D’affreuses réparties !
C’était journée du patrimoine… J’en ai profité pour faire le tour du mien, à savoir le total des factures impayées. Mazette, si vous saviez !…
Et le dimanche, pour m’en remettre, j’ai accepté une invitation à la campagne pour que « ma nichée » foule un peu de « gazon au soleil » en tong.
Et si le précédent de la sorte était assez sympathique, passé avec des gens quasiment « normaux », c’est-à-dire bourrés aux as, dans leur propriété pluri-centenaire éblouissante (y’a vraiment que l’escalier, qui ne manque pas de charme pour longer la tourelle en rond de ce qui était un temps le donjon de relais de chasse, que je trouve ridicule par sa taille accueillant difficilement ma haute et volumineuse carcasse), autant je changeais du tout au tout.
Les « bourges » précédents ont bâti leur fortune sur un brevet et, même si celui-ci est tombé dans le domaine public depuis la fin de la dernière guerre mondiale, il persiste à générer encore des royalties au titre des « droits d’auteur » relatifs aux manuels d’utilisation remis à jour et enrichis régulièrement…
C’est même ce qui m’a donné l’idée de publier les « Histoires de Jean-Marc », comme d’un recueil de blagues éhontées : Un truc qui trouvera bien ses lecteurs… Je ne suis pas le premier à envisager de le faire !
Le suivant, dans l’ordre d’apparition dans mon horizon visuel, c’est-à-dire le week-end dernier, avait comme un aspect affreux et insupportable.
C’est dire mon humeur du lundi matin, où je découvrirai de nouveau que des kons claquent du pognon qui n’est même pas à eux sans se soucier de savoir ce qu’il ne pourra plus être financé avec…
Il faisait beau pourtant. Le rosé était frais (un peu « jeune », ce qui est normal pour un rosé) et la bectance des plus correctes, voire abondante.
Mais le seul autre qui n’était pas « soce », il s’était levé à 4 heures du matin pour faire les marchés (c’est un marchand, un vil et affreux spéculateur qui achète des biens meubles en pensant pouvoir les refourguer nettement plus cher à de « pov’-gens-z’heureux » qui fréquentent eux-aussi les marchés et les foires pensant dénicher l’affaire du siècle, qu’on se demande encore pour quelle raison ce genre de « client-gogo » fréquentent ces lieux hautement spéculatifs pour leur propre confort. Et ont encore du pognon destiné à cette activité : Peut-être qu’il s’agit d’un recyclage de celui qu’on a piqué à une des structures que je dirige ?)
Et il n’est arrivé que longtemps après le digestif, passablement fatigué, traînant une angine pas soignée, stand démonté-rangé, stock planqué.
Et en plus, il en pince pour « Marinella-tchi-tchi » !
C’est dire si j’étais le seul être « normal », de droâte quoi, de toute la journée à arpenter ladite pelouse…
Une misère.
Parce que tous les autres étaient « soce-de-naissance », faisant ou ayant fait carrière uniquement dans la fonction publique, celle qui connaît tout de tout du bonheur d’autrui et du bon fonctionnement des entreprises laborieuses, la « puissance invitante » elle-même ne travaillant que 36 semaines par an et que 25 heures par semaine et encore, pas tous les ans.
Cette sublime konne, elle est tellement bien portante qu’elle revient d’un séjour aux Seychelles d’avec ses marmots, où je n’aurai jamais les moyens d’aller, qu’on a dû se taper ses photos une bonne partie de la journée, en compagnie de « son troisième », comment dit-on, déjà dans cette « secte » … « compagnon » ; qu’elle s’est déjà reproduite avec les deux autres qui n’en pouvaient plus de la supporter elle et son arrogante et flamboyante fatuité satisfaite d’électeur de « gôche » de progrès.
D’autant qu’elle a encore les moyens de se payer le dernier modèle hybride de chez PSA (comme quoi, ils en construisent déjà, prime ou pas prime).
Y’a parfois des coups de pieds au kul qui se perdent dans la nature…
Et c’est moi qui devrais payer ?
Fume ma poulette : Pas un kopek !
D’ailleurs, j’envisage d’aller faire des crèches au Canada, ça me changera d’horizon.
En bref, je devrais presque m’excuser d’exister et si on me tolère, c’est que je suis leur unique « alibi-démocratique » (avec l’autre facho) du progrès social en marche qu’il convient de convertir à la réussite populaire de « François III », aucun n’en doute.
Car il est bien là, droit dans les yeux et dans les bottes à avoir enfin démarré, manettes à pleine pogne, que demain ce sera le paradis incontesté du « socialisme-avancé » pour tous, même les grincheux de mon espèce et malgré moi-même en plus !
Je demande à voir, n’est-ce pas.
Évidemment, en arrivant, je lui fais le coup du : « Je ne te dis pas que tu es ravissante, toute bronzée dans ta robe à fleur si sexy, tu vas me faire interner pour harcèlement sexuel abusif et répétitif en application de la dernière loi. »
La tronche du sourire figé en une grimace imbécile : Un régal !
« Donc je vais te dire que tu as drôlement flétris de la caouane sous les rayons du soleil tropical. Continue comme ça et tu vas finir en curiosité de foire aux monstres ! Au moins, je pourrai venir fantasmer. »
Toujours aimable, l’Infeequentable !
Et ça continue : « Tu achètes PSA, toi » ?
C’est pour mieux soutenir les « travailleu(se)rs » qui vont être licenciés.
Voilà qui leur fera une belle jambe dans les locaux de « Paul-en-ploie » : Je leur en causerai.
En attendant, qui c’est qui va se faire des plus-values sur les sites à fermer et les retrouver dans les dividendes l’année suivante ?
Décidément, le « prolo », il est né pour se faire tondre, même quand il en profite pour râler : C’est vraiment sa raison d’être.
À part ça, à écouter mes « potes-coco », les « classes » ça n’existe plus. Donc la lutte des classes non plus : Aucun, mais alors pas un seul, n’a compris qu’elle s’était seulement déplacée !
Là encore, il faut entendre le délégué syndicaliste de la bande derrière le barbecue la ramener en rouspétant…
« T’es pas à la fête de l’Huma toi ? »
Il y était hier avant d’aller à la « techno-parade » : La totale, ce gars-là.
Il devait y être au matin du dimanche, mais là, il s’était vraiment couché plus tard que prévu la veille au soir.
« Oui, moque toi des « travailleu(se)rs » qui ont donné toute leur vie, leur sueur et leur jeunesse à la famille Peugeot et qu’on jette comme des malpropres et des bons-z’à-rien ! »
Z’avaient qu’à pas y aller, hein !
Je me suis encore fait un ami à ce moment-là.
« On fera payer les riches et les profiteurs ! » sous-entendu de la haute-finance et des rentiers – genre les types que j’avais vu 8 jours auparavant…
À peine des roupettes de sansonnet, pour l’heure. Et encore, ils sont si peu nombreux qu’ils seront vite sur la paille à en être à pointer au RSA ou auront mis une frontière entre eux et ces délires.
On peut même dire un océan, puisque nombre de redevables de l’ISF sont déjà fixés dans les DOM : Il n’y a pas de hasard.
Et ceux qui ont domicile à « Neuilly-sur-la-Seine », ce sont aussi ceux qui disposent d’une flottille d’avions privés pour débarrasser le plancher … des vaches.
Mais ce n’est pas ce qui me fait marrer le plus.
« On fait le point l’année prochaine, comme tous les ans, tu veux bien ? Peut-être que tu rigoleras moins ! »
Parce que ça devient de plus en plus évident : Le printemps sera chaud, si ce n’est pas le début de l’hiver.
Que je lui parie qu’on va encore parler de l’Île-de-Ré, mais en là-majeur d’ici à sous-peu…
Tant qu’il n’aura pas mis les œuvres d’art dans son ISF, je ne croirai de toute façon pas à « une gôche » autre que caviar.
Vraiment un « investissement » qui aide typiquement le « prolo » à bâtir les empires industriels qui nous manquent, qui ne rapporte rien que le plaisir de les posséder à quelques nantis « amis des arts » et de la culture « soce-avancée-et-triomphante ». Mais en revanche, ils fournissent quantités de plus-values exonérées rapidement et autres avantages comme les dations en paiement de droit de donations ou successions.
Quand ça ne change pas de domicile en douce…
Un « truc » à évasion fiscale, là où on a besoin de fonds pour créer de l’embauche et boucher les trous de la finance publique…
Il en reste le neurone coincé le délégué syndical !
On me laisse un temps siroter tranquillement, puis une « minette » un peu plus chaude … de l’intellect, que les ramassis de chair grasse & molle qui se baladent sur le gazon, s’essaye à nouveau à ma « conversion ».
Il faut que je sois raisonnable : Avec « Bling-bling », « nous avons eu 5 ans de régression sociale »…
Hop, à la trappe la « réduction de la fracture sociale » ratée du « Chi-finissant » !
Remarquez, elle n’était peut-être pas encore née, en cette époque reculée.
Ou pas déniaisée … sur le plan « socio-politique », entends-je !
Avec « François III », « au moins c’est du solide ! »
L’affreux « bas-du-kul » qu’il doit en bander-mou ? Du solide ?
« Ah oui, c’est sûr. On va solidement dans le mur, tellement il est désorienté par les circonstances ! »
On l’avait pourtant prévenu…
Mais il faut dire qu’entre la peste et le choléra, l’électeur de base, il n’a pas eu trop le choix.
Cinq ans d’immobilisme et de nanisme à la fois pragmatique et dogmatique avec le « Chi » ;
Cinq ans de délires tous azimuts avec « Bling-bling » ;
Maintenant 5 ans de nullité à prévoir. Normalement, il ne devrait plus rien rester de vaillant en 2017 : On aura tout essayé !
« Peut-être même avant », fais-je.
Pourquoi nullité ? « Laisse-lui le temps d’essayer au moins », puisque je reconnais que décidément, « Bling-bling » le grand causeur, il n’a rien fait d’utile pour le pays…
Pour 2007, chacun connaît mon point de vue : Entre la « Cruchitude » et le « Sarkoléon 1er » qu’on espérait comme d’une nécessité, y’avait pas photo.
Mais « Sarkoléon 1er », il s’est transformé en « Bling-bling » dès les premiers jours, mutation génétique confirmée durant l’été 2007 et suivants.
Résultat, « Flanby-le-flamboyant », il n’en a fait qu’une bouchée. D’ailleurs, n’importe lui à part « Marinella-Tchi-tchi » et « Mets-l’an-Chon » n’en aurait fait qu’une bouchée.
« Je vais te dire : Un mek qui a devant lui presque 2.000 milliards de dette courante sur le dos d’ici l’année prochaine, qui te promet de parvenir à l’équilibre, soit zéro de plus, dans 5 ans, en commençant par distribuer à tout va, même quand c’est pas lui qui paye – notamment l’augmentation du SMIC -, soit c’est un escroc, soit c’est un dingue qu’il faut vraiment interner rapidement ! »
Enfin quoi, même le SMIC, « ça s’appelle pourtant salaire minimum interprofessionnel de CROISSANCE, non ? Alors quand la croissance est nulle ou négative, on ne l’augmente surtout pas ! On le diminue. Le type qui l’augmente, c’est un dangereux oxymoron ».
Ne cherchez pas la signification de ce mot-là, c’est le même « qu’oxymore », sauf qu’elle n’a pas compris…
La preuve elle m’a repris.
Que je l’ai invitée à aller chercher dans un dico.
Et comme le dico du lieu, je le sais parce qu’ils leur arrivent de jouer les intellectuels (de « gôche ») avec un kon de Scrabble quand ils ne savent plus quoi dire, il est en deux volumes et il y a peu de chance qu’elle trouve.
« Mais ça sert à quoi de taxer des stocks d’essence en espérant que le prix au litre diminue ? »
Il y est bien arrivé…
« C’est qu’il vole quelqu’un qui ne veut pas le dénoncer ! »
Cherchez chez qui les abandons de redressements fiscaux vont pleuvoir…
Car un crime ou un délit, ça profite toujours à quelqu’un !
Mais le « must » de la journée, c’était à l’apéritif…
Y’a un « vélocipèdiste » (pour ne pas polluer : « Et quand tu te douches pour ôter toute la poussière et la sueur que tu as partout, tu n’as pas l’impression d’abuser de la nappe phréatique ? »), qui est en « peine de cœur ».
Il fait vraiment une triste mine que j’en ai presque mal pour lui : « Son pote », qui est « gay » comme lui depuis des années, il s’est tiré dès qu’il a commencé à parler de mariage !
Je ne rigole pas…
Un vélocipède et deux grognasses de chez « Lesbos », une mignonne et l’autre toute vérolée avec pourtant un joli sourire pour compenser, toutes les deux font « artistes » dans le civil, l’une peintre l’autre sculptrice.
Si la première à un joli accent péruvien-naturalisé et une frimousse carrée, l’autre à une paire de lunettes noire, de celle dont Bilal affuble ses « méchants » : Un repoussoir ambulant.
« Nous on va se marier, et on aimerait avoir un gosse. Mais la FIV nous ait encore interdite ! C’est un scandale ! »
Bé heureusement pour elle que c’est interdit !
Ah oui ? Et pourquoi ?
« Parce que c’est un acte médical. Donc réservé aux « malades ». Jusque-là, tu pouvais encore espérer passer pour une cinglée dans la tête de quelques z’abrutis. Maintenant, avec la légalisation de ta supposée « déviance-sexuelle » qui n’en est plus une, t’es considérée irrémédiablement comme saine et bien portante ! »
Donc exit l’activité médicale procréatrice à son égard.
Et qu’elle en râle.
« Il faudrait savoir un peu dans ta tête ce que tu voulais, avoir le droit de te marier avec qui tu veux ou non ! Tu l’as, alors essaye de sourire, espèce d’ingrate ! »
Naturellement, je ne lui ai pas proposé de la lui faire par les voies naturelles, sa FIV (Fécondation In Vivo) : J’ai déjà « une nichée », qui me les casse assez « menu-menu » comme ça pour être effrontée à un haut degré à vous dégoûter d’avoir des gosses et envisager de me casser faire des crèches au Canada.
Pas besoin d’une seconde, surtout avec la « Bilal » : J’aurai trop peur, même dans le noir !
D’autant qu’on ne lui voit sans doute pas le sourire, dans ces conditions…
Bref, week-end de m… (étron) et la semaine ne s’annonce pas plus réjouissante.