Je n’aurai manqué ce passage-là pour rien au monde
Un incroyable tour de magicien qui consistait, dimanche soir, à ferrer l’opinion.
Avant que de « se faire pardonner » par elle, plus tard, pour s’être fait « rendre indispensable » au pays.
Et revenir au pouvoir (en juin prochain ou en septembre 2013, selon l’allure des développements de « la crise » qui chauffe et qu’il attise).
Parce qu’à part ça, il n’a rien dit des « détails » de ce qui n’était pas une agression, même pas l’ombre d’un délit, ni la moindre once de méchanceté.
On n’en saura pas plus.
Normal : Un procès au civil est en cours… Et ça va coûter « bonbon » à Anne-Lise en plus que des frais d’avocat, de l’équipe de communicants qu’il faut entretenir et payer pour les motiver, sans compter « les réseaux » à resserrer.
Il n’en a plus que trois sur « ses six possibles » : Son « courant » au parti, qui compte « peser » dans les primaires et surtout par la suite ; les « sionistes », qui l’adoubent en toutes circonstances ; et la « diaspora feuj », qui le soutiendra.
Il a perdu, au moins provisoirement, le soutien des banquiers de la « Nébuleuse-Rothschild & Cie », et reste en « examen » chez « Bilderberg-Davos ».
Pour les « frangins trois-points », je ne sais pas encore, mais ils se rallieront « au plus fort » quand ils auront compris ce qui se passe, comme d’habitude.
« La preuve » de ses assertions véridiques époustouflantes tenant dans un document de 23 pages produit par le procureur de New-York (en anglais et que pour les « juristes locaux ») que ce n’est même pas marqué comme ça dans le texte.
C’est là que c’est « magique » !
Le proc’ local, pour parvenir à la condamnation de ce qu’on appellerait un « prévenu » chez nous, il a besoin de convaincre, avec des preuves à l’appui de qualité « pénale », la totalité de 12 jurés.
Pas la moitié plus une voix comme chez nous (ou comme chez eux « au civil »), celle du Président ayant voix prépondérante en cas de partage, non, la totalité !
Leurs « présidents-à-eux », ce ne sont que des « Honneurs » qui ne jugent pas mais prononcent des sanctions éventuelles.
Dès lors qu’il n’est pas certain de parvenir à cette « très haute performance » judiciaire (à laquelle la justice de « Gauloisie juridique » a renoncé depuis la nuit des temps, même quand il s’agissait de trancher un mek en deux), il vaut mieux qu’il renonce : Tout leur système judiciaire est ainsi basé sur l’élection des proc’, des juges, des shérifs et de tout leur monde politique depuis un Maire, jusqu’à leurs grands électeurs (mais pas leur Président), qui ne pensent qu’à leur réélection.
Ce qu’il a fait en toute conscience pour sa propre carrière.
Mais de là à raconter qu’il ne s’est rien passé, tout juste une « faute morale » : Elle est vraiment très forte, comme argutie…
Il est désormais aux yeux de tous judiciairement un « innocent présumé ».
Comme il s’est finalement présenté…
Et chez nous, le doute doit toujours bénéficier à l’accusé.
Par conséquent il ne l’est plus, « accusé », lavé de tout, hors une « petite » (il ne l’a pas dit, mais tout le monde devra le penser fort) erreur dont il affirme qu’il la regrette déjà du fond du cœur,… parce qu’il va la « payer longtemps ».
Pas tant que ça : En juin prochain (ou septembre 2013), il est premier ministre du pays.
Pour les « banalités » du style la « fille de la mère-Bah-non » (dont il ne nous raconte pas que d’avoir sauté la génitrice, ce n’est pas une « faute morale » mais sans doute une « récompense », pour la mère, imagine-je), il nous empoche directement la « prime au menteur » : « C’est de l’imaginaire » !
En oubliant copieusement que sa version des faits, finalement elle varie aussi au fil de ses propres déclarations.
Terribles les conséquences des « amnésies-sélectives » : On l’entre-aperçoit jusque dans le cerveau du « Chi » !
Car, il y a quand même une différence entre « il ne s’est rien passé » et la tentative d’un « baiser volé »…
D’autant mieux que « baiser » a en plus un double sens dans notre langage (voire un triple).
Un beau « demi-mensonge » en somme !
Mais un mensonge de plus quand même.
Naturellement, la « garce hongroise » qui s’est faite tringlée avec délices et répétitions dans les bureaux du FMI, silence total, motus et bouche cousue.
La « romance de la Mama » de la « journaleuse-romancière » ? Aux oubliettes…
La reconnaissance du ventre n’est plus ce qu’elle était, décidément.
Toutes les autres, idem, tellement c’était un grand « honneur » de goûter à ses appétences-sexuelles : Elles en sont d’ailleurs, et encore, reconnaissantes, nous suggère-t-on à peine.
Et un acte de contrition, a minima, pour reconnaître avoir fait du tort à son épouse, sa famille, ses amis et à… La France !
Mais si : Il a « manqué (à) ce rendez-vous » !
Celui-là, pas les suivants, puisque… « on verra ! »
C’est tout vu, oui !
D’abord parce qu’il nous plonge dans la « double-détente » : Entre menteurs, on peut dire que oui, il existait un pacte avec « Titine-Eau-Brie », pacte qui n’existe pas nous affirmait il y a encore peu la « candidate de substitution ».
Et pan ! Une candidate soldée par « pertes & profits » et sans compensation !
Parce que dans la foulée, du coup il se rend « indispensable » par sa « brillante intelligence » et sa sublime analyse de « la crise » à lui tout seul.
(S’il y en avait pas, il aurait fallu en inventer une autre, n’est-ce pas : C’est tellement commode d’oublier qui nous a foutu dedans et comment !)
L’Euro : « Je ne crois pas qu’il soit en difficulté, mais la situation est sérieuse ».
J’aurai pu en dire autant avec le même aplomb, croyez-moi.
Mais venant de lui, radada, affolement sur les marchés à l’ouverture.
Vous avez suivi la manœuvre ?
Non ? Ce n’est pas grave, y’en a qui font des fortunes avec leurs « positions à termes » à votre place.
« Dans vingt-cinq ans, si « nous » ne réagissons pas vite, l’Europe sera une terre de désolation »…
Optimiste le bonhomme. Mais tout autant « génial » comme assertion… que n’importe qui aurait pu avoir proférer avant lui !
Et il aura quel âge dans 25 ans, au fait ?
Pour la « crise grecque », en « spécialiste mondial » de la ruine des autres, il nous préconise aux États et aux banques de prendre leurs pertes et de repartir de l’avant au lieu de « pousser les problèmes devant eux ! »
Rigolo, va : Si « on prend nos pertes », qui qui paye ?
Et avec quoi, quand il s’agit d’un « État » ?
Là encore, vous avez vu la manœuvre ?
Non, ce n’est pas grave : C’est juste un message à l’adresse des « méchants » qui l’ont piégé.
« J’ai compris, on ne m’y reprendra plus : Je fais votre fortune en torpillant l’Euroland » semble-t-il vouloir dire à la « Nébuleuse-Rothschild & Cie ».
« Les gouvernements européens font soit trop peu, soit trop tard et, souvent, et trop peu et trop tard… »
Après l’échec du passage en Pologne du « failliteux-chef américain », il y a de quoi en rire un grand maximum, oui, comme d’une couche de Ripolin vernissé « deux-couches » !
Bref, des propos extraordinaires que Lapalisse soi-même n’aurait pas reniés, mais aux sens cachés cousu de fil rouge.
Et tout ça passe en « prime-time » au JT sans que personne ne bronche.
Pas même un tireur embusqué pour l’arrêter de dire des salades et sauver ce qui reste de son honneur.
Mais fallait ouïr ensuite tous ces « suppôts » réunis en fan-club ou saturant le PAF en « individuel » : C’est lumineux, extraordinaire !
« Il nous montre qu’il n’a rien perdu de sa grande intelligence, qu’il est prêt à aider » le bon peuple avec des recettes miracles : C’est donc l’homme qu’il nous faut, n’est-ce pas !
Lui qui vient de fusilier et « Titine » et l’Euro à bout touchant…
Le seul… que ça va en devenir au fil des mois, une « urgente et unique nécessité », vous verrez.
La deuxième phase de son « retour aux affaires » déjà amorcée !
Parce que, trois, il n’y va pas, naturellement, n’ayant pas un mot de regret (autre que pour lui-même et « ses proches » à lui-même) pour la condition féminine qui doit encore faire face jusqu’à l’aube du IIIème millénaire aux prédateurs-sexuels en tout genre, y compris en costume-cravate, comme dans un cauchemar perpétuellement renouvelé : « Je comprends » !
Qu’est-ce qu’il est intelligent le bonhomme, dites donc : IL COMPREND !
Magnifique.
L’auguste autre, au passage, il n’a rien compris, il a laissé tomber au milieu du gué à la première « grosse difficulté » en 2002.
Lui, sans le dire, il se met déjà et ainsi « en réserve », s’ouvrant tous les possibles quand l’orage aura été oublié.
Ce qui reste incroyable finalement, ce n’est pas le citoyen au-dessus de tout : On y est habitué dans ce foutu pays (que j’aime tant et partage volontiers) depuis « Giskar-A-la-Barre ».
C’est le « foirage total » de la NSA (la CIA ne peut pas intervenir sur le territoire américain), dont il est évident que les travaux sur un « panier de monnaies » de référence autre que le dollar américain, entravent l’hégémonie du dollar, et du coup, menaçaient les « intérêts américains » jusque dans leur sécurité.
C’est forcément l’origine, le « déclencheur » d’un probable « coup monté » (« idée » qui va être relayé en marge de la campagne électorale à venir jusqu’à s’imposer : Les esprits sont quasiment « mûrs » pour l’accepter comme d’une évidence).
Et les équipes de « Bling-bling » de déjà monter au créneau pour éviter le pire : Eux ils savent que notre « Ô combien vénéré Président » en rêvait les yeux grand-ouverts, mais savent aussi que les services de « Gauloisie secrète » n’y sont pour rien.
Et que de toute façon, ils ne comptaient pas faire comme ça, mais utiliser plus sûrement les écoutes téléphoniques sur « Berlu-l’autre-quéquette-sauvage-en-liberté » comme d’un avenir repoussoir…
Et non seulement, la NSA (ces « amateurs ») leur coupe l’herbe sous les pieds, mais n’a même pas broyé le bonhomme, ni même l’idée du panier de devises qui commence désormais à prendre son essor, mais en plus, elle l’anime d’une volonté farouche de revanche, maîtrisée avec le poing fermement fermé, prêt à frapper, qui en dit plus long que n’importe quel discours.
Un effet « feed-back » dont on ne mesure pas encore toute la portée (un peu comme d’avoir financé « Ben Laden » [pas celui des frigos, mais le terroriste mort récemment comme pour mieux fermer la page] contre l’URSS et la « Pachtounie-libérée »)…
« Un piège ? C’est possible » a-t-il répondu.
Mais qui se refermera sur les piégeurs.
« Ils » ont vraiment perdu la main, les « boys » des services secrets (ces « nains »), et c’est sur nous que ça va retomber en pluie fine…
Nous y reviendrons, parce que l’époque est effectivement au « changement d’alliance », depuis les « foirages » répétitifs des « agences » US.
Et dimanche soir, nous avons assisté, béats ou hilares, à la première des étapes « Gauloises », pays toujours à la pointe de tous les « progrès » dans le domaine des innovations politiques !
Pensez : Un coq, droit sur ses ergots, chef du poulailler !
Ça va devenir véritablement « torride » pour toutes les « poulies-fendues » du pays, dans les années qui viennent : Elles vont pouvoir s’éclater le « nerf honteux » en toute liberté de la condition féminine assumée, que j’en bave déjà.
Magnifique « numéros à trois-bandes », n’est-ce pas.
Car, en plus, il y croit !