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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
17 octobre 2008 5 17 /10 /octobre /2008 08:27

Moi, j'aime bien.

 

Si vous avez 45 minutes de disponible, cliquez donc sur ce lien :

 

http://www.dailymotion.com/video/xryjf_le-jeu-de-largent-archives-oubliees_business

 

Un vidéo qui date un peu, mais pas inintéressante.

 

« Théorie du complot » ? Même pas à mon sens.

Juste « les affaires », les « transnationales », naturellement.

 

Au cas où vous n'auriez pas fait de rapprochement avec la « Gauloisie supérieure », vous pourriez relire ce « post » : http://infreequentable.over-blog.com/article-23104726.html

 

Et le précédent, bien entendu : http://infreequentable.over-blog.com/article-23059260.html

 

Mes « messages personnels » à « ma petite sœur ».

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

 

PS : Merci à Aetius.

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30 septembre 2008 2 30 /09 /septembre /2008 04:19

Avertissement important : Doit-on vous rappeler que toute ressemblance avec des personnages existants, ayant existé ou à exister n'est que pure coïncidence.

Tout rapprochement avec des lieux, des dates, des faits réels ou supposés ne peut être que l'œuvre de personnages qui chercheraient à nuire à l'auteur de ce délire : Ils seront seuls à en être responsables devant la justice de leur pays !

 

Retour en arrière.

 

Pour bien comprendre le « post » d'hier, il faut revenir en arrière. Très en arrière. Il faut emprunter une longue digression au cours de laquelle se présentent les protagonistes qui trouvent aujourd'hui leur revanche.

 

On se rappelle que durant la dernière mondiale, le chef politique de la Gaule résistante réfugié à Londres a eu beaucoup de mal à s'imposer en tant que représentant du pays.

Statut ambigu d'un Général condamné à mort par ses compatriotes, qui eux-mêmes ont signé une longue trêve sans condition avec l'envahisseur, il a toujours été écarté des décisions politiques importantes (Yalta par exemple), effacé par les autorités « légitimes » en Afrique du Nord, averti de l'opération « Overlod » après qu'elles aient eu débuté.

Les troupe de la 2ème DB n'ont d'ailleurs été débarqué que bien plus tard et c'est encore beaucoup plus tard que le rôle de la résistance a pu être reconnu du « bout des lèvres » sur le plan militaire, contraint et presque forcé.

Même à l'occasion du la capitulation sans condition, il a fallu tout le génie tactique du « Général » pour qu'un de ses représentants soit co-signataire, d'abord le 7 en territoire « gaulois », le 8 dans la capitale allemande (qui était déjà le 9 mai à Moscou, tellement il a fallu du temps en soirée pour accrocher un drapeau tricolore dans la salle).

Les colères homériques avec Churchill sont restées dans leur mémoires de guerre réciproque, quant aux américains, ils ne l'ont jamais entendu comme un interlocuteur politique valable, préférant administrer eux-mêmes les « territoires libérés ».

« L'occupant » anglo-saxon s'est montré résigné après avoir mis en place une République parlementaire qui fit long feu, mais devenu incapable de « gérer » les crises successives du Canal de Suez et pire encore, la guerre en Cochinchine.

Le « retour aux affaires » du Général en 1958 n'étaient pourtant pas pour leur déplaire (un militaire, pensez donc !), bien qu'ils le sachent déjà ingérable, voire rétif à leur impérialisme naissant.

 

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les services secrets des USA s'appuient sur le parrain italo-US « Lucky Luciano » pour contrôler la sécurité des ports américains et pour préparer le débarquement allié en Sicile.

Les contacts de Luciano avec les services US passent notamment par « Frank W. Sr. » puis, lorsque le « parrain » est libéré et s'exile en Italie, par son « ambassadeur » corse, « É. L. ».

 

En 1958, les États-Unis, inquiets d'une possible victoire du FLN en Algérie qui ouvrirait l'Afrique du Nord à l'influence soviétique, décident de susciter un coup d'État militaire en France.

L'opération est organisée conjointement par la Direction de la planification de la CIA - théoriquement dirigée par « Frank W. Sr. » et par l'OTAN. Mais « Franck W. Sr. » a déjà sombré dans la démence de sorte que c'est son successeur, « Allan D. », qui supervise le coup.

Depuis Alger, des généraux français créent un « Comité de salut public » qui exerce une pression sur le pouvoir civil parisien et le contraint à voter les pleins pouvoirs au Général sans avoir besoin de recourir la force.

 

Car, « Charles De G. » n'est pas le pion que les Anglo-Saxons croient pouvoir manipuler. Dans un premier temps, il tente de sortir de la contradiction coloniale en accordant une large autonomie aux territoires d'outre-mer au sein d'une Union française.

Mais il est déjà trop tard pour sauver « l'Empire français » car les peuples colonisés ne croient plus aux promesses de la métropole et exigent leur indépendance.

Après avoir conduit victorieusement de féroces campagnes de répression contre les indépendantistes, le Général se rend à l'évidence. Faisant preuve d'une rare sagesse politique, il décide d'accorder à chaque colonie son indépendance.

 

Cette volte-face est vécue comme une trahison par la plupart de ceux qui l'ont porté au pouvoir.

La CIA et l'OTAN soutiennent alors toutes sortes de complots pour l'éliminer, dont un putsch manqué et une quarantaine de tentatives d'assassinat.

Toutefois, certains de ses partisans approuvent son évolution politique. Autour de « Ch. P. », ils créent le SAC, une milice pour le protéger.

« Ch. P. » est à la fois un corsu qui connaît bien le Milieu et un ancien résistant. Il a épousé la fille d'un bootlegger canadien qui fit fortune durant la prohibition.

Il est lui-même le directeur commercial de la société « R. » (des pastagas du même nom) qui, après avoir commercialisé de l'absinthe, un alcool prohibé, se respectabilise en vendant de l'anisette.

 

Cependant, la société « R. » continue à servir de couverture pour toutes sortes de trafics en relation avec la famille italo-new-yorkaise des « Genovese », celle de « Lucky Luciano ». Il n'est donc pas étonnant que « Ch. P. » fasse appel à « É. L. » (« l'ambassadeur » de Luciano) pour recruter des gros bras et constituer la milice gaulliste.

Un troisième homme joue un grand rôle dans la formation du SAC, l'ancien garde du corps du Général, « Achille P. ».

 

Ainsi défendu, Général dessine avec panache une politique d'indépendance nationale.

Tout en affirmant son appartenance au camp atlantique, il remet en cause le leadership anglo-saxon.

Il s'oppose à l'entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen (1961 et 1967).

Il refuse le déploiement des casques de l'ONU au Congo (1961).

Il encourage les États latino-américains à s'affranchir de l'impérialisme US (discours de Mexico, 1964).

Il expulse l'OTAN de France et se retire du Commandement intégré de l'Alliance atlantique (1966).

Il dénonce la Guerre du Viêt-Nam (discours de Phnom-Penh, 1966).

Il condamne l'expansionnisme israélien lors de la Guerre des Six jours (1967).

Il soutient l'indépendance du Québec (discours de Montréal 1967), etc.

 

Simultanément, le Général consolide la puissance de la France en la dotant d'un complexe militaro-industriel incluant la force de dissuasion nucléaire, et en garantissant son approvisionnement énergétique. Outil de « capitalisme d'État » dont héritera plus tard « V. G-E », au moment du premier choc pétrolier : il lui aura suffit de « pousser les manettes » au tableau pour faire face.

 

Le Général éloigne utilement les encombrants Corsi de son entourage en leur confiant des missions à étranger. Ainsi « É. L. » devient-il le trader d'un groupe pétrolier national (aujourd'hui disparu), tandis que « Ch. P. » devient l'homme de confiance des chefs d'États d'Afrique francophone.

 

Conscient qu'il ne peut défier les Anglo-Saxons sur tous les terrains à la fois, le Général s'allie à la famille Rothschild. Il choisit comme Premier ministre le fondé de pouvoir de la Banque, « G. P. ».

Les deux hommes forment un tandem efficace. L'audace politique du premier ne perd jamais de vue le réalisme économique du second.

Lorsque le Général démissionne, en 1969, « G. P. » lui succède brièvement à la présidence avant d'être emporté par un cancer.

Les « historiques » du parti du Général n'admettent pas son leadership et s'inquiètent de son tropisme anglophile. Ils hurlent à la trahison lorsque « G. P. », secondé par son secrétaire général de l'Élysée « Ed. B. », fait entrer « la perfide Albion » dans le Marché commun européen.

 

Par ailleurs, on se souvient que la campagne présidentielle de 62 et de 69 de « J. L. », maire de Rouen est financée par des fonds d'outre-Atlantique, avec le peu de succès que l'on sait.

 

Il était donc bien normal que la « trahison » du Général, se paye un jour.

C'est alors qu'entre en scène la « seconde génération », dont « N. S. », qui, au fil du temps a su devenir le leader jusqu'au sein du « Parti du Général ».

 

Ce n'a pas été sans mal, ni méthode.

C'est ce que tu as lu hier.
Rien n'arrive vraiment par hasard.


Et la « démocratie triomphante » d'un peuple d'électeurs libres, dans tout ça ?
Bé écoute, ma « petite soeur », dans les livres d'histoires et d'aventures, dans les textes des différentes déclarations des droits de l'homme, des constitutions, des traités, dans les têtes même, bien sûr que ça existe !
Et heureusement.

Dans la « vie vraie »... c'est manifestement une autre affaire !
 

Bonne journée quand même !

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29 septembre 2008 1 29 /09 /septembre /2008 04:04

Affaires de famille « corses » et grandes « manip »...

 

 

Avertissement important : Doit-on vous rappeler que toute ressemblance avec des personnages existants, ayant existé ou à exister n'est que pure coïncidence.

Tout rapprochement avec des lieux, des dates, des faits réels ou supposés ne peut être que l'œuvre de personnages qui chercheraient à nuire à l'auteur de ce délire : Ils seront seuls à en être responsables devant la justice de leur pays !

 

 

Il est né en 1955. Il est le fils d'un noble catholique hongrois, « P. S. de N-B », réfugié en France après avoir fuit l'Armée rouge, et « d'Andrée M »., une roturière juive originaire de Thessalonique.

Après avoir eu leurs trois enfants (« G. », « N. » et « F. »), le couple divorce.

« P. » se remarie avec une aristocrate, « Christine de G. », dont il aura deux enfants (« P-O. » et « C. »).

« N. » ne sera pas élevé par ses seuls parents, mais balloté dans cette famille recomposée.

 

Sa mère est devenue la secrétaire « d'Achille P. ». Après avoir co-fondé le SAC, le garde du corps du Général a poursuivi une brillante carrière politique.

Il a été élu député et maire de « N./S. », la plus riche banlieue résidentielle de la Capitale, puis président de l'Assemblée nationale.

 

Malheureusement, en 1972, le cousin « Achille P. » est gravement mis en cause. Aux États-Unis, le magazine Time révèle l'existence d'une organisation criminelle secrète, dite « l'Union corse », qui contrôlerait une grande partie du trafic de stupéfiants entre l'Europe et l'Amérique, la fameuse « French connexion » qu'Hollywood devait porter à l'écran.

S'appuyant sur des auditions parlementaires et sur ses propres investigations, « Time » cite le nom d'un chef mafieux, « Jean V. », arrêté quelques années plus tôt au Canada, et qui n'est autre que le délégué commercial de « Ch. P. » pour la société d'alcool « R. » (des pastagas du même nom).

On évoque le nom de plusieurs familles qui dirigeraient « l'Union corse », dont les « Achille P. » qui nie vertement, mais doit renoncer à la présidence de l'Assemblée nationale et échappe même à un « suicide ».

 

En 1977, « P. S. » se sépare de sa seconde épouse, « Christine de G. », laquelle se lie alors avec le n° 2 de l'administration centrale du département d'État des États-Unis. Elle l'épouse et s'installe avec lui aux USA. Le monde étant petit, son mari n'est autre que « Frank W. Jr. », fils de « Frank W. Sr. » actif au sein des services d'espionnage US.

Les fonctions de « Junior » à la CIA ne sont pas connues, mais il clair qu'il y joue un rôle important.

 

« N. S. », qui reste proche de sa belle-mère, de son demi-frère et de sa demi-sœur, commence à se tourner vers les États-Unis où il « bénéficie » des programmes de formation du département d'État.

À la même période, « N. S. » adhère au parti du Général. Il y fréquente d'autant plus rapidement « Ch. P. » que celui-ci n'est pas seulement un leader national, mais aussi le responsable de la section départementale des H-de-S.

 

En 1982, « N. S. » ayant terminé ses études de droit et s'étant inscrit au barreau de la Capitale, épouse la nièce « d'Achille P. ». Son témoin de mariage est « Ch. P. ».

En qualité d'avocat, Maître « N.S. » défend ainsi les intérêts des amis « Corsi » de ses mentors.

Il acquiert même une propriété sur l'île de beauté, à Vico, et imagine de « corsicasiser » son nom en remplaçant le « y » par un « i ».

Notons que la « famille d'Achille P. » est originaire d'Ajacciu, alors que celle de « Ch. P » est d'Evisa, dans la vallée de Porto, pas très loin de Vico.

Pour être encore plus précis, le patron des affaires de sécurité de la Présidence, à l'époque de « Jacques Ch. » n'est autre que « Ph. M. », ancien Préfet de police de la Capitale, ayant fait « ses armes » au « RG » aujourd'hui dissout dans la fusion organisée depuis la Présidence, avec la DST.

« Ph. M. » est aussi « Grand maître absolu » de la GLNF, obédience maçonnique de réputation « hard », et natif d'Evisa...

Alors même que « Jacques Ch. » serait également un « frère », mais d'obédience Suisse, encore plus « hard », dit-on...

 

L'année suivante, « N.S. » est élu maire de N./S. en remplacement de son bel-oncle, « Achille P. », terrassé par une crise cardiaque en pleine séance de nuit, après avoir doublé tout le monde au poteau.

 

Cependant, « N. S. » ne tarde pas à tromper sa femme : il est comme ça ! Dès 1984, il poursuit une liaison cachée avec « C. » l'épouse d'un célèbre animateur de télévision de l'époque, « Jacques M. », dont il a fait la connaissance en célébrant leur mariage en qualité de maire de sa banlieue.

Cette double vie dure cinq ans, avant que les amants ne quittent leurs conjoints respectifs pour construire un nouveau foyer.

 

« N. S. » est également le témoin de mariage, en 1992, de la fille de « Jacques Ch. », « Cl. », avec un éditorialiste d'un quotidien du matin. Il n'aurait pu s'empêcher de séduire « Cl. » (qui dément véhémentement) et de mener une brève relation avec elle, tandis qu'il vit officiellement avec « C. ».

Le mari trompé de « Cl. » se suicide en absorbant drogues et médicaments. Pour quelle raison au juste ?

La rupture est brutale et sans retour entre les « Ch. » et « N. S. ».

 

En 1993, le parti au pouvoir perd les élections législatives. Le président « F. M. » refuse de démissionner et entre en cohabitation avec un Premier ministre de droite.

« Jacques Ch. », qui ambitionne la présidence et pense alors former avec « Ed. B. » un tandem comparable à celui du « Général et de G. P. », refuse d'être à nouveau Premier ministre (pour en avoir gardé un mauvais souvenir) et laisse la place à son « ami de trente ans », « Ed. B ».

Malgré son passé sulfureux, « Ch. P. » redevient ministre de l'Intérieur, mais affublé d'un « fidèle » « R. P. ».

S'il aurait conservé la haute main sur la supposée marijuana marocaine, il en aurait profiter de sa situation pour légaliser ses autres activités en prenant le contrôle des casinos, jeux et courses en Afrique francophone.

Il tisse aussi des liens en Arabie saoudite et en Israël et deviendrait même officier d'honneur du Mossad.

« N. S. », quant à lui, est ministre du Budget et porte-parole du gouvernement.

 

À Washington, « Fr. W. Jr. » a pris la succession de « Paul W. » comme responsable de la planification politique au département de la Défense. Personne ne remarque les liens qui l'unissent au porte-parole du gouvernement.

C'est alors que reprend au sein du parti du Général la tension que l'on avait connu trente ans plus tôt entre les « historiques » et la droite financière, incarnée par « Ed. B ».

La nouveauté, c'est que « Ch. P. » et avec lui le jeune « N. S. » trahissent « Jacques Ch. » pour se rapprocher du « courant Rothschild ».

Tout dérape ! Le conflit atteindra son apogée en 1995 lorsque « Ed. B. » se présentera contre son ex-ami de trente ans, « Jacques Ch. » à l'élection présidentielle suivante, et sera battu dès le premier tour.

Surtout, suivant les instructions de Londres et de Washington, le gouvernement « Ed. B. » ouvre les négociations d'adhésion à l'Union européenne et à l'OTAN des États d'Europe centrale et orientale, affranchis de la tutelle soviétique.

 

Rien ne va plus dans le parti du Général où les amis d'hier sont près de s'entre-tuer. Pour financer sa campagne électorale, « Ed. B. » tente de faire main basse sur la caisse noire du parti du Général, qui serait cachée dans la double comptabilité d'un pétrolier national (aujourd'hui disparu). À peine le vieux « Étienne L. » mort (l'ancêtre par qui beaucoup transitait : encore un Corsu !), les juges perquisitionnent la société et ses dirigeants sont incarcérés.

Mais « Ed. B. », « Ch. P. et « N. S. » ne parviendront jamais à récupérer le magot.

La longue traversée du désert commence.

 

Tout au long de son premier mandat, « Jacques Ch. » tient « N. S. » à distance. L'homme se fait discret durant tout ce temps. Discrètement tout autant, il continue pourtant à nouer des relations dans les cercles financiers, hors « la bande à F. P. », milliardaire aussi, mais ami de longue date de « Jacques Ch. ».

 

En 1996, « N. S. » ayant enfin réussi à clore une procédure de divorce qui n'en finissait pas se marie avec « C. ». Ils ont pour témoins les deux milliardaires « Martin B. » et « Bernard A. » (l'homme le plus riche du pays).

 

On peut imaginer que par ailleurs, bien avant la crise irakienne, « Frank W. Jr. » et ses collègues de la CIA planifient la destruction du courant du Général et la montée en puissance de « N. S. ».

Ils agissent en trois temps :

1 - D'abord, l'élimination de la direction du parti du Général et la prise de contrôle de cet appareil.

2 - Puis, l'élimination du principal rival de droite et l'investiture du parti Général à l'élection présidentielle.

3 - Enfin, l'élimination de tout challenger sérieux dans l'opposition de manière à être certain d'emporter la prochaine élection présidentielle programmée pour 2007.

 

Pendant des années, les médias sont tenus en haleine par les révélations posthumes d'un promoteur immobilier.

Avant de décéder d'une grave maladie, il a enregistré, pour une raison encore jamais élucidée, une confession vidéo. Pour une raison encore plus obscure, la « cassette » échoue dans les mains d'un hiérarque du Parti d'opposition, « D. S-K » (devenu depuis directeur d'une banque mondiale... pour services rendus ?), qui la fait parvenir indirectement à la presse.

 

Si les aveux du promoteur ne débouchent sur aucune sanction judiciaire pour être « abracadabrantesque », ils ouvrent une boîte de Pandore qui n'épargne personne, même pas le « cousin J. T. » successeur de « Jacques Ch. » à la mairie de la Capitale (encore un Corsu... mais de Corti).

La principale victime des affaires successives sera le Premier ministre d'alors, « Alain J. ». Pour protéger « Jacques Ch », il assume seul toutes les infractions pénales. La mise à l'écart « d'Alain J. » laisse la voie libre à « N. S. » pour prendre la direction du parti du Général.

 

« N.S. » exploite alors sa position pour contraindre « Jacques Ch. » à le reprendre au gouvernement, malgré leur haine réciproque. Il exige soit l'intérieur, soit les finances, deux postes clés : dans l'un, il contrôle les préfets et de le renseignement intérieur qu'il utilise pour noyauter les grandes administrations. Dans l'autre, il voit « passer les sous ».

Il sera ministre de l'intérieur.

 

Il s'occupe aussi des « affaires corses ». Le préfet « Cl. É. » a été assassiné. Bien qu'il n'ait pas été revendiqué, le meurtre a immédiatement été interprété comme un défi lancé par les indépendantistes à la République.

Après une longue traque, la police parvient à arrêter un suspect en fuite, « Yvan C. », fils d'un député de gauche. Piétinant allègrement la présomption d'innocence, « N. S. » annonce cette interpellation en accusant le suspect d'être l'assassin. C'est que la nouvelle est « trop belle » à deux jours du référendum que le ministre de l'Intérieur organise en Corse pour modifier le statut de l'île.

Quoi qu'il en soit, les électeurs rejettent le projet de « N.S. » qui, selon certains, favorise les intérêts mafieux locaux.

Bien qu'« Yvan C. » ait ultérieurement été reconnu coupable, il a toujours clamé son innocence et aucune preuve matérielle n'a encore été trouvée contre lui. Étrangement, l'homme s'est muré dans le silence, préférant être condamné que de révéler ce qu'il sait.

La thèse qui circule entre les murs d'Ajacciu (et même au-delà) est que le préfet « Cl. É. » n'a pas été tué par des nationalistes, qui ne faisaient qu'apporter un « concours » logistique et un « plastron » à l'auteur des coups de feu mortels, mais abattu par un tueur à gage, immédiatement exfiltré vers l'Angola où il émargeait dans la sécurité du groupe pétrolier disparu. Le mobile du crime serait précisément lié aux fonctions antérieures de « Cl. É », responsable des réseaux africains de « Ch. P. » au ministère de la Coopération.

Quant à « Yvan C. », il serait un ami personnel de « N. S. » depuis bien des décennies. D'ailleurs, leurs enfants se sont fréquentés dans la cité Napoléonienne.

 

Puis une nouvelle affaire éclate, destinée à déstabiliser un autre concurrent potentiellement dangereux : de faux listings circulent qui accusent mensongèrement plusieurs personnalités de cacher des comptes bancaires au Luxembourg, chez « Clearstream », la banque des banques. Parmi les personnalités ainsi diffamées : « N. S. ».

Cette affaire est ridicule : « Clearstream » est un établissement de compensation entre Banques. Rien à voir avec une banque d'affaire ou de dépôt : il n'y a pas de compte courant de personnes physiques extérieures à la banque elle-même !

Et pourtant la justice du pays mord à l'hameçon et les média s'emballent...

 

« N. S. » dépose plainte et sous-entend que son rival de droite à l'élection présidentielle, le Premier ministre « D. de V. », a organisé cette machination du temps où il était ministre des affaires étrangères. Et il ne cache pas son intention de le faire jeter en prison.
En réalité, les faux listings auraient été mis en circulation par des membres de la Fondation franco-américaine, dont « John N. » était président et dont « Frank W. Jr. » est administrateur.

Ce que les juges voudraient encore ignorer, c'est que les listings ont été fabriqués à Londres par une officine commune de la CIA et du MI6, « H. & Co », dont « Frank W. Jr. » est également administrateur.
« D. de V. » se défend de ce dont on l'accuse, mais il est mis en examen, assigné à résidence et, de facto, écarté provisoirement de la vie politique.

La voie est donc libre pour « N. S. ».

 

Reste à neutraliser les candidatures d'opposition. Les cotisations d'adhésion au parti socialistes sont réduites à un niveau symbolique pour attirer de nouveaux militants grâce à « J. L. » (ancien ministre qui se défend encore d'être un « ami » objectif de « N. S. »... jusqu'au prochain remaniement ministériel, après les élections européennes ? D'autres avant lui, et non les moindres, ayant bien franchi le pas...).

Des milliers de jeunes prennent leur carte. Parmi eux, des milliers de nouveaux adhérents sont en réalité des militants du Parti trotskiste « lambertiste » (du nom de son fondateur Pierre Lambert, desquels seraient issu un ancien Premier ministre, qui ne l'a jamais démenti).

Cette petite formation d'extrême gauche s'est historiquement mise au service de la CIA contre les communistes staliniens durant la Guerre froide.

Elle est l'équivalent du « SD/USA » de « Max Sh. », qui a formé les néoconservateurs aux USA.

Ce n'est pas la première fois que les « lambertistes » infiltrent le Parti de gauche : « L. J. » et « J-Ch. C. », le principal conseiller de « D. S-K » cité plus haut en sont.

 

Des primaires sont organisées au sein du Parti pour désigner son candidat à l'élection présidentielle. Deux personnalités sont en concurrence : « L. F. » et « S. R ».

Seul le premier représente un danger pour « N.S. ». « D. S-K » entre dans la course avec pour mission d'éliminer « L. F. » au dernier moment. Ce qu'il sera en mesure de faire grâce aux votes des militants « lambertistes » infiltrés, qui portent leurs suffrages non pas sur son nom, mais sur celui de « S.R. ».

L'opération est possible parce que « D. S-K » est depuis longtemps sur les « payrolls » des États-Unis. En Europe, tout le monde ignore qu'il donne des cours à Stanford, où il a été embauché par le prévôt de l'université d'alors, « C. Rice » soi-même, devenue ministre des affaires étrangères de l'administration US en place.
D'ailleurs, dès sa prise de fonction, « N. S. » et cette dernière remercieront « D. S-K » en le faisant élire à la tête de la Banque du Monde.

 

Le soir du second tour de l'élection présidentielle, lorsque les instituts de sondages annoncent sa victoire probable, « N. S » prononce un bref discours à la Nation depuis son QG de campagne.

Puis, contrairement à tous les usages, il ne va pas faire la fête avec les militants de son parti, mais il se rend au Fouquet's.

La célèbre brasserie des Champs-Élysées, qui était jadis le rendez-vous de « l'Union corse » est aujourd'hui la propriété du casinotier « D. D. ». Il a été mis à disposition du nouveau Président élu pour y recevoir ses amis et les principaux donateurs de sa campagne.

Une centaine d'invités s'y bousculent, les hommes les plus riches de France y côtoient les patrons de casinos.

Il s'efforce ensuite de passer place de la Concorde, puis s'offre quelques jours de repos bien mérités. Conduit en Falcon-900 privé à Malte, il s'y repose sur le « P », le yacht de 65 mètres de son ami « V. B. », un milliardaire formé à la Banque Rothschild.

 

Enfin, « N. S. » est investi Président de la République. Le premier décret qu'il signe n'est pas pour proclamer une amnistie, mais pour autoriser les casinos de ses amis « D. D. » et compagnie à multiplier les machines à sous.

 

Il forme son équipe de travail et son gouvernement. Sans surprise, on y retrouve un bien trouble propriétaire de casinos et le lobbyiste des casinos de l'ami « D. D. ».

« N. S. » s'appuie avant tout sur quatre hommes :
- « Cl. G », secrétaire général du palais de l'Élysée. C'est l'ancien bras droit de « Ch. P. ».

- « F. P. », secrétaire général adjoint de l'Élysée. C'est un associé-gérant de la Banque Rothschild.
- « J-D L. », conseiller diplomatique. Mais aussi fils de l'ancien directeur de l'Agence juive. Ambassadeur de France à l'ONU, il fut relevé de ses fonctions par « Jacques Ch. » qui le jugeait trop proche de « G.W.B ».
- « A. B. », l'homme de l'ombre. Son nom n'apparaît pas dans les annuaires. Il est chargé des services de renseignement. Ancien Grand-Maître du Grand Orient de France (la principale obédience maçonnique du pays), il serait aussi l'ancien n°2 de la National Security Agency états-unienne en Europe.

 

Entre-temps « Frank W. Jr. », a été nommé envoyé spécial du président « G.W.B » pour l'indépendance du Kosovo. Ce dernier insiste pour que « B. K. » soit nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission prioritaire : l'indépendance du Kosovo et la liquidation de la politique arabe des prédécésseurs.

 

« B. K. » a débuté sa carrière en participant à la création d'une ONG humanitaire. Grâce aux financements de la National Endowment for Democracy, il a participé aux opérations de « Zbigniew B. » en Afghanistan, aux côtés d'Oussama Ben Laden et des frères Karzaï contre les Soviétiques.

On le retrouve dans les années 90 auprès d'Alija Izetbegoviç en Bosnie-Herzégovine.

De 1999 à 2001, il a été Haut représentant de l'ONU au Kosovo.

Sous le contrôle du frère cadet du président Hamid Karzaï, l'Afghanistan est devenu le premier producteur mondial de pavot.

Le suc est transformé sur place en héroïne et serait transporté par l'US Air Force à Camp Bondsteed (Kosovo). Là, la drogue serait prise en charge par les hommes d'Haçim Thaçi qui l'écouleraient principalement en Europe et accessoirement aux États-Unis.

Les bénéfices seraient notamment utilisés pour financer les opérations illégales de la CIA.
Karzaï et Thaçi sont des amis personnels de longue date de « B. K », qui certainement ignore leurs activités criminelles malgré les rapports internationaux qui y ont été consacrés.

 

Pour compléter son gouvernement, « N. S. » nomme « Ch. L. », ministre de l'Économie et des Finances. Elle a fait toute sa carrière aux États-Unis où elle a dirigé le prestigieux cabinet de juristes Baker & McKenzie.

Au sein du Center for International & Strategic Studies de « Dick Ch. », elle a co-présidé avec « Zbigniew B. » un groupe de travail qui a supervisé les privatisations en Pologne.

Elle aurait aussi organisé un intense lobbying pour le compte de Lockheed Martin contre les l'avionneur français Dassault.

 

Nouvelle escapade durant l'été. « N.S. » et « C. », la maîtresse supposée de l'un ou de l'autre ou des deux selon d'horribles rumeurs et leurs enfants se font offrir des vacances états-uniennes à Wolfenboroo, non loin de la propriété du président en exercice « G.W.B. ».

La facture, cette fois, serait payée par « Robert F. A », un banquier d'affaires italo-new-yorkais, sioniste et néo-conservateur pur sucre qui s'exprime dans Commentary, la revue de l'American Jewish Committee.

 

La réussite de « N.S. » rejaillit sur son demi-frère « P-O ». Sous le nom américanisé « d'Oliver », il est nommé par « Frank C. », qui fut le n°2 de la CIA après avoir été recruté par « Frank W. Sr. », directeur d'un nouveau fonds de placement du Carlyle Group, la société commune de gestion de portefeuille des familles de « G.W.B. » et des Ben Laden.

Sans qualité personnelle particulière, il est devenu le 5ème « noueur de deals » dans le monde et gère les principaux avoirs des fonds souverains du Koweït et de Singapour.

 

Enfin, « N.S. » entraine le pays dans une adhésion sans condition à l'OTAN et soutient l'envoi de soldats en Afghanistan aux côtés des GI US...

 

La cote de popularité du président est alors en chute libre dans les sondages. L'un de ses conseillers en communication, « Jacques S. », préconise de détourner l'attention du public avec de nouvelles « people stories ».

L'annonce du divorce avec « C. » est publiée par Libération, le journal de son ami « Ed. de Rothschild », pour couvrir les slogans des manifestants un jour de grève générale.

Plus fort encore, le communiquant organise une rencontre avec l'artiste et ex-mannequin, « Carla B. ».

Quelques jours plus tard, sa liaison avec le président est officialisée et le battage médiatique couvre à nouveau les critiques politiques. Quelques semaines encore et c'est le troisième mariage de « N.S. ». Cette fois, il choisit comme témoins « Mathilde A. » (l'épouse de « Robert F. A » cité plus haut) et « Nicolas B. », ancien directeur de cabinet « d'Edouard B. » devenu associé-gérant chez Rothschild.

Depuis, celui-ci tombé en disgrâce pour avoir eu le malheur de déplaire au fils de « N.S. », il est recasé au Consulat de la côte ouest des USA.

 

Marrantes ces petites « affaires de famille », devenues « secrets de polichinelle » !

D'autant que reste le mystère de l'enfant à naître de la Garde des Sceaux... pas encore élucidée malgré mon appel général au démenti !

Car en plus, ce n'est que la partie visible d'un iceberg qui remonte à la seconde guerre mondiale.

Mais il suffit pour aujourd'hui.

 

Bonne lecture du « Roman de la vie », pas par hasard installé dans la rubrique, « Humeurs, ragots & manipulations »...

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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 06:55

 


Hideuse rétrospective familiale

 

 

L'effet du souvenir de mes efforts récents dans le déchaînement de la succession de déferlantes à se prendre sur la tête, dans les yeux, dans le nez, la gorge et partout ailleurs m'ont fait enfin découvrir une chose pourtant évidente.

 

Jusque-là, il n'y avait qu'une seule personne sur la tombe de laquelle j'irai pisser, même mentalement, tous les jours : l'assassin de mon père !

Ça va faire 25 ans que j'en rêve... quoique ce soit plutôt des cauchemars récurrents qui viennent agiter certaines de mes nuits sans raison.

Le pardon est du seul ressort de Dieu, je lui laisse ce soin là. Moi pas : Je ne suis pas Dieu.

Mais franchement, si dans sa très grande miséricorde, Dieu pardonne à ce type-là, je change de « bande » : je préférerai ne jamais avoir à être né !

Je vous expliquerai pourquoi un jour, si le même Dieu m'en laisse le temps, si j'en trouve le courage ! Car d'évoquer mon père et son destin tragique - et ce petit morceau de ma vie - j'en ai encore la larme qui remonte à l'œil, le poil qui se hérisse sur le bras, la peau du dos qui se tend et l'échine parcourue de frissons glacés, des nœuds qui se forment dans la « boîte à tuyaux » abdominale...

 

Et je viens de découvrir que le frère de mon père, autrement dit mon oncle, fait partie de ces gens qu'il faut que je vois mort avant de trépasser moi-même !

Absolument. Comme d'une nécessité incontournable.

Je n'avais encore jamais réalisé cela avant, indéniable konnard que je peux être !

 

Mon oncle est le dernier survivant de sa fratrie, issue des ébats sensuels de mes grands-parents d'entre-deux guerres. Mon grand-père a épousé sur le tard une magnifique minette blonde dix ans plus jeune...

Mariage difficile qui n'a failli pas avoir eu lieu : un, si mon grand-père était tombé raide d'amour pour ma grand-mère au premier regard, il semble que ce ne fut pas forcément réciproque ; deux, les propres frères et sœurs de mon grand-père ont tout fait pour que ce mariage n'ait pas lieu !

Si !

Le « cousin », son propre frère, s'était même chargé d'aller démarcher la future belle-famille pour raconter les frasques et la débauche de célibataire de mon grand-père !

La sœur de mon grand-père l'avait accompagné pour l'occasion...

Ambiance familiale.

 

La vie passe et mon grand-père, non content d'être fâché avec toute sa propre famille parvient également à se fâcher « sévère » avec sa belle-famille : des histoires de sous que nous surnommions en famille « l'Affaire Dreyfus » tellement l'ambiance était « coriace » quand ils en discutaient « entre adultes » !

Il s'agissait de gérer l'héritage de l'arrière grand-père constitué à une époque d'avant-guerre (la prem's mondiale) où l'on pouvait emprunter à 70 ans, même quand on en avait déjà 50, à des taux qui font encore rêver aujourd'hui, de moins de 2 %.

L'époque des emprunts russes avec leur faramineux taux touchant au délirant 3 ou 4 % d'intérêt... Ils ont été nombreux à se faire avoir, sur ce coup-là.

70 ans plus tard, deux générations passées, l'ensemble se retrouve forcément entre les mains de liquidateurs qui finissent d'éteindre à leur propre profit les cendres de toute une vie de ce qui reste, laissant les ayants-droit s'entre-déchirer les quelques miettes pendant deux décennies...

L'affaire Dreyfus, vous dis-je !

Mais qui a fait naître la vocation de capteur d'héritage de mon oncle.

 

Le premier lui échappe : la fille rebelle de la sœur fâchée de mon grand-père, marraine de mon propre père, d'une époque où la famille était encore unie dans la fraternité bourgeoise des campagnes, décédée sans héritier pour s'être mariée sur le tard avec l'amant de sa mère qui aimait les jeunes, laisse un vieux testament notarié.

Mon oncle en a pourtant fait des visites et des visites à cette « tante » très marrante et que j'aimais bien mais officiellement exclue du « clan ».

Très étonné qu'on ne retrouve pas la « grande enveloppe marron cachée sous le tiroir de la table de nuit » !

Etonné et furax : il avait oublié que ce n'était pas lui qui avait les clés de la maison, mais l'autre cousin issu de germain qui en a vendu la maison pour payer les droits de succession horriblement cher pour en être carrément confiscatoire à cette époque-là.

 

Le second, c'est aussi l'autre « côté fâché » de la famille de mon grand-père !

Le fameux frère qui a tout fait, avec sa sœur, pour que mon oncle, mon père et ma tante ne naissent jamais.

Lui aussi sans héritier légitime, mais ayant fait une fille à une collègue de travail, à force de séduction, déshérite sa propre épouse au profit de mon oncle, moyennant la « charge », la servitude, d'en restituer partie à la fille adultérine.

Une maison à Noirmoutier, un appartement avenue Foch et quelques titres liquidés pour payer les droits.

Pour avoir rencontré cette fille-là, étonnée que son propre père fasse donation à ses frères et sœurs sans être pour autant bénéficiaire elle-même, son père lui aurait dit, en réponse à son étonnement : « Demande donc à ta mère ! Elle sait ! ».

Chaude ambiance, là aussi. D'autant que « madame » s'est bien gardée d'avouer son « crime » d'amour pour un autre que le père légitime.

Des « charges » à restituer, elle n'en a jamais rien vues, mon « Tonton » ayant tout gardé à son profit, laissant l'héritière dans l'ignorance de son destin de « petite bourgeoise de la rive droite ».

Enfin, au moins jusqu'à maintenant...

 

Le troisième, c'est celui de ses propres beaux-parents. Dans la belle famille de mon oncle, ils sont tous des « pouêt-pouêts ». Les deux fils tapaient leurs femmes, sauf quand elles étaient enceintes comme d'un « cadeau de Dieu » qu'il fallait respecter. Résultat, entre fausses-couches et naissances assumées, quand ils se déplacent, c'est carrément en minibus ou en compartiment complet de la SNCF : jamais en avion !

Et le maigre patrimoine constitué d'une petite fermette dans un coin reculé du territoire des ex-ducs de Bourgogne, s'est retrouvé morcelé à l'envi.

Qu'eut fait mon oncle ? Bé, il s'y est installé avec son épouse (un peu comme on sait faire en « Corsica Bella Tchi-tchi ») et le voilà à œuvrer à améliorer le bien commun avec les nombreux bras qu'offrait sa nombreuse progéniture (car lui aussi tape sa femme, ma tante, en plus de la cocufier jusqu'à encore récemment, racontant même ses frasques aux repas de famille, goût pour les femmes de petite vertu qu'il partageait avec le « neveu ». Ne me demandez pas de quel côté, là j'ai un peu perdu prise, même si j'opterai pour la qualité d'époux de la petite-nièce de pièces rapportées que je croisais à l'occasion des mariages, baptêmes et enterrements, celui qui fait juge... Enfin, jusqu'à ce qu'il fasse « homo total » !)

Quand les autres ont demandé le partage, il a présenté la facture : changement de main avec dation en paiement à la clé !

Ça ne lui a donc pas coûté très cher, les quelques hectares devenus constructibles depuis à la faveur conjuguée d'une élection municipale et de la poussée démographique de la ville voisine...

 

Le quatrième, c'est celui de ma tante. Elle aussi, décédée sans héritier pour n'avoir jamais connu l'étreinte d'un homme.

Un cas, la « vieille fille » de la famille : pingre parmi les pingres - elle refilait les boîtes de chocolat périmées reçues d'un Noël sur l'autre, récupérait les papiers d'emballages et notait ce qu'elle recevait pour ne pas se tromper l'année suivante en redonnant, allant jusqu'à peser au gramme près la nourriture de ses parents - elle a passé sa vie à accumuler des choses.

L'appartement qu'elle s'était faite attribuée par sa mère au cœur de Paris, comme d'une dot, une avance d'hoirie en vue de son mariage qui n'a jamais eu lieu, était un musée. En fait, un dépôt de vieilleries dans lesquelles il y avait quelques pièces rares. Quelques toiles de maître, quelques bronzes de haute signature, des meubles anciens et signés acquis par mon grand-père du temps de sa propre splendeur. Des bijoux en pagaille, de l'argenterie à ne plus savoir où la ranger.

 

Quand elle avait besoin d'argent, elle organisait le « cambriolage » de son lieu de vie. Vendant les pièces disparues, touchant l'indemnité d'assurance...

Sa compagnie avait fini par exiger le blindage de ses portes. Résultat, elle avait sorti tous ses bijoux du coffre (loué à la banque du coin) pour ses vacances. Eh bien tenez-vous bien, ce jour-là, elle les portait sur elle à La Baule comme un sapin de Noël en plein mois de juillet, et justement, tenez-vous bien, ce jour-là elle s'était faite attaquée par deux voyous en moto qui lui ont tout dérobé en deux temps trois mouvements, sans même la bousculer à en n'avoir pas la plus petite ecchymose !

Juste une grosse frayeur, pardi ! Et toutes les larmes de son corps pour pleurer les « souvenirs de famille ».

 

Faut dire que son corps, c'était aussi un cas médical à part. Même pas 40 kilos toute mouillée, la seule capable, assise, de croiser ses jambes à ce que les deux pieds reposent au sol, talons côte à côte !

Se promenant avec 3,5 g de cholestérol toute sa vie alors qu'elle n'avait jamais mangé la moindre graisse, même cachée, depuis l'âge de 19 ans. En danger de mort à la faveur d'un carré de chocolat (syndrome de Kick). C'est la seule personne que je connaisse qui en a fait une cure de diététique... pour grossir ! 15 jours d'efforts assidus et de gavage pour 2 kilos remboursés par la Sécurité Sociale !

 

Et voilà mon oncle, qui bien que ne la supportant pas, lui fait une cour assidue sur la fin de sa vie (comme le « tonton fâché », le frère de son père). Deux ans pour qu'elle se décide à faire un testament olographe.

Ce n'était pas le bon : Il lui a fait rencontrée son notaire. 18 rendez-vous étalés sur 18 mois d'effort et enfin il pouvait la virer de chez elle, la placer en maison de vieux, qu'elle en est morte rapidement, la pôvre vieille et vendre tout ce qu'il y avait dedans : Il était devenu légataire universel !

Que ma petite sœur lui a jeté un rageur « Tu as oublié ton frère ! Tu viens de le tuer une seconde fois ! ».

 

Dans sa précipitation à vendre l'appartement des grands-parents, il a failli en avoir un collapsus : C'est qu'elle n'était pas encore froide, ma tante. Elle a tenu à « rééquilibrer » un peu ses legs particuliers. Puisque le prix de son bien immobilier avait manifestement été très sous-évalué au moment de la rédaction de son testament, carrément du simple au triple pour tout dire, elle avait fait savoir qu'elle doublait tous les legs particuliers. Mais ça eut tenu à quelques jours près...

 

Et ce salopard d'oncle, bien obligé pour éviter querelle, de s'exécuter, prétendant à qui voulait le savoir à sa volonté de « respecter la volonté de sa sœur bien-aimée ». Par je ne sais qu'elle astuce, le testament a donc été exécuté en son entier : légataire universel à charge de léguer lui-même quelques miettes aux uns et aux autres...

Droits de succession, de nouveau quasiment confiscatoire, plus droits de donation sur les miettes : la bonne affaire fiscale ?

Je me suis longuement demandé pourquoi le notaire lui avait conseillé cette manœuvre-là, parfaitement stupide.

 

Hier, j'ai compris en me remémorant les événements plagistes de l'autre fois : La donation est faite sous réserve « d'un droit de retour pour cause de décès » prématuré du donataire.

D'habitude, on réserve cette clause au cas où le donataire reste sans héritier lui-même, afin que les biens donnés retournent au donateur sans droit s'il lui survit, ce qui est logique.

Mais pas là : a été rayée de la formule classique cette stipulation résolutoire...

 

Si la « faucheuse » avait frappé, les quelques sous reçus (assez peu finalement pour n'être qu'un neveu) que j'ai investi bêtement dans mon logement à refaire les peintures et une partie de la plomberie, tellement c'était finalement trop peu pour en faire autre chose, ma propre famille aurait dû les lui restituer !

Sans doute à en vendre mon appartement et aller vivre ailleurs : je suis bien assuré pour couvrir les frais de successions de « ma nichée » encore un peu jeune pour anticiper ce genre d'aléa et ses conséquences financières, depuis toujours.

Mais je n'ai pas pensé à prendre en compte ce que ce salopard est capable de leur redemander, profitant sans doute de leur désarroi du moment.

 

Voilà pourquoi il faut que je vois mourir mon oncle. Impérativement.

Ce dernier avatar de cette « hideuse famille » !

Pas banal, quand même.

J'exècre vraiment ces gens-là : Qu'ils crèvent tous la bouche ouverte.

Et peut-être irai-je pisser sur leurs tombes !

Il fallait bien que ce soit dit un jour où l'autre : Ce Dimanche (chrétien), c'est fait !

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31 août 2008 7 31 /08 /août /2008 23:39



Un vrai scandale, ou la faute à ma « petite sœur » ?

 

 

Vous savez, ma « petite sœur » dont je vous parle de temps à autre pour sa sale habitude à être pendue en permanence à son téléphone ?

Enfin, quand je dis « SON » téléphone, elle en a deux fixes, l'Adsl et son 09, le 01 de l'opérateur historique, plus deux « 06 » portatifs et à SMS, sans compter ceux de ses gamins et celui de son mari à elle (un de mes « beauf' » : j'en ai plusieurs, ils ne se valent pas tous mais celui-là, elle y tient) !

Toujours en train de causer à ses copines que ça en sonne « oqp » à longueur de journée, à révéler à toutes ses garces folles de mon corps mes trajets routiers supposés à longueur d'année, histoire qu'elles persuadent à leur tour leur mari de chauffeur et les maris de chauffeur de leur propres copines à elles qui elles-mêmes et ainsi de suite... de prendre la même route histoire putative que moi, pour avoir le fol espoir de pouvoir m'entre-apercevoir !

 

Et pourtant Dieu sait si je triche : même que l'autre fois, j'en ai été à vous raconter je ne sais quelle ânerie pour avoir la route libre sur le trajet habituel qui m'emmène au bateau jusqu'à Toulon !

Loupé ! Tu penses !

Rien n'y a fait ! Ils étaient nombreux, les ahuris à se retrouver coincés aux mêmes endroits que moi !

 

Eh bé à peine arrivés avec les croissants tout chaud piqués à Bastia, ses copines ou ses gamins restés en contact internet lui avait révélé je ne sais quelle absurdité se passant sur le « blog », dès que j'ai eu le dos tourné !

Et pas moyen de vérifier, évidement depuis notre trou (« U cruttiu » qu'on le surnomme entre nous !).

Et puis j'étais en vacances : je n'allais pas d'urgence aller me faire arnaquer par le « cousin fâché », celui dont l'aïeul par alliance avait bouffé son chat offert comme d'un lapin par un de mes propres aïeux consanguin (ou utérin, je ne sais plus) d'avant-guerre (celle de 1870, précise-je !) et qui tient l'unique « web-bar » du canton pour vérifier ce coup-là !

C'est qu'ils étaient facétieux, à l'époque, les ancêtres...

Remarquez, nos « politiques » ne manquent pas d'humour non plus : nous y reviendrons !

 

D'ailleurs, ma sœur n'y va pas non plus au « web-bar », sermonnée qu'elle fut comme moi-même par une de nos deux grands-mères communes qui veillait à perpétuer les traditions au moins in situ (et à nous apprendre à manger des fruits avec « couteaux et fourchettes » tous les étés.

« Comme ça, quand tu iras à l'Élysée - elle m'y voyait déjà alors que j'étais encore en culotte courte pour avoir consulté une « cousine » qui faisait voyante dans le civil sous les châtaigniers locaux - tu pourras leur faire la leçon ! Car on ne mange pas de fruit à l'Élysée, parce que personne ne sait le faire proprement » affirmait-elle ! En fait, je n'aime pas trop les fruits, même en salade : il faut qu'ils soient fortement fermentés en alcool pour que j'apprécie vraiment !)

 

Donc, comment aurait-elle su sinon par l'intermédiaire de l'un de ses gamins restés à la kapitale pour faire bouillir la marmite ?

Comment « Le gardien » aurait-il pu répondre à Momo de passage en Île-de-France pour le week-end à cheval sur les deux mois estivaux, alors que personne n'est censé avoir les « codes » et une machine pour répondre à ce moment-là ?

Perso, j'étais sur la route depuis l'aube espérant pouvoir arriver à temps malgré la « clim à fond la turbine » et la montagne de « tas de boue à roulette » s'étalant sur le bitume brûlant devant moi...

 

De retour aujourd'hui, à peu près dans les mêmes conditions (sauf pour la température un peu plus clémente à mon unique neurone) pour constater que toutes mes belles photos et autres commentaires laissés pour vous distraire avaient disparu entre-deux !
Et la bonne idée du Gardien de modérer, de suspendre un incendie possible dans les commentaires... Faut que je vois le problème demain matin ! 
 

Flûte ! Toute une quasi-journée pour parvenir à ordonner tout ça de façon attractive, c'est-à-dire quelques semaines d'accélération de mon labeur quotidien à avancer plus vite que la musique pour libérer l'intervalle de temps nécessaire (le travail de 15 jours ouvrés à tout laisser en ordre réalisé en 13 jours, le 14 juillet, c'était « semaine courte » vous rappelle-je), disparu, envolé, évaporé, détruit, annihilé !

Humilié...

La rage, là !

 

Pour lire quoi ?

Un délire de « SF »... Même pas d'un auteur connu, qui ne serait même pas né quand on sait lire (ou qu'on est l'heureux possesseur d'une machine qui sait lire à votre place : merci infiniment Bill Gates !).

Délirant les « Paradoxes temporels » !

Mais le plus dément est à venir !

 

Quand ce soir je commence à traficoter en douce entre la poire et le fromage, la tête encore en feu du manque de boisson forte pour rester clair, eh bien « surprise-surprise » ! Impossible d'effacer les truc-zires !

Oh ! Pas de problème pour la plate-forme d'Over-blog... Elle me reconnaît, efface bien ce que je lui demande d'effacer, enregistre mes opérations, etc...

Et puis revenu en page d'accueil comme d'un « normal lecteur », paf ! Le tout réapparaît comme si j'avais pissé dans un violon pour jouer une des symphonies fantastiques : rien !

Nada !

Ensemble vide !

Scandaleux...

Suis-je désormais interdit de publication, violenté dans mon infini désir d'expression, censuré par les « grandes oreilles élyséennes » ?

 

Du coup c'est le fond de bouteille encore debout que j'en ai vidé.

Puis la table débarrassée, je m'en retourne à l'ouvrage, pour finir, de la rage née de ne pas y arriver, par vous écrire cette bafouille alors même que tout le monde dort à la maison, que je suis rincé par les 1.000 bornes (pas le jeu, mais les trucs à péage qui fonctionnent z'encore dans notre pays de libre-circulation) avalées depuis l'aube, d'autant que mon débarquement de Toulon a été épique !

 

Il est tard : Les machines à laver ont fini de ronronner et de s'agiter dans tous les sens. Faut que j'aille pendre le linge. Je vous lâche la « bafouille » - on verra bien si elle est aussi censurée - et ne vous étonnez pas si demain je traîne à vous lâcher quelques « humeurs d'estives » !

J'aurai peut-être mal aux cheveux, contrarié que je suis !
Sauf si décidément écoeuré par cette arnaque-là, je décide de fermer le blog ou de le laisser en plan !
Ce soir, je ne sais pas trop encore, qu'il faut aussi que je trouve le truc pour dévérouiller l'affaire de la modération des commentaires... Ca c'est moins sûr !

 

Bonne rentrée à tous quand même !

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31 juillet 2008 4 31 /07 /juillet /2008 10:03

 

Nous avons tous vus ces images...

 

Elles nous ont toutes effarés, effondrés, terrifiés !

Et pourtant, 7 ans plus tard, elles sonnent différemment. D'aucuns parle de conspiration.

De manipulations.

 

Manipulations, oui aucun doute quant aux conséquences militaires que ces événements ont entraîné : Seule la « Gauloisie » par la voix de son ministre des affaires étrange(ère)s, Dominique « 2 Vils-pains » avait mordicus, et avec « classe », appelé à la réserve... d'une vielle Europe pas totalement dupe de la suite des événements !

Et donc de sa source.

 

Son éviction de la vie politique du pays et celle de son « clan de la chiraquie » s'est jouée ce jour-là !

Nous verrons comment à la rentrée ...

 

En cette veille de vacances pour votre « humble serviteur », consacrez quelques minutes à cette vidéo stupéfiante (la même que ci-dessus).

Et quelques autres, techniques sans doute, à la lecture des « 115 mensonges » liés aux attentats du 11 Septembre 2001, premier jour d'une ère nouvelle. Tous ces « mensonges » n'en sont pas, loin s'en faut !

Cette liste dénote simplement la grande précipitation à répondre à des questions embarrassantes, façon de faire savoir qu'on reste dans l'ignorance, faute de temps, faute de moyens...

 

Manipulations des auteurs des documents mis en lien ?

Peut-être...

L'événement pousse à la paranoïa, se poursuit encore aujourd'hui en Irak, en Afghanistan, au Pakistan et à Guantanamo (que faire de ses prisonniers qui n'ont aucun statut juridique ?).

L'enjeu est-il le « pétrole » du croissant arabique ? Ou l'existence d'Israël ?

Sécuriser nos approvisionnements jugés « stratégiques » pour nos économies occidentales ?

Alors même que l'on devrait « se bouger » sur d'autres sources d'énergie (et je ne parle pas que des sources « vertes »)...

Et qu'Israël n'en peut plus de faire une paix durable avec ses voisins...

 

Ou bien manipulations d'un « ordre obscur » suprême qui protège et défend nos libertés pour mieux les cerner ? Les réduire ? Nous faire consentir à l'inacceptable ?

Je pars y réfléchir en haut de ma montagne, sous mon châtaignier.

Espérant y voir plus clair à mon retour.

Si j'en reviens.

 

Bon courage à tous, les amis.

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31 juillet 2008 4 31 /07 /juillet /2008 07:20

 

 

Demain, je pars !

 

Je m’en retourne à mon « village », celui perché à flanc d’éperon rocheux entouré de châtaigniers et de cistes, au bout de la route qui serpente tellement que la dernière fois que le « Tour de Corse » y est passé, ils ont tous dit : « Plus jamais ça ! »

 

S’il vous plaît, ne le répétez surtout pas à ma « petite sœur », celle qui cafte à ses copines que tout le monde se retrouve sur la même route pour tenter de m’apercevoir et pouvoir dire, plus tard à la veillée des chaumières et l’adresse de leurs arrières-petites nichées : « J’y étais ! »

 

Dites-lui que je pars à 2 heures du mat, par l’A4, puis l’Allemagne, Karlsruhe, Stuttgart, l’A81 jusqu’à Schaffhausen, l’A4 en passant par Lucerne, puis l’A2 jusqu’à Côme, l’A9 jusqu’à Milan et l’A7 jusqu’à Gênes !

Un petit détour de quelques kilomètres (mais quand on aime, on ne compte pas ! D’autant qu’il n’y a pas de péage en Allemagne), pour arriver à Bastia le lendemain matin au lever du soleil et éviter la vallée du Rhône en journée noire au moins jusqu’à Orange voire sur l’A8 nationale !

C’est que quand je me déplace, ça en fait du monde, au final !

 

En bref, je prends les croissants sur le cour à Bastia, peut-être même un fiadone à la pâtisserie du Lycée si elle est ouverte, ma « petite sœur » n’aura qu’à préparer le café… si elle se lève assez tôt (sans ça, je m’en occuperai moi-même : le sien n’est pas terrible, de toute façon !). Quoique qu’avec les embouteillages provoqués par la sortie des voitures du ferry à l’heure matinale, ça peut prendre un peu de temps !

Prévenez-la que je ferai les courses dans l’après-midi : pas la peine de bourrer le frigo et le congélateur avec ses restes (qui finissent de toute façon à la benne dès qu’elle a le dos tourné) !

Par contre, si elle pouvait sortir ma brosse à dent (je ne sais plus ce où je l’ai posée) et allumer le chauffe-eau, je prendrai bien une petite douche après m’être rasé : pas sûr que la cabine du bateau en soit équipée !

 

À moi les levers de soleil sur la montagne ou la mer, selon l’endroit où je me trouverai.

À moi les ballades dans le maquis à dos d’âne, les pique-niques au bord du torrent, les barbecues aux sarments de vigne, les soirées nocturnes en terrasse, les acrobaties sur les rochers, les concerts des Muvrini, les feux nocturnes sur les plages désertées du désert des Agriates …

 

À vous quelques « post » laissés en ligne depuis hier, tirés de « mes meilleures archives » personnelles (un beau melting-pot, vous verrez… un tous les jours ouvrables !), avec ici et là quelques intermèdes photographiques de ma Balagne et de mes châtaigniers (j’irai de l’un à l’autre selon l’humeur des 4 prochaines semaines), juste pour que vous vous sentiez un peu frustrés par tant de beauté inaccessible au commun des mortels.

 

Mais n’espérez pas m’y rencontrer ! Dites-le à vos femmes : j’aurai des lunettes de soleil masquant mon meilleur profil et un bob encroûté de sel desséché vissé sur le crâne pour éviter que ça me chauffe trop mon unique neurone (que je me dois de protéger… parce qu’il est unique !), autrement dit, je serai méconnaissable !

Je suis d’ailleurs le seul à me baigner en mer équipé de la sorte, même si j’adore m’accrocher en apnée (avec cet attirail sur le chef et le nez) aux chaînes retenant les « bouées des 300 m » jusqu’au fond (ou bien celle des mouillages forains). Selon les endroits, ça peut descendre de 5 à 15 m. Descente et remontée en traction à bras appuyée avec palmes… Mais parfois, j’y vais de façon suffisamment violente pour devoir retenir mes lunettes avec l’une des deux mains : ça casse le rythme !

 

Enfin bref, aoûtiens, je vous souhaite à tous de bonnes vacances !

Et pour les juilletistes de retour en mon absence, je leur confie le « blog » et les clés de la République : dékonnez pas à notre insu ! Ni dans la vie politique en berne provisoire, ni dans les commentaires, SVP !
Préparez plutôt vos dossiers : loi de finances, dernières réformes, remontées de la crise du « subprime » ! Il y a « chaud sur le feu » un peu dans tous les domaines !

Je vous ai à l’œil depuis mon nid d’aigle, même si les ondes radios et les câbles téléphoniques ont du mal à faire leur office par où je passe : la presse quotidienne arrive quand même par paquet tous les deux ou trois jours !

 

Retour à la rentrée des classes, après le rush du week-end du 31 ! Ne vous bilez-pas : Je n’y serai pas non plus, pas la peine de me chercher.

D’abord je serai « chocolat fondant méconnaissable », ensuite je ne passe pas non plus par l’A8, l’A7 et l’A6 (trop de radars, surtout en Bourgogne où ils sont « volants » !), ni par la Porte d’Orléans ou d’Italie : selon l’humeur, je passe soit par la poterne des Peupliers, après avoir emprunté la voie qui longe par le dessus l’A6b au Kremlin-Bicêtre, ou par Arcueil, soit par la Porte Briançon et le « deuxième cercle » extra-muros !

Mais je peux encore tromper mon monde en décidant de passer par la Normandie, ou par la Porte de la Chapelle, si le plein d’essence est suffisant !

Alors, circulez, il n’y a rien à voir !

 

En attendant, je ne vous oublie pas… J’espère avoir le temps de « griffonner » quelques notes à l’heure de la sieste !

 

Profitez quand même du bon temps qui vous est gracieusement offert ! La rentrée pourrait ne pas être aussi indolente qu’on ne vous laisse le croire !

 

Bien à vous tous !

 

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17 mai 2008 6 17 /05 /mai /2008 05:40

 

Y'a des chiffres, comme ça...

 

450 articles publiés. Bon, c'est à peine 0,87 article par jour pour 515 jours d'existence que compte ce « blog » !

2.300 commentaires, soit une moyenne de 5,11 commentaires par « post » (y compris les miens...) ou 4,46 par jour, dont presque la moitié de « moi-même » (en principe, je réponds et précise à chaque commentaire)... Soit à peine « 2 vrais » par article.

Le pied herculéen, n'est-ce pas !

 

Un peu plus de 30.000 visiteurs pour un peu plus de 90.000 pages vues, soit quelque chose comme un visiteur qui clique sur 3 pages par jour (un « petit « blog » sans importance, vous avait-on affirmé un jour !).

Logique.

On « tiendra » bien un cap des 100.000 pages pour avant la fin juin (ce qui n'est même pas une satisfaction « honorable », tout juste un pari idiot !).

Ça fait 1 commentaire pour 39 « clics », ou encore 1 commentaire pour 13 visiteurs...

Pas vraiment la « flambée des fortes et houleuses controverses doctrinales » d'antan.

Et encore, on n'identifie qu'une centaine d'IP différent dans le tas...

Petite audience, donc... Passons !

 

Là où ça reste chagrinant, sans doute parce que j'ai « le » neurone qui se bloque bêtement, c'est quand on compte 90.000 « pages vues » / 450 « pages existantes » normalement ça fait 200 « clics » pour chacune des pages...

Je ne vois pas comment on peut ne pas compter autrement.

Et non pas 3...

 

D'autant que 515 jours, si 1 seul venait 1 seule fois, tous les jours, pour viser chacun des articles 1 seule fois, on devrait avoir 132.870 x (450/515) = 116.100 « pages lues » et non pas 90.000 !

Il en manque donc 22 % !

 

Telles sont actuellement les « statistiques » de la vie électronique de ce « blog »... qui finalement ne veulent rien dire, sinon que vous êtes entre un petit demi millier et une grosse centaine à y revenir régulièrement (les autres, un gros quart, c'est par hasard, du fait des moteurs de recherche style Google) !

Mais allez savoir pourquoi ?

Perso, je l'ignore totalement (sauf pour quelques-uns).

 

En ce qui me concerne, je sais pourquoi je l'anime : c'est pour « prendre date », me souvenir, me rappeler, dans 5 ans, dans 10 ans si nécessaire et si je vis jusque-là !

 

Bonne continuation à tous !

 

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23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 09:26
Une fois n’est de toute façon pas coutume.
 
Voilà bien un « truc » qui paraît aberrant.
Notre « bon maître » a publié, lundi 14 janvier, une analyse de jurisprudence dans ses propres colonnes.
À cela, rien d’étonnant : après tout, il s’agit d’un avocat au sommet de sa science, en plein exercice de son activité professionnelle et de ses compétences avérées.
 
Il s’adresse « surtout à (ses) confrères, aux étudiants, aux élèves avocats, et aux associations de victimes » à propos d’un point de procédure.
Il a bien raison : on ne sait jamais…
 
La loi est ainsi faite qu’il est un principe clair, repris par plusieurs articles de différentes codes de procédure, qui veut qu’on ne juge pas une même affaire deux fois… pour les même faits et selon les même motifs.
C’est d’ailleurs ce qui interdit au Tribunal de Créteil de rejuger la cause des enfants perdues de « l’Arche de Zoé », le contraignant tout juste à adapter les peines infligées à notre corpus législatif national, puisque le bagne n’existe plus en France…
 
Cela signifierait-il que pour des mêmes faits, mais pour des motifs différents – des « voies de droit » – on pourrait juger deux fois la même chose ?
Autrement dit, mon voisin glisse dans l’escalier et se tue bêtement, si on m’incrimine de meurtre au motif que je l’aurai poussé et que je suis reconnu innocent parce que j’apporte la preuve que j’étais au bas de l’escalier – je ne pouvais donc pas le « pousser » – j’aurai à revenir devant un tribunal pour répondre de l’incrimination de « non assistance à personne en danger » ?
La réponse est négative, cela tombe sous le sens !
 
D’ailleurs, notre « bon maître » fait alors le rapprochement tout à fait justifié avec une affaire ancienne (pas tant que ça quand même) rendue par la Cour de Cassation, dans sa forme la plus solennelle, l’Assemblée Plénière du 6 juillet 2006.
C’est dire toute l’importance que les juges du droit donnaient alors à leur décision, qui prenait d’un coup valeur de « jurisprudence » pour tous les cas semblables et similaires susceptibles de venir leur taquiner l’intellect.
C’était un avertissement des plus clairs contre quelques dérives procédurières.
 
Dans cette affaire là, il s’agissait pour l’héritière d’un co-exploitant agricole de récupérer des sommes jamais payées par l’autre cohéritier, via dévolution successorale du côté du sud de la Loire.
Les histoires de famille… vous savez !
 
Les faits : « Attendu, selon l’arrêt attaqué (Agen, 29 avril 2003) que se prétendant titulaire d’une créance de salaire différé sur la succession de son père pour avoir travaillé sans rémunération au service de celui-ci, Gilbert Y... a, sur ce fondement, assigné son frère, M. René Y..., pris en sa qualité de seul autre cohéritier du défunt, en paiement d’une somme d’argent ; qu’après qu’un jugement eut rejeté cette demande au motif que l’activité professionnelle litigieuse n’avait pas été exercée au sein d’une exploitation agricole, Gilbert Y... a de nouveau assigné son frère en paiement de la même somme d’argent sur le fondement de l'enrichissement sans cause. »
 
Une même cause : le pognon dû contre service rendu. Deux moyens : le Code rural, rejeté ! Ce n’était pas du travail agricole.
L’enrichissement sans cause du Code civil, dans une deuxième instance.
Nouveau rejet de la Cour d’Agen, pour cause d’irrecevabilité.
Prétentions du débouté devant la Cour de Cassation : « Attendu (…) qu’en estimant que ces deux demandes avaient une cause identique, la cour n’a pas tiré les conséquences légales de ses propres constatations et a violé les articles 1351 du code civil et 480 du nouveau code de procédure civile (…) », rien de moins !
 
Suit la leçon de droit émanant des hauts magistrats : « Mais attendu qu’il incombe au demandeur de présenter dès l'instance relative à la première demande l’ensemble des moyens qu’il estime de nature à fonder celle-ci ;(…)
PCM (Par Ces Motifs, pour les béotiens) : REJETTE le pourvoi »
Dont acte et rien de plus logique !
 
Là où ça commence à déraper, c’est quand notre « bon maître » nous rapporte, qui plus est à l’adresse des étudiants, le cas de Mme Y.
« Il s’agissait d’un médecin généraliste qui a pratiqué une liposuccion dans des conditions d’asepsie douteuses qui ont entraîné une gangrène gazeuse ayant nécessité sept interventions chirurgicales et laissé des séquelles gravement invalidantes » à ladite patiente.
(…) Après dix années d’instruction et trois expertises, le tribunal correctionnel (la chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance) a relaxé le médecin et débouté la partie civile de sa demande fondée sur l’article 1382 du Code civil » (Tout fait quelconque de l’homme, qui cause un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé, à le réparer).
 
Déboutée une première fois, Madame Y. saisit de nouveau la juridiction, civile (cette fois) d’une action en responsabilité contractuelle fondée, (non plus sur la notion de « quasi-délit »), mais sur celle de l’article 1147 du C. civ. » (Le débiteur est condamné (…) au paiement de dommages et intérêts (…) à raison de l’inexécution de l’obligation (contractuelle, etc.…)) ».
Le docteur X. soulève en défense une fin de non recevoir tirée de l’article 1351 du Code civil. La Cour d’Appel de Rouen rejette sa demande le 28 juin 2006 et statut au fond.
 
Il se pourvoit en Cassation et là, le 25 octobre 2007, la 2ème Chambre civile lui donne raison, casse et annule exactement sur le même motif que l’arrêt de la chambre plénière du 6 juillet 2006 : « Il incombait à Madame Y. de soulever l’ensemble des moyens qu’elle estimait de nature à fonder la responsabilité du docteur X., puisque l’article 470-1 du Code de procédure pénale donne compétence au juge pénal (…) pour connaître des demandes fondées sur des règles de pur droit civil (…). Madame Y. n’ayant pas soulevé ces moyens subsidiaires devant le tribunal correctionnel, elle est irrecevable à agir devant la juridiction civile. »
Autrement dit, la jurisprudence se confirme au nom de l’unicité du droit sur le territoire : on ne veut voir les gens dans le prétoire qu’une seule fois pour des mêmes faits !
Flûte, c’est marqué partout !
 
Pas du tout, pour notre « bon maître », qui s’offusque de la nouveauté !
Ah bon ? Une nouveauté : Où donc ?
« (…) La solution retenue par la Cour s’insère mal dans les textes. Il va falloir que le législateur intervienne, ou que la Cour écarte sa jurisprudence dans le cas de l’action civile portée au pénal. Sinon, on va aboutir à des décisions totalement inéquitables et dramatiques pour des victimes qui se sont constituées parties civiles. »
 
Euh… non !
Il va falloir, d’abord et surtout que les avocats bossent un peu mieux sur leurs conclusions, et civiles et pénales !
Tout juste pouvait-on dire a contrario de l’article 5 du Code de procédure pénale affirmait déjà qu’une victime portant un fait délictueux uniquement devant le juge civil, ne peut plus la rapporter devant le juge pénal. Ce qui reste toujours vrai.
 
Et qu’inversement, quand il la porte devant le juge pénal, ce dernier est compétent pour traiter de l’affaire même sur le plan civil, ce qui a toujours été le cas (d’autant mieux que le « civil tient le pénal en l’état » et qu’il s’agit du même tribunal ou Cour d’Appel).
La seule chose qui change, c’est qu’une fois devant le pénal, le traitement civil doit être joint dès l’origine, pour ne plus avoir à y revenir.
 
C’est seulement là qu’est la nouveauté de l’arrêt de 2006 dont les gens de métier n’avaient peut-être pas encore tout compris de la portée, arrêt qui tire toute la portée des principes évoqués ci-avant.
Car auparavant, il était courant, qu’une fois le juge pénal ait tranché, on avait parfois coutume de se retourner devant le juge civil, fort d’un jugement favorable, pour invoquer le besoin de sous pour essuyer les larmes d’un préjudice moral (quand il n’était pas aussi matériel).
Bref, de rejouer une partie déjà gagnée à l’avance, mais restée incomplète du fait du cabinet d’avocat.
Ou alors, c’est qu’on voulait cacher au juge pénal les enjeux financiers de sa décision…
 
Pour ma part, j’y vois des précisions bien utiles.
Et une façon de ne pas traîner indéfiniment des « causes de toute une vie ».
 
Alors qu’un avocat en appelle au législateur de peur de ne pas faire correctement son boulot, je la trouve un peu légère, celle-là !

D’autant mieux que ses confrères en appellent, dans la foulée de Rachida Mimi qui voulait « déjuridiciser » une partie des divorces,  à une unification des « professions du droit », verrouillant encore un peu plus l’activité « d’ingénierie juridique » (fiscale et financière en ce qui me concerne, l’une des cordes de mon arc personnel, à cheval avec les « professions du chiffre »), préparant ainsi une « OPA réglementaire » sur l’Intelligence : je ne vous raconte pas les dégâts à venir !

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18 décembre 2007 2 18 /12 /décembre /2007 10:29
G. Dasquié face à la démocratie exécutive…
 
La Seine coule sous les ponts. Il faisait froid mais beau dans notre belle démocratie que le monde entier nous envie, la semaine dernière.
Quelques pères de famille, honnêtes et bien sous tout rapport, veillent âprement à protéger notre si magnifique environnement, pendant que d’autres veillent à faire connaître leur façon de faire, d’agir, leur immense savoir-faire.
 
Il est donc des « secrets défense », des « secrets confidence », qu’il est bon de garder au chaud jusqu’au terme de la prescription extinctive qui les font entrer dans l’Histoire par une fenêtre ou un soupirail.
Alors que certains sont dévoilés, à des fins de manipulation ou de déstabilisation : c’est la règle !
 
Et puis, parfois, il y a des vraies fuites, épiphénomènes de guerres de pouvoir ou de personne, sans contrôle de « l’autorité », comme d’une vraie trahison.
Ça donne une réplique policée, qui cherche à découvrir ce nouveau canal !
 
On imagine sans mal l’homme de chaire et de sang, tout d’un coup au cœur d’une machine à broyer, qui appuie sur les faiblesses, là où ça peut faire mal, pour obtenir ce qu’elle cherche.
On imagine sans peine que l’abri de la loi (le Code pénal, celui du « cousin », celui qui a réussi et dort aux Invalides), les conventions internationales, les traités Européens, les Grandes déclarations des Droits de l’Homme célébrées par nos dirigeants (recevant quelques dictateurs d’état anciennement terroristes), soient un rempart bien fragile.
Même ici, pas très loin de la Place des Droits de l’Homme, dans ma capitale à moi (mais je suis partageur), entre les statues équestres de Foch et Joffre qui se font face, les « coups de canifs » aux grands principes, ça fait aussi partie des « petits accidents de la vie ».
Faut assumer.
 
Et ce n’est pas facile ! On veut même y voir un complot paranoïaque, sans vouloir verser dans la paranoïa : il y a des choses qui s’alimentent toute seules, d’elles-mêmes !
Ce qui est déplaisant, c’est toute tentative de récupération politique : on ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs, c’est une certitude avérée.
Même si il est des méthodes d’un autre âge – pas si lointain dans notre passé proche, même sur les rives de la Seine – qu’il faudrait éventuellement bannir…
 
Ce Proc’ là avait le devoir de poser la question des sources, c’est sa mission au nom de l’intérêt général.
Ces « flics là » avaient le devoir de rechercher la source « non autorisée », pour exactement la même raison.
L’interrogatoire et la pression sur un témoin et un acteur est une nécessité de la procédure, toujours pour la même raison, « raison d’État », « intérêt supérieur de la Nation ».
 
Mais quand ce témoin est protégé par la loi, la loi elle-même, celle qu’un Proc’ est censé défendre, celle que les forces de l’Ordre sont censés protéger, il y a comme une contradiction procédurale, formelle, invalidante, essentiel, flagrante : La loi est décidément mal faite pour être mal appliquée !
Ce sont eux qui devraient être poursuivis, démis de leur fonction et de toute autorité déléguée, bannis de toute fonction publique et représentative du pouvoir, quels qu’ils soient !
 
Il y avait très certainement d’autres façons d’obtenir des certitudes sur ces incertitudes : c’est cela un bon travail d’enquête !
Au lieu d’aller au plus simple, quitte à piétiner la loi elle-même !
Merci à Michel : Ce matin, je reste écoeuré. Un vieux goût de cendre au fond de la bouche !
Car pendant ce temps là, on ouvre un autre front « pipol », quitte à aller « gouverner le pays » chez des « clowns en plein air », comme pour mieux satisfaire l’image, la com’, donner à boire et à manger à la meute des paparazzis, faire vendre du papier, occuper les foules : Tout cela serait-il donc minuté en plus haut lieu ?
 

Bonne journée à tous quand même…

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