Dont deux « revenues », versions améliorées…
Deux couples d'amis jouent aux cartes. Jean-Marc fait tomber ses cartes par terre et en se baissant pour les ramasser sous la table, il s'aperçoit que la copine de Jean-Paul n'a pas de culotte.
Surpris, il se cogne la tête contre la table et ressort tout troublé.
Plus tard, il va à la cuisine chercher quelques bières, elle le suit et demande :
« – As-tu vu quelque chose qui te plaisait sous la table ?
– Oui, en effet ! »
Elle lui fait un clin d'œil, sourit et dit :
« Tu peux te l'offrir pour 200 euros. »
Après deux secondes d'hésitation, Jean-Marc répond qu'il est intéressé.
Elle lui dit alors que Jean-Paul travaille les vendredis après-midi et propose à Jean-Marc de venir chez elle vendredi vers 14 h 00, ce qu'il fait bien sûr.
Après avoir payé les 200 euros, ils vont dans la chambre et font l'amour dans toutes les positions pendant 2 heures puis Jean-Marc s'en va.
Jean-Paul rentre vers 19 h 30 et demande :
« Est-ce que Jean-Marc est venu cet après-midi ? »
Gênée, sa copine lui répond :
« – Oui, il est passé quelques minutes.
– Et est-ce qu'il t'a donné 200 euros ? »
De plus en plus confuse et surprise elle répond :
« – Oui, il m'a effectivement donné 200 euros.
– Très bien, » dit Jean-Paul, « Jean-Marc est passé à mon bureau ce matin, m'a emprunté 200 euros et a promis qu'il passerait chez nous pour me les rendre.
Je savais que je pouvais lui faire confiance ...»
(Dans l’originale, il s’agissait du voisin venu restituer 500 euros et qui demande à sa voisine de lui montrer ses seins dénudés contre la remise de ladite somme…
Comme quoi, c’est la crise : Les tarifs baissent !)
Une femme d’un certain âge va chez un peintre pour se faire faire un portrait :
« – Et s’il vous plait, pouvez-vous ajouter une paire de somptueuses boucles d’oreilles en diamants et rubis, ainsi qu’un magnifique collier de diamants, rubis et saphir, un bracelet en rubis énormes et plusieurs bagues en pierres rares.
– Mais Madame vous ne possédez pas ces bijoux.
– Non, mais si je meure avant mon mari, il va se remarier et je ris de penser que sa nouvelle femme va mettre la maison sens dessus-dessous pour mettre la main sur ces bijoux ! »
Une équipe d’Hollywood tourne dans les Montagnes Rocheuses les extérieurs d’une superproduction.
Le metteur en scène a fait la connaissance d’un vieil Indien qui prédit le temps à coup sûr. Et à la veille de chaque tournage, il va le consulter.
Si l’autre dit qu’il fera beau, on tourne et le ciel est tout bleu.
S’il annonce la pluie, on annule, et effectivement il pleut.
La veille de la dernière scène, la plus spectaculaire, avec des centaines de figurants, le réalisateur court voir son Indien.
« – Alors demain, quel temps ? Soleil ou pluie ?
– Moi pas savoir...
– Comment ça ? Tous les jours tu me prédis le temps sans jamais te tromper et là tu ne peux pas ? Pourquoi ?
– Ma radio est cassée. »
Un petit lapin court dans la jungle quand il aperçoit une girafe en train de se rouler un pétard. Le lapin s’arrête et dit à la girafe :
« Girafe, mon amie, ne fume pas ce pétard et viens plutôt courir avec moi pour garder la forme. »
La girafe réfléchit une minute et décide de jeter son pétard pour suivre le lapin.
Ils courent à présent ensemble, lorsqu’ils voient un éléphant qui s’apprête à sniffer une ligne de coke. Le lapin s’approche de l’éléphant et lui dit :
« Ami éléphant, arrête de sniffer de la coke et viens courir avec nous pour maintenir ta forme. »
Ni une, ni deux, l’éléphant balance son matériel et suit les deux autres.
En route, les trois animaux rencontrent un lion prêt à s’injecter de l’héroïne. Et le lapin :
« Lion, compagnon, ne te pique plus. Viens plutôt courir avec nous. Tu vas voir que ça fait du bien. »
Le lion s’approche du lapin et lui colle une si énorme baffe que le lapin s’en retrouve complétement assommé.
Les autres animaux, choqués, se révoltent contre le lion :
« – Pourquoi as-tu fait ça ? Ce lapin ne cherchait qu’à nous aider.
– Cet idiot m’oblige toujours à courir comme un taré dans la jungle à chaque fois qu’il prend de l’ecstasy. »
Deux jeunes mariés viennent passer leur nuit de noces dans un hôtel.
Comme le veut la tradition, le marié porte sa femme dans ses bras.
À la réception, l'hôtesse a l'air bien ennuyée :
« – Je dois vous dire... votre chambre est au 35ème étage et l'ascenseur est en panne.
– Cela ne fait rien, » dit Jean-Marc, « je la porterai jusque-là. »
Et les deux amoureux grimpent ...
Au premier étage, la femme murmure :
« – Chéri, j'ai quelque chose à te dire ...
– Tu me le diras plus tard, chérie, fais-moi plutôt un baiser. »
Au deuxième étage, elle recommence :
« – J'ai quelque chose à te dire.
– Oh ! Je préfère un baiser. »
Et ainsi de suite jusqu'au 35ème étage. Là, la femme supplie :
« – Chéri, il faut absolument que je te dise ...
– Quoi, mon amour ?
– J'ai oublié la clé de la chambre en bas, à la réception. »
Juan arrive du Mexique à la frontière séparant le Mexique des États-Unis en bicyclette. Il a un gros sac sur ses épaules.
Le douanier l'arrête et lui demande :
« – Qu'est-ce que tu as dans ton sac ?
– Du sable. »
Le douanier, incrédule, lui dit :
« On va voir ça... Descends du vélo. »
Le douanier ouvre le sac et répand le sable qu'il contient sur le sol.
Il fouille dedans sans rien y trouver.
« C'est bon », lui dit-il.
Juan ramasse le sable du mieux qu'il peut et repart sur sa bicyclette.
Une semaine plus tard, la même chose se produit.
Le douanier demande à Juan :
« – Qu'est-ce que tu as dans ton sac cette fois ?
– Du sable. »
Le douanier, qui n'est toujours pas convaincu, décide de détenir Juan pour la nuit et d'envoyer un échantillon du sable pour analyse.
Le lendemain, les résultats révèlent qu'il s'agit bien de sable.
Il laisse donc Juan repartir sur son vélo.
Le petit manège se poursuit tous les deux ou trois jours pendant les quelques années qui suivent.
À chaque fois, le douanier fouille le sac de sable.
Il envoie régulièrement des échantillons pour analyses de toutes sortes mais toujours sans rien trouver d'autre que du sable.
Finalement, quelques années plus tard, Juan arrête de traverser la frontière en bicyclette avec son sac de sable.
Un beau jour, alors qu'il est en retraite, le douanier prend ses vacances au Mexique et rencontre Juan dans un petit bar sur la plage.
« – Hé ! Je te reconnais, toi ! Tu n'es pas le gars qui traversait la frontière en bicyclette avec un sac de sable ?
– Oui, c'est moi.
– Qu'est-ce que tu deviens ? » lui demande le douanier.
« – Je me suis acheté ce petit bar et je vis tranquillement », répond Juan.
« – Écoute, je suis à la retraite et je n'ai plus aucun pouvoir. Je voudrais bien savoir une chose. Je n'ai jamais arrêté de penser à ça depuis que je t'ai vu la première fois. Juste entre toi et moi, tu faisais de la contrebande ?...
– Oui, et c'est comme ça que je me suis acheté ce bar. »
Le douanier s'approche un peu et demande à voix plus basse :
« – Et qu'est-ce que tu passais frauduleusement aux douanes ?
– Des bicyclettes. »
(C’est aussi une « revenue » : L’originale se situait à la frontière espagnole et la contrebande portait sur les Mercedes du gusse…)
Dans une caserne : Le capitaine croise une toute nouvelle recrue.
« – Comment vous appelez-vous, mon garçon ?
– Jean-Marc, et vous ? »
Le capitaine furieux, s’écrie :
« – Mon petit gars, je ne sais pas d’où vous venez, mais apprenez qu’ici je suis le capitaine et que je m’appelle « MON CAPITAINE ». De même, dans ma compagnie, j’appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Jean-Marc Tartempion, je vous appellerai « Tartempion », mais pas Jean-Marc. Avez-vous bien compris ?
– Oui, mon capitaine.
– Bon ! Quel est votre nom de famille ?
– Montcherry.
– Très bien Jean-Marc, au travail ! »
La veille d’un examen final de physique, Jean-Marc et Jean-Paul se rendent à une soirée bien arrosée et se réveillent en retard.
Et, bien sûr, ils avaient très peu étudié.
L’un d’eux eut une idée pas bête. Il va voir le professeur et lui explique qu’ils avaient été rendre visite à une vieille tante à l’extérieur de la ville et avaient décidé de dormir là, et qu'ils s'étaient lèvés tôt pour venir faire leur examen.
Mais voilà, ils ont eu une crevaison, d’où leur retard.
Comme c’étaient de bons étudiants, le professeur leur dit qu’ils pourraient faire un examen demain matin.
Le lendemain, le prof de physique fit asseoir les 2 amis dans deux salles différentes. L’examen ne comportait qu’une question de 100 points :
« Quelle roue ? »
Jean-Marc est célibataire. Il vit avec son père et travaille pour l’entreprise familiale.
Quand il réalise que son père malade n’avait plus que quelques mois à vivre et qu’il allait hériter de sa fortune, il décide qu’il devait trouver une femme pour partager sa vie.
À une soirée d’affaires, il remarque la plus belle femme qu’il n’ait jamais vue.
Sa beauté naturelle lui coupe le souffle. Il s’approche d’elle et lui murmure :
« J’ai peut-être l’air d’un homme ordinaire, mais d’ici quelques semaines mon père va mourir et j’hériterai de 200 millions ».
Impressionnée, la femme demande sa carte de visite et, trois mois plus tard … elle épouse le père malade !
« Sachant qu'un train part de Paris à 15 h 32. Qu'il croisera 18 vaches et 12 veaux ; qu'à la gare de Lille, 36 voyageurs descendront et 28 monteront ; que 11 vont en 1ère classe, 14 en 2ème classe et 3 resquillent ; que le chef de gare siffle le départ 10 minutes plus tard et que 3 voitures ont été accrochées au convoi, quel est mon âge ? »
Tous les élèves se regardent, cherchant à comprendre ce qui leur aurait échappé.
Au bout de 5 minutes, un enfant lève la main.
« – Tu as trouvé, Jean-Marc ? C'est très bien ! Nous t'écoutons.
– Vous avez 52 ans, monsieur !
– C'est exact ! Comment as-tu trouvé la solution ?
– C'est facile, monsieur ! Mon cousin, il a 26 ans... Et il est à moitié fou ! »
Bon week-end à toutes et tous !
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