C’était pour livrer les dernières à Jean-Marc…
Je ne plaisante même pas !
Mais l'amiral dormait alors Jean-Marc a dû repérer le lieu de largage et a pris son temps pour décoder.
D’où le retard de livraison de cette semaine…
Je vous prie de bien vouloir nous excuser !
Sur une plage Ummo, lors d'un concours de sculpture sur sable, les « journaleux » se pressent au tour du grand gagnant et lui pose des questions :
« – Vous avez réalisé une statue magnifique... Pouvez-vous nous dire pourquoi vous avez intitulé cette œuvre « L'intelligence ? »
Alors l'artiste étend ses tentacules en montrant l'immense plage de sable fin et répond :
« – Au début, je voulais faire « La connerie Humaine », mais j'ai eu peur de manquer de sable. »
C'est un Ummo qui décide de prendre des leçons de plongée.
Encadré d'un moniteur, il se rend à la piscine. Il enfile tout le matériel et plonge.
Le moniteur chronomètre... 1 minute... 2... 3... 5 minutes.
Le pauvre Ummo réapparaît à la surface en catastrophe au bout de 6 minutes !
Il est rouge, enfin plutôt pourpre (vu qu’il est bleu à l’état « naturel » :
« Non d’un konnard d’humain ! C'est fini, j'arrête la plongée, c'est trop dangereux...!
– Ben oui », fait le moniteur, « mais personne ne vous a demandé de descendre avec deux extincteurs dans le dos... »
Un Ummo va acheter un ordinateur braconné sur Terre lors d’une razzia, sis dans un grand magasin Ummiste.
Le vendeur ummiste :
« – Cet ordinateur terrien va réduire votre travail de 50 % !
– Super, je vais en prendre 2, alors ! »
C'est deux Ummos qui braconnent sur terre.
L'un d'eux dit à l'autre en voyant passer un deltaplane :
« – Regarde un peu cette aigle comme il est gros !!! »
Et là, le deuxième arme son désintégrateur et tire.
Le premier lui dit : « Mais c'est pas possible malheureux ! Tu l'as raté !
– Et pas tant que ça ! », dit l'autre. « Il en a lâché sa proie. »
Deux Ummo déguisés en humain visitent Londres pour la première fois.
Ils montent dans un autobus à impériale et s'installent au niveau inférieur.
Quelques minutes plus tard, l'un deux dit :
« Je vais monter voir comment c'est au premier. »
Il grimpe l'escalier en colimaçon et redescend un peu affolé seulement quelques instants plus tard, en glissant à l'oreille de son copain :
« Dis donc, on a bien fait de se mettre en bas ! Là-haut, ils n'ont pas de chauffeur... »
Sur Umma, un Ummo et une Ummite sont éperdument amoureux l'un de l'autre.
Mais un jour, le jeune ummo dit à la jeune ummite :
« – Tu sais comme je t'aime. Tu sais que je tiens à toi plus qu'à moi-même. Tu sais combien j’aimerai te pustuler toutes les papilles de tes comédons avec mes fines tentacules.
Mais nous ne pourrons jamais nous marier ensemble.
– Pourquoi ? » demande l’ummite les yeux embuées de lacrimites.
« – Parce que chez nous, on se marie uniquement en famille.
– Mais enfin, il peut y avoir une exception !
– Non, j’ai vérifié tout l'arbre généalogique, de ma famille ! Il n'y a jamais eu une seule exception : Mon grand-père a épousé ma grand-mère, mon oncle a épousé ma tante, mon père a épousé ma mère… »
« Vous savez ce qu'il y a marqué en haut des échelles Ummo », demande un Kameulf à la cantonade ? « Un panneau stop.. »
« Eh bien sûr un Ummo est monté en haut de l'échelle il a continué et il est tombé. Arrivé à l'hôpital le médecin ummo lui demandé : "Vous n'avez pas vu le panneau ?" »
Et l’Ummo lui répond : Oui je l'ai vu. J'ai regardé à droite puis à gauche et personne ne venait alors j'ai continué ! »
Dans le Périgord, un touriste Ummo admire un champ de fraises et dit à Jean-Marc, le cultivateur qui ne s’affole plus en voyant passer des soucoupes volantes au bout de son champ :
« – Elles sont vraiment belles vos fraises ! Qu'est-ce que vous mettez dessus ?
– Bah ! Juste un peu de fumier…
– Ah ? » répond l’Ummo, « c'est pas comme chez nous alors !
Nous, on met du sucre… ! »
Les contrepèteries de la semaine…
« Madame reste passive devant la linotype. »
« Méfiez-vous : La douane israélienne n'admet pas les préposes russes !»
« Madame agace les roussettes de Jean-Marc avec ses bouts de pain… »
Bon week-end à toutes & tous !