gauloisie » verraient comme un « must » dans un pays que ruine consciencieusement notre gouvernement actuel et ses « dogmatiques-sachants » et autres « trisomiques-autistes » pour le moins « pointus » dans leur exercice !

Et pof, honnête comme tout, ressort du chapeau « Déesse-khâ » comme LE champion, à hauteur de 56 %, devant même « Jupette » (53 %) loin devant tous les autres, en formidable « meilleur président »… que celui qu’ils ont pourtant élu !

Voilà une situation qui ne manque pas de sel …

 

Parce que bon, les « honnêtes » du journal qui comptaient publier le fruit de leurs dépenses, ils rangent bien profond le bidule dans le fond d’une poubelle et n’en parle surtout à personne.

Sauf que ça fuite et que même si rien n’est publié, y’a d’autres malhonnêtes malins qui font « buzz » sur le sujet pour le moins inattendu !

Et que tout le monde sait désormais que si on avait des élections demain, « François III » se ferait virer aussi sec.

Notez, ce « détail », on le savait déjà !

Et tout le monde sait déjà qu’il se fera virer en 2017 et peut-être même avant, naturellement.

 

Alors vous imaginez la scène si on devait en arriver là à l’hypothèse présumée du « bon peuple d’en bas » des sondés ?

Président, un mek qui a été arrêté le 14 mai 2011 et accusé d'agression sexuelle, dénudé, palpé, menotté par les flics de New-York ?

D’accord, les poursuites pénales ont été abandonnées le 23 août 2011 en raison de doutes sur la crédibilité de son accusatrice.

Toutefois, vous avez noté que la procédure civile aux États-Unis a pris fin un an et demi plus tard, le 10 décembre 2012, avec la signature d'un accord financier gardé secret.

Il paraît que depuis, sa victime s’est payée un bel appartement et avec le reliquat essaye d’apprendre à lire et à écrire.

Compter, elle sait déjà, n’est-ce pas !

 

Mais il reste que le sieur devrait être jugé courant 2014 devant le tribunal correctionnel de Lille, aux côtés d'une douzaine d'autres mis en examen dans l'affaire de proxénétisme dite du Carlton.

Comme il clame son innocence, forcément, il sera jugé innocent, présume-je, puisque MA justice, celle de ce pays que j’aime tant, est la meilleure du monde connu et exploré !

Et les portes s’ouvrirait de nouveau sur un boulevard qui le mènerait à la magistrature suprême (et accessoirement à « ma » cave Élyséenne) et le doigt au-dessus du bouton nucléaire…

J’adore la perspective !

 

Retour en arrière : Le Parisien Magazine a choisi de ne pas publier le week-end dernier un sondage BVA plaçant l'ancien patron de la « banque des pôvres », en tête des personnalités politiques qui « pourraient faire mieux que François III », nous en a dit l'éditeur, confirmant une information de France-intox, peut-on découvrir dans la presse de la semaine.

« On a commandé il y a deux mois un sondage sur l'homme providentiel. On a établi une liste de personnalités avec BVA, qui nous a proposé d'y mettre « Déesse-khâ ». Il est sorti en tête ».

Et comme excuse absolutoire, la superbe raison avancée pour déférencer ladite étude : « Mais il manquait la question souhaitez-vous son retour ? à laquelle, nous avait dit BVA, les sondés auraient répondu « non » à une écrasante majorité. »

C’est là où l’on comprend qu’il s’agit de ne pas fusiller toute espérance, et non pas de sortir du chapeau trop tôt un futur proche restant probable !

 

« Comme notre position est de ne pas faire de commentaires politiques ou de politique-fiction, nous avons laissé tomber, quitte à se priver d'un buzz gratuit ».

Hein, c’est bien histoire de se moquer du « chaland-d’électeur-lecteur » qui « chalanderait » dans le marigot, parce que le buzz-gratuit a nourri tous les dîners en ville durant toute la semaine : On s’en remet à peine d’en rire !

 

Et puis vient la question « psychotique » de savoir comment des gens pouvaient le placer en tête sans souhaiter son retour.

J’ai lu la réponse suivante : « Comme il n'est pas complétement retiré des affaires, il n'est pas touché par l'impopularité de l'exécutif et ses compétences économiques ne sont pas remises en cause par les affaires. »

Trois négations dans la même phrase, pour un journaliste, c’est très fort !

Il aurait été « complétement retiré des affaires » qu’il en aurait été « touché par l’impopularité de l’exécutif » ?

Non mais !

C’est en tout cas ce que veut dire la phrase…

Je vous laisse juge !

 

J’ai tenté de comprendre : Il ne fait plus partie de la vie politique depuis l'affaire du Sofitel. Et c'est en partie pour ça que les « Gaulois » le plébisciteraient.

« Plus les hommes politiques sont éloignés du marigot, moins ils se mêlent de la gestion quotidienne du pays, plus tout le monde pense qu'ils feraient mieux que ceux qui ont les mains dans le cambouis. »

Logique ! C’était même la posture du « Chi » lors de son dernier mandat : Surtout ne rien faire, ne rien dire ! Et il en a usé quelques-uns, comme ça !

Mais pas le pire… Comme quoi, dans ce pays ne prospère vraiment que la « mauvaise-herbe »…

 

Et il y a une explication plus profonde au résultat de cette étude : Les « Gaulois de Gauloisie », toujours pas passés dans l’âge adulte, ont envie d'être rassurés, maternés et il « conserve l'image d'un économiste crédible » du bonhomme.

Hein, rigolez, SVP, lui qui n’a jamais écrit la moindre ligne « économique » pour faire « autorité » sur tous ces sujets : On ne sait même pas ce que l’intéressé en pense !

 

« Ils ne veulent pas d'un retour de l'homme, ils saluent une vision réaliste et pragmatique de l'économie, éloignée de l'orthodoxie socialiste. Et ça, ça devrait rassurer « François III », embarqué depuis peu et sans complexe dans une trajectoire pro-entreprise, qui défend l'offre, qui dialogue avec le Medef et, même, qui accorde un « hug », une accolade, à un jeune patron exilé (fiscal !) dans la Silicon Valley… »

C’est dire s’il peut lui donner raison…

 

De quoi réjouir aussi les élus « soces » en lutte contre l'archaïsme et le sectarisme de l'aile gauche du PS, pense-je.

« En petit comité, la plupart des ministres méprisent cette fameuse aile gauche. »

Eh oui, les dures réalités du terrain…

 

Il n'empêche que ce courant est difficilement attaquable parce qu'il est… précisément la caution de gauche du PS !

Et puis, dans les médias, c'est bien lui dont la voix porte le plus, au point d'exaspérer les réformistes qui veulent se faire entendre.

 

Même l'ancien ministre du Budget, un ex du courant de « Déesse-Khâ », depuis qu’on reparle de lui parce qu'il a fait appel de sa suspension par l'Ordre des médecins et parce qu'une nouvelle procureure reprend son affaire, s’en frotte les mains.

D’ailleurs une confidence plus politique est rapportée dans « L'Opinion ». Celle d’un très proche conseiller de « François III », qui dit : « Dire qu'il pourrait être aujourd'hui l'homme de la situation, l'homme par excellence du pacte de responsabilité ! », se lamente-t-il…

On savait « François III » très inspiré par « D’Jacques Deux-l’or ».

Mais c'est bien l'ombre du queutard qui pourrait planer in fine sur la fin de son quinquennat de l'économie.

 

Ce qui serait le signe d’un retour en grâce des « pragmatiques », après le tsunami des « dogmatiques » et autres « déclinistes », en dit-on sous les ors aux murs et plafonds des palais républicains.

Notez que c’est avec deux ans de retard, comme d’habitude avec les « soces ».

 

Pour ma part, je regarde et écoute : On est à peu de semaines d’une raclée historique de la « gôche », qui sera confirmée une nouvelle fois en juin.

Les grandes manœuvres du prochain remaniement ministériel ont déjà commencé depuis quelques semaines.

Qui restera avec sa voiture de fonction et quelques menus avantages à faire valoir, telle est donc la question actuelle.

Et pour ce faire, il s’agira d’apparaître le moins archaïque possible, me semble-t-il !

Enfin, espère-je au fond de ma « Ford-intérieur ».

 

C’est en tout cas la leçon qu’on ne voulait pas nous donner mais qu’on ne pouvait pas non plus passer sous le silence des maladies honteuses.

Encore un grand-écart absolument vertigineux, finalement.

En attendant, j’en suis resté tétanisé, « kul-ta-terre » sur la moquette (heureusement profonde et confortable) pendant de longues minutes !

Parce que le retour de « Déesse-khâ » … Non mais !

Et puis quoi encore ?

Pensez à planquer vos « poulettes », dans cette hypothèse…

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 05:01

Explications pour ma « Môman »

 

Voilà que l’auteure de mes jours dans les grandes souffrances de la mise-à-bas (elle s’en souvient encore…), passe dans le quartier et qu’on s’en retrouve tous les deux à picoler un « café-verre-d’eau » en terrasse : Il faisait beau mais frais.

La conversation roule sur les nouvelles aventures de « sa nichée-à-elle » et reproduite, plus quelques autres éléments rapportés, quand nous causons de façon impromptue « actualité-politique » et de la polémique qui enfle alors avant la clôture de la session parlementaire dans la perspective des prochaines élections. Ce qui rend tout le monde si nerveux dans l’hémicycle parlementaire.

« Ces gars-là, ils ont beau avoir été naturalisés Gaulois, ils en ont oublié de le devenir… », lui fis-je en parlant de notre ministre des cultes et de l’ordre public.

 

Celui-là, au « pedigree-flatteur », il fait encore l’admiration des foules béates qui le voient premier des ministres le 31 mars prochain, mais pas le lendemain : Ç’aurait pu passer pour un « poisson d’avril » et le 2 avril, il y a conseil des ministres…

Naturellement, troublée par mon propos mais déjà en garde et sur la défensive pour avoir été visée par le propos ministériel en qualité d’adhérente de la Corpo dans ses jeunes années étudiantes à la Fac de droit (Panthéon-Sorbonne), sans pour autant n’avoir jamais s’être crue fasciste, elle se sentait comme humiliée par la polémique du ministre…

C’est vrai, elle y a croisé « Le borgne de Saint-Cloud » à cette époque-là, mais c’était déjà un « excité du bocal ».

Pas tous les autres.

Alors, elle me demande de préciser ma pensée.

« Ils ont oublié l’honneur et l’amour de la patrie… Quand on est ministre de l’intérieur, avec accès illimité à toutes les notes blanches des RG et tous les dossiers policiers collectionnés par les services depuis avant Vidocq, on n’en fait pas déballage seulement pour tenter de salir l’honneur d’un élu de la République en représailles idiotes !

C’est une insulte à la représentation nationale, une insulte à sa fonction et à ses responsabilités, une insulte au gouvernement, et par-delà tout ça, une insulte au pays.

Un manque total d’amour de sa patrie ! Il lui crache dessus. »

Pas sûr de l’avoir convaincue, perturbée qu’elle était de toute façon…

 

Alors reprenons : Extraits du Compte-rendu (2ème séance) des questions au Gouvernement du mardi 25 février 2014 (publiés au JO).

« 

– Yannick Moreau, député UMP de la Vendée : « Monsieur le Premier ministre, les Français sont atterrés de tant d’amateurisme et de sévérité sélective (à propos des émeutes de Nantes…)

À la vérité, ils se demandent vraiment pourquoi votre gouvernement se montre si faible avec les durs de l’ultragauche radicale, et si dur avec les pacifiques familles de la Manif pour tous (…). »

(Perso, je vous dirais bien qu’il a d’excellentes raisons, mais vous attendrez le mois d’août prochain pour les découvrir).

– Manuel Valls, en lieu et place du Premier ministre resté coi : « Vous avez été complaisants, au cours de ces derniers mois, avec ceux qui, à quelques mètres d’ici, s’en prenaient aux valeurs de la République, au rôle du Parlement, à la majorité parlementaire (…) Ici, il y a des députés, de votre groupe, qui ont été complaisants avec ceux qui cassaient… »

– Intervention lapidaire de Claude Goasguen : « C’est vous ! »

– Manuel Valls : « … qui s’en prenaient aux policiers et aux gendarmes (…). Eh bien, ce gouvernement est ferme avec tous ceux qui s’en prennent aux valeurs de la République, qui s’en prennent aux forces de l’ordre, aux policiers et aux gendarmes. Face à l’ultragauche… »

– Claude Goasguen encore, à la volée : « Vous ne faites rien ! »

– Manuel Valls : « … face à l’ultra-droite, ou face à cette extrême droite, nous répondons. Monsieur Goasguen, vous en venez, vous, de l’extrême droite. Vous savez ce qu’il en est ! Nous, nous ne sommes complaisants avec personne ! Vous, vous êtes complaisants. Les choses sont claires, avec nous ! »

»

 

Extrême droâte pour avoir été adhérent, comme ma « Môman » à la Corpo et avec une lourde confusion avec le mouvement plus radical « Occident »…

Principal reproche fait au député UMP de Paris … qui n’y a jamais été adhérent, pour le coup !

Des effets de fiches de police « mal-faites » ou d’une lecture trop rapide ?

 

Je penche volontiers pour la deuxième raison. La première est de toute façon invraisemblable…

Je m’en explique : « Menuet-Karlos-Valse » est né le 13 août 1962 à Barcelone (Espagne-catalane) à huit heures du soir à la clinique « La Ferroviaria », rue Campoamor dans le quartier d'Horta. Il est l'une des personnalités politiques élues en France, avec Anne Hidalgo, Eva Joly, Jean-Vincent Placé etc. à avoir acquis la nationalité « Gauloise » par naturalisation en 1982, à ses 20 ans, après n’avoir pas pu voter pour « Mythe-errant » en 1981.

Bienvenue au « club » : Je nous en félicite tous les deux !

J’ai, pour y être né « rive-droâte » (de la Seine), un pays si beau (et que j’aime tant…) que je le partage avec tous ceux qui le trouvent assez beau pour s’y intégrer volontairement.

 

D’ailleurs, il effectue son service militaire sous le drapeau tricolore dans l'Armée de terre, comme aspirant-officier au 120ème régiment du train de Fontainebleau (les planqués) en même temps qu'« Hard-No-Monte-et-bourre-la ».

Il rentre ensuite à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, où il obtient une licence d'histoire en 1986, bac + 3, donc.

Puis, en loge, en politique, en qualité de « conseiller » et trace sa voie et son chemin entre le courant « Roro-Card » et les caciques du parti.

Noniste, il milite par discipline pour le « Oui », finit par être élu et participe à la direction de la campagne de « François III » en 2012, qui le fait entrer au gouvernement à un poste de confiance « entre tous », qu’est le ministère de l’intérieur !

Tout cela est connu et archi-commenté.

Une belle « carrière » et un exemple très réussi d’intégration.

Bravo !

 

Sauf que lui, quand il parle de « Valeurs de la République », qu’il semble devoir mettre au-dessus de tout à l’encontre de « Gloaque-Guen » (je ne l’aime pas pour ses quelques turpitudes contre le « cousin-Jean » (Tiberi) et il l’a toujours su puisque je le lui ai dit à plusieurs reprises…), manifestement ce sont seulement celles qui sont écrites ici et là.

Dans les déclarations de droits de l’homme, la constitution, les lois et jusque sur le fronton des écoles qu’il a dû fréquenter : « Liberté, Égalité, Fraternité » !

J’ai les mêmes.

Donc, lui, il sait lire (pas comme moi, enfant de « l’ékole-pue-blique »).

Mais il y en a d’autres qui ne sont pas écrites, parce que globalement, elles sont innées … de naissance !

« Honneur et Patrie ».

Ce à quoi rajoute la flotte nationale : « Valeur et Discipline »

 

« La genèse de l'apparition de ces plaques sépare en deux « Honneur – Patrie » et « Valeur – Discipline ».

« Honneur – patrie » est la devise de la Légion d'honneur et du Drapeau national sous l'Empire.

Elle a été reprise à partir de 1830 par la Marine nationale.

La devise « Valeur – Discipline », est présente sur les drapeaux de l'Empire, en 1812, avant d'être reprise sur le drapeau de la Seconde République (1848-1851), puis en 1852 sur la Médaille militaire.

Si la date à laquelle cette devise vient honorer les bâtiments de la Marine est assez floue, l'hypothèse du Second Empire est plus certaine ».

 

« Honneur et Patrie », c’était aussi une émission radiophonique de la France-libre, d'une durée de cinq minutes, diffusée par la BBC durant la Seconde Guerre mondiale, à raison de deux fois par jour.

L'émission était suivie par celle très célèbre et attendue des maquisards et résistants : « Les Français parlent aux Français ».

C'est également le nom du mouvement de Résistance créé dès 1940 à Angers autour de Barbara et Victor Chatenay (1886-1985), ultérieurement sénateur puis député, maire d'Angers de 1947 à 1959 et membre du Conseil constitutionnel de 1959 à 1962.

 

Le monogramme « HP » pour « Honneur et Patrie » constitue bien sûr le motif central du grand collier de la Légion d'honneur, porté par le président de la République lors de la cérémonie d'investiture.

 

Mais là, j’imagine que les leçons de « l’ékole-pue-blique » n’ont pas été assez bien assimilées.

Il sait lire, mais comprend-il ?

Ou bien fait-il un « blanc » sur l’unique décoration de « François III » ?

 

Naturellement, au-delà de la polémique, je reste très triste que personne ne lui en ait parlé depuis que Monsieur le Ministre soit entré dans la citoyenneté qui est la mienne.

Jusqu’à me demander si « l’intégration » tant vantée et désirée est finalement si bien réussie qu’on nous le prétend…

 

Alors pour jouer au « plus-kon » (discipline où j’ai pu être champion régional-junior à un moment donné de ma vie), juste cette petite vidéo, qui rappelle combien on peut se tromper à tout-âge : http://www.youtube.com/watch?v=-CzUktC_EAQ

Même les soi-disant « les meilleurs »…

Et que certains propos mériteraient d’être qualifiés « d’emportements », justifiant ainsi d’excuses bienvenues.

 

Or, cette fois-ci, ni l’impétrant « plus kon que moi », ni son chef de gouvernement, ni le gouvernement de mon pays (que j’aime tant) ne l’ont fait, insistant ainsi tous que le propos aurait été fondé.

Au moins dans leur « krétine-attitude » à eux.

Ç’aurait été pourtant tout à leur honneur … et celui de mon pays à travers les fonctions gouvernementales des uns et des autres.

 

Terrible, n’est-ce pas ?

Et c’est tout de même très dommage…

Voire impardonnable.

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24 février 2014 1 24 /02 /février /2014 05:01

Mardi dernier, la DGA communiquait

 

Il faut se souvenir que « François III » rentrait des USA pour un « voyage d’État », sans « grand-contrat » et des échanges officiels tellement ridicules qu’on s’est bien demandé de quoi ont pu être faits les entretiens réalisés « en marge » avec les quelques ministres du voyage.

Notamment « Fafa-l’empoisonneur » qui s’est empressé la semaine suivante de voler au secours des émeutiers d’Ukraine pour se raviser en vol, avec la menace de sanctions européennes exigées par le voisin polonais…

De quoi se mêle-t-on donc au juste ?

Vous imaginez un peu l’idée si Moscou avait dépêché son ministre des « affaires-étranges » en Mai 1968 sans même un appel au secours du PCF ?

 

Mais pas seulement : On rappelle le contexte des derniers mois, où l’essentiel des économies promises sur les budgets à venir étaient portés par le dernier livre blanc sur la défense en préparation, avec un « Cas-zut-hack » aux commandes, exigeant le démantèlement de 31 régiments, l'annulation des commandes de l'héicoptère Tigre, l’arrêt des chaînes de production du Rafale, la vente du Charles-de-Gaulle !

Celui-là, il n’a pas compris d’où venait le tir de Scud qui l’a démoli…

 

Tout en décidant de l’opération « Serval » et se tenant près à des bombardements intensifs des sites de guerre chimique syriens en août 2013 …

Depuis, les opérations se poursuivent en Centrafrique, on rajoute de la troupe à la manœuvre, on termine à peine de sortir d’Afghanistan (pour laisser la place à la diplomatie nous en avait dit « Fafa-l’empoisonneur »), ils ont voté la LPM donnant les pleins pouvoirs de cyber-défense aux étoilés de l’armée, sans intervention ni contrôle d’un juge ;

Depuis et malgré l’explosion en vol d’un missile M51 de la FOS, pris d’un accès soudain de bon sens, la dissuasion nucléaire est « sanctuarisée » ;

Depuis et malgré les restrictions budgétaires, le gel des embauches, la réduction des effectifs, le fait que les navires resteront au port plus longtemps et les avions voleront moins, le « grand carénage » du CDG est budgété pour 2016 ;

Depuis, un chèque d’1 milliard a été tiré pour moderniser le Rafale … et maintenir la chaîne d’assemblage…

Depuis quoi, au juste ?

 

Depuis les huées tout du long des champs au passage de « François III » le 14 juillet dernier, depuis les vagues de contestation de citoyens sur le mariage pour tous : On calme les esprits, on révise le logiciel de paye, on tire un trait sur le porte-avions franco-britannique et on avance.

La preuve : La DGA a été autorisé à communiquer.

 

Première partie, son bilan annuel et les réussites de 2013 : La livraison des deux premiers appareils de transport de nouvelle génération A400M, après des années de retards accumulés, a été « quelque chose de pas tout à fait simple », regrettant un « standard de capacité initiale » que l'on devine décevant.

Toutefois, « l'effet capacitaire est tout à fait significatif », précisait-on immédiatement : Lors d'un récent déploiement, « on aurait eu besoin de trois C-130 » pour remplacer un seul vol d'A400M.

Autre événement de 2013 : L'arrivée des premiers véhicules blindés de combat d'infanterie dotés du nouveau système de gestion de l'environnement de combat Félin (« VBCI félinisés »).

 

La DGA annonce aussi, dans une deuxième partie, qu'elle a mis sur les rails le nouveau standard du chasseur multi-rôle Rafale, le F3-R et ses pods de désignation laser de nouvelle génération.

Qu’elle a aussi lancé la modernisation des avions de patrouille maritime Atlantique-2, les yeux aériens de l'armée sur les mers et océans, et le programme de missile à moyenne portée (MMP), successeur du Milan.

De nouveaux satellites d'observation du programme Musis devraient être lancés dans les années à venir pour remplacer dans plusieurs pays européens partenaires les systèmes nationaux, comme Hélios-II en « Gauloisie du renseignement ».

 

Et de se projeter en l'an 2014 qui sera celui du lancement du programme MRTT (pour multi-rôle transport and tanker), le nouvel avion ravitailleur qui doit remplacer le parc vétuste.

Fabriqué par Airbus, l'A330 MRTT que le ministre a promis de commander est « extrêmement attendu par nos armées, compte tenu de l'âge de nos avions de ravitaillement actuels », essentiellement des C135 de Boeing.

 

Et de plus, toujours dans les airs, le développement de drones reste stratégique et problématique à la fois. Le programme anglo-israélien Watchkeeper, par exemple, a « laissé sur leur faim » les techniciens gaulois lors d'essais en vol à Istres cet été.

Même si des « progrès sensibles ont eu lieu par la suite. Mais nous avons besoin de propositions fermes », précise-t-on.

Pas un mot du « Neuron », le drone de combat de chez Dassault…

En fait, la DGA attend de voir la réaction britannique sur le dossier des VBCI, que Londres pourrait acheter…

Ces deux dossiers « sont parallèles », reconnaît la DGA.

 

Un nouveau sous-marin nucléaire d'attaque (SNA) de classe Barracuda doit être commandé en 2014.

Les SNA, à propulsion nucléaire et dont le rôle est notamment de protéger les escadres à la mer, ne doivent pas être confondus avec les SNLE (sous-marins nucléaires lanceurs d'engins) dont la vocation est la mise en œuvre de la dissuasion nucléaire.

La troisième génération de SNLE doit, pour sa part, être développée à l'horizon 2030, après l'arrivée en 2023 des nouvelles versions du missile nucléaire maritime M51 et du missile air-sol nucléaire ASMP.

 

« Nous lancerons également toutes les opérations visant à remplacer le (fusil d'assaut) Famas par l'arme d'infanterie du futur, l'AIF », évoquant aussi un futur « système de lutte contre les mines maritimes à base de drones maritimes ».

C’est comme ça que l'organe du ministère de la Défense a annoncé qu'il a payé 10,835 milliards d'euros à l'industrie (avec 9,231 milliards d'euros d'engagements), et 776 millions d'euros pour les études en amont.

« Le bilan de nos paiements est stable par rapport à l'an dernier » et le « délai global de paiement a été réduit : 50 jours en 2013 contre 70 jours en 2010 ».

 

D'ici 2019, est évoqué le fait que près de 20 % des effectifs de la DGA vont partir à la retraite. Et ils espèrent en « remplacer le plus possible » et attendent avec impatience les arbitrages du ministre.

« Tout l'enjeu est d'arriver à recruter bien, en quantité et en qualité, et là où il faut. Cela doit nous permettre de couvrir des champs d'investigation nouveaux comme le cyber ».

La cyber-défense est justement tout d’un coup l'une des deux priorités stratégiques du dernier Livre blanc de la défense (2013).

Interrogé sur ses projets en matière cyber, on reste quand même relativement flou dans la boutique.

« Nous devons porter le nombre total d'experts cyber à 400 » (les embauches gelées l’été dernier) contre une cinquantaine aujourd'hui.

« Nous voulons investir un secteur qui est nouveau, absolument fondamental, et sur lequel on ne peut pas se rater ».

« Nous rencontrons un très grand succès sur nos appels à candidature pour ce secteur, avec un facteur de tri de un pour dix », précise-t-on.

 

À quel prix ? « Les investissements techniques sont modestes : Les calculateurs, les PC, les chiffreurs, cela ne coûte pas extrêmement cher ! Le point clé, dans la cyber-défense, c'est le cerveau. » Et lorsqu'on demande de préciser comment sont développées les armes informatiques gauloises, ouvertement assumées depuis janvier 2014, la réponse est cinglante : « C'est une question à laquelle je ne réponds pas. »

Les mystères du « secret-défense »…

 

Et puis on apprend que la DGA a inauguré fin 2013 dans l'Essonne un laboratoire ultra-sécurisé de type P4, dans lequel elle stocke des souches de microbes et virus extrêmement dangereuses.

Pourtant, il n'y a « pas de nouveaux investissements significatifs » envisagés pour la bio-défense en 2014.

« L'établissement NRBC (pour nucléaire, radiologique, bactériologique, chimique) de la DGA a été sollicité à plusieurs reprises par l'État pour analyser des échantillons suspects ».

Il tient un « rôle tout à fait essentiel, qui n'est absolument pas celui du service de santé des armées, lequel a pour objet de soigner ».

 

« C'est parce que nous avons investi il y a 30 ans que nous sommes en mesure de répondre aux menaces d'aujourd'hui, et c'est parce que nous investissons aujourd'hui que nous serons en mesure de répondre, probablement, aux menaces dans 30 ans ».

Et de rappeler que les 5.000 spécialistes de la DGA ont mené 6,5 millions d'heures d'essais en 2013, « au service de nos forces et de nos partenaires à l'exportation ».

 

« Je pense que la défense est utile : il n'y a pas de grande diplomatie sans défense ».

« Traditionnellement en France, la défense a toujours été un outil de développement économique … Ce n'est pas le cas partout ! C'est un secteur exportateur, qui correspond à des emplois, et qui est très faiblement délocalisable ».

 

Quant aux exportations d'armes gauloises, elles ont progressé de 31 % en 2013 : « C'est le deuxième meilleur exercice depuis dix ans, après celui de 2009 (… grâce) à quelques contrats majeurs » en Arabie saoudite, à Singapour, au Brésil ou encore aux Émirats arabes unis.

Le Proche et le Moyen-Orient représentent à eux seuls « plus de 40 % des prises de commandes », précise la DGA.

 

Finalement un véritable « tournant », sinon un retournement d’axe politique, n’est-ce pas.

Alors question « honnête » : L’effet de seulement quelques sifflets le 14 juillet dernier ?

Si vous y croyez, je vous laisse à vos opinions : Personnellement, je cherche encore à comprendre.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 05:05

Je faisais « jury », l’autre samedi.

 

Encore un « truc » compliqué, où il a fallu des semaines de négociation avec un « petit-chef » de la fac qui « en-cague » tout le monde du haut de son minuscule îlot d’autorité, fonctionnaire assermenté de l’Éducation nationale, payé à l’ancienneté au service du « public » des étudiants…

Né seulement pour faire ch… (étroner) le « bon peuple » !

Normalement, la session aurait dû avoir lieu avant les vacances de Noël dernier et je ne devais pas y participer : Moi, le samedi, de toute façon, je fais la sieste, c’est bien connu !

 

Mais là, « mon directeur », autre fonctionnaire assermenté de la même administration, payé pareil à l’ancienneté en face de son public de boutonneux, il était totalement paniqué à l’autre bout de ma trompe d’eustache, ce jour-là.

De loin en loin et de reports successifs en reports successifs, c’étaient 5 étudiants, 3 mémorialistes et 2 thésards en fiscalité-pointue, qu’il fallait absolument examiner dans leur « soutenance » avant les délibérations de jurys du début février (ils ont déjà commencé la session du second semestre d’enseignement et les 5 gusses concernés allaient être forclos), j’ai donc été « réquisitionné » parce qu’il n’avait plus personne de disponible.

 

En à peine 5 jours, il me fallait donc lire les 5 volumineux tomes, prendre connaissance de leur contenu, vérifier un minimum des références incluses dans leur devoir respectif, essayer de comprendre de quoi ils causaient, et tout le bazar, pour ne pas paraître trop béotien sur les sujets abordés.

« Ce qui serait bien Infree, c’est que tu passes au secrétariat pour prendre leurs mémoires, vus les délais de la poste ! »

Et allons-y donc … Deux heures de route juste parce que la poste, ça n’est pas assez rapide.

 

Je me pointe donc la gueule enfarinée au secrétariat… pour trouver porte close.

Pas grave, je file chez le concierge (qui me reconnaît), lui explique mon problème alors qu’il n’a qu’une envie, c’est celle de me parler des études de sa fille (qui fait auxiliaire-puéricultrice dans le civil … enfin peut-être et seulement à l’issue de ses études) pendant un bon quart-d’heure, avant de me lâcher qu’il n’a pas la passe dudit secrétariat, pour une histoire de serrure changée à la va-vite…

Il faut que je repasse demain, parce que le gusse qui fait « secrétaire », il a pris sa journée !

Ah, les fonctionnaires assermentés au service du public…

 

Un coup de « Bip-bop », le dirlo arrive en trombe à en faire de larges traînées au sol avec sa grosse-auto (de fonction & de directeur) et sans cravate, avec un double de la clé.

On monte (et vous savez combien j’ai du mal à « monter »), j’arrive dans le bureau alors qu’il cherche dans une armoire « à mémoires ».

Il grogne, parce qu’il ne trouve pas.

« Viens au bureau, je te fais un double sur TA clé USB ! »

Heureusement que j’en ai toujours une sur moi, quelle que soit ma veste ou mon costard, en espérant qu’elle ne soit pas déjà saturée.

 

Et me voilà reparti avec des km d’octets en version PDF.

Que le lendemain, quand je m’avise d’imprimer tout ça, ce n’était même pas la peine, je n’avais de toute façon pas assez de papier…

Donc corrections sur écran !

(Heureusement que je n’ai pas les « petits-yeux » de ma mère et que j’ai même des binocles sur le nez pour améliorer leur performance.)

Bon, je n’ai pas tout compris de quoi est-ce qu’on cause, mais je comptais bien « imprimer » avant la soutenance, sous format Word, avec mes annotations tout-plein partout. Parce que bon, je lis tout, pas comme d’autres.

 

Arrive donc le jour J, un samedi et que je me pointe en avance pour ce faire.

Le « petit-chef-assermenté » qui fait secrétaire au service du public est là et commence par m’engueuler d’avoir foutu le bordel dans son armoire « à mémoires » en début de semaine.

Fort !

« Eh, oh ! Un ton en dessous le bac – 5 ! J’avais pas la clé… et je viens pour imprimer MES exemplaires ! »

Quoi ? Que non ? Que pas possible, que l’imprimante est… en panne.

Bon, à la bibliothèque alors ?

Pas question, il n’a pas la clé… Un samedi matin, hein…

« Ah vous voyez, quand on n’a pas la clé, on n’entre pas ! »

Et le gars disparaît furieux avant que j’aie pu lui demander où se passait la soutenance… Salle quelque chose, numéro bidule, bâtiment machin, mais quand vous n’avez pas le plan en tête, c’est pire que le musée du Louvres : Il faut marcher, tourner en rond, monter, descendre et remonter pour trouver.

Les descentes, ça va, mais les montées, ce n’est décidément pas « mon truc »…

 

Enfin bref, je trouve 4 autres gusses et 1 fille esseulés devant une porte d’amphi close. Plus l’autre jury, le directeur étant parti chercher une clé… papotant avec les 5 soutenants et au moins 3.000 boules de fringues et de bijoux sur elle.

Un véritable arbre de Noël…

Pas la joie dans leur regard, tous & toutes tendus à souhait comme dans ce genre d’occasion et pour en rajouter, je leur fais : « Bonjour, c’est lequel qui nous a pondu les horaires des marées en annexe ? »

Je ne vous raconte pas les regards qui se croisent…

Un vrai bonheur !

Même ma « co-jury », j’ai cru qu’elle tournerait de l’œil !

Ce qui aurait pu faire des dégâts pour être perchée sur des talons aiguilles de haute contenance…

« Ah bon ? Ce n’est pas le jury sur les équations des fluides légers et homogènes en milieu gazeux, ici ? »

Non (soulagement), c’est celui qui cause de fiscalité…

« Bon, je veux bien faire ça aussi, c’est également dans mes cordes ! »

Ambiance.

 

Tout ça pour vous dire que n’y tenant plus des cavalcades précédentes et ne voyant pas revenir notre « dirlo » avec sa clé, je pars à sa recherche en passant par la case WC.

Et je finis par le retrouver dans ses quartiers, pendu au téléphone.

« Eh oh ! » lui fis-je en tapotant du doigt sur ma montre.

Il me fait signe de me taire : C’est le doyen à l’autre bout du fil. Et ça a l’air vraiment sérieux.

Et on rentre ensemble, sauf que lui aussi, il se perd, ce qui nous donne l’occasion de discuter un peu entre deux couloirs.

 

« Je ne te dis pas, Infree, on est mal ! ». Oui : Pas sûr que je sois rentré pour ma sieste du samedi.

« Non ce n’est pas ça… Toutes les universités peinent à maîtriser l’augmentation de leur masse salariale. »

Elles ne sont pas en faillite, mais quasiment apprends-je plus loin.

« Quasi-cessation de paiement à Versailles-Saint-Quentin, menace de fermeture d’une antenne à Montpellier-III, irruption d’étudiants et de personnels à Paris pour protester contre des mesures d’austérité… Dans une quinzaine d’universités, la situation financière et sociale est tellement critique que les votes des budgets 2014 ont été reportés. Une situation inédite ! »

De quoi cause-t-il ?

Ils fonctionnent sans le sou ?

 

En cause, l’impuissance de nombreux établissements à maîtriser l’augmentation de leur masse salariale, un des effets pervers de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU) de 2007 qui, dans le cadre du passage aux « responsabilités et compétences élargies » (RCE), imposait le transfert aux facultés de la gestion de leurs personnels.

« De nombreuses universités se trouvent clairement dans une impasse ».

Comment ça ?

Ils l’avaient tous réclamée cette autonomie budgétaire, non ?

 

« C’est comme si on avait été lâchés d’un avion sans parachute ! »

Et de m’expliquer que lors de son passage aux « RCE » en 2011, une « charte de transition » avait pourtant bien été signée pour maîtriser les embauches.

Mais…

« Il a fallu réorganiser l'ensemble du service des ressources humaines et recruter des directrices du rectorat, avec des conséquences budgétaires que le précédent gouvernement avait complétement sous-estimées. »

 

Un fois de plus, au cœur du problème, la prise en charge des « glissement vieillesse technicité » (GVT), c’est-à-dire l’évolution automatique de la masse salariale des établissements liée à la progression des carrières sur les rémunérations des agents.

Une dépense « subie » qui n’est contrebalancée par aucune compensation, alors que la loi LRU était fondée sur un glissement vieillesse technicité globalement nul.

Sans doute un « malin » qui avait dû assister à mes cours où j’explique la technique archi-connue : À effectif constant, l’effet centripète des nouvelles embauches compense l’effet centrifuge des « sortants » tout en générant, en principe, une baisse sensible des masses salariales…

Quand c’est bien géré sur la durée.

 

« Au Mans, les GVT des collègues représente environ 500.000 euros annuels, sur 90 millions, soit l’équivalent de leur déficit ».

Et pourtant, depuis deux ans, apprends-je, le ministère de l’Enseignement supérieur prend en charge la moitié du GVT des universités.

Ils ne doivent pas savoir compter eux non plus…

Une dépense qui s’élève à 29 millions d’euros en 2013, la même somme restant à la charge des établissements qu’il faut en trouver des financements supplémentaires.

 

La paye des personnels creusant déjà les déficits, c’est de fait toute la politique d’embauche qui est remise en cause. « Alors quand la ministre (de l’Enseignement supérieur, « Genévrière Déflor-azio »), promet la création de 1.000 postes dans les universités, on joue aux équilibristes en gelant les embauches et en récupérant des crédits sur d’autres lignes budgétaires ».

En bref, elle se fout du monde !

Parce que personne ne semble savoir gérer un budget.

« Eh dis, on a été 1 sur 2 à voter pour le gros pignouf à lunette en 2012. Comme ce n’est pas moi (Cheminade aux deux tours), c’est donc de ta faute ! Viens pas te plaindre ! »

 

« C’est pareil à Cergy-Pontoise avec son déficit d’1 million d’euros depuis 2010 ! Ils ont gelé 40 postes et renforcé leur service financier. Chez nous, comme souvent ailleurs, c’est maintenant près d’une dizaine d’employés qui travaillent en plus à la direction des ressources humaines et à la comptabilité pour gérer plusieurs milliers de fiches de paie mensuelles. »

Là, je comprends mieux la mauvaise humeur de mon « bac – 5 assermenté » : Gel de l’indice, GVT menacés et du boulot à ne plus savoir quand prendre « sa » journée !

 

« Quant à la dernière loi promulguée en juillet dernier, elle incite les regroupements d’établissements pour mutualiser les coûts, mais elle va accentuer les inégalités. Tu comprends, Infree, les universités en bonne santé comme la nôtre qui vont chercher le pognon de la formation continue en entreprise, elles préfèrent se retirer de pôles où elles ont tout à perdre économiquement et rien à gagner.

Celles qui restent ne font que partager le même marasme financier. »

Tu veux dire la même médiocrité ?

« Nous sommes l’excellence ! Mais on doit aussi assurer l’accès à tous à l’enseignement de qualité. »

Le retour du vieux soixante-huitard qu’il est devenu…

Il n’envisage même pas de rendre libre les droits d’inscription, comme dans les hautes-ékoles : C’est contre ses principes…

Va y avoir des morts, diagnostique-je.

 

Bon l’amphi n’était pas chauffé. La minette en décolleté profond, elle se gelait de froid à en trembler de tout son corps, faisant vibrer sa poitrine fabuleuse à peine camouflée, et son mémoire n’était pas mauvais du tout.

Notre co-jury féminine, n’a simplement pas apprécié de la mâter pendant 30 minutes quasiment en déshabillé vespéral (« A-t’on idée de s’habiller de la sorte à cette époque de l’année ! »), typique des « jalousetés » perfides entre filles…

Les deux thésards étaient vraiment très forts. Le petit-barbu n’était pas mal non plus et le dernier, on l’a d’ailleurs « fini » dans le hangar à vélo, sur le parking, parce que le kon de concierge (assermenté et aux GVT menacés) nous a foutu dehors : Il doit fermer les locaux à 13 heures, le samedi.

« Eh laisse-le nous enfermer, on passera par la gouttière pour sortir d’ici ! »

Je n’avais pas vu qu’on était au deuxième étage…

 

Alors on l’a un peu bâclé. Il avait dû abuser d’une substance qui le rendait rigolatoire, jubilatoire, euphorique et son devoir, c’était du copié/collé de wikipédia.

Puisque j’avais ma « machine » en dépannage et que le wifi local n’avait pas été débranché, j’ai pu en faire la démonstration en suivant les liens aux questions que je n’ai pas manquées de lui poser…

Et lui d’en rire à gorge déployée, le kon !

Au moins, on sait qu’il a une dentition complète, sa seule vraie qualité avérée.

 

Ils ont tous eu une note au-dessus de la moyenne, même le rigolo. Faut dire que c’était un « black » et que mon directeur l’est aussi…

Mais ça ne valait même pas le 7 que j’avais envisagé devant mon écran à première lecture.

Et puis je suis reparti, assez inquiet de prendre conscience que le « service-pue-blic » de l’enseignement supérieur est la dernière roue d’un carrosse qui cherche 50 milliards d’économie à faire d’ici 2017.

 

Vous verrez, ils feront l’addition des 4 années à venir sur des « économies virtuelles » pour vous annoncer que le pari sera gagné par… les suivants.

Il n’y a pas d’autre solution mathématique, tant qu’on ne change pas de cap, contrairement à ce que tout le monde raconte.

Quand même dommage de rendre le pays dans un tel état après avoir bâclé tout le reste, comme j’ai été obligé de le faire ce jour-là…

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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 05:55

Les paris perdus de « François III »

 

Le retour de la croissance, la baisse des déficits et, maintenant, l'inversion de la courbe du chômage !

Trois échecs sévères pour trois engagements solennels, datés, signés et réitérés, inscrits au cœur du « changement » promis en 2012.

Mais chut, on ne va plus en entendre parler d’ici peu…

 

D’accord, on peut polémiquer sur les chiffres : Il y a moins de CDI « durables » sur lesquels se sont focaliser à tort tous les ministères et économistes, annonçant peut-être une « stabilisation » du nombre de chômeurs.

D’autres (dont mon « conseiller spécial ») notent qu’au contraire, il y a moins de chômeurs toutes catégories confondues.

Le drôle… : « De 5.972.100 (cinq millions neuf cent soixante-douze mille cent), autant dire six millions, les comptes sont redescendus à 5.961.600 (cinq millions neuf cent soixante et un mille six cents) soit 10.500 de moins ! »

 

En bref, la machine économique, matraquée comme jamais, ses marchés domestiques égorgés à vif comme nulle part ailleurs par les prélèvements obligatoires en hausse brutale, détruit du CDI et crée des « petit-boulots ».

On notait déjà cette « convergences » avec l’économie allemande, il y a quelques semaines : Ça se confirme.

 

Bon mais dans les grandes lignes, que faut-il retenir ?

Qu’en un an, on aura « cassé » 63.101 entreprises et 655.000 emplois (tout confondus), parce qu’on comptait 5.306.600 « chômistes » en décembre 2012…

Décembre 2007 : 3.532.800 chômeurs, toutes catégories additionnées.

Décembre 2008 : 3.708.300, soit 175.500 de plus en 12 mois.

Décembre 2009 : 4.436.000, soit 727.000 pour une année de crise suffocante et mondiale.

Décembre 2010 : 4.696.500, soit 260.500 de plus sur un an.

Décembre 2011 : 4.915.100, soit encore 218.600 de plus.

Et décembre 2012, 5.972.100, soit une marée d’1.057.000 avec l’arrivée de « François III » aux manettes !

Le ministre du travail a bien raison : C’est le reflux avec seulement 655.000 emplois détruits !

 

Comptez bien, 5 millions de fonctionnaires et assimilés, 6 millions de « chômistes », il ne reste plus que 16 millions de kouillons « esclaves-volontaires » pour faire tourner « la boutique »…

Et vous voulez que j’applaudisse ?

Même pas dans vos rêves les plus fous !

 

Bravo les « autistes »… De quoi en être fier, il n’y a pas à dire : 2.428.800 (+ 68,75 %) personnes sur le pavé (et autant de foyers derrière) en 6 ans…

Pas mal, hein !

Vous avez voté pour le « déni de réalité » ?

Bé ils peinent à s’en défaire, bien assis avec constance sur leurs délires & certitudes.

 

D’autant que de décembre à décembre, c’est aussi 178.000 CDI durablement détruits.

Qu’il faut rapprocher des 63.101 entreprises disparues, chiffre très proche du record absolu de 2009 (63.709).

En hausse de seulement 3 % par rapport à l'an passé.

 

Ces chiffres se décomposent en 61.468 procédures de liquidation et de redressement judiciaires et en 1.633 procédures de sauvegarde. Sachant que 68 % des jugements prononcés ont été des liquidations judiciaires directes.

 

Comme les années précédentes, la très grande majorité des entreprises défaillantes en 2013 sont des micro-entreprises sans salarié (environ 24.300) et des TPE employant 1 ou 2 salariés (environ 18.400) ou de 3 à 9 salariés (14.100).

Les PME de 10 à 49 salariés résistent mieux, même si pas moins de 4.100 d'entre elles ont fait l'objet d'un redressement ou d'une liquidation judiciaire.

Enfin, les entreprises de plus de 50 salariés sont moins défaillantes en nombre (480 redressements et liquidations judiciaires), mais elles représentent 25 % des emplois menacés (66.000 sur 269.000 emplois).

Le compte n’y est pas : On dégraisse par ailleurs pour éviter dans l’urgence les déconfitures.

 

S'agissant des secteurs d'activité, ce sont à nouveau ceux de la construction (17.650) et du commerce (13.900) qui ont connu le plus grand nombre de défaillances d'entreprises en 2013, suivis par celui des services aux entreprises (7.450) et de l'hébergement/restauration (7.250).

Deux tristes records doivent d'ailleurs être signalés : 8.500 commerces de détail et 5.700 restaurateurs ont déposé le bilan l'an dernier, vraisemblablement victimes de la faible consommation des ménages et avant toute augmentation du taux de TVA.

En 2014, ça va être l’hécatombe…

 

C’est l’échec de toute une politique. À tant céder aux emplois aidés, à trop croire aux vertus pourtant réelles (pour les grandes entreprises) du CICE, le chef de l'État espérait vraiment faire mentir les économistes.

C'est l'économie qui le fait mentir.

Sur le chômage, la croissance et le déficit, son tort est moins d'avoir perdu ses paris que de ne pas s'être, jusqu'alors, donné les moyens de les tenir.

Quand les secousses de la désindustrialisation, de la dématérialisation, de la mondialisation, ont poussé la plupart de nos concurrents à libéraliser leur marché du travail, à baisser le coût du travail y compris par les salaires, et retrouver de la « croâssance » et parfois même des emplois (7 % de chômage en GB, par exemple, après des années de folies à plus de 10 %), chez « notre-nous », on s'en est tenu aux « vieilles recettes ».

Surtout pas moins de dépenses publiques, et toujours plus de charges fiscales et sociales : Vous avez le résultat sous les yeux…

 

C'est une même erreur d'analyse qui a conduit ce pouvoir-là à renoncer à ramener à 3 % du PIB en 2013 un déficit public désormais bien ancré au-dessus des 4 %, et dont même la composante structurelle recule à peine : Elle a pour nom « choc fiscal ».

Celui-là même qui a contribué à réduire comme peau de chagrin une croissance que le président élu en mai 2012 se faisait fort de porter à 1,7 % dès 2013 !

Le dément…

Vingt mois après son arrivée au pouvoir, trois batailles économiques majeures perdues, sans que l'économie nationale ait eu à essuyer un choc exogène comparable à la crise subie en 2008 !

Les « autres », dimanche dernier, ils avaient bien raison d’exiger sa destitution… qu’ils n’obtiendront pas, naturellement…

 

Et puis alors, j’ai vu pour vous le « délire-verbeux » de « J-L. Mélangeons », en réaction de « gôche-de-la-gôche » : Rigolatoire à souhait !

Quoiqu’il n’y ait pas que du comique à en retirer.

L'eurodéputé ex-sénateur-PS c’est amusé : « Je vous le dis depuis le début que ce n'est pas possible d'inverser la courbe » du chômage « en ayant 0,1-0,2 % de croissance. Ce n'est pas vrai ! »

Absolument !

« On crée autant d'emplois qu'on en détruit à partir de 0,8 % de croissance. »

Vrai !

« Ça fait des mois que le Premier ministre, le ministre du Travail et le président de la République font de la tapisserie, de la bricole, pour faire une diversion. »

Vrai également…

Et ils persistent.

 

« La politique qui est mise en œuvre avec le fait qu'il a retiré de l'économie réelle 20 milliards et qu'il va en retirer encore 15 milliards pour les donner au patronat va aggraver la situation. »

Euh… là ! L’économie réelle, ce sont justement nos entreprises, pas notre endettement public, faudrait-il rajouter…

Et le patronat en réclame 60 milliards en compensation, qu’ils n’auront pas non plus, pour inverser les tendances.

Ils fonctionnent « avec un logiciel qui date des années 80 ».

Vrai !

La faute aux profs’ de l’ENÂ…

Ils « croient que c'est le travail qui coûte et qu'il faut en alléger le prix », alors que « c'est le travail qui crée la richesse ».

Vrai tout autant.

« On ne parle jamais des bonnes idées » et « on passe son temps à commenter la nullité d'une équipe qui ne sait pas où elle va ».

C’est bien vrai ça !

 

Et en guise de conclusion (mais c’était au début de son passage dans la petite-lucarne de la voisine) : « Je n'ai pas l'intention de commenter les commentaires de cette bande de bras cassés qui n'arrivent à rien », qui « sont tout à fait incapables ».

 

Boum !

Je ne dis pas autre-chose depuis plus d’un an, sauf que si je reste d’accord avec le diagnostic de « Mélangeons-zoukons », je reste marri qu’il n’aille pas au bout de son raisonnement, puisqu’il serait l’apôtre d’une destruction encore plus massive de l’économie de mon pays en accélérant les « mesures de gôche » dont on vient de voir qu’elles ne fonctionnent plus.

 

Chéri, il est où le bouton « reset » ?

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28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 05:04

Jour de colère

 

D’habitude, le dimanche, soit je fais la sieste (toute la journée), soit je drague de la gueuze-gôchiste et décatie, qu’elles en roucoulent de bonheur chez mes syndicalistes préférés, ceux qui sont de toutes les manifs.

Cette fois-ci, c’était un autre scénario : J’ai fait « camping-car » chez mon moi à moi-même (et à ma nichée) à accueillir mes « cousins » venus du sud dès samedi soir, et quelques autres « descendus » sur la capitale rien que pour « la manif ».

Celle où « les autres » n’iront pas…

Bon, ils ont aussi profité de leur après-midi de samedi pour « faire les soldes » sur les boulevards, faut pas dékonner non plus !

 

Et donc, après un copieux brunch au lait chaud (et à la soupe de légumes moulinés, mais oui !) direction Bastille : Donc, pas de sieste cette fois-là.

De toute façon, faut expliquer que sur mon boulevard, les convois de CRS toutes sirènes hurlantes m’auraient empêché de dormir…

Eux, ils n’hésitent pas, même à travers le marché qui s’étale encore à cette heure tardive jusque sur la chaussée encombrée : Ils foncent !

 

Je n’aime pas les manifs, je n’aime pas non plus traverser la Seine sans mon passeport. Mais j’ai suivi.

Un monde fou ! Il paraît qu’ils n’étaient que 17.000…

Les flics, ils n’ont manifestement pas appris à compter. Ou alors ils ont oublié.

Minimum 100.000, peut-être même 50 % de plus si on comptait les « touristes » comme moi…

 

Et alors, ce qui m’a stupéfait, c’était la marée de drapeaux tricolores et surtout la diversité des thèmes des manifestants : Il y avait vraiment de tout…

Des bonnets rouges, des dindons, pigeons, poussins, des vieilles et des jeunes, des bretons, mes « corsi » et leurs drapeaux « tête de Maure », des poussettes chargés et des « hommen » torse-nus !

Et même des quenelles, mais au fond du cortège, qui attiraient les photographes comme la « petite-vérole » sur le « bas-clergé » !

Et des slogans antitout : La vraie « Gauloisie des grandes colères »…

Je n’ai pas vécu les trois glorieuses, mais ça devait ressembler à ça !

Magnifique.

 

Parce que normalement, la plupart de ces gens-là se seraient taper sur la gueule jusqu’au dernier souffle comme on le verra lors de la prochaine guerre civile…

Mais là, ils étaient « fédérés » par une cinquantaine d’associations, une marée de drapeau tricolore, des Marseillaise vibrantes (je pleurs quand j’entends la Marseillaise, le Dio vi Salvi Regina et Patricia Kaas, c’est comme ça : Je suis un romantique-patriote), autour d’un seul mot d’ordre commun : « Hollande démission » !

« Attention Hollande, demain, ça Valls ».

« Ras-le bol de Hollande et de sa politique ».

« C’est une république bananière dans laquelle le peuple est inaudible », se plaint je ne sais plus qui, qui vient se faire entendre, pour une fois.

« Tu verras, l’Ignoble, avec les agriculteurs et les routiers, on organisera des actions encore plus musclées », me promet-il.

 

« Touraine, la sécu ne passera pas par nous ».

« Non à l’éolien industriel », « Non au mariage homo »…

« Non au racket fiscal » !

Au mégaphone, entendu pour vous : « Ce gouvernement nous donne 1.000 raisons de protester » !

Un autre : « Nous sommes étranglés par les réglementations et par les cotisations de toutes sortes ».

Je sais, j’en déménagerai bientôt « ma petite-entreprise » hors les frontières !

En fait, pour en rajouter aux statistiques officielles, je vais la liquider et en créer une autre « ailleurs », la même.

 

Un autre de reconnaître : « J’aurais pu être sous toutes les bannières. Car je suis tout aussi révoltée contre la loi Taubira que contre les robinets de l’immigration qui sont ouverts en grand ».

Quel rapport ?

Et encore : « Ce gouvernement a des projets sataniques. Entre le mariage pour tous et la théorie du genre qu’on veut enseigner aux enfants à l’école, c’est l’antéchrist au pouvoir » !

Pas moins…

 

Il faut dire qu’à Rome, à peu près le même jour, « François III » dont on sait depuis la chanson « Le pingouin » de « Karla-Brunie » qu’il est un mal-élevé, incapable de faire le baisemain à l’ex-première dame, en a rajouté une couche sévère !

Ce kon-là, non seulement il salue le pape d’une poignée de main à peine déférente (bon, passons…) mais, reçu à la bibliothèque par la puissante invitante locale, il n’attend même pas qu’on l’y invite pour s’asseoir, se précipiter sur son fauteuil alors que son auguste-hôte est encore debout…

Vraiment le comble de l’incorrection.

D’une rare indignité !

Il se prend pour qui au juste ?

Même pas honte de ne pas savoir tenir « son rang » en représentation de mon pays !

« Tu vas voir, c’est comme « l’alouette » qui va se servir le premier au buffet » m’en dira plus tard mes propres hôtes que je raccompagnais à l’aéroport.

Les « alouettes », elles s’invitent dans les garden-parties avec leur « pochon » pour s’en mettre plein les fouilles avant de repartir incognito…

 

Marcher, j’ai du mal avec mon double quintal : Je roule en métro dans ces temps-là.

D’autant que la pluie redoublait, que même si je suis étanche à tout, ça reste une pluie d’hiver : Froide !

Je pensais qu’on allait aller vers la place de la Nation en passant par République. Quand j’ai appris qu’on filait rive-gôche, dans mes quartiers et vers les Invalides (à l’ombre du tombeau du « Cousin », le « petit-caporal » qui a réussi), je me suis donc fendu d’un ticket supplémentaire et j’ai attendu qu’ils arrivent dans les beaux quartiers et la circonscription de « Rachi-Dada-Mimi » (qu’elle va perdre en Mars prochain : C’est déjà marqué comme ça dans les livres d’Histoire depuis un long moment).

 

Et j’y retrouve un autre « officiel ». Même tonalité au mégaphone : « Je proteste contre le mensonge instauré en mensonge officiel et contre l’humiliation internationale que nous inflige ce gouvernement. Dans n’importe quelle autre démocratie, Hollande serait viré à coup de pompes dans le derrière ».

« Hollande dégage » !

Ça avait une autre gueule que dimanche dernier place du Châtelet…

 

« À force d’entraîner du monde derrière nous, on va finir par déstabiliser le gouvernement », qu’ils y croient encore…

« La France aux Français, bleu blanc rouge ! »

Plus loin, on conspue « la France des oligarques », on loue « la France du pays réel rassemblée aux Invalides ».

Un autre arborant un bonnet rouge donne rendez-vous : « À bientôt pour tout brûler ».

Mais oui, mais oui…

Les personnes qui défilent au micro font huer tour à tour « François III », « Menuet-Valse », « Cri-cri-t’oubliera », « le lobby LGBT », « Leonarda », les journalistes.

Et aussi les francs-maçons.

Curieux, hein ? Ceux-là qui se font virer du cabinet de « Le riant », le ministre de la guerre ?

J’en rigole : Ils sont remplacés par d’autres.

Et puis il faudrait virer plus de 5.000 têtes d’élus, de juges, de journalistes et d’administrateurs civils, si un jour ils veulent faire le ménage, les nains « anti-trois-points » !

Bref moment de rigolade… car je n’aime pas les « sectaires »…

 

Et puis hélas, en bout de cortège, j’avais repéré quelques centaines de sympathisants de « Dieu-a-donné », dont le portrait est flanqué sur un drapeau, criant « Liberté d'expression », pour faire allusion à l'interdiction du spectacle « Le Mur ».

Ceux-là auront gâché la « fête ».

Car les flics bien présents, étaient nombreux, caparaçonnés comme pour aller au combat, mais distants jusqu’à la fin, place Vauban.

J’ai entraîné mes cousins vers la sortie « Saint-François-Xavier » : Ça dégénérerait rapidement après « la dispersion ».

 

Demander la destitution d’un président de la République, jugé « incapable » et « impopulaire », voire indigne, c’est une chose.

Mais proférer des slogans anti-Israël, ou des « CRS, milice des juifs » (vous aurez noté le « délire » d’avec le sempiternel « CRS, SS » d’antan : Quelle mutation-génétique !), voire accuser des journalistes d'être des « collabos », c’est tout autant déplacé et indigne.

Les slogans antisémites, les quenelles et les saluts nazis, ça n’a rien à voir avec la colère de tout un peuple !

 

Et la réplique n’a pas attendu : « Ce « Jour de colère » s'est transformé en jour de haine », interjettera le Président des étudiants juifs de « Gauloisie ».

Mais si, ça existe aussi, ça, dans la panoplie du sectarisme !

Sur Radio J, l'ancien ministre UMP « Luc Chapelle » aurait assuré qu'il « comprenait » la démarche du collectif « Jour de Colère », même s'il ne « soutenait pas » sa manifestation : « Le président de la République élu ne cesse de fracturer la société française, d'opposer les Français les uns aux autres ».

Diviser pour mieux régner…

Il n’a rien inventé, même pas le fil à couper le beurre.

 

Résultat, des incidents entre quelques centaines de manifestants et les forces de l'ordre ont éclaté après la fin de la manifestation.

La grande majorité des 262 personnes, nous dira-t-on, qui ont été interpellées « venaient au contact des forces de l'ordre au moment de la dispersion », a indiqué une source policière à l'AFP.

Sans compter les douze personnes qui avaient été interpellées en début de manifestation dont cinq pour « port d'armes prohibées »… qu’il est précisé par ailleurs, pour bien enfoncer le clou dans les plaies béantes…

Des centaines de personnes, nous dira-t-on, masquées pour certains, ont lancé des projectiles, des bouteilles, des pétards, des barres de fer, des poubelles et des fumigènes contre les forces de l'ordre qui ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogènes, en fin de manif’.

19 policiers ont été blessés, dont un « potentiellement gravement » après avoir reçu un pavé dans la mâchoire ! Le kon…

Mais notez que dans la même phrase, on nous rapportera dans la presse qu’aucun n’a été hospitalisé…

Essayez de comprendre…

 

Bref, on ne peut qu’être d’accord avec le ministre de l’intérieur quand il déclare qu'il « condamne avec la plus grande fermeté les violences contre les forces de l'ordre commises par des individus, des groupes hétéroclites, de l'extrême et de l'ultra-droite, dont le but n'est que de créer du désordre en n'hésitant pas à s'en prendre avec violence aux représentants des forces de l'ordre ».

Et l’amalgame est ainsi fait entre deux centaines de konnards, fachos, casseurs et autres provocateurs, avec les dizaines et dizaines de milliers de manifestants venus défiler dans le calme malgré leur colère profonde d’être pris tous pour des dindons d’une farce qui les dépasse.

« Ils nous volent notre manif’ ! »

C’est toujours comme ça, Dumé !

 

« Y en a assez des scandales du président, il déshonore la France » !

« On était venu pour crier notre ras-le-bol, ils sont plus préoccupés par leurs aventures (…) que par le chômage et la liberté du peuple de France ».

Ah oui, si, quand même : « Valy-va-là-Rottweiler » partageait la Une des journaux lundi matin !

Faut dire que c’est vachement important d’aller porter la « bonne parole en Inde », pendant que « Flanby-à-la-fraise-des-bois » se balade en Turquie, puis aux USA prochainement…

Avec quelle poupée à galipettes, au juste ? Serait-ce seulement ce qui tient lieu de « politique » pour tous les « krétins » qui nous gouvernent ?

 

Pour vous expliquer comme il faut cette journée de colère, il faut vous rappeler que le FN de « Marinela-Tchi-tchi », le collectif breton à l'origine du mouvement des bonnets rouges, La Manif pour tous, fer de lance contre le mariage homosexuel, avaient appelé à ne pas participer à cette manifestation.

Et pourtant…

Dans le fond, elle était vraiment « citoyenne » et apolitique, cette manif’.

C’est plutôt rassurant, finalement.

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23 janvier 2014 4 23 /01 /janvier /2014 05:01

Savent-ils compter, au juste ?

 

Une information que personne, absolument personne n’a relevée sur le coup.

D’ailleurs, même à moi, il a fallu que je reprenne ma calculette « Windows » (Merci infiniment à Bill Gates…) pour vérifier après les dires de « mon pote », celui qui fait syndicaliste dans le civil.

 

On reprend : « François III », l’autre jour entre deux parties de « jambes en l’air » (avec qui il veut, on s’en contre-cogne, tellement elles ont manifestement mauvais goût), nous annonce depuis derrière son pupitre qu’à partir de 2017, les entreprises ne payeront plus de cotisations familiales.

Son « pacte de responsabilité ».

 

Ma première remarque a été de me demander comment les CAF vont donc financer leurs missions déléguées de service « pue-blic ».

D’autant que la COG (Convention d’objectif de gestion) 2013-2017, qui venait d’être signée, prévoit notamment la création de 200.000 nouvelles places en crèche (le « truc » qui me fait encore me lever le matin), comme d’une nécessité urgente pour rattraper le retard du pays dans cet équipement quasi-basique avec la poste et la boulangerie (à 15 K€ la place à hauteur de 80 % = ± 2,4 Md€ sur 5 ans, selon les CAF départementales), en investissement uniquement.

C’est qu’après, il faut prévoir les subventions de fonctionnement, soit encore 1 milliard de plus tous les ans, seulement pour les places à créer en plus.

 

Et de parier pour une augmentation de quelques taxes, genre « TVA-sociale » ou CSG, TIPE, taxe-Carbone ou encore celle sur la pluie…

Je te donne 30 milliards ici (aux entreprises), moyennant engagement ferme sur des contreparties à définir (que déjà, ils se chamaillent : 2 millions d’emplois exige l’un ; non ! 1 million et sur 5 ans répondent déjà les « patrons »).

Bref, un « truc » qui va encore provoquer quelques difficultés…

Et les 30 milliards, je te les reprends par ailleurs : Les Caisses « pue-bliques », c’est bien connu, elles sont vides et il en sort toujours plus qu’il n’en rentre…

Le dernier qui a fait ça, c’était il y a 2000 ans et il s’appelait Jésus…

Une affaire qui aura mal tournée pour Lui.

 

Je le dis et le redis, de toute façon, les entreprises ne payent jamais rien : Ce sont toujours leurs « cochons-de-clients » qui payent !

Elles ne font que collecter de la cotisation ou de la taxe et de l’impôt à répartir et reverser, ce qui est déjà un coût considérable, rien qu’à calculer et justifier sans se tromper, attachés à la camelote vendue au « cochon-de-payeur ».

 

Bon, à force de « charger » la barque (c’est le cas de le dire), les entreprises, elles n’arrivent plus à vendre leur fameuse camelote et ça donne plus de 60.000 dépôts de bilan en 2013 et la destruction nette et durable de 170.000 emplois, sans compter ces dizaines de milliers d'auto-entrepeneurs qui ne s'en sortent pas.

Pendant que les britanniques parviennent à recréer des emplois et même une nouvelle usine de bagnoles…

Et vous avez bien compris qu’avec 117.000 foyers de plus devenant insolvables, nos entreprises locales, elles vendent de moins en moins.

Donc les recettes de cotisations et taxes ne rentrent plus (3 milliards d’euros manquants sur des prévisions maintes fois modifiées et recalculées à la hausse, au dernier jet) et donc on a un déficit qui se creuse là où ils avaient juré à sa stabilisation…

 

La mécanique est désormais archi-connue.

Enfin, je l’espère : « Trop d’impôt tue effectivement l’impôt ».

Plus exactement : « Les taux hauts tuent les recettes ». De tout temps.

CQFD.

 

Eux, les dogmatiques, tous les dogmatiques, ils comprennent quoi ?

Bé, comme tout « trisomique-autiste », puisque les entreprises n’en peuvent plus, on allège et on va chercher le pognon directement dans la poche de leurs « cochons-de-clients ».

Bon, c’est plus compliqué (mais ça fera de l’emploi-assermenté en plus qu’il faudra bien payer on ne sait comment), parce qu’ils sont nettement plus nombreux et qu’il s’agit de faire plein de « petits-paquets » éparses à aller collecter.

Sans compter la multiplication des fraudes et des gens « qui oublient » de passer à la caisse.

Politique de gribouille et qui va à l’échec, parce que ce n’est pas que le « cochon-de-payeur » ait plus de pognon pour autant, puisqu’on va le lui retirer après qu’il ne le claque en fanfreluches et autres dépenses « superfétatoires » et somptuaires.

C’est même politiquement suicidaire quand ceux-là vont commencer à compter.

Passons.

 

Parce qu’aussi, ils passent à côté de l’essentiel, à savoir réduire le périmètre de compétence de la puissance publique, pour réduire les prélèvements obligatoires (et en laisser plus à ceux qui ont besoin de vivre aussi).

Non, ils font l’inverse puisqu’ils ont bien du mal à « cadrer » les dépenses publiques pour éviter qu’elles n’enflent … comme promis.

Eux, ils en sont à se féliciter de faire des économies virtuelles sur des augmentations de prélèvements tout autant… virtuelles et inexistantes, genre, malgré le calme plat, on aurait dû avoir des vents de force 7, mais en fait on n’en a rencontré que de force 3.

Repassons (pas le linge, hein !).

 

« 30 milliards de cotisation familiale ? Mais c’est faux ! »

« Ah bé comment ça ? » fis-je sur le parvis de la CNAF (dont le président est très classiquement un CFTC).

Y’en aurait plus ?

 

Le président (de la CNAF), Jean-Louis Deroussen, m’explique…

« Les cotisations familiales représentent 35 milliards d’euros, dont 5 milliards proviennent de l’État en tant qu’employeur et des entreprises publiques (SNCF, EDF…). Le reste est donc censé être financé par les entreprises privées, mais c’est faux : Elles ne paient pas 30 milliards de cotisations familiales, mais seulement 10 milliards. »

Ô putaing de péripatéticienne-patentée !

Il délire, là ou non ?

 

Pas du tout ! Tout simplement parce que les employeurs paient ces cotisations sur les salaires versés aux employés. « Or, ils n’en paient pas pour les salaires au Smic et seulement en partie pour ceux qui représentent jusqu’à 1,6 fois le Smic. Ces exonérations représentent 20 milliards d’euros de cadeau pour les entreprises, que l’État paie donc déjà à leur place », pour compenser.

 

Mais alors, « bonne nouvelle » : En annonçant 30 milliards, ça ne coûte que 10 milliards !

Pour financer au mieux 1 million d’emplois à créer, non ?

10.000 € le bout, voire 5.000 selon les « volontés » de « Monte-bourre-la », ça n’est évidemment pas possible…

 

« Effectivement. Et il faut t’interroger sur la pertinence de cette décision, l’Ignoble ».

Il n’a pas dit qu’il voulait le voir sur mon blog, mais c’est tout comme…

Car « la suppression des cotisations familiales sur les petits salaires n’a pas entraîné la création de milliers d’emplois.

De même, la baisse de TVA dans la restauration ne s’est pas accompagnée de massifs recrutements… »

Tout cela, ce sont des effets d’annonces vides de sens !

 

« Et comment vas-tu financer tes autres missions ? » Crèches, RSA ou encore l’allocation de logement (ALF ou ALS) ?

Il ne sait pas encore…

« Tu me rassures, là, camarade Président. S’il n’y a qu’à trouver 10 milliards de plus. Tu exiges qu’ils te nous remettre un point de CSG et le tour sera joué. »

On avait fait le calcul que ça « rapportait » au moins 11 milliards.

Alors qu’un point de TVA au taux normal, ça ne « pèse » que 6,5 milliards…

 

Oui mais chez les « autistes-trisomiques » de « socialie-déréglée-hérétique », on ne sait pas compter.

Même chez les hauts-fonctionnaires qui ont laissé passer le coup des « 30 milliards »…

Trois fois ce qu’il en est.

Fabuleux.

En revanche, personne n’en parle, mêmes chez les « journaleux ».

 

Et c’est là que c’est très drôle, d’autant qu’au Medef, ils ont appris à compter dès l’école primaire, pour connaître sur le bout des doigts leurs tables de multiplication, pas comme à l’ENÂ.

Mais chut !

Silence, hein ! N’en dites rien à quiconque, naturellement : On n’est pas sorti du boxon du « pacte de responsabilité »…

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