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D'où Erre-Je ?

  • : L'ignoble infreequentable
  • : La seule question à laquelle personne ne sait répondre reste : la place de l'Etat. Quel est son rôle ultime ? Le reste n'est alors que dérives quotidiennes pour soi-disant, le "bonheur des autres" avec "le pognon des autres". Bonne lecture
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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 05:53

 

 

Encore une vérité qui n'est pas bonne dire !

 

La foi dans le marché a disparu : la crise actuelle, c'est la crise du capitalisme, du libéralisme, et du laissez-faire.

Voilà un fait solidement établi pour la plupart des intellectuels, médias et hommes politiques. On crie haro sur les marchés et les spéculateurs, oubliant un peu vite que la responsabilité de la crise se trouve surtout du côté du politique. Une omission donc ou un acte de mauvaise foi et de propagande, au prétexte duquel on engage des mesures qui vont accroître encore le pouvoir du politique - qui n'avait pas miraculeusement disparu, loin de là.

 

L'ancien Premier Ministre Michel Rocard, interviewé par « Le Temps » en Suisse, déclarait sereinement qu'il était dommage que l'économiste Milton Friedman, Prix Nobel 1976, soit déjà mort car on aurait pu le traîner devant la Cour Pénale Internationale pour crime contre l'humanité (c'est-à-dire pour avoir défendu le libéralisme).

Pardonnons à M. Rocard cet acte de bravoure intellectuelle (son « accusé » aura du mal à lui répondre), mais rappelons-lui que Friedman est le père de la règle monétaire du « k % », dont le respect aurait permis d'éviter cette crise, justement...

 

Le Président Nicolas Sarkozy a de son côté prôné un « retour du politique » car « l'idéologie de la dictature des marchés et de l'impuissance publique est morte ».

Le grand démocrate Hugo Chavez n'a d'ailleurs pas tardé à féliciter le « camarade Sarkozy ». C'est un signe. Dans son précédent grand discours il y a un mois le Président « qui voulait dire la vérité au français jusqu'au bout » ne leur avait dit en fait qu'à moitié. En cachant les responsabilités publiques dans cette crise, le Président a engagé notre pays dans une voie périlleuse. Le Président, qu'on disait libéral il y a encore quelques mois, aurait changé de foi, pragmatisme oblige.

Un argument de poids pour clouer le bec de tous ceux qui nous bassinent avec la prétendue "marche vers l'ultra libéralisme" du monde :

Alors pour couper court à toute discussion pour savoir si on a connu ces dernières années, ces dernières décennies, ou ce dernier siècle, un mouvement vers plus ou moins de libéralisme, il suffit de regarder une seule chose : la courbe de l'évolution du poids de l'Etat dans l'économie.

 

 

En un siècle le poids de l'Etat dans l'économie américaine à plus que triplé (voilà pour le « mythe de l'ultra libéralisme » américain).

Dans le même temps, le poids de l'Etat dans l'économie de la France à presque sextuplé...

Et si pour certains pays on a connu une stabilisation voir une très légère décrue sur les 30 dernières années (résultat du soi disant « libéralisme sauvage » des Reagan et autres Thatcher), pour la France, la croissance du poids de l'état dans l'économie est ininterrompue sur 100 ans, et très supérieure à tous les autres depuis les années 70, fait quasi-unique.

Alors parler de grande marche vers l'ultra libéralisme comme on entend si souvent...

Comment peut on expliquer que la privatisation, la dérégulation, le soi disant recul de l'Etat, la victoire des « neo/ultra libéraux » n'ait accouché d'aucune diminution sensible des dépenses publiques, et plus généralement à une contraction du marché libre au profit de la dépense publique ? En dépit de la vague de libéralisations et de privatisations des années 90, la place de l'Etat interventionniste a même atteint des niveaux record.

L'idée à la mode voulant le « retour du politique » pourrait nous induire en erreur en nous faisant croire qu'il n'y a plus de « politique ».

Pourtant, la réalité est toute autre : en France les dépenses de l'Etat ont crû régulièrement jusqu'à 54% des ressources nationales l'année dernière. Le code du droit du travail français a doublé de volume en 20 ans : l'activité réglementaire s'intensifie elle aussi, et ce bien souvent sous l'impulsion de Bruxelles.

 

Les effets d'un interventionnisme trop élevé se font sentir du côté des citoyens comme du côté de l'administration. Pour les premiers, on constate une dépendance d'une frange de plus en plus grande de la population aux mécanismes de redistribution (les politiques d'assistanat et les « désincitations » à travailler qu'elles génèrent) [1], un exil fiscal de la part d'individus dynamiques du fait de taux de prélèvements obligatoires très élevés, et un découragement de la création d'entreprises.

Pour la deuxième, l'évolution de la bureaucratie ne se fait pas dans le sens de la rationalité et de l'efficience, et de l'intérêt public, impliquant un détournement et un gaspillage de ressources, ressources qui ne sont donc plus affectées de manière productive dans d'autres activités.

 

Face à ce qui ressemble fortement à de la mauvaise foi de propagande il est urgent que les gens s'informent sur l'origine véritable de cette crise. Bien sûr les acteurs de la finance ont agi de manière irresponsable. Personne ne le conteste. Les risques ont été éludés. La question est de savoir, d'où vient la source de cette irresponsabilité ? On trouve au moins deux réponses ici :

  • - Politique monétaire américaine d'argent gratuit (avec des taux d'intérêt réels négatifs) entre 2002 et 2005;
  • - Politique sociale américaine consistant à permettre à des ménages modestes d'avoir accès à la propriété en forçant les banques à accepter des dossiers de crédit tangents par le biais du «Community Reinvestment Act».

 

La crise actuelle trouve donc son origine avant tout dans le dopage de l'économie par « le politique », dopage qui repose sur des « faux droits » (droit à l'argent gratuit, droit au crédit) qui ne peuvent mener qu'au désordre social, comme l'expliquait fort bien, en son temps, l'économiste Jacques Rueff.

 

Et tout le monde d'avoir déjà oublié.

 

VCRM

 

Note de I² [1] : Quand tous les peuples de la Terre auront pigé que le Travail, c'est une maladie, sauront-ils dignes d'être « Corsu » ?

Vraiment, est-ce l'effet de la colonisation rampante des « Corsi » de leur colonisateur « Gaulois »?

Je dékonne, naturellement !


Vos commentaires => http://infreequentable.over-blog.com/article-24674674.html
Merci.

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commentaires

M
L'abandon d'une foi, quelle qu'elle soit, conduit peut-être à une libération (Platon le prétendait déjà dans son mythe de la caverne), mais entretemps, il conduit presque certainement à une dépression. Celui qui abandonne sa foi est en danger psychologique. Il n'a plus de "propriétaire" à qui payer son loyer. Je connais plusieurs personnes qui sont tout à fait équilibrées et qui n'ont vraiment trouvé de repos psychologique qu'à partir du moment où elles ont trouvé leur "propriétaire" (foi religieuse, engagement militant politique quasi-religieux, engagement militant ONG...). Toutes exprimaient un sentiment de vide qui a été comblé par leur conversion. Loin de mépriser leur expérience, je crois que ce phénomène est au contraire très humain. Je crois que c'est lié à la nature sociale de l'homme. Il m'arrive parfois d'envier leur sérénité, moi qui suis un agnostique indécrottable.Le libre-échangisme est une drogue dure comme les autres!Notre monde est en grand bouleversement comme chacun peut le constater, en grande partie à cause de l'explosion des moyens de communication et des moyens d'échange en général. Tous les systèmes collectifs sont ébranlés par cette mise en friction accélérée. Les (néo)libéraux veulent encore accélérer la manoeuvre sous des prétextes économiques. Le déboussolement est tel qu'on arrive à vendre du sable dans le désert (j'ai entendu ce matin qu'un plan 1 milliard destiné à l'Afrique serait employé à placer des engrais, alors que le besoin numéro un, et de loin, est la gestion de l'eau). Dans ce contexte, les personnalités agressives prennent le dessus. Je l'ai constaté dans les entreprises où j'ai travaillé et j'ai conforté mon observation par quelques lectures (Christophe Dejours par exemple). Une part de la réussite de NS me semble être liée à son agressivité et son bougisme. Les déclinistes sont écoutés et dégagent l'accès au pouvoir aux excités sur des observations et des diagnostiques souvent faux.J'ai même entendu Ségololo affirmer que la social-démocratie était morte, et ce message serait porteur au PS. Faut le faire! Sans doute notre social-démocratie n'a-telle jamais encore existé et notre gauche est-elle passée directement de la lutte des classes à l'adoubement des classes dominantes à l'image infatuée de BDelanuée (L'Ami à l'OMC, Déesse Khâ au FMI)? Les plaintes réitérées ici envers la nullité de nos élites et qui proposent une thérapie néolibérale (libre-échangiste) oublient que c'est essentiellement une divergence d'intérêt entre les 1% dominants et le reste de la population qui est à l'origine du divorce: appliquer un néolibéralisme dans cette situation ne fera qu'accentuer cette réalité. Aucune frontière ne retiendra ces évadés qui dérivent dans un autre monde, optimisant leur situation économique quoiqu'il arrive.
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I
Ouh là ! Quelle volée de bois vert quand VCRM sort des sentiers battus de la "pensée unique" (keynésienne, cela va sans dire) !Curieux, finalement.... en ce jour ouvrable mais non-ouvré !Car en effet, tout n'est pas faux dans vos commentaires amis Inco et Aetius !Faisons donc le point : Dogmatiquement, l'économie modiale idéalisée reste le principe du "A chacun selon ses besoins" !Nous l'avons tous rêvé et nous agissons presque tous afin d'y arriver.En commençant presque tous par soi, naturellement (selon le principe "Charité bien ordonnée commence par soi").Principe de base et concmlusion logique : augmentons la production et la productivité. Y'en aura plus pour tout le monde.Par malchance, ça coûte assez cher.Et puis nos "besoins persos" sont toujours croissants.Disons qu'ils doublent tous les dix ans (j'en fais l'expérience en cours de rémunération globale pour exposer la théorie des besoins avant d'aller formuler celle des "satisfassiers").Tout en remarquant que nous vivons dans un système du "A chacun selon ses moyens" (travail, talent et chance nous disait Voltaire, l'homme le plus riche de la terre de son époque à son époque, hors les rois et empereurs... quoique...)Sauf en "Gauloisie extraordinaire" quand il s'agit de soins médicaux (quoique... là aussi !).Le communisme, c'est rationner la satisfaction des besoins. C'est le Plan.Ca eut péter.Et pourtant, la phase supérieur du communisme, ça reste "A chacun selon ses besoins".Là, je suis "total coco" !Et le resterai un long moment.Ce qu'on cherche, c'est donc le moyen d'y parvenir.Keynésiens d'un côté et c'est le retour du Plan.Eécolo en plus et c'est le retrour de Malthus."Libéraux" de l'autre et ce sont des taux de croissance à deux chiffres, une planète poubelle et d'immense désordres systémiques ?Quels choix les amis ?Quel choix les amis !Le vote blanc d'Hervé ?
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H
<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Autres hypothèses sur l’origine de la crise :<br /> D’abord un fait avéré, depuis 20 ans les salaires américains inférieurs au salaire médian n’ont pas augmenté en $ constant. Cela signifie que tous les bénéfices  de la croissance depuis 20 ans n’ont bénéficié qu’à la moitié de la population. La moitié la plus pauvre a donc été poussée à l’endettement par une mauvaise répartition des fruits de la croissance, d’où les subprimes…<br /> Deuxième cause, le délitement des valeurs. Les valeurs basiques qui ont permis à nos sociétés de se construire, de se développer  d’assurer leur cohésion s’étiolent. Je n’accuse personne, je fais juste un constat. Il en résulte des dysfonctionnements générateurs de coûts à tous les étages de la société. Les dégradations des biens publics, le plus de flics, de juges, la corruption, les parachutes dorés injustifiés. Ces coûts nouveaux, cette perte d’auto-régulation  nous ont conduit vers une crise.<br /> Je comprends mieux l’expression « il faudrait une bonne guerre pour résoudre la crise », ce ne sont pas les dégâts matériels qui résolvent la crise mais le fait qu’après la guerre, le moral et les valeurs réinvestissent les esprits.
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A
Hervé vote blanc.
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H
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