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D'où Erre-Je ?

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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 05:20

 

« C’était une belle jeune fille, grande, élancée, à la voix douce et parfois persuasive : j’aurais pu être son père, elle aurait pu être ma fille. Elle était la collaboratrice d’un de mes clients.

Nous nous sommes rencontrés. Je devais la conduire vers un transfert de techniques juridiques tel qu’elle devait ensuite pouvoir mettre en place et piloter des dispositifs de rémunérations motivantes et hors charges pour son patron et le réseau de clients pour lequel ils travaillaient.

 

Nous avons beaucoup échangé par courriel et téléphone et j’ai pu mesurer, tout au long de ces longs mois, l’acuité de sa vive intelligence, son verbe mesuré, ses raisonnements bien carrés, bien ficelés. Une jeune femme « bien ».

Très bien même. Dans son travail, dans sa tête, dans sa vie, jusqu’à ce qu’elle rencontre l’accusé.

 

Je n’ai pas compris tout de suite ce qui se passait, mais à un moment donné, il y a eu des retards, des oublis, des manqués dans nos relations de travail.

Disposant de son numéro de portable, j’ai cherché à plusieurs reprises à la joindre.

Les premières fois, elle restée aimable et concentrée sur mes dires.

Au fil du temps, je sentais bien que hors les horaires de travail habituels, je la dérangeais : je n’ai donc pas insisté.

Son patron d’Oncle s’est ouvert à moi des difficultés qu’elle rencontrait comme pour me dire qu’il ne fallait pas trop lui en vouloir. De toute façon l’essentiel des clauses de notre contrat avait été déjà et correctement exécuté, il me fallait juste contrôler, avant les phases finales successives, que tout était juridiquement et économiquement impeccable.

 

Jusqu’au jour où elle nous a rejoints lors d’une séance de travail, les yeux rougis, l’air un peu hagard. Ailleurs, comme absente.

Au cours du déjeuner qui a suivi, elle m’a présenté l’accusé.

J’ai rapidement compris qu’il y avait « une histoire » entre eux, trouvais curieux qu’elle s’entiche d’un homme visiblement plus âgé qu’elle.

Elle, qui avait suffisamment de charme pour « emballer » sur un simple claquement de doigt qui elle aurait pu vouloir.

 

Vous savez Monsieur le Président, Messieurs les assesseurs, Mesdames et Messieurs les jurés, les « histoires de couple », c’est un peu de la magie. Ça a comme un côté surréaliste qui en fait justement tout l’inattendu, toute l’alchimie.

Je ne me suis inquiété que la fois suivante, au moment où elle commençait à porter des vêtements à manche longue, des cols roulés. Mais sans plus : nous n’étions pas intimes.

Elle a simplement eu à me dire, l’avant dernière fois que je l’ai vue, que ça ne se passait pas très bien. Que l’accusé était férocement jaloux, voulait lui interdire d’aller travailler, ne voulait plus que je la joigne au téléphone ni qu’elle ne m’appelle.

« As-tu prévenu ton patron ? »

À cette question, elle a répondu que non, mais que je lui rendrais service si par hasard je cessais de remplir mes obligations contractuelles.

Comme il n’en était pas question, un engagement étant un engagement, le seul pouvant le délier étant mon client lui-même ou un cas de force majeure, je lui ai expliqué que c’est d’elle que devait venir la rupture, pas de moi qui restais au service de mon client.

 

Sur le coup, je n’ai pas su comment elle a su y faire, mais effectivement, mon client a mis fin à nos relations, très correctement dans les semaines suivantes.

Ce n’est que plus tard que j’ai appris qu’elle avait pris prétexte de quelques allusions graveleuses que j’aurai émises à son égard et qu’elle aurait pris comme une tentative de harcèlement.

Mon client me connaissant pourtant de longue date, très embêté par ces accusations à peine voilée, a préféré ne pas m’en parler sur le moment.

Il a bien fait, je me serai offusqué, comme outragé et à juste titre, en plus.

Et nous n’aurions pas pu renouer nos liens de confiance qui vont jusqu’au-delà du respect mutuel, d’une certaine qualité d’amitié réciproque, mais plus tard.

 

Je n’ai revu la victime que quelques mois plus tard. Elle s’est ouverte avec beaucoup de franchise sur le calvaire inconcevable que cet homme, dont elle restait encore amoureuse comme ouvertement victime d’un syndrome de Stockholm, lui avait fait subir : coups, humiliations diverses et jusqu’au viol en bande organisée, dont la Cour et les débats ont pu examiner jusqu’à l’écœurement tous les détails.

 

Je ne suis pas partie civile, je ne suis pas un accusateur, je ne suis ni juge ni flic, juste un témoin de moralité, totalement étranger à cette affaire. Je ne compte pas non plus n’être que celui chargé de vous dire tout le bien que je pensais de la victime, jeune femme délicieuse, promise à un bel avenir professionnel, soucieuse de fonder un foyer et d’élever des enfants qui auraient fait la joie de ses propres parents, ici encore assis, effondrés.

J’admets leur douleur comme d’une évidence, qui même en laissant toute compassion de côté, est si triste à évoquer, car elle n’est feinte : ils sont abattus comme toutes les personnes qui font face à un tel drame !

Je sais, j’ai aussi été retenir mes larmes sur les bancs d’une Cour qui jugeait l’assassin de mon père, il y a si longtemps que j’en ai encore la gorge nouée quand j’y repense.

Je sais…

 

Je sais et pourtant ce n’est pas ce à vous que je m’adresse, mais à l’homme dont vous allez avoir la lourde tâche de juger les actes.

Je ne le connais pas mieux que vous. A priori c’est mon frère, mon frère d’espèce humanoïde, la même créature de sang et de chaire que vous et moi, issu de la même gamète originelle, du même souffle et respirant le même air que moi.

Je ne lui veux aucun mal, je ne préjuge ni de son passé, ni de son avenir, ni de sa vie à lui, ni de son mental : il est mon égal en toute chose et mérite toute mon attention comme je souhaiterai que l’on soit tous les uns envers les autres attentionnés à autrui, mais !

 

Mais !

Posez-lui la question qui me brûle la gorge et met le feu à mes pauvres neurones : N’est-il vraiment né QUE pour avoir battu si souvent, humilié si fréquemment, torturé avec une telle ardeur et jusqu’à tuer avec délectation sa victime ?

Qu’elle quelle soit ?

Ou juste va-t-il nous servir une nouvelle fois l’histoire de la passion qu’il avait pour cette femme, au-delà du raisonnable, de l’amour qui rend fou ?

Peut-on décidément être né pour tuer, même d’amour ?

Ou n’a-t-il définitivement rien compris à l’amour entre deux êtres ?

 

Mesdames et Messieurs, Monsieur le Président, Messieurs les assesseurs, il ne pourra jamais répondre à cette question, ni lui ni ses avocats qui tâcheront de vous faire prendre des vessies pour des lanternes : C’est leur rôle dans ce drame.

C’est vous qui devrez répondre pour lui en espérant que dans 10 ans, 20 ans, je ne sais pas encore, il ne soit même plus capable de s’identifier que par son numéro de matricule, toutes remises de peine confondues.

 

En ce qui me concerne, je me contenterai de votre réponse et prierai tous les jours pour ne pas être en vie le jour où il ressortira libre de recommencer… une autre « histoire d’amour fou »…

Je craindrai pour mes filles.

Merci. »

 

On m’avait dit de faire court.

On m’avait dit de ne pas en rajouter, de rester « sec ».

« Des faits, des faits et une synthèse ».

J’ai fait ce que j’ai pu.

Et me voilà reparti au fond de la salle à la recherche d’une place assise, dans le triple silence des regards assassins de l’accusé et de ses deux avocats.

Je me retourne et tend le bras vers ces trois-là.

L’un plonge ses yeux sur ses pompes, l’autre détourne le regard vers ses papiers, le troisième est la tête dans son cartable à terre.

Le Président fait entrer le témoin suivant.

 

15 ans !

Après deux longues plaidoiries à effets de manche où ils se sont débrouillés pour tenter de faire gober le drame d’amour…

Qui n’ont pas été suivies.

Il aura à peine mon âge quand il ressortira, dans 8 ans, remise de peine et préventive inclues.

C’est vraiment insupportable pour le prix de la vie d’une jeune fille de 29 ans privée à jamais de son avenir à elle.

Née pour le sordide plaisir d’un étrangleur de passage.

Quelle incommensurable dérision…

 

Peine à peine équiovalente, il y a quelques années de ça, pour ce fils d’un ami pris dans le tourbillon de sa jeunesse impulsive.

Une soirée un peu abreuvée. Une jeune fille qui s’enferme avec lui dans la salle de bain.

Le « fiancé » officiel qui défonce la porte, engage le coup de poing.

8 jours d’arrêt de travail, plainte au commissariat pour « coups & blessures ».

Garde à vue, puis, deux jours plus tard, plainte de la demoiselle pour « viol avec violence » qui sauve ainsi son espérance d'hymen légitime.

Incarcération durable…

Jugement : 12 ans pour un « coït interrompu»…

 

Lui, 2 années de préventive, 4 ans de soins obligés en milieu carcéral, sortie marié à 25 ans et mon pote enfin deux fois grand-père depuis. Mais il ne sera jamais médecin, sa vocation première.

Sa « victime », un an de plus, ne s’est toujours pas mariée, se drogue et vit de débauche et de rapines.

 

Quels gâchis…

Au final, je ne sais pas si nous sommes jamais nés et préparés pour vivre ce genre de tranches de vie.

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commentaires

I
<br /> <br /> Je préfère l'être aux soutenance de thèses.<br /> Ca fait respirer le neurone de constater l'étendue de l'intelligence de quelques "nouveaux".<br /> Parfois seulement, remarque.<br /> <br /> Alors qu'en assises, c'est forcément un drame pour tout le monde<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> Si je devais être jurée... Ce serait forcément aux assises....<br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> Moi non plus, je n'ai pas de solution "parfaite".<br /> Ou seulement meilleure...<br /> C'est la vie !<br /> <br /> <br /> <br />
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V
<br /> Il y a toujours moyen de faire mieux, Infree. Mais la perfection n'est pas de ce monde. C'est comme un investissement en entreprise: il faut réfléchir, mais il y a un moment où il faut se<br /> lancer.<br /> Sur un tel sujet, tu ne seras jamais satisfait.<br /> Et je n'ai aucune solution.<br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> Bé non, j'avais pas fait assez, me semble-t-il.<br /> Et ce vieux post est teint d'amertume et de regrets...<br /> Comme d'une autoflagellation.<br /> Comme d'une punition.<br /> Ca fait plusieurs fois que je le retire avant mise en ligne, d'ailleurs.<br /> Pas encore près.<br /> Et insatisfait.<br /> <br /> Je suis persuadé qu'il doit y avoir moyen de faire mieux...<br /> <br /> <br /> <br />
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