Comme si je n’avais que ça à faire…
Faut vraiment le lire pour le croire : -> cliquez ici !
Encore un gag, un de plus…
Veut me faire devenir l’ambassadeur de l’humanité auprès des aliènes qui nous visitent !
Si !
Et auprès de notre « Ô combien vénéré Président », en plus !
Enfermé dans la cave à vin…
La belle perspective, dites donc.
Ou inversement (je n’ai pas tout compris), me faire nommer ambassadeur des aliènes auprès de notre « Ô combien vénéré Président ».
Le pôvre : Déjà que le même devant ma « Môman à moi », il fait comme Coluche : « Ah ? Tu es debout ? Bé reste assis, alors ! », alors moi qui rend encore quelques têtes à l’auteuse de mes jours, plus quelque quintaux de bidoche, le tout m’empêchant de prendre le métro des parigots sans être obligé de me plier en 4 pour y rentrer, je ne vous dis pas combien il aura le moral dans les chaussettes !
Et puis de toute façon, il n’écoute que lui, alors ça ne sert strictement à rien.
Idée débile, même pas drôle même si ça veut être de « l’humour à deux balles », au moins autant que l’initiative onusienne dont il est question.
Encore un truc pour payer un fainéant à ne rien faire sur la cotisation de pauvres kouillons de kontribuables !
Bref, quand j’eusse lu ça, j’ai pensé qu’il se comportait comme s’il était complètement « HS » du neurone…
Et que j’en suis tombé à la renverse à en casser mon fauteuil de travail…
Bé oui, j’ai beau avoir des grands pieds, ils finissent par fatiguer. Alors il m’arrive de m’asseoir, sur le postérieur et autres muscles fessiers noyés dans la masse adipeuse, comme tout le monde, mais ailleurs que dans mon « tas de boue à roulette », pourtant taillé sur mesure.
Un Louis XVI d’époque, je ne vous raconte pas la facture à venir.
Mais bon, je me débrouillerai pour récupérer au moins la TVA.
Là-dessus, on s’échange divers courriels tout autant délirants, et je poste divers commentaires que vous pourrez lire tant qu’il les laissera en ligne avant de les manger flambés dans du « Loch Lomond ».
Car le problème pour le « Capitaine Haddock » (son surnom putatif dans l’aviation civile), c’est que pour en avoir cherché ici et ailleurs, lui n’en a pas en réserve…
Ça va donc demander un peu de temps avant qu’il ne se décide à les flamber au Calvados !
(Il en est pourtant bien pourvu et avec de bonnes étiquettes : je n’ai pas goûté, je ne suis pas un voleur, mais j’ai appris à reconnaître les étiquettes et les contre-étiquettes sur les bouteilles !)
Revenons à du sérieux, parce que quand même, faut savoir réfléchir un tout petit peu avant de raconter n’importe quoi.
1 – Première hypothèse : Je suis un « aliène », un vrai de chez vrai !
Un Kameulf avec les antennes bien planquées dans la chevelure, qui se trouve être en mission sur la planète des terriens, en exil si on peut dire, pour venir améliorer le cheptel local et l’usage que font les autochtones de leurs petites cellules grises.
J’aime assez bien la version d’août 2008, dont je serai finalement l’auteur, puisque les Krabitz existent bien dans un lointain « ailleurs » et la « matière noire » des « non-vivants » étant une menace constante pour la vie organisée et inorganisée dans l’Univers.
Un vrai « truc de délirant » qui use des nano-réactions de la matière pour s’autoalimenter de toutes sources d’énergie, y compris celles qui entretient la Vie.
Un vrai cancer, un « bug » qui bouffera l’Univers entier si on n’y prend pas garde.
Et l’humain n’est qu’un « essai de laboratoire » particulièrement capable de faire face, avec l’aide des Krabitz, à la menace sur le « Grand jardin » des espèces intelligentes du même Univers.
Ils ont été « fabriqués » suffisamment intelligents et totalement belliqueux pour « porter le fer » contre la « matière noire » au moment opportun.
Une idée du « Créateur » ou des « êtres supérieurs » qui gèrent l’ensemble du « jardin d’Eden ».
(Bon je sais, il y en a qui doutent : c’est bien naturel ! On ne va pas non plus leur apporter des preuves scientifiques, puisque tout ça – et le « si peu » – doit seulement apporter le minimum d’espérance, sans plus, à leur pauvre intellect, qu’ils ne se comportent pas tous comme des sauvageons belliqueux).
Le problème reste qu’ils sont dangereux pour eux-mêmes et qu’ils ont heureusement « vie courte », presque éphémère, pour ne pas se foutre sur la gueule trop rapidement.
Déjà, le « feu nucléaire », ils maîtrisent à peine, alors la suite, on ne vous raconte même pas !
Bien.
Problème : par un détour improbable des circonvolutions magnifiques du cerveau de quelques-uns, je suis « découvert ».
Et ces kons d’humanoïdes, ils me le font savoir.
Jusque-là, ce n’est pas bien grave : je m’en contre-cogne !
Là où ça pose problème, c’est que les Kameulfs ne sont pas les seuls à se promener dans les basses couches de l’atmosphère terrestre et que ces « traces » électroniques permettent à d’autres, parfois plus stupides, parfois moins kons, d’identifier l’incarnation de « l’ignoble », jusqu’à même en prendre les devant de ses initiatives.
Je ne vous fais pas la liste exhaustive, mais entre le passage d’un Ovni dissimulé en météorite (une tactique qui fonctionne assez bien chez les « primitifs » : ils passent avec leur konnerie d’engin, la gendarmerie ramasse les témoignages et les « autorités » locales décident qu’il s’agit d’un phénomène naturel) à Tahiti alors que j’étais dans la salle d’attente de l’avion qui devait m’emmener à Faaa (en pleine grève des pilotes locaux qui estimaient n’avoir pas assez de travail : faut le faire !) ;
Le survol de Paris dont j’ai été témoin alors même que j’étais sensé roupiller du sommeil du juste ;
L’histoire de la « bouée rouge » en Normandie, dont je suis sûr qu’elle est authentique ;
Ma « chasse » à celle-ci vers la Marne, l’Aube et l’Aisne, qui m’a fait mirer en septembre, encore un « phénomène » inattendu au-dessus des couloirs aériens menant à Roissy, alors même que le ciel débordait de flotte sur le Macadam ;
(J’ai une bonne macula derrière ma myopie native – un « bug » du génie génétique – qui me permet de voir très loin, mais pas trop proche, au point que ce jour-là, j’ai étonné par mégarde mon passager totalement humain celui-là, qui me fait « Attention ! Y’a une voiture devant ! » sous le déluge à l’approche du péage de Dormans : Je lui réponds bêtement « Non ! Il y en a 5 et un autocar ! ». C’était pour le rassurer que je maîtrisais la situation de pré-aquaplaning et lui, il s’est mis à regarder de côté, passablement bouleversé !…)
La même « vision » rapportée par d’autres mais au mois de juillet, manifestement à rapprocher avec mes courriels relatifs à la « bouée rouge » (je courrielle sur le sujet depuis la mi-juin avec « l’Ami-râle » et suis parti sur de fausses pistes à la recherche dudit engin qu’il me fallait absolument identifier) ;
Le plus étonnant, c’est qu’effectivement « l’Ami-râle » me donne les coordonnées GPS de là où je suis attendu peu de temps avant et qu’ils y retrouvent la « bouée rouge » et des cliquetis entre les cheminées du logis local ;
Ce « satellite polaire » qui passe au-dessus de ma montagne Corse au mois d’août, alors que même les satellites d’observations des pôles ont tous une orbite légèrement désaxée vers l’Est ;
Ce « feulements » un soir d’observation nocturne en Balagne (le deuxième dans ma vie terrestre), sans explication rationnelle, même pour un « Kameulf » ;
Tout cela est particulièrement suspect à mes yeux et esprit « d’aliène » !
Manifestement, les « Kameulfs » dérangent quant à leur présence sur Terre.
Question : Faut-il, pour ma sécurité et celle de la présence des autres « Kameulfs », que je déguerpisse, ou faut-il s’en tenir au plan prévu jusque-là ?
Car trop de « coïncidences », en nombre surnuméraire en si peu de temps, ne font plus « hasard aléatoire »…
Et tout peut devenir périlleux et péril !
Et puis je vous avoue, que la « tranche de vie » de terrien que je parcoure, n’a rien d’un amusement au quotidien : Ras la casquette !
Seule compensation véritable, les alcooloïdes locaux… fort nombreux et goûtus !
2 – Deuxième hypothèse : Je suis un « humain », un vrai de chez vrai !
J’entre en contact un peu par hasard avec « l’Ami-râle » qui s’agite autour des détournements des indemnités de guerre de la division Daguet payées rubis sur l’ongle par le Koweït, remboursées par les irakiens dans le cadre de l’accord « Pétrole contre nourriture » dans la décennie suivante.
Une énigme assez simple à résoudre, moi qui adore les choses à la fois complexes et compliquées (genre l’ingénierie fiscale et sociale, par exemple).
Je lui invente donc les aventures de « Charlotte ».
Et suis aidé par « Bling-bling » et le financement de son grand emprunt.
Un génie, « Bling-bling », car personne n’a rien vu !
Parfait : je mettrai en ligne en août 2010.
Problème : « L’Ami-râle » balance le proto-manuscrit que je lui remets par voie de courriel en avril pour qu’il corrige les éventuelles incohérences et lui, il l’envoie à Basano et à Lombard (ou un autre), les acteurs de l’autre volet de l’affaire du Koweït.
Aussi sec, on m’envoie un « sous-marin » jusque sur les trottoirs où je divague habituellement, que rapidement, j’identifie le « service qui n’existe pas », disposant de « moyens qui n’existent pas » dont il me promet la mobilisation immédiate.
Que j’en suis réduit à prendre la poudre d’escampette en mai jusque de l’autre côté de la planète (je ne vous dis pas le « jet-lag » pour mon pauvre neurone) ;
À remettre le texte à différents amis et inconnus de confiance ;
Et le publier sur internet en avance sur un autre blog (depuis mai dans sa « primo version ») ;
Que là-bas, dans le pacifique, les « Képitus » de pandores commencent à me tourner autour qu’il faille que j’envisage rapidement un séjour dans mon maquis Corse (je ne vous raconte pas le « Jet-lag ») ;
Qu’une première fois, « l’Ami-râle » me fait passer pour un aliène que je ne suis pas et que je lui balance un premier avertissement, là seulement pour ceux qui savent lire entre les lignes (faut lire jusqu’au post-scriptum, bien sûr : c’est comme dans les contrats d’assurance, les dernières lignes sont les plus importantes !) ;
Qu’à titre préventif, je fais effectivement un détour par où il m’indique qu’il faille que je le rencontre éventuellement un jour ou l’autre ;
Et que de constater que je suis filoché, non pas par les pandores de la République – qui ont d’autres chats à fouetter, bien que la douane soit chargée quand même de noter mes passages aux différents péages que je fréquente à ces occasions-là, histoire d’avoir des certitudes sur mes cartes bancaires – mais par des Ovni qui se manifestent jusqu’au lieu de rencontre prévu initialement le 11 septembre dernier, mais reporté au 13 novembre prochain ;
J’en tombe sur le kul, vous imaginez bien !
Manip et contre-manip ?
En attendant que j’en casse les pieds à MON fauteuil Louis XVI ?
La rage !
Question : Faut-il que je saborde et disparaisse ?
De toute façon, c’est déjà prévu, mais à une date incertaine, jusque-là, et donc non précisée.
Sauf que j’ai déjà une idée assez précise de comment et quand ça doit se passer.
Bref, un fauteuil en lambeaux, je n’apprécie pas, bien évidemment, et dans les deux hypothèses !
Va falloir qu’« ils » me lâchent la grappe, d’une façon ou d’une autre.
Et selon la méthode apprise à l’armée ! On fait deux avertissements aux « nuisibles » : « Halte ! Qui va-là ! ». Puis « Halte ou je tire ! ».
Et après on tire. La procédure, c’est un coup de semonce en l’air et ensuite on passe au tir tendu.
J’ai appris depuis qu’on pouvait passer au tir tendu sans être inquiété par l’intime conviction des jurés populaires de ce pays.
Faut dire que c’est plus efficace et sécurisant, au lieu de servir de cible aboyante au « nuisible » agresseur.
Ceci est donc le deuxième et dernier avertissement.
Après on passera aux choses sérieuses.
I²