Préavis de grève à la SNCM et à la CMN
Le syndicat CGT de la SNCM et de la CMN a déposé un préavis de grève reconductible pour la journée du 1er janvier 2014.
Réaction de Dumè :
« Normal ! Ce jour-là, la sécurité à bord des ferries n’est pas assurée : Ils sont tous « sborgnés » (saouls) !
En attendant, « ils » tractaient sur les quais dans la semaine, vu le prochain dépeçage de leur outil de travail…
Dumè a un copain qui est maire du village.
Il lui demande s'il n'aurait pas un petit boulot pas trop dur pour lui.
Le maire le nomme surveillant du cimetière.
Quelques jours après, le maire le croise et lui demande :
« – Alors, ça va, ce n'est pas trop dur ?
– Non, ça ne va pas très bien. Je suis déprimé ! Partout je vois écrit : « Ici repose Untel, ici repose Unetelle »… Finalement, il n'y a que moi qui travaille, ici ! »
Alors le même maire nomme Dumè conducteur de travaux sur un chantier et repasse quelques jours après.
Il lui demande :
« – Alors, ça va mieux ?
– Non, ça ne peut pas durer. Tous les autres ont quelque chose : Une pelle, une pioche, une brouette, et moi je n'ai rien pour me reposer dessus ! »
Jeux Olympiques – Un Corse champion du lancer du marteau.
Interview : « Ayo ! Quand j'ai vu cet outil de travail, je l'ai jeté le plus loin possible de moi ! »
Un Corse de Paris invite son cousin de Marseille.
Aux Invalides, il lui dit :
« Agenouille-toi, ici repose un grand Corse ! » (Napoléon).
Le cousin de Marseille l’invite quelques semaines plus tard et l'emmène à la Sécurité sociale :
« Voilà un coussin pour t'agenouiller longtemps : Ici il y a 150 Corses qui se reposent ! »
Un père Corse de Corti trouve que son fils, étudiant à Aix, dépense trop d'argent.
Alors il lui demande des comptes.
Le fils lui répond :
« – Je dépense mon argent avec parcimonie et à bon escient, Papa !
– Ce Parcimoni, d'accord c'est un compatriote. Mais je ne veux pas d'un Arménien comme ce Bonnessian ! »
Un Corse va dans un bar à Marseille :
« Je veux un café, j'ai pas d'argent mais je suis fort et je n'ai pas peur ! »
On lui sert un café.
Il recommence comme ça tous les jours.
Au bout d'une semaine, le barman appelle un copain et lui raconte la chose.
Le copain lui dit : « Ne t'en fais pas, demain je m'en occupe ! »
Le lendemain, le Corse arrive et annonce :
« Je veux un café, j'ai pas d'argent mais je suis fort et j'ai pas peur ! »
Le copain du barman s'avance vers lui et lui dit :
« – Moi aussi je suis fort et je n'ai pas peur !
– Bon, d'accord. Alors ce sera deux cafés ! »
On vient d'installer le téléphone chez le grand-père de Dumè et le technicien lui explique :
« – Vous prenez le récepteur de la main gauche et, de la droite, vous formez le numéro de votre correspondant sur le cadran.
– Mais alors, quelle main me restera-t-il pour parler ? »
À la veille de Pâques, tous les confessionnaux sont occupés au village de Dumè.
Il s’agit d’être en règle avec le Bon-Dieu pour pouvoir communier à la messe de la résurrection de Son Fils.
Un jeune curé débutant entend sa pénitente lui avouer :
« Mon Père, pardonnez-moi, j'ai fait hier un pompier à un ami. »
Le jeune curé ne sait pas très bien quelle pénitence lui donner.
Il hésite entre 12 Pater-noster ou plutôt 12 Ave-maria.
Puis n’arrivant pas à se décider, il ouvre discrètement la porte et dit dans un murmure à l’adresse du confessionnal voisin, qui est tenu par un vieux de la vieille :
« – Dites-moi, qu'est-ce que vous donnez pour un pompier ?
– Pas plus de 20 euros ! »
Deux Corses, le père et le fils, discutent à l’ombre d’un olivier.
« – Dis-moi, Dumè, mon fils, tu n’as jamais travaillé.
– Eh non, papa. Tu le sais bien que je n’ai jamais travaillé. Dans la famille, il n’y a que les femmes qui travaillent !
– Eh oui, mon fils, je le sais. Et justement, c’est de ça dont je voulais te parler. Tu as quarante ans, maintenant. Ta mère et moi nous nous faisons vieux, il serait peut-être temps que tu te trouves une femme. On peut t’en présenter, si tu veux. Elle pourrait travailler pour toi et avoir des enfants qui t’apporteraient le pastis, comme tu le faisais pour moi quand tu étais petit.
– Papa, c’est une bonne idée. Je vais me marier et avoir des enfants. Dis, tant qu’à faire, tu pourrais m’en présenter une qui soit déjà enceinte ? »
Un Jésuite et un Chartreux se retrouvent pendant une retraite au couvent de Corbara (en Balagne).
Ils n'ont le droit de parler qu'une minute par jour.
Finalement, ils découvrent qu'ils aiment tous les deux fumer la pipe de temps en temps.
Mais c'est strictement interdit dans le monastère.
Un jour, le Jésuite arrive avec la pipe allumée.
L'autre s'étonne et dit :
« J'ai demandé au supérieur si je pouvais fumer en lisant la Bible. Il a refusé avec indignation. Alors, comment avez-vous fait ? »
Le jésuite lui répond :
« Pour moi, c'est simple, j'ai plutôt dit au Père supérieur : Père, est-ce que je peux lire la Bible en fumant ? Il a accepté tout de suite ! »
« – Quel est le seul arbre qui ne poussera jamais en Corse ?
– Le boulot, Dumè ! »
Un touriste entre dans une boutique calvaise dont l'affiche annonce : « Spécialités Corses »
Le touriste demande au vendeur du fromage Corse, du broccio.
Le vendeur est désolé, il n'en a pas.
Pas plus que du vin de Patrimonio ou de charcuterie de montagne, voire de canistrelli de Calenzana.
Le touriste s'étonne :
« – Mais qu'est-ce que vous vendez alors comme spécialités corses ?
– Uniquement des chaises longues et des hamacs corses, monsieur ! »
« En corse, y'a que le bois et les vers dans l'fromage qui travaillent. »
C'est l'histoire de 2 corses qui papotent.
Dumè dit à l'autre :
« – Si tu gagnais au Loto demain, que ferais-tu ?
– Rien, absolument rien ! »
Question idiote :
« – Pourquoi il est impossible que Claude François ait été corse ?
– Parce qu'aucun corse ne peut mourir avec une ampoule dans la main. »
Proverbe Corse pour votre week-end :
« Si tu as beaucoup de travail, allonges-toi au soleil et attends que ça passe ! »
Bien à toutes et tous !
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