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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
17 décembre 2010 5 17 /12 /décembre /2010 18:02

 

Un épisode « fumeux » de mon « absence ».

 

C’est la nuit. Je me cramponne comme je peux à je ne sais quoi. Ma « Môman « à-moi » » et ma « petite-sœur » (celle que si elle n’existait pas, il faudrait quand même l’inventer) me sauve la vie…

Qu’est-ce que la vie sinon de ne pas mourir ?

L’une rêve qu’elle est à bord de son antique Fiat 500 et rapporte me voir en équilibre sur la rambarde du balcon du troisième étage, secouant en tournant le dos au vide, un drap de chez ma grand-mère.

Évidemment, je chute sur un arbre voisin et m’écrase sur la chaussée : « Tu viens de lui rallonger la vie ! » clame ma sœur.

La même nuit, je suis à bord d’un avion de ligne dont je sais qu’il va s’écraser en approche d’un aéroport hispanique (mais curieusement, venant du sud, il traverse quand même toute l’Espagne vers le nord, pour bien s’aligner sur une piste de la Méditerranée, allez savoir pourquoi !).

Je suis à la porte de la cabine du commandant de bord et dialogue avec le steward du bord. Ils le surnomment le « petit lapin » au moment où moi, j’en pose un en quittant le bord par l’aile et ensuite l’empennage, me demandant bien ce que je fais comme ça dans les airs à suivre un avion qui dérape sur bâbord alors qu’il va s’écraser…

Y’a des nuits, comme ça, où tout marche de travers !

 

La vie, la vie ! Mais ce n’est rien d’autre que la « non-mort » !

Et la mort est l'état définitif d'un organisme biologique qui cesse de vivre. Chez les organismes vivants, elle se caractérise par un arrêt irréversible des fonctions vitales (nutrition, respiration…), nécessaires au maintien de l'intégrité de l'organisme.

« Je » sais (mais au fait, comment l’ai-« je » appris ?) qu’au niveau cellulaire, la mort désigne l’arrêt des fonctions de base d’une cellule, mais une cellule est dite immortelle si elle peut donner un nombre illimité de cellules filles.

Ainsi, les organismes unicellulaires qui se reproduisent uniquement par bipartition sont en principe immortels.

Chez les organismes pluricellulaires, les cellules sexuelles, dites germinales, sont potentiellement immortelles, contrairement aux cellules de leur enveloppe somatique qui finissent irrémédiablement par mourir sous l'influence des facteurs pathogènes extérieurs, ou à cause du phénomène de vieillissement.

On considère la mort d’un point de vue médical, pour les humains, comme « la disparition irréversible de l’activité cérébrale mise en évidence par la perte des réflexes du tronc cérébral », état qualifié de « mort clinique ».

 

« Alors, comment tu expliques que ta mère t’aies ainsi prolongé la vie ? » Ce n’est qu’un rêve que ma sœur a interprété selon son propre dogme, ou son opinion.

Mais il est vrai qu’un jour, j’ai fait un rêve curieux : Je perdais mes dents. Il suffisait que je ferme la bouche pour qu’elles s’écrasent dans un bruit mat de craquements et éclatements avant que je ne les crache.

Je m’en souviens très bien, puisque l’ayant dit à ma petite-sœur (celle que si on ne l’avait pas, il faudrait quand même l’inventer), dont chacun sait qu’elle interprète les rêves selon son propre « dogme ou opinion », que c’était message de mort.

Elle m’a fait ce coup-là le jour où je l’emmenais à Orly pour rejoindre la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » et justement mon rêve se passait à Orly un nuit précédente, avec des bagages plein partout : Je cherchais un caddie au moment où je perdais mes dents.

Qu’elle a failli ne pas prendre l’avion, sur ce coup-là !

Je n’ai appris que plusieurs mois plus tard, que mon voisin du dessus venait de rendre son âme à Dieu cette nuit-là !

Pour le moins étrange…

Donc, « moi », « je » ne sais rien, sauf qu’à ces moments-là, « je » ne vais pas très bien pour paraître normal à tout le monde, sauf que « j’ »ai du mal à rassembler les morceaux de mon… « absence » vertigineuse !

Et quand « j »’y parviens, c’est encore plus « bizarre » que je ne peux l’imaginer.

« À ton avis, un virus, c’est vivant ou non ? » Qu’est-ce que j’en sais, moi !

Comme si c’était « mon » problème, vraiment !

Et la réponse fuse dans « mon » esprit (puisque durant « mon absence », « j »’en fais ce document sous Word, manifestement) : Les virus se situent à la frontière entre le vivant et l’inerte.

Cela dit, il existe différents types de virus, se situant plus ou moins du côté du vivant ou de celui de l’inerte, de la mort.

Par exemple, beaucoup de virus sont grosso modo du code génétique dans une membrane ayant la propriété de se fondre avec celle des cellules infectées. Ils seraient donc, d’un point de vue biologique, plutôt du côté de l’inerte, comme autant de grosses nanostructures (ou tout petites microstructures).

En revanche, le virus ATV (par exemple), quand il sort de la cellule qui l’a produit, a une forme de citron et deux bras lui poussent à chaque extrémité. C’est un processus « actif », ce qui fait que ce virus est plus du côté du vivant que de l’inerte.

Quant au virus « mimivirus », il contient un code génétique plus important que certaines bactéries, et en même temps de l’ADN et de l’ARN.

Donc on ne sait pas…

« C’est du vivant ! » « Je » m’en bats l’œil et le coquillard, si « vous » saviez combien !

« Le vivant, c’est de l’énergie. » En fait, ce n’est pas tout-à-fait comme ça qu’« on » me le fait savoir, mais plutôt des « déséquilibres » d’énergie, qui passent d’un état à un autre.

À l'échelle nanoscopique, le rapport entre les différentes forces d'interactions est différent du rapport à l'échelle macroscopique.

Les forces de surface deviennent prépondérantes face aux forces d'inertie. Les forces d'inertie et le poids varient avec le cube de la longueur caractéristique des objets manipulés (forces volumiques), alors que les forces de surface, telles que les forces de « Van der Waals[1] » ou les forces électromagnétiques, varient avec le carré de la longueur caractéristique de l'objet.

La « force de Casimir » est souvent non négligeable, et les axes frottent davantage que si elle n'existait pas.

De surcroît, les faibles dimensions permettent de faire intervenir des effets quantiques tels que « l'effet tunnel », le transport balistique et l'émission de champs.

Pour des tailles de l'ordre du nanomètre, les caractéristiques électriques, mécaniques ou optiques des matériaux changent.

D'autre part, les rapports de surfaces devenant prépondérants, les nanotechnologies ouvrent des perspectives en chimie macroscopique qui explique l’apparition de la vie.

Car plus elles sont actives et plus l’entropie, qui peut être interprétée comme la mesure du degré de désordre d'un système au niveau microscopique, augmente.

Plus l'entropie d’un système est élevée, moins ses éléments sont ordonnés, liés entre eux, capables de produire des effets mécaniques, et plus grande est la part de l'énergie inutilisée pour l'obtention « d'un travail », c'est-à-dire gaspillée de façon incohérente.

Inversement, quand il y a « vie », au niveau de la cellule, la vie devient néguentropique. Elle tend à conserver sa néguentropie, c’est-à-dire une organisation, une structure, une forme, un fonctionnement, et cela grâce à la consommation d'énergie, venant de l'extérieur de la cellule.

Une cellule morte n'entretient plus cette néguentropie, donc elle se désagrège.

Ce qui rend possible cette évolution vers plus d'ordre, c'est l'apport de l'extérieur : La cellule est un système « ouvert », inclus en fait dans un système plus vaste.

Tout comme la planète n'est pas non plus un système fermé : Elle reçoit de l'énergie, essentiellement solaire, et réémet de l'énergie vers l'univers.

L'énergie solaire est reçue sous une forme « ordonnée » (lumière visible et rayonnement ultra-violet), tandis que l'énergie réémise est plus désordonnée (rayonnement infrarouge).

C'est cela qui permet à la matière sur Terre de ne pas évoluer vers des formes toujours plus désordonnées, apprend-« je ».

Donc elle est vivante ?

Grand silence…

 

« Vous les humains, vous êtes extraordinaires. D’un côté, vous êtes tellement imaginatifs que vous avez des représentations du « beau », de l’harmonie extraordinairement complexes. De l’autre, vous n’arrivez pas à imaginer et comprendre qu’on puisse « vivre » autrement qu’à partir d’ADN ! »

D’eau liquide (qui sert de solvant), de carbone qui est caractérisé par sa tétravalence chimique, d’hydrogène et d’oxygène qui servent de réservoir d’énergie et d’un azote neutre qui dilue l’ensemble pour ne pas le rendre… « explosif ».

 

Comment sais-« je » tout ça ? Mystère…

 

La vie est une suite de multiples réactions chimiques fort variées et complexes aboutissant à des molécules elles aussi variées et parfois complexes. Les chimistes affirment que seuls des éléments légers tétravalents peuvent offrir une telle variété/complexité moléculaire. Les éléments non tétravalents (comme l'azote, N) ou tétravalent mais de masse atomique élevée (comme le silicium, Si) n'offriraient pas la même potentialité moléculaire.

« Et pourtant ! », me fait-« on » remarquer, sans que je n’en sache plus !

 

Pour que des réactions chimiques se fassent, il faut effectivement un solvant. Et l'eau est le plus extraordinaire solvant jamais découvert par la chimie humaine, pouvant à la fois dissoudre des substances minérales ou carbonées, pouvant permettre la fabrication de colloïdes, de suspensions…

Les biochimistes affirment que (très probablement) seule l'eau liquide est un solvant permettant la multitude de réactions chimiques qu'est la vie.

Jusqu'à preuve du contraire, il convient de constater que molécules carbonées et eau liquide sont nécessaires à la vie.

« Les êtres vivants sont constitués d'éléments chimiques disponibles sur le globe terrestre. Leurs proportions sont différentes dans le monde inerte et dans le monde vivant », ce qui est partiellement exact mais qui mérite d'être précisé.

Parce que chimiquement parlant, la Terre est approximativement un « quatre-quarts », composé approximativement (en masse) d'un quart de fer (dans le noyau), d'un quart de silicium, d'un quart de magnésium et d'un quart d'oxygène (dans le manteau).

Et de « me » rappeler que la formule de « l'olivine », principal minéral du manteau terrestre, est constituée de 90 % de forstérite, de formule Mg2SiO4, et pour seulement 10 % de fayalite (Fe2SiO4).

Toujours en termes de masse, croûte, atmosphère, hydrosphère et biosphère sont « quantitativement » négligeables, puisqu'à elles toutes, elles ne représentent que moins de 1 % de la masse de la planète Terre.

Si la Terre peut être chimiquement résumée par le sigle « FeSiMgO », chacun sait que la vie est chimiquement résumée par l'acronyme « CHON » (carbone, hydrogène, oxygène, azote).

Et CHON est bien différent de FeSiMgO.

« Un cas à part ? », suggère-« je ».

« Comme il y en a d’autre, y compris sur Terre. »

 

I-Cube.



[1] Pour ceux, qui comme moi ne savent pas ce que c’est, j’apprends plus tard, imagine-« je » qu’une liaison de « Van der Waals » est une interaction électrique de faible intensité entre atomes, molécules, ou entre une molécule et un cristal.

Bien qu'il soit possible de décrire sommairement cette interaction en considérant les forces électriques qui sont présentes entre tous les couples de charges électriques qui forment ces atomes et ces molécules en définitive, c'est un phénomène qui ne peut bien se comprendre que dans le cadre de la physique quantique et dont on en retrouve les effets de cette force à l'extrémité des pattes du gecko, assurant ainsi leur forte adhésion sur du verre.

Et que les forces de van der Waals ont plusieurs origines. On dénombre trois effets :

Les « forces de Keesom » ou effets d'orientation ; les « forces de Debye » ou effets d'induction ; et les « forces de London » ou effets de dispersion.

L’énergie des « forces de Keesom », sont dues à l'interaction entre deux molécules polaires.

L’interaction dipôle-dipôle est beaucoup plus faible qu’une attraction ion-dipôle puisque l’attraction se produit entre charges partielles.

L’énergie potentielle typique de ce type d’interaction est de l’ordre de 2 kJ/mol ou moins.

Cette interaction peut aussi être vue comme étant une attraction mutuelle de dipôles électriques de deux molécules polaires voisines. L’énergie potentielle de deux molécules polaires varie de façon inversement proportionnelle avec la distance à la puissance 6 entre le centre des dipôles de chacune de ces molécules.

L’énergie des « forces de Debye », est due à l'interaction entre une molécule polaire et un dipôle induit.

Ces énergies sont donc liées aux « forces de dispersion de London » entre dipôles instantanés.

 

Toutes ces forces peuvent s'exprimer de manière différente, lorsque les distances entre les molécules mises en jeu deviennent plus grandes que quelques nanomètres. Il faut alors prendre en compte les effets de retard dus à la propagation de la lumière avec une vitesse finie (« forces de Casimir-Polder » ou l’énergie du vide, qui peuvent être supérieures à la gravitation, source possible d’antigravitation : plusieurs laboratoires travaillent sur le sujet).

Quant à l’interaction ion-dipôle, elle résulte de l’attraction d’un anion orientée par la charge partielle positive d’un dipôle ou de l’attraction d’un cation orientée par la charge partielle négative d’un dipôle. L’énergie potentielle est négative et augmente à l’inverse du carré de la distance. L’énergie potentielle typique de ce type d’interactions est d’environ 15 kJ/mol. Cette attraction devient nulle à grande distance (entre le dipôle et l’ion). Cette interaction est responsable de l’hydratation des cations en solution.

Les « forces de Van der Waals » s'obtiennent en dérivant l'expression de l'énergie par r, il s'ensuit qu'elles varient en r − 7.

La « force de Van der Waals » permet également d'expliquer la rondeur de la Terre ou celle d'un liquide dans le vide.

Dans le cas de molécules polaires, cette force s'ajoute à la force purement électrostatique (de même comportement) entre les dipôles permanents.

Dans le cas de molécules à symétrie sphérique, d'atomes, etc. la « force de Van der Waals » est la seule qui entre en jeu pour ces distances.

À très longue distance, où il ne peut plus être question de liaison chimique, les « forces de van der Waals » entrent dans le cadre de l'électrodynamique quantique : À courte et longue distance, elles se décrivent proprement comme dues à l'échange des particules virtuelles entre les atomes. On entre alors dans le cadre des « forces de Casimir », décroissant en r – 8.

Les liaisons de « Van der Waals » n'entrent pas dans le cadre des liaisons chimiques, en ce sens que les électrons restent sur leurs atomes (ou molécules) respectifs (les termes d'échanges restent négligeables). Elles sont l'origine du terme de « pression négative » intervenant en correctif dans l'équation du gaz parfait. Elles sont essentielles pour appréhender les forces entre atomes de gaz noble.

Pour les très courtes distances, on entre alors dans le domaine de la chimie, où les diverses liaisons (liaison hydrogène, liaison métallique...) deviennent compétitives, et peuvent l'emporter.

Les « forces de Van der Waals » participent ainsi à la physisorption, et entrent en jeu dans le phénomène de capillarité.

Les échanges de particules virtuelles, qui sont leur fondement théorique, se retrouvent dans des phénomènes de même type : Forces entre deux surfaces.

Les « forces de Van der Waals » peuvent donc expliquer le phénomène responsable de la capacité des geckos à rester collé aux surfaces et éventuellement à former des colles puissantes en laboratoire.

 

Ne me demandez pas comment je sais tout ça : Je ne le savais même pas avant que de lire ce papier, que je complète sur le moment comme tous les autres…

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