Petite vidéo envoyée par « Joël »,
Que je remercie et que nous saluons ici au passage…
« La-roue-tout-roue », j’exècre. C’est lui qui devenu associé de chez un « Fat-four » a fait la fortune des « Chicago-boy » à l’époque où je « vendais » déjà en solo des périphériques de rémunération exonérés de tout pour tenter de sauver des entreprises parfois en très grandes difficultés.
Mon message était simple : En se retroussant les manches, on pouvait sauver des emplois dans MON pays.
Et redonner « du pognon » aux « laborieux » qui en transpiraient tous les jours…
D’autant plus facilement quand on sait « mesurer » les gains de performance avec de l’argent sonnant et trébuchant et que le tout est exonéré de charges sociales, voire d’impôt (dans quelques cas).
Bref, du « gagnant-gagnant »
Et voilà le « jeune-kon » qui réussit à convaincre le maire d’Amiens, à l’époque ministre de je ne sais plus quoi, de faire de la RTT « volontaire », offensive ou défensive, sous l’ère « Jupette », puis « Titine-Eau-brie » sur l’air de « je t’oblige » à réduire…
À réduire quoi ?
La SEULE richesse du « prolo » – des fois qu’il s’enrichisse trop vite ou trop fort – à savoir sa « force de travail ».
Social-traite, oui !
Vous connaissez la suite : Dans la spirale malthusienne du « toujours moins », c’est lui qui a gagné et on s’est tous retrouvé tout nu quand il a fallu encaisser les déferlantes américaines de la crise financière qui nous met à genou.
Et fait gagner des fortunes à ses patrons américains en vendant du « savoir-dire ».
Lui, depuis, il a pris une carte au PS et est devenu « élu européen écolo ».
Tant mieux : Il reste un bon « marketeur ».
Parce qu’il poursuit à « conférer » :
Si je vous mets le lien en ligne pour votre prochain week-end pluvieux (et devenu tellement ennuyeux sans élection à se mettre en transe), c’est parce que je suis totalement d’accord sur son diagnostic (les 90 premières minutes).
Il est même bien plus précis que je ne peux le faire.
Même si je ne suis absolument pas d’accord sur le pronostic qui consiste à ne proposer qu’une seule alternative, à savoir « partager la pénurie » par une reconstruction du « pacte social ».
Je pense qu’il a « tout-faux » sur ce plan-là, même s’il est évident qu’il faille tôt ou tard construire ce pacte-social … à l’échelle mondiale, bien sûr.
Ce qui n’a rien d’évident, même sur le papier.
En revanche, la perspective d’une « croissance-molle », l’idée que même la « croissance-forte » ne résoudra pas nos problèmes, là, ça c’est « divin » : Il a hélas raison, me semble-t-il.
Je vous laisse y réfléchir de votre côté.
J’en fais autant du mien…
Et on en reparle plus tard.
Bon week-end à toutes et tous !
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