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La seule question à laquelle personne ne sait répondre reste : la place de l'Etat. Quel est son rôle ultime ? Le reste n'est alors que dérives quotidiennes pour soi-disant, le "bonheur des autres" avec "le pognon des autres". Bonne lecture

Le retour des « déclinistes » ? (V)

Il va falloir faire avec…

 

On reprend : J’ai encore des choses à dire sur le sujet et les « vacances approchent » avec son lot d’urgences à régler…

Dernier « billet » sur le sujet, ici-même !

Et il y a une suite logique … à suivre !

 

Parce qu’il faut faire un effort d’imagination et repenser nos modes de production, nos organisations productives.

 

II.B – Le futur du « marché du travail ».

 

Au lieu de s’émerveiller comme avait pu le faire à une époque où elle était « sous-ministre », miss « Ségololo » devant les « gisements d’emploi » des métiers à la personne, ou comme le font les béats-écologistes devant les promesses de l’éolien ou du solaire (avant de finir de saccager la planète en pillant ses terres-rares), on pourrait déjà imaginer demain.

 

Et demain passera par « une guerre des prix ». Enfin, on y est déjà depuis deux décennies, faut-il reconnaître.

« Faire plus, faire mieux avec moins », c’est exactement, et ça l’a toujours été, le moteur du progrès économique (et technique).

Parce qu’on peut être « discounteur » et « spécialiste », « discounteur » et « généralistes », « discounteur » et « urgentiste », « discounteurs » et « à proximité » : Il suffit de le penser pour le réaliser.

Ce n’est pas toujours simple, mais ce sont les seuls deux axes du futur.

Et ça s’applique aussi bien aux « vendeurs debout » qu’aux « vendeurs assis ».

Il n’y aurait plus 10 segments dans l’avenir, mais seulement 8 à gérer.

 

Et encore, si tout le monde devient « discounteur » et qu’il faudra quand même deux points de positionnement marketing et on réduira le problème de « 30 axes autonomes » à seulement 20 positionnements : Chaude concurrence à venir…

Mais quitte à scinder le marketing d’un même produit ou service en 20 circuits de « production-distribution » différents.

C’est d’ailleurs ce qui se passe là, sous votre nez, sans que vous ne vous en rendiez compte, notamment avec des « pros » de la distribution que sont « Les mousquetaires » ou ceux de la famille Mulliez qui en font un maximum sans le dire : Un véritable empire sous-terrain (même pas côté en bourse, mais qui distribue des primes de 2 à 4 mois de salaires à leurs employés en plus tous les ans, quand les résultats sont là ! Parce qu’en « Gauloisie mercantile », on parvient encore à rester dynamique…).

Exactement l’inverse de France-télécom regroupant toutes ses activités sous le même label « Orange », ou comme Carrefour… qui ne sont pourtant pas des nains, mais qui déclinent l’enseigne à toutes les sauces du plus grand au plus petit à l’image de Casino ou Système U (eux, pour des raisons historiques).

 

Notez que les deux premiers sont dirigés par des « anonymes » qui n’ont pas d’ego surdimensionné, et pour qui seul « le métier compte », alors que pour les deux autres, ce sont toujours des « technocrates », plus ou moins talentueux, qui sont là pour faire valoir « leurs immenses talents » … de bâtisseur !

Saisissez-vous les « nuances », jusque-là ?

 

Discounteur, ça ne s’improvise pas : Il faut savoir acheter, il faut savoir gérer les processus de production à la pointe du progrès technologique accessible, il faut savoir « motiver » les ventes et les salariés.

Toute chose que ne saura jamais faire le secteur public et parapublic.

Eux, ils fonctionnent « à l’ancienne » et l’ancienneté, système défendu becs et ongles par un syndicalisme arc-bouté sur ses « avantages-acquis ».

Dans une logique de marché, ils sont morts.

Dans une logique du « tout-État » ils sont tellement coûteux qu’ils tuent tout le monde autour d’eux : C’est le « toujours plus » de moyens humains-subventionnés par l’impôt ou la cotisation.

Jusqu’à épuisement du système qui partage la pénurie qu’il a lui-même engendré !

Fabuleux aveuglement.

 

C’est aussi pourquoi je dis toujours et continue d’annoncer que si on ne fait rien, on finira par un immense « marché » de proximité, plus ou moins bien encadré par la puissance publique qui se mêlera de tout et de rien, avec quelques perles qui resteront dans le domaine privé et quelques exceptions qui sont partout et nulle part à vivre sans frontière et un esprit « patriotique » atrophié et de façade.

Car il est absurde de dire que les entreprises du CAC 40 ne payent pas assez « d’impôt à la patrie » : Elles en payent partout ailleurs parce que justement elles sont devenues « internationales » !

Conventions fiscales obligent (quand ce ne sera pas demain les règlements européens qui « partagent », territorialement déjà la TVA…)

 

Ce qu’il faudrait faire pour éviter le massacre prévisible, qui consiste à faire « évaporer » la création de valeur-ajoutée hors de nos frontières passent d’abord par une fiscalité adaptée.

Je l’ai déjà proposé avec la « CSPM », à savoir que quand un produit entre sur le territoire, parce qu’il n’y ait pas produit directement, il est taxé aux cotisations sociales (pour éviter l’écueil du « droits de douane ») : Ce n’est pas interdit, donc c’est permis.

Première conséquence, ça rend le produit exotique plus cher, ce qui permet d’augmenter les marges du produit pro-domo et obère le pouvoir d’achat du local.

Mais du coup, ça ouvre des perspectives nouvelles aux productions locales, qui fileront du boulot et de la cotisation au « monde-social » et finalement plus de pouvoir d’achat à ceux qui restent.

In fine, des prix meilleurs marchés, plus accessibles en valeur relative pour un plus grand nombre.

Parce que plus de cotisation sociale (non plus sur les revenus des « laborieux », mais sur le produit « importé » seulement, et seulement lui, pas comme pour la « TVA-Sociale » qui ne distingue rien et assimile tout) et moins de subvention (sociales dans les deux cas), tout cela est recyclé dans l’économie active au profit d’un plus grand nombre.

 

Mais là encore, je suis en avance sur mon époque et bien le seul à plaider pour la « CSPM » dans mon grand désert du « bon sens », j’en conviens.

Mais on y viendra sans doute sous d’autres vocables et des « techniques similaires ».

 

Ces mutations doivent s’accompagner d’un allégement du droit du travail, incapable de s’ajuster actuellement aux contraintes de souplesse exigée par une économie moderne et dynamique.

Et pourtant, les nouvelles formes de télétravail lui en font voir de toutes les couleurs.

Et de fait, les seules variables d’ajustement sont dramatiques autant pour les entreprises (qui perdent des compétences) que pour les salariés qui y perdent leurs ressources durables, à savoir les contrats atypiques (CDD et intérim).

Ce qui est curieux, parce que l’intermittence et la saisonnalité de grand nombre d’activités, qui touche au bas mot 10 % sinon beaucoup plus de « salariés », ne posent que peu de problème.

La « droâte » version « Chi » a même inventé les groupements d’employeurs, la mutualisation des contrats de travail pour accompagner les problèmes éventuels, au plus grand profit de ces minorités grandissantes.

 

C’est là où je pense qu’il faut être radical et abroger le CDI, qui en devient « amoral » à force de la démonstration permanente de sa « non-pertinence ».

Comme je ne suis pas un cinglé, je pense qu’il faut en passer par une absorption totale du Code du travail par le Code de la fonction publique et laisser le tout exploser en plein vol pour imposer ensuite le CDD à tous : Au moins il est bien plus protecteur que tous les CDI de la planète pour les salariés.

Et en plus, il donne de la visibilité à tout le monde…

 

Bien sûr, il ne faudrait pas abandonner sur le bord de la route les « victimes structurelles » interchangeables de cette « révolution » et bâtir une véritable agence pour l’emploi qui propose et centralise les besoins des employeurs.

Et ne se contente pas de suivre les chômeurs de loin en s’en déchargeant sur des pseudo-agences de réinsertion.

Qui reçoivent 700 euros par trimestre pour recevoir 3 fois un inscrit à la recherche d’emploi et lui trouver un stage de formation bidon… du moment qu’on sort le postulant des statistiques, c’est bon à prendre, même si ça l’éloigne encore plus des opportunités à sa portée !

Jeter l’argent des cotisations par les fenêtres, ça aurait le même effet.

 

Bien sûr, il faut sécuriser le parcours du l’auto-entrepreneur. Nous en sommes tous sans le savoir : Chaque salarié crée déjà par son activité une valeur ajoutée (enfin il faut l’espérer) qui commence par payer son salaire avec le business fait sur le client d’autrui. Là, il faut affirmer haut et fort que le « service rendu » par chaque « laborieux » n’est pas « fongible » : Dans le cadre d’un fordisme du partage des tâches, de la segmentation des compétences, même si le labeur s’intègre dans chaque produit et service vendu, il est unique !

On aura beau inter-changer les bonshommes, chacun a pourtant sa spécificité unique.

C’est si simple à comprendre que tout le monde l’oublie à volonté, postulant même être « propriétaire de son poste », ce que nous affirmions la dernière fois !

J’en veux pour preuve que c’est comme ça que ça se passe devant les conseils de Prud’hommes : On n’entend que ça cherchant ici « la faute de l’autre » comme dans un divorce … « à l’ancienne » !

Flûte : On est dans le XXIème siècle depuis 12 ans, au IIIème millénaire, pas au moyen-âge ni dans l’antiquité !

 

C’est dire que pour changer les mentalités, il faut un vaste coup de pied aux kuls qui se présentent.

En bref, redonner du boulot en rapatriant des outils et du savoir-faire, redonnant plus de manœuvrabilité sur un marché ouvert à l’offre discountée (nous y reviendrons) locale, plus de pouvoir d’achat pour absorber les « surcoûts » d’une fiscalité à revoir, une assiette plus large de cotisation sociale pour une population moins nombreuse « en souffrance », « bouffant » moins d’aide sociale.

 

C’est soit ça, soit le partage de la pénurie.

Et il me semble qu’avec notre vote du 6 mai dernier et celui du 17 juin, le pays a choisi des élites qui ne vous proposent que la seconde option au menu !

C’est dire si j’enrage d’avoir la « droâte la plus kon du monde » de n’avoir pas su construire autre-chose que « Bling-bling » comme patron …

 

Une horreur historique !

Je me console en me disant qu’on n’a que ce qu’on mérite, finalement.

« À toi de faire mieux » me disait « mon Papa » (celui qui recommence à me faire chialer quand je l’évoque).

Je veux, oui !

 

Et comment réalise-t-on tout ça, si un jour on s’y décide ?

Eh bien justement comme annoncé, non seulement en tournant le dos aux « déclinistes », mais en donnant des règles claires, simples, faciles à appliquer et à contrôler pour et par tout le monde : Fi de ces monstruosités juridiques et fiscales qu’on entasse en dizaines de millions de mots inutiles !

Mais nous verrons ça une fois prochaine, si vous le voulez bien.

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I
<br /> @ Triangle : Je vois que tu connais !<br /> <br /> <br /> Moi aussi... un peu mais de l'autre côté du bureau des accords.<br /> <br /> <br /> Note que Codec et Euromarché ont disparu parce que justement, ils étaient 30 à discutailler de la ristourne.<br /> <br /> <br /> Avec en prime chez Codec, tout un "étage-informatique" à Longjumeau, là où Windows éjectait déjà UNIX !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Tu ne cite pas la centrale ITM : Là, ce sont comme chez Leclerc des "mousquetaires" propriétaire de 1, 2 ou 3 magasins qui animent les achats.<br /> <br /> <br /> Au Galec, j'étais avec Abissarah chez Scapsud, j'ai fréquenté ceux de Scapnord et de Scapnormandie. Celui qui réfléchissait le plus vite, c'est encore le patron de Scapsud.<br /> <br /> <br /> Les "boeufs", sont en Normandie... que je garde comme clients, même s'ils sont longs à la détente.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Tu ne dis rien non plus de la SAPAC, de Francap, de la centrale Monoprix et de Casino. En revanche je ne connais pas ceux d'Auchan, ni les hard-discouteurs (Aldi, Lidl), mais leur image a<br /> été abîmée par Baud (et Franprix) et ses produits Leader-price : de la merde en boîte ou en sachet, au moins au début, du temps du magasin de la Place de la République.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Note aussi que Carrefour sait faire du hard-discount quand il veut avec les enseignes ED : Une sacrée avance dans le process ! 30 ans qu'ils sont dans Paris intra-muros avant de décliner en<br /> banlieue puis en province.<br /> <br /> <br /> Et ça gagne de l'argent, en plus !<br /> <br /> <br /> Pas beaucoup, mais quand même.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Ca c'est pour l'alimentaire, mais quand Free t'invente le triple-pay dans la téléphonie à prix (pas si rabotté que ça), tous les autres crient au scnadale et à la destruction d'emploi : Ils sont<br /> morts et ils ne le savent pas encore !<br /> <br /> <br /> Parce que Free détruit peut-être là, mais c'est pour redonner du pouvoir d'achat qui sauvegarde de l'emploi ailleurs, il ne faut jamais l'oublier.<br /> <br /> <br /> Même Schumpeter a déjà théorisé leur problème à un autre millénaire dépassé !!!<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Quand Swacht t'invente la bagnole à 5.000 balles, il se fait fissa bouffer par Mercedès qui n'a peu de rien et te nous fait la classe A sur les plans de la swacht-mobile, trop la peur de se voir<br /> déborder.<br /> <br /> <br /> Ce qui n'empêche pass renault de faire dans la Dacia : Mais on y viendra un peu plus tard (post déprogrammé pour jeudi et non pas demain).<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je suis comme toi : Je crois à un Etat, une puissance publique qui se borne à organiser et contrôler les éventuels débordements, assez fort pour faire la police chez nous, mais pas à un Etat qui<br /> di quel est le prix du gaz ou de l'heure ouvrée.<br /> <br /> <br /> Il ne faut pas dékonner : Il est incompétent et tue lui-même ce pour quoi il a été créé par des "hommes de bonne volonté".<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> On était à l'heure des choix. Les choix ont été faits.<br /> <br /> <br /> Il nous reste à pleurer de les avoir faits.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Mais au juste, avions-nous vraiment un choix clair dans l'ignorence crasse du domaine économique et social dont ils ont causé sans rien y comprendre eux-mêmes ?<br />
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I
<br /> Oui ma Comtesse préférée : Je l'avais déjà vue !<br /> <br /> <br /> Mais elle est postérieure à ce blog et à ce que j'y dit.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Le problème de ce "financier-là", c'est qu'il scie la branche sur laquelle il est assis en voyant l'avenir du contrat de travail comme autant de "journaliers" de la IIIème République, du temps<br /> des "bourses du travail" ou comme ça se pratique encore à la marge chez les gruttiers du port de Marseille.<br /> <br /> <br /> Il aurait raison si on ne prend pas les devants.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> C'est une des raisons qui font qu'il est vraiment impérieux de réformer l'ensemble, d'une part en faisant sauter le verrou de la fonction publique, pris comme d'un idéal à décliner partout<br /> depuis le CNR (même si le statut existait avant notamment pour les magistrat et les hauts-fonctionnaires qu'on voulait indépendant des "forces de l'argent" pour garantir une égalité de traitement<br /> de chacun à face à la force de la loi...) : Il suffit de voir l'ancien statut des ouvrier de la "régie Renault", celui des agents EDF, de la SNCF, de la RATP, etc, etc.<br /> <br /> <br /> Et d'autre part de "protéger" le quidam derrière une durée déterminée qui lui donne de la prévisibilité, indispensable quand on veut emprunter ou simplement vivre décemment !<br /> <br /> <br /> Je ne développe pas ici, mais il faut une véritable agence de l'emploi, qui garantisse des revenus a minima aux "fins de CDD".<br /> <br /> <br /> Quitte à ce que ça ait un coût : Le régime de l'intermittence du spectacle (mais on peut aussi citer le régime des journalistes-pigistes, l'un est coûteux, l'autre très peu) n'est pas non plus la<br /> panacée pour un salarié : Inconfort qu'il engendre n'est aujourd'hui assimilable que pour une grosse minorité.<br /> <br /> <br /> Mais entre les intérims et les remplacements, les à-coups d'activité, ils sont de plus en plus nombreux à vivre, parfois pas trop mal, dans la précarité : Ca se gère !<br /> <br /> <br /> Je connais même une directrice de crèche que j'aimerai bien embaucher en CDI pour une de mes structures, mais qui refuse de faire autre chose que de l'intérim de remplacement !<br /> <br /> <br /> C'est dire si elle doit y trouver son compte.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Bref, un monde à l'envers de ce qui se discute du côté de la place d'Iéna au sommet social actuel.<br /> <br /> <br /> Et le pire, c'est que c'est "l'ancien monde" qui défend son pré-carré face au "nouveau-monde" qui monte en puissance !<br /> <br /> <br /> A l'envers vous dis-je : Et si on ne devance pas, on sera une fois de plus en retard !<br />
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T
<br /> Hé hé,<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je jubile à la lecture de l'article : j'ai eu comme client plusieurs centrales d'achats nationales et ce qui m'a toujours fait bizarre c'est de voir que chez ALDI France ou Allemagne c'était<br /> quatre personnes qui géraient mon gros dossier alors qu'en même temps chez Carrefour c'était une trentaine de personnes.<br /> <br /> <br /> Chez les dicounters (les vrais) les locaux tiennent plus de l'entrepôt de banlieue que du méga siège social aux portes chics de Paris.<br /> <br /> <br /> Leclerc c'est entre les deux avec une grosse différence en leur faveur, ici pas de technocrates, mais au GALEC des PDG chefs d'entreprises souvent ancien petits commerçants durs en affaires mais<br /> avec la classe.<br /> <br /> <br /> Quand on voit la moue de certains quand on parle du hard discount, il faudrait qu'ils se renseignent un peu...les normes sanitaires sont draconniennes et tous les frais de contrôle à la charge du<br /> fournisseur et des produits certes sans marques mais soumis à des cahiers des charges rigoureux tant au niveau produit que logistique.<br /> <br /> <br /> Par contre quand un contrat est signé, ces enseignes honorent les quantités prévisonnelles, ce qui n'est pas le cas de beaucoup de distributeurs "classiques".<br /> <br /> <br /> Un grand point de désaccord avec la vison socialiste du travail est l'interdiction de licencier car amha elle sclérose l'économie. <br /> <br /> <br /> Dans ma vision de français ayant travaillé à l'étranger il se passe un phénomène curieux pour nos technocrates quand le cdi peut être rompu selon un délai conventionnel : pour garder les<br /> meilleurs les entreprises doivent enchérir en salaire pour conserver leurs locomotives. Les moins performants vivotant jusqu'à partir tenter leur chance ailleurs ou dans un domaine qui leur<br /> convient mieux.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Certes vous l'aurez deviné, je suis économiquement un libéral qui ne confie à l'état que le rôle de garde fou pour éviter les distortions de concurrence.<br /> <br /> <br /> Le meilleur exemple d'inefficacité est de voir qu'il est toujours impossible d'acheter un PC sans windows sauf à recourir aux tribunaux qui statuent systématiquement en faveur du consommateur. La<br /> justice qui se dit débordée aurait certainement mieux à faire que d'appliquer le droit au coup par coup alors qu'il serait si simple d'informer le consommateur du prix du PC, des logiciels inclus<br /> (licences) et de ne lui facturer que ce qu'il utilisera.<br /> <br /> <br /> J'ai à l'époque sollicité Nelly KROES, commissaire européen chargée du numérique, qui m'a dit que Microsoft était condamné...<br /> <br /> <br /> Certes, mais ils ont pas encore payé un centime et l'optionalité se fait encore devant les tribunaux.<br /> <br /> <br /> Je l'avais taquiné en lui proposant une solution technique tellement simple, que tout obstruction en devenait soupçon de pots-de-vin de Microsoft qui en plus fait un splendide chantage à<br /> l'emploi...<br /> <br /> <br /> En fait il faut un président qui en a...<br />
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C
<br /> Si l’on croit Nicolas DOISY «« chief economist » dans la filiale du Crédit agricole consacrée aux finances et aux investissements, la fin du CDI est programmée.<br /> <br /> <br /> Vous connaissez ce vidéo reportage ? : http://www.youtube.com/watch?v=3IixxUPBTW8<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Le normal Président n’a pas fini de tourner comme une toupie…<br />
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