Ils en deviennent même complétement hystériques
Pensez donc. Lui il écrit à « J’y-amie-Air-Haut » : « Je suis un être libre » !
Ouh-là, que n’a-t-il pas inventé là !!!
Imaginez que 63 millions de kouillons, tondus à mort, tendant désespérément la sébile pour survivre de la charité étatique et publique avec de l’argent qui n’existe pas, se mettent à penser à cette notion « idiote » de liberté ?
Où irions-nous ?
D’autant qu’il a le culot d’user de sa liberté pour rendre son passeport et tirer sa révérence jusque chez nos « cousins » belges.
Il va donc falloir faire exploser la « belgie » en « Belgie-flamande » et « Belgie-Wallonne » pour le récupérer par « nationalisation » : Une paille !
Perso, moi je n’en veux pas : Trop beauf’ pour mon neurone raffiné, éduqué uniquement « aux belles »… et à leurs orgasmes !
Et je ne vous dis pas qu’entre Noël et dimanche d’hier, j’en ai entendu des vertes et des pas mûres : C’est que je suis entouré de « soces » pur-sucre et natifs, en plus.
D’abord, on me vilipende parce que je ne le soutiens pas dans son exil !
Moi qui suis déjà un exilé en mon pays…
Un cerveau de « gôche », ça ne peut pas comprendre : Tout est blanc ou noir, il n’y a aucune nuance utile.
Tu es pour ou tu es contre, la vie politique, ça se résume à ça !
Je suis un exilé « Corsu » à Paris-sur-plage, alors je devrais soutenir un exilé « parigot » qui va planter ses choux en « Belgie profonde » … de la mégatropole « Lille-Roubaix-Tourcoing-Quiévrain » !
N’importe quoi, mais le choix des mots n’est pas innocent, rassurez-vous.
Plus tard, je devrais saluer le génie de « Toronto », le type méconnu qui s’est fendu d’une lettre-ouverte de « gôche » contre l’exilé !
Grand moment de solitude : J’ai pu récupérer un peu de mes goinfreries.
« Cite moi au moins une phrase, même pas géniale, mais qui sorte un peu de l’ordinaire, de ton grand génie sur le sujet ! »
Et une quinzaine de nez et paires d’yeux et de mains de plonger sur les smart-phones et autres « i-machins », plus les deux ordinateurs branchés internet, qui se sont mis à fonctionner en mobilisant les antennes relais et autres satellites du grand-kapital pendant une bonne demi-heure de … grand silence !
Les doigts dans le nez : Moi, j’avais lu le lendemain de sa parution…
Mais je pense désormais que j’avais été le seul.
Le type a fait buzz ce soir-là pour avoir pu éructer sa « jalouseté » sur la toile et répandre son fiel sans talent.
Passons : La pensée unique, de gôche de progrès-démocratique, elle est vide dès qu’on gratte un peu !
Ils sont passés à un autre sujet pour me faire chier…
Sans rien me citer du « géant ».
Faut dire qu’il n’y a pas !
« Deux-par-deux », il n'a pas droit à peu de considération pour avoir payé 145 millions d'euros d'impôt (le kon), de quoi financer la part de l’État dans l'aéroport Notre-des-Landes ainsi que tous les salaires du premier des ministres actuel depuis le début de sa longue carrière de fonctionnaire de « gôche » de progrès & démocratique.
Pas plus pour avoir quand même créé 80 emplois dont les salariés ont de leur côté la reconnaissance du ventre, réinvestit la plus grande partie de son pognon au pays, alors que « Monte-boure » en détruit tous les jours en faisant fuir les investisseurs hors du pays.
Quant à ses « grands films », c’est à peine si c’est devenu de la crotte pour hydrocéphale de « droâte » …
Me font vraiment marrer à raconter que ce qui coûte le plus cher quand il tourne sur un plateau, c’est l’assurance du Monsieur !
Même qu’il y aurait un mek-dédié à lui servir de nounou, 24 heures sur 24, au cas où il eût les yeux dans le trou de balle à faire des konneries !
Une exigence des compagnies d’assurance, paraît-il.
« C’est exactement ce que je dis depuis toujours, un « pitit-bonhomme », moins grand et moins gros que môa » !
« Je pars parce que vous considérez que le succès, la création, le talent, en fait, la différence, doivent être sanctionnés » écrit-il.
Mais ils ont déjà oublié, considérant tous qu’ils ont plus de talent que lui…
Le seul talent que je lui reconnais désormais, c’est d'incarner une résistance à l'oppresseur : La toute puissante administration « soce » qui asphyxie l'énergie de notre pays jusqu'à l'agonie et voudrait, en plus, culpabiliser ses sujets de ne pas se laisser faire avec reconnaissance.
Car hélas, à l'heure où toutes les nations du monde se battent pour attirer les talents, notre Gouvernement chasse les siens sous les insultes et quolibets.
À l'heure où tous les pays d'Europe réduisent leurs dépenses publiques, notre Gouvernement en appelle à toujours plus de « solidarité » pour financer les gabegies publiques.
Ils en ont même oublié leurs leçons d’instructions civiques reçues au collège : Solidarité, ce n’est pas la devise de mon pays !
On parle de fraternité : Ce n’est pas la même chose, car c’est bien plus vaste !
À nous d’ouvrir enfin les yeux : Notre Gouvernement ignore les leçons de base de la courbe de Laffer. Il y a deux siècles, le très « Gaulois » J-B Say disait déjà qu'un « impôt exagéré détruit la base sur laquelle il porte ».
Aujourd'hui, la maxime est toujours d'actualité : « trop d'impôt tue l'impôt ».
CQFD : Combien de temps encore pour poursuivre dans l’autisme économique et fiscal ?
Et puis plus tard, je me retrouve avec mes « gens de droâte » et des « beaux-quartiers-rive-gôche ».
Pour eux l'hystérie du pouvoir et de la bien-pensance, c'est que ce gouvernement et ses affidés ont une fâcheuse tendance à se croire propriétaire du pays et des bœufs qui y vivent :
Seuls propriétaires de la nationalité, qu'il pourrait révoquer (proposition du député « Yann Gars-lu », une grande première depuis Pétain…) ;
Seuls propriétaire des biens, qu'il pourrait confisquer (récente innovation juridique de son collègue « Jéjé L’an-bert », comme au bon vieux temps de Lénine…) ;
Propriétaire des talents, qui n'auraient jamais pu émerger sans lui (car, comme l'écrit d’ailleurs « Toronto », c'est bien sûr grâce aux subventions de l’État que l’ingrat a pu enchanter des générations de spectateurs) ;
Propriétaire de la Nation comme l'a fait « François III », en dénonçant les « antipatriotes » ou, notre ministre de la culture, un « déserteur ».
Il est vrai que quand Victor Hugo ou Voltaire fuyaient hors de nos frontières, le pouvoir en place avait exactement la même attitude à leur égard : Mais c’était un autre régime, royal voire impérial.
Finalement, c’est rassurant : Rien de change au pays !
Juste, ce ne sont plus le mêmes qui emploient les mêmes mots et les mêmes procédés…
Comme si les mots « liberté, propriété, sûreté et résistance à l'oppression », depuis inscrits dans notre Constitution, n’avaient aucune valeur de celles pour lesquels nos « anciens » se sont battus toute une vie, parfois jusqu’à en mourir, justement pour des « Deux-par-deux » en use : Ce qu’on lui reproche…
« En qualifiant de « minable » l’exercice de (son) droit inaliénable à l’exil, le gouvernement hexagonal a gravement dérapé » dit-on jusqu’en Helvétie.
Car finalement me dit le conseiller fédéral croisé récemment : « Ce n’est pas seulement son droit au départ qui est remis en question par les remarques déplacées des ministres, c’est la souveraineté fiscale d’États tiers qui ont su gérer correctement leurs finances publiques contrairement à ton pays qui, depuis 1976, n’a plus connu un seul exercice bénéficiaire. »
Du petit-lait !
« Ton pays a choisi la voie de l’asservissement à un État vorace et pléthorique, alors que nous préférons les libertés individuelles et la sobriété des dépenses collectives. »
« La libre-circulation des personnes permet une concurrence fiscale qui nous donne droit de choisir le lieu où nous voulons vivre, faire notre vie et payer nos impôts. C’est ça que d’être patriote. »
« Ubi bene, ubi patria » disaient déjà les romains-antiques qui ne se gaussaient pas de discrimination artificielle ni de problèmes de migrants…
Et plus tard : « Vous étiez le pays de la Liberté, vous êtes devenu un univers carcéral à l’échelle du pays tout entier ! »
Dur, le conseiller fédéral…
Mais d’une limpidité irréprochable.
D’autant que ce calviniste bon teint, il n’en dit pas plus : Devoir de réserve de sa fonction oblige.
Et pas moyen de le saouler pour le faire déraper !
Pas « huguenot-hérétique » pour rien non plus…
Pour ma part, j’aspire à ce que cette affaire retombe là où elle n’aurait jamais dû sortir : Le caniveau fiscal.
Et pour parler de choses enfin sérieuses : « Dreyfus était-il coupable ou réellement innocent ? »
Ambiance en attendant le Père-Noël, cette année-là …
Le pire, c'est qu'on remet ça ce soir et demain !
Bonne saint Sylvestre à toutes et tous : à l'année prochaine, la jeunesse !