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D'où Erre-Je ?

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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 04:02

Dont deux « revenues », versions améliorées…

 

Deux couples d'amis jouent aux cartes. Jean-Marc fait tomber ses cartes par terre et en se baissant pour les ramasser sous la table, il s'aperçoit que la copine de Jean-Paul n'a pas de culotte.

Surpris, il se cogne la tête contre la table et ressort tout troublé.

Plus tard, il va à la cuisine chercher quelques bières, elle le suit et demande :

« – As-tu vu quelque chose qui te plaisait sous la table ?

– Oui, en effet ! »

Elle lui fait un clin d'œil, sourit et dit :

« Tu peux te l'offrir pour 200 euros. »

Après deux secondes d'hésitation, Jean-Marc répond qu'il est intéressé.

Elle lui dit alors que Jean-Paul travaille les vendredis après-midi et propose à Jean-Marc de venir chez elle vendredi vers 14 h 00, ce qu'il fait bien sûr.

Après avoir payé les 200 euros, ils vont dans la chambre et font l'amour dans toutes les positions pendant 2 heures puis Jean-Marc s'en va.

Jean-Paul rentre vers 19 h 30 et demande :

« Est-ce que Jean-Marc est venu cet après-midi ? »

Gênée, sa copine lui répond :

« – Oui, il est passé quelques minutes.

– Et est-ce qu'il t'a donné 200 euros ? »

De plus en plus confuse et surprise elle répond :

« – Oui, il m'a effectivement donné 200 euros.

– Très bien, » dit Jean-Paul, « Jean-Marc est passé à mon bureau ce matin, m'a emprunté 200 euros et a promis qu'il passerait chez nous pour me les rendre

Je savais que je pouvais lui faire confiance ...»

 

(Dans l’originale, il s’agissait du voisin venu restituer 500 euros et qui demande à sa voisine de lui montrer ses seins dénudés contre la remise de ladite somme…

Comme quoi, c’est la crise : Les tarifs baissent !)

 

Une femme d’un certain âge va chez un peintre pour se faire faire un portrait :

« – Et s’il vous plait, pouvez-vous ajouter une paire de somptueuses boucles d’oreilles en diamants et rubis, ainsi qu’un magnifique collier de diamants, rubis et saphir, un bracelet en rubis énormes et plusieurs bagues en pierres rares.

– Mais Madame vous ne possédez pas ces bijoux.

– Non, mais si je meure avant mon mari, il va se remarier et je ris de penser que sa nouvelle femme va mettre la maison sens dessus-dessous pour mettre la main sur ces bijoux ! »

 

Une équipe d’Hollywood tourne dans les Montagnes Rocheuses les extérieurs d’une superproduction.

Le metteur en scène a fait la connaissance d’un vieil Indien qui prédit le temps à coup sûr. Et à la veille de chaque tournage, il va le consulter.

Si l’autre dit qu’il fera beau, on tourne et le ciel est tout bleu.

S’il annonce la pluie, on annule, et effectivement il pleut.

La veille de la dernière scène, la plus spectaculaire, avec des centaines de figurants, le réalisateur court voir son Indien.

« – Alors demain, quel temps ? Soleil ou pluie ?

– Moi pas savoir...

– Comment ça ? Tous les jours tu me prédis le temps sans jamais te tromper et là tu ne peux pas ? Pourquoi ?

– Ma radio est cassée. »

 

Un petit lapin court dans la jungle quand il aperçoit une girafe en train de se rouler un pétard. Le lapin s’arrête et dit à la girafe :

« Girafe, mon amie, ne fume pas ce pétard et viens plutôt courir avec moi pour garder la forme. »

La girafe réfléchit une minute et décide de jeter son pétard pour suivre le lapin.

Ils courent à présent ensemble, lorsqu’ils voient un éléphant qui s’apprête à sniffer une ligne de coke. Le lapin s’approche de l’éléphant et lui dit :

« Ami éléphant, arrête de sniffer de la coke et viens courir avec nous pour maintenir ta forme. »

Ni une, ni deux, l’éléphant balance son matériel et suit les deux autres.

En route, les trois animaux rencontrent un lion prêt à s’injecter de l’héroïne. Et le lapin :

« Lion, compagnon, ne te pique plus. Viens plutôt courir avec nous. Tu vas voir que ça fait du bien. »

Le lion s’approche du lapin et lui colle une si énorme baffe que le lapin s’en retrouve complétement assommé.

Les autres animaux, choqués, se révoltent contre le lion :

« – Pourquoi as-tu fait ça ? Ce lapin ne cherchait qu’à nous aider.

– Cet idiot m’oblige toujours à courir comme un taré dans la jungle à chaque fois qu’il prend de l’ecstasy. »

 

Deux jeunes mariés viennent passer leur nuit de noces dans un hôtel.

Comme le veut la tradition, le marié porte sa femme dans ses bras.

À la réception, l'hôtesse a l'air bien ennuyée :

« – Je dois vous dire... votre chambre est au 35ème étage et l'ascenseur est en panne.

– Cela ne fait rien, » dit Jean-Marc, « je la porterai jusque-là. »

Et les deux amoureux grimpent ...

Au premier étage, la femme murmure :

« – Chéri, j'ai quelque chose à te dire ...

– Tu me le diras plus tard, chérie, fais-moi plutôt un baiser. »

Au deuxième étage, elle recommence :

« – J'ai quelque chose à te dire.

– Oh ! Je préfère un baiser. »

Et ainsi de suite jusqu'au 35ème étage. Là, la femme supplie :

« – Chéri, il faut absolument que je te dise ...

– Quoi, mon amour ?

– J'ai oublié la clé de la chambre en bas, à la réception. »

 

Juan arrive du Mexique à la frontière séparant le Mexique des États-Unis en bicyclette. Il a un gros sac sur ses épaules.

Le douanier l'arrête et lui demande :

« – Qu'est-ce que tu as dans ton sac ?

– Du sable. »

Le douanier, incrédule, lui dit :

« On va voir ça... Descends du vélo. »

Le douanier ouvre le sac et répand le sable qu'il contient sur le sol.

Il fouille dedans sans rien y trouver.

« C'est bon », lui dit-il.

Juan ramasse le sable du mieux qu'il peut et repart sur sa bicyclette.

Une semaine plus tard, la même chose se produit.

Le douanier demande à Juan :

« – Qu'est-ce que tu as dans ton sac cette fois ?

– Du sable. »

Le douanier, qui n'est toujours pas convaincu, décide de détenir Juan pour la nuit et d'envoyer un échantillon du sable pour analyse.

Le lendemain, les résultats révèlent qu'il s'agit bien de sable.

Il laisse donc Juan repartir sur son vélo.

Le petit manège se poursuit tous les deux ou trois jours pendant les quelques années qui suivent.

À chaque fois, le douanier fouille le sac de sable.

Il envoie régulièrement des échantillons pour analyses de toutes sortes mais toujours sans rien trouver d'autre que du sable.

Finalement, quelques années plus tard, Juan arrête de traverser la frontière en bicyclette avec son sac de sable.

Un beau jour, alors qu'il est en retraite, le douanier prend ses vacances au Mexique et rencontre Juan dans un petit bar sur la plage.

« – Hé ! Je te reconnais, toi ! Tu n'es pas le gars qui traversait la frontière en bicyclette avec un sac de sable ?

– Oui, c'est moi.

– Qu'est-ce que tu deviens ? » lui demande le douanier.

« – Je me suis acheté ce petit bar et je vis tranquillement », répond Juan.

 « – Écoute, je suis à la retraite et je n'ai plus aucun pouvoir. Je voudrais bien savoir une chose. Je n'ai jamais arrêté de penser à ça depuis que je t'ai vu la première fois. Juste entre toi et moi, tu faisais de la contrebande ?...

– Oui, et c'est comme ça que je me suis acheté ce bar. »

Le douanier s'approche un peu et demande à voix plus basse :

« – Et qu'est-ce que tu passais frauduleusement aux douanes ?

– Des bicyclettes. »

 

(C’est aussi une « revenue » : L’originale se situait à la frontière espagnole et la contrebande portait sur les Mercedes du gusse…)

 

Dans une caserne : Le capitaine croise une toute nouvelle recrue.

« – Comment vous appelez-vous, mon garçon ?

Jean-Marc, et vous ? »

Le capitaine furieux, s’écrie :

« – Mon petit gars, je ne sais pas d’où vous venez, mais apprenez qu’ici je suis le capitaine et que je m’appelle « MON CAPITAINE ». De même, dans ma compagnie, j’appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Jean-Marc Tartempion, je vous appellerai « Tartempion », mais pas Jean-Marc. Avez-vous bien compris ?

– Oui, mon capitaine.

– Bon ! Quel est votre nom de famille ?

– Montcherry.

– Très bien Jean-Marc, au travail ! »

 

La veille d’un examen final de physique, Jean-Marc et Jean-Paul se rendent à une soirée bien arrosée et se réveillent en retard.

Et, bien sûr, ils avaient très peu étudié.

L’un d’eux eut une idée pas bête. Il va voir le professeur et lui explique qu’ils avaient été rendre visite à une vieille tante à l’extérieur de la ville et avaient décidé de dormir là, et qu'ils s'étaient lèvés tôt pour venir faire leur examen.

Mais voilà, ils ont eu une crevaison, d’où leur retard.

Comme c’étaient de bons étudiants, le professeur leur dit qu’ils pourraient faire un examen demain matin.

Le lendemain, le prof de physique fit asseoir les 2 amis dans deux salles différentes. L’examen ne comportait qu’une question de 100 points :

« Quelle roue ? »

 

Jean-Marc est célibataire. Il vit avec son père et travaille pour l’entreprise familiale.

Quand il réalise que son père malade n’avait plus que quelques mois à vivre et qu’il allait hériter de sa fortune, il décide qu’il devait trouver une femme pour partager sa vie.

À une soirée d’affaires, il remarque la plus belle femme qu’il n’ait jamais vue.

Sa beauté naturelle lui coupe le souffle. Il s’approche d’elle et lui murmure :

« J’ai peut-être l’air d’un homme ordinaire, mais d’ici quelques semaines mon père va mourir et j’hériterai de 200 millions ».

Impressionnée, la femme demande sa carte de visite et, trois mois plus tard … elle épouse le père malade !

 

« Sachant qu'un train part de Paris à 15 h 32. Qu'il croisera 18 vaches et 12 veaux ; qu'à la gare de Lille, 36 voyageurs descendront et 28 monteront ; que 11 vont en 1ère classe, 14 en 2ème classe et 3 resquillent ; que le chef de gare siffle le départ 10 minutes plus tard et que 3 voitures ont été accrochées au convoi, quel est mon âge ? »

Tous les élèves se regardent, cherchant à comprendre ce qui leur aurait échappé.

Au bout de 5 minutes, un enfant lève la main.

« – Tu as trouvé, Jean-Marc ? C'est très bien ! Nous t'écoutons.

– Vous avez 52 ans, monsieur !

– C'est exact ! Comment as-tu trouvé la solution ?

– C'est facile, monsieur ! Mon cousin, il a 26 ans... Et il est à moitié fou ! »

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

I3

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5 juillet 2013 5 05 /07 /juillet /2013 04:02

Suites des perles du Bac 2013

 

Les résultats, c’est aujourd’hui.

Et y’en a qui vont être surpris.

En commençant par « ma nichée » avec cette formule appelée à devenir célèbre :

« De Gaulle était gaulliste ! »

Une vérité jusque-là méconnue…

 

Philo : Le sujet sur le langage les a passionnés !

 

« Lorsque les Schtroumphs disent "je te schtroumph", cela signifie-t-il : je t'aime/te déteste ... ? Ainsi nous interprétons selon le contexte. De même dans Pingu, bien que pas répertorié, cette animation est mondialement interpréter. »

Bé oui, quand un schtroumpf schtroumpfe le grand schtroumpf qui schtroumpfe sur le schtroumpf, en schtroumpfant de la schtroumpfette pendant la schtroumpfe de la schtroumpfe, pour schtroumpfer la schtroumpfette, tout le monde comprend que le schtroumpf réveille le grand schtroumpf qui dort sur le dos, en jouant de la trompette pendant l’heure de la sieste pour amuser la schtroumpfette…

 

« Le langage peut être un outil même si les gens parlent pour faire du vent : ça fait courant d'air. »

Ah les idées creuses, ne m’en parlez pas !

 

« Le langage corporel devient un outil de survie quand il s'agit de la reproduction de l'espèce. »

Y’en a qui aurait dû recevoir la médaille du mérite national que d’avoir forniqué pour enfanter un génie pareil !

 

« Bernardo, le copain de Zorro, ne parlait pas : il devait donc utiliser un autre langage pour se faire comprendre. »

Mais comme Zorro était masqué, il n’entendait rien, peut-être ?

 

« Le langage n'est pas seulement parlé. Il y a aussi les gestes (plus ou moins prononcés en fonction des pays). »

Le langage de la claque, plus ou moins « prononcée » … par exemple ?

 

« Le langage est comme tous les outils, parfois il fatigue. »

Ça c’est bin vrai, ça : Surtout en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » où on passe pour des taciturnes à ne rien dire fascinés qu’on est par les nuages qui passent !

 

« Par exemple, une personne muette qui ne peut pas parler. »

Sauf avec les doigts…

 

« Parfois, il est vrai que l'on se sert du langage comme un outil pour arriver à ses fins : ici, j'essaie désespérément d'utiliser le langage pour vous prouver que je mérite une bonne note. »

Ce n’est pas gagné !

 

« Le langage des sourds et muets n'existe pas, ils communiquent avec des signes, en fait, ils ont un langage différent des gens normales. »

Communiquent-ils de la sorte avec des aveugles ?

 

« Moralité et politique ne font pas toujours bon ménage (ex : DSK) ».

Ils en viennent même à divorcer…

 

« S'il n'y avait pas de lois, les gens seraient libres de conduire en état de sobriété. »

Car les lois les obligent à piloter bourrés…

 

« Je devrai ici citer une référence mais je n'en ai que deux pour tout le devoir, alors je la garde pour plus loin. »

Deux, ce n’est pas limite « over-dose » ?

 

« Enfin, il est à noter que nous devons également à l'État certains de nos états psychologiques : tristesse, déprime, rage, dégoût, envie de partir... »

Et le bonheur de la gay-pride, la fête de la musique, la techno-parade, le feu d’artifice du 14 juillet, humm ?

 

« Le travail n'est pas toujours révélateur d'un potentiel : par exemple, certains élèves de ma classe n'ont rien fait pendant l'année et ils auront quand même leur bac. »

Délateur, va ! On veut des noms !

 

 

Histoire :

 

« Le document doit comporter une erreur : Jacques Chirac est un Président de la République et pas Premier Ministre. »

Comme quoi, parfois jeunesse est bien ignorante pour ne pas se rappeler qu’il a été les deux et à deux reprises, en plus...

 

« Jacques Chirac était premier sinistre lors de l'enterrement des idées de de Gaulle. »

(Il s’agit du sujet de comparaison de deux textes sur le rôle de l’État, l’un du Général en 1948 et l’autre du premier ministre de la première cohabitation) :

Le mek a tout compris, finalement !

 

« À la fin de sa vie, De Gaulle était tellement célèbre qu'on a inventé un parti politique pour lui rendre hommage : le parti gaulliste RPR. »

Le RPR date de 1970 ?

Notez que depuis, c’est fini : Il a juste droit à une place où les parigots ont dressé un arc de triomphe !

 

« Jacques Chirac dit que les français ne veulent plus de la collectivisation, ça veut dire qu'ils en ont assez de vivre en collectivité les uns sur les autres. »

Rasez-moi ces z’hideux HLM que je saurai voir…

À moins qu’ils en aient déjà eu ras-le-bol de « s’emboîter » tous sexes confondus depuis l’avènement de la « théorie du genre » et du mariage pour tous à venir ?

 

« Charles de la Gaulle a été Président de la République. »

Voilà qui m’en bouche un large coin !

 

 

Géographie :

 

« La gestion durable de ce milieu passe impérativement par un aménagement des côtés. »

Incontournable !

 

« Pour gérer durablement ce type de milieu, il faut penser à l'écologie : par exemple, replanter des fleurs et des arbres, laisser les chenilles devenir des papillons ou encore tailler régulièrement les haies. »

C’est du développement durable, ça !

 

« On voit que l'Union Européenne occupe une place centrale dans les échangismes internationaux. »

Un vaste bordel international ?

 

« Sur le schéma, l'UE est celui qui a le plus gros rond. Les autres pays ont des ronds moins gros. Et aussi plein de flèches partent un peu partout. L'UE a aussi le plus grand score. Donc c'est que c'est plutôt bien. »

Impeccable : Ça c'est de l'analyse de schéma !

 

« Q : Citez deux villes mondiales.

R : "Mexique" et "Chine" »

Pas mal vu… Mais un peu large d’esprit.

 

« L'Afrique du sud a été créé en 1815 par Nelson Mandela. »

Celui qui se meurt en ce moment, 2013 ?

 

« En Afrique du sud, il y a plusieurs peuples qui ne parlent pas la même langue : c'est la biodiversité. »

Pourquoi pas ?

 

« L’Afrique du sud poursuit son développement autour de ses grandes villes : Johannesburg, Dublin ou encore le cap. »

Vaste continent transocéanique, s’il en est !

 

Et la meilleure pour la fin ! Physique :

 

« Les ondes sismiques ne se déplacent pas le lundi. »

C’est bien connu, n’est-ce pas !

Ni les jours de grève, d’ailleurs…

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

I3

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28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 04:03

Le grand prix du Press Club

 

Ce coup-là, c’est l’ancien ministre Gérard Longuet (UMP) a qui remporté lundi dernier le grand prix du Press Club, « Humour et Politique » pour une pique sur le mariage et le chef de l’État :

 

« Hollande est pour le mariage pour tous... sauf pour lui ».

La phrase qui a valu au sénateur de la Meuse d’être le vainqueur de l’édition 2013 de ce prix créé en 1988.

 

Un Prix Spécial du Jury revient à Jean-François Copé pour :

« À l’UMP, nous apprenons la démocratie. C’est assez nouveau ».

 

Un Prix des internautes couronne Jean-Luc Romero, conseiller régional PS d’Île-de-France pour :

« Un gay qui vote à droite, c’est comme une dinde qui vote pour Noël ».

 

Deux prix de l’encouragement ont été créés.

Ils vont à Marisol Touraine, ministre des Affaires Sociales et de la Santé pour sa saillie :

« Il y a quand même des médicaments qui soignent !»

 

Et à Jean-Jacques Urvoas, président PS de la Commission des lois à l’Assemblée Nationale :

« J’étais aux Baumettes. J’en suis sorti, à la différence des socialistes marseillais ».

 

Le jury, précise dans le communiqué officiel, qu’il « a tenu à offrir un Prix-Nocchio à Jérôme Cahuzac » pour son interrogation :

« Pourquoi démissionner quand on est innocent ? »

 

Autre innovation du cru 2013, des récompenses pour des tweets politiques :

Un Grand prix à Jean-Luc Mélenchon, coprésident du PG, pour :

« Je suis plus nombreux que jamais ».

 

Et un prix spécial du jury à Christophe Girard, maire PS du IVème arrondissement de Paris pour ce lapsus :

« Les bois sur verge : un projet durable ».

 

Rappelons que le principal lauréat du prix 2012 avait été François Goulard :

« Être ancien ministre, c’est s’asseoir à l’arrière d’une voiture et s’apercevoir qu’elle ne démarre pas ».

 

En 2010, la gagnante avait été Eva Joly pour son :  

« Je connais bien Dominique Strauss-Kahn, je l'ai mis en examen. »

 

En 2009, c'est Bertrand Delanoë qui avait été primé pour avoir déclaré :

« Le vrai changement au PS, ce serait de gagner. »

 

Ces prix décernés par un jury de journalistes et d'humoristes récompense « l'auteur de la phrase la plus hilarante de l'année, qu'il s'agisse indistinctement d'humour volontaire ou involontaire »

 

Mais il y en eu d’autres !

Parmi les impétrants, Bernadette Chirac :

« Rendez-vous compte, dans ma famille, ils ont tous voté Hollande. Sauf Jacques, mais il ne le sait pas. »

C'est un concentré follement cruel et cynique : Bernadette Chirac fait dans le détournement de procuration et s'en vante !

Avouez qu'elle est géniale !

Elle aurait dû remporter le grand prix toutes années confondues.

 

Et c’est l’occasion pour moi de rappeler les « inimitables » du « cousin-André » qui fait aussi maire « d’Issy-les-moules » dans le « neuf-deux » (même s’ils n’y sont pas toutes, parce que j’en ai déjà reprises) :

 

« Les énarques, ces hommes dédaigneux, qui savent des choses inutiles... »

 

« Vous êtes intelligents, la preuve vous êtes dans les affaires, nous on ne sait rien, la preuve on est dans la politique. »

 

« La télévision est par nature une fenêtre déformante ; en laissant voir les événements qui agitent le monde, elle ne fait que rapporter une vérité, celle qu'elle croît être la plus proche de la vérité. »

 

« Épouse : mot tombé en désuétude. À remplacer impérativement par “travailleuse maritale non rémunérée”, “survivante de l’incarcération domestique” ou même “prostituée légalisée”. »

 

« La preuve que le pape ne connaît rien à l'utilisation du préservatif, c'est qu'il l'a mis à l'index. »

 

« Les socialistes ont progressé. Ils sont passés de la gauche paillette à la gauche paillotte. »

 

« À force de fumer, je suis devenu cendre. »

 

« Barre, c'est mon compagnon de chambre : il dort à côté de moi à l'Assemblée. »

 

(Toujours à propos de Raymond Barre) : « Quand je le vois roupiller à l'assemblée nationale et qu'il ne roupille pas, il se tourne les pouces et je me dis : tiens il fait son jogging. »

 

« La droite a touché le fond de la piscine : maintenant, elle creuse. »

 

« Pour être pistonné, il faut des relations. Le député est la relation de ceux qui n'en ont pas. ... Nous sommes la réincarnation du roi de France, qui guérissait les écrouelles. »

 

« Si l'éclipse du 11 août 1999 avait été de gauche, elle aurait été organisée par Jack Lang. »

 

« Si Saint-Louis rendait la justice sous un chêne, Arpaillange la rend comme un gland. »

 

« Je crois qu'on en a fait un peu trop pour les obsèques de François Mitterrand. Je ne me souviens pas qu'on en ait fait autant pour Giscard. »

 

(À propos d'Édith Cresson) : « À force de descendre dans les sondages, elle va finir par trouver du pétrole. »

 

« La différence entre un cocu et un député, c'est que le premier n'est pas obligé d'assister à la séance. »

 

(À propos d'Alain Juppé) : « Le Premier Ministre souhaite un Gouvernement ramassé ; il a parfaitement réussi. »

 

(Toujours à propos d'Alain Juppé) : « Avant, le Gouvernement allait dans le mur, maintenant il klaxonne. »

 

(À propos de Lionel Jospin) : « Je crois qu'il lui manque une case. C'est celle de l'oncle Tom. »

 

« Les experts naquirent du grand besoin qu'ils avaient d'eux-mêmes. »

 

Et puis une « authentique » de l’inénarrable « Mélangeons », leader du « Front de gôche »  de passage au Bourget :

« Moi, quand je voyage, je voyage en classe affaires. J'ai passé l'âge d'aller me faire briser le dos à la classe économique. »

Et il s’empresse de rajouter dans la foulée :

« Ils vous mettent comme des sardines là-dedans. C'est une honte ! Le transport aérien, les trois quarts du temps, est extrêmement désagréable. Ne me dites pas le contraire. »

 

Sur le fond, on ne peut pas lui donner tort. Sauf qu'il faut avoir les moyens de ses envies !

Imaginons qu’il veuille se rendre à Pékin, capitale de la Chine, pays dont il vante souvent les mérites...

Le meilleur tarif pour un aller-retour en classe affaires sur « Air-transe » – il serait inimaginable que le patriote, toujours prompt à dénoncer le libéralisme de Bruxelles et la dérégulation mondiale, prenne une compagnie étrangère – dépasse les 4.000 euros : 2.166 euros pour un départ sur le vol AF128 lundi 1er juillet et 2.088 euros pour un retour sur le vol AF381 le 11 juillet par exemple.

Encore sont-ce là les tarifs les moins chers pour ce type de confort.

 

Si Fidel (Castro) venait à rejoindre le « Che » dans son repos éternel, le même voyage aux mêmes dates – car il serait dommage de ne pas profiter des plages de la perle des Caraïbes – reviendrait à un peu plus de 4.200 euros.

Prendre le vol AF3534 à l'aller et l’AF3539 au retour.

 

Enfin, heureuse surprise !

S’il venait à l'ancien candidat à la présidentielle la fantaisie de se rendre à New-York pour y effectuer deux ou trois emplettes, il payerait substantiellement moins cher... Pour 1.907 euros, il peut s'offrir un aller-retour pour la capitale mondiale du libéralisme.

Sans doute sont-ce là les effets de la libre concurrence...

 

Bref, pour que le dos délicat du bonhomme n'ait pas à souffrir des turbulences, il lui en coûtera 1,8 smic (actuellement fixé à 1.121 euros net pour 35 heures de travail hebdomadaires) pour gagner New-York et quatre pour humer le bon air de la liberté à Cuba !

J’adore…

 

Et pour clore cette journée, une dernière de Jean-Marc :

 

Une belle jeune femme blonde rencontre une de ses amies d'enfance, qu'elle n'avait pas revue depuis la petite école...

« – Alors, qu'est-ce que tu es devenue ? », lui demande-t-elle.

« – Eh bien, après l'école primaire, je suis entrée au collège, j'ai eu mon B.E.P.C. et ensuite mon B.A.C.

Ensuite, j'ai intégré un I.U.T, j'en suis sortie avec un D.U.T qui m'a permis d'entrer à la FAC ou j'ai obtenu un D.E.U.G. Ayant pris goût aux études j'ai fait un M.B.A et maintenant je suis P.D.G d'une P.M.E ! Je crois que je peux dire que j'ai réussi.... Mais je parle, je parle... Et toi que deviens-tu ?

Moi ? J'ai pas mal réussi aussi, mais seulement avec mon C.U.L »

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

I3

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 04:02

Toutes chaudes, ces perles du bac !

 

Et à peine corrigées :

 

« La langue sert à goûter les aliments ; hélas, on ne peut pas la débrancher à la cantine. »

Voilà un gourmet très au fait de la restauration-municipale.

 

« La science qui s'occupe des ancêtres s'appelle la gynécologie. »

C’est une façon de voir les choses, effectivement.

 

« Les vitamines sont nommées par le nom des aliments, par exemple, dans le hareng il y a de la vitamine A, dans la bière de la B et ainsi de suite. »

Erreur : La vitamine B est celle de la bêtise, manifestement…

Et la A, c’est pour abruti.

Je ne dirai pas la C !

 

« Une ligne peut être perpendiculaire, droite, parallèle, courbe mais c'est pas elle qui décide. »

Voilà un futur politicien qui a tout compris…

 

« Pythagore inventa la formule d'un triangle rectangle, le carré de la longueur de l'hyppopotamus est égal à la somme des carrés des longueurs des côtés de l'angle droit. »

L’addition risque d’être lourde au moins autant que la note légère.

 

« Pendant la guerre froide, deux blocs s'affrontent, un bloc chaud, les États-Unis avec Miami et ses belles plages, et un bloc froid, la Russie, avec ses immensités de glace, la Sibérie. »

Et les filles sont plus accortes quand il fait froid ou qu’il fait chaud ?

 

« C'est à Luc Ferry que l'on doit l'obligation d'aller à l'école même si on en a pas envie. »

Lui, on n’est pas prêt de le mener en bateau (le « ferry »).

 

« Napoléon se débarrassa de Bonaparte en l'envoyant construire les pyramides ».

Bien vu : Et son neveu en ramena l’obélisque depuis Louxor !

 

« Les constructions des Grecs et des Romains n'étaient pas très solides, c'est pour ça qu'ils ne nous ont laissé que des ruines. »

Ruine de l’âme sans consistance ou du temps qui passe ?

 

« L'Odyssée est l'histoire du long voyage qu'a fait Ulysse qui ne supportait pas de voir sa femme Pénélope tricoter. »

Y’avait pas les games-boy, à son époque…

 

« Les habitants de l'Encyclopédie, les cyclopes, étaient des monstres énormes et terrifiants qui attrapaient facilement leurs proies, les pauvres petits hommes, malgré leur œil unique au milieu du front comme la lampe des mineurs. »

Voilà bien une idée lumineuse !

 

« Ce Jean-Jacques Rousseau est-il le véritable auteur du code de la route ? Nous n'en sommes pas sûrs. »

Être ou ne pas être, telle est la question !

 

« Une Saison en Enfer est un recueil de poésies écrites par Rambo »

Rimbaud s’en fait encore des loopings dans son cercueil…

 

« On voit que dans ce poème le poète raconte n'importe quoi pour séduire la gonzesse. »

C’est un peu l’idée : Que n’inventerait-on pas pour faire briller les yeux d’une « belle » ?

 

« Corrigez "j'habite sur Paris" : « J'habite Montreuil ». »

Voilà un élève qui prend de la hauteur avec son treuil…

 

« Sous quel nom H2O est-il plus connu ?

Les espions prennent souvent des surnoms, comme OSS 117. Je pense que H2O devait être le nom d'un espion pendant la guerre froide. »

C’est cela, vouiiii…

 

« Einstein était un savant connu pour tirer la langue. »

Heureusement qu’il ne tirait pas une gueule comme ça…

 

« L'autarcie possède de belles montagnes où l'on peut faire du ski. »

Et l’otarie des nageoires conçues pour faire de la luge sur la banquise….

 

« L'économie de l'Europe, surtout de la France, coule à cause des fonctionnaires, sauf ceux de l'enseignement qui sont mal payés et pas respectés. »

Voilà qui vaut au moins la moyenne !

 

« La Corée est une dictature avec son cruel président King Kong. »

Le grand-singe velu ?

 

« Les Zastèques et les Zincas vivaient en Amérique du sud. »

Incontournable !

 

« L'outremer est composé de plages, de palmiers et bien entendu de la mer. »

Bien vu : Un grand connaisseur qui fera l’ENA, section – Plages interdites…

 

Et puis quelques autres à venir, le temps de finir de corriger les copies…

 

Pour l’heure, c'est l'histoire d'un bègue qui trouve un jour un cheval mort dans la rue, juste en face d'où il habite, Il décide de téléphoner au commissariat...

« – Bbb.. bbb.bbb... bonjj jj...bonjour ! C'est... c'est... c'est... c'est l'co.. co... co... commisss... missariat ?

– Allô ? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?

– Y.. y.. y... y'a un che.. che.. che.. cheval mm.. mm.. mm.. mort à la rr... rr.. rrue Gaga... Ga.. Gaga..Gaga...

– À la rue Garibaldi ?

– Nnnon ! À la rr... rr.. rrue Gaga.. .Ga.. Gaga.. Gaga...

– Bon, écoutez : Je n'ai pas que ça à faire, hein ? Alors bonne journée ! »

Et le policier raccroche.

Cinq minutes plus tard :

« – Bbb.. bbb.bbb... bonjj jj...bonjour ! C'est... c'est... c'est... c'est l'co.. co... co... commisss... missariat ?

– Allô ? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?

– Y.. y.. y... y'a un che.. che.. che.. cheval mm.. mm.. mm.. mort à la rr... rr.. rrue Gaga... Ga.. Gaga..Gaga...

– À la rue Garibaldi ?

– Nnnon ! À la rr... rr.. rrue Gaga.. .Ga.. Gaga.. Gaga...

– Bon, écoutez : Je n'ai pas que ça à faire, hein ? Alors bonne journée ! »

Et le policier raccroche.

Enfin, une heure plus tard :

« – Bbb.. bbb.bbb... bonjj jj...bonjour ! C'est... c'est... c'est... c'est l'co.. co... co... commisss... missariat ?

– Allô ? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?

– Y.. y.. y... y'a un che.. che.. che.. cheval mm.. mm.. mm.. mort à la rr... rr.. rrue Gaga... Ga.. Gaga..Gaga...

– À la rue Garibaldi ?

– Ouiiiiiii ! À la rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Garibaldi !

– Mais il fallait nous le dire plus tôt ! Enfin, pourquoi avoir attendu aussi longtemps ?

– Il a ff.. ff.. ffallu qu.. qq.. q. que j.. je. jj.. j que jj.. que je le déplace ! »

 

Babeth nous en a envoyées des bien bonnes :

« Vue par les enfants, la vie est différente... »

 

Nudité : Je conduisais avec mes trois jeunes enfants un soir d'été chaud lorsqu'une femme dans une décapotable devant nous se lève et nous salue de la main. Elle était complétement nue ! J'étais encore sous le choc quand mon petit garçon de 5 ans assis sur le siège arrière dit :

« Maman ! La dame ne porte pas sa ceinture de sécurité ! »

 

Encore de la nudité : Un petit garçon se perd dans les couloirs d'un centre de remise en forme et se retrouve dans le vestiaire des femmes.

Lorsqu'il est remarqué, toute la salle se met à crier, les femmes se dépêchant de se couvrir d'une serviette.

Le petit garçon regarde tout ça avec surprise puis demande :

« Qu'est-ce qui se passe ? Vous n'avez jamais vu un petit garçon avant ? »

 

Vieillesse : Lorsque je travaillais pour une organisation qui livre des lunchs dans un foyer pour personnes âgées, j'avais l'habitude d'amener ma petite fille de 4 ans avec moi. Les divers accessoires des vieillards, particulièrement les cannes, marchettes et fauteuils roulants l'intriguaient beaucoup.

Un jour, je la retrouve fascinée devant un verre contenant un dentier.

Comme je me préparais à une suite inévitable de questions, elle se tourne simplement et chuchote :

« La petite souris ne croira jamais ça ! »

 

Habillement : Une petite fille regardait ses parents s'habiller pour une soirée.

Quand elle vit son père mettre son smoking, elle l'avertit :

« – Papa, tu ne devrais pas porter ce veston.

– Et pourquoi pas, chérie ?

– Parce que tu sais qu'il te donne toujours un mal de tête le lendemain matin. »

 

Bible : Un petit garçon ouvre la grosse bible familiale. Il est fasciné et regarde les vieilles pages jaunies.

Soudain, quelque chose tombe de la bible.

Il ramasse l'objet, le regarde attentivement et voit que c'est une vieille feuille de platane qui avait été pressée entre les pages.

« – Maman, regarde ce que j'ai trouvé !

– Qu'as-tu as trouvé là, mon chéri ? » demande sa mère.

Avec une voix étonnée, il répond :

« Je pense que c'est le sous-vêtement d'Adam. »

 

 

Bon, la dernière c’est une « recuite » déjà de retour, j’en conviens…

Mais bon week-end à toutes et tous quand même !

 

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14 juin 2013 5 14 /06 /juin /2013 04:03

« DES VERRES PEUVENT CHANGER VOTRE PERSONNALITÉ »

 

Et Jean-Marc de rajouter sur l’affiche de l’opticien : 

« Surtout si vous les videz souvent ! »

 

Jean-Marc arrive bourré à un barrage de police.

Le gendarme lui demande ses papiers.

« – Je ne peux pas je suis complétement bourré. Je reviens d'un mariage, on a bu comme des trous. J'ai au moins bu 5 bouteilles de vins, et pour terminer, j'ai flûté une bouteille de Cognac.

– Très bien, Monsieur, veuillez souffler dans le ballon !

– Pourquoi ? Vous ne me croyez pas ? »

 

C'est un gars qui est manchot.

Il rentre dans un bar et va s'asseoir sur un tabouret, juste en face du barman qui est en train de nettoyer ses verres.

Le manchot dit : « Je n'ai pas de bras, comme vous pouvez le voir ; seriez-vous assez aimable pour m'aider à boire un verre de bière ? »

Le barman répond : « Bien sûr ! »

Et il porte le verre de bière aux lèvres du manchot

Le manchot relance : « Je me demande si vous serez assez gentil pour prendre mon mouchoir dans ma poche, et m'essuyer la mousse que j'ai aux lèvres... »

Et le barman s'exécute sans sourciller.

Le manchot continue : « Si vous allez dans la poche de droite de mon pantalon vous trouverez l'argent pour la bière. »

Alors le barman va se servir dans la poche et rend la monnaie.

Enfin, le manchot ajoute : « Vous avez été très gentil. Une dernière petite chose : Où se trouvent les toilettes ? »

Alors le barman réfléchit deux secondes et dit :

« Dans la station-service de l'autre côté de la rue ! »

 

Jean-Marc sort d'un bar en titubant avec un trousseau de clefs de voiture dans la main.

Un agent de police qui l'a repéré s'approche de lui et lui demande :

« – Je peux vous aider Monsieur ?

– Ouaip mon gars ! Y a quéqu'un qu'a volé ma voiture.

– Et où était votre voiture la dernière fois que vous l'avez vue ?

– Elle était au bout d'cette satanée clef ! »

À ce moment-là, le policier voit à qui il a affaire et observe le poivrot de haut en bas.

Il constate que la braguette Jean-Marc est ouverte et que son sexe pend lamentablement hors du pantalon...

« – Monsieur, avez-vous remarqué que vous vous donnez en spectacle ?

– Ah les salauds… Ils ont pris ma petite-amie aussi ! »

 

Jean-Marc est tellement bourré ce soir-là, qu'il est incapable de se déplacer jusqu'aux toilettes du bar pour aller pisser.

Et pourtant, ça urge.

Il demande à Jean-Paul, un peu moins bourré que lui, de l'aider à aller jusqu'à l'urinoir.

Jean-Paul accepte en maugréant, traîne Jean-Marc jusqu’aux toilettes et en profite pour lui faire une petite blague : Arrivés en face de l'urinoir, il baisse et remonte aussitôt, la braguette de Jean-Marc.

Et lui place une banane dans sa main.

Naturellement, Jean-Marc sentant quelque chose dans sa main commence à se soulager... et il sent alors la « douce moiteur » de son urine lui couler le long des jambes.

Il est tellement surpris qu'il lève brutalement les mains et aperçoit alors la banane dans l’une d’elle.

Alors il panique et rentre dans le bar en courant et criant :

« Au secours ! Aidez-moi ! Appelez une ambulance ! Je me suis arraché la bite et je saigne à mourir ! »

 

Jean-Marc et Jean-Paul rentrent d'une tournée des bars en voiture.

Ils sont complétement bourrés, naturellement.

Tout à coup, Jean-Paul qui conduit se rend compte qu'une voiture avec un gyrophare bleu est juste derrière.

La voiture des flics le double et lui fait une queue de poisson pour lui intimer l'ordre de se ranger.

Il dit à Jean-Marc :

« – Merde ! Les flics. On va être bon pour être obligés de rentrer à pied.

– Attends. J'ai une idée ! Fais exactement ce que je fais, et ensuite, quand le policier arrivera, tu me laisseras parler ! »

Et Jean-Marc prend une canette de bière, décolle l'étiquette et se la colle sur le front.

Ensuite il cache la canette sous son siège.

Jean-Paul l'imite sans rien dire.

Le policier arrive au niveau de la portière du conducteur.

Il regarde les deux zigotos avec leur étiquette de « Kro » sur le front et a du mal à réprimer un sourire.

Puis il demande les papiers du véhicule ainsi que le permis de conduire du conducteur.

Après les avoir soigneusement contrôlés, il demande au conducteur :

« – Vous n'auriez pas abusé de la boisson par hasard ?

– Non monsieur l'agent. On a rien bu ce soir. »

Le policier persiste :

« – Vous me permettrez d'en douter : On vous a suivi tout à l'heure et on a bien remarqué que vous ne rouliez pas droit !

Et puis d'abord, comment vous expliquez ce que vous avez sur le front ? »

Alors Jean-Marc répond :

« – Ben, vous voyez bien, on est tous les deux des alcooliques chroniques, et on s’est placé un patch sur le front pour arrêter. »

 

Un soir Jean-Marc fait la tournée des bars.

Dans l'un deux, alors qu'il est déjà bien torché, il rencontre une petite souris.

La main Jean-Marc n'étant plus très contrôlée, laisse tomber quelques gouttes d'un bon whisky par terre.

La petite souris reçoit ces quelques gouttes et se délecte à son tour.

Elle décide donc de suivre Jean-Marc et s'installe dans l'ourlet de son pantalon. Plusieurs bars passent....

Vers 2 heures du mat, rentrant chez lui, notre Jean-Marc passe dans une rue et renverse plusieurs poubelles faisant un boucan d'enfer.

Un voisin réveillé en sursaut se penche alors à l'une des fenêtres d'un immeuble proche et lui dit :

« Vous pouvez pas faire moins de bruit, non ? »

L'ivrogne répond en braillant :

« Qu'est-ce que t'as toi, là ? Descends donc si tu es un homme ! »

Et la souris de rajouter :

« Ouais ! Et amène ton chat aussi ! »

 

Bon à savoir :

– Vous n'avez pas le dessus en vous disputant avec des objets inanimés ;

– Vous vous accrochez à l'herbe pour ne pas tomber sur le sol ;

– Une analyse sanguine a montré que votre alcool contenait des traces de sang ;

– La lunette des W.C. tombe régulièrement sur l'arrière de votre tête ;

– Vous pensez sincèrement que l'alcool représente un type d'aliment comme les glucides, les lipides, les protides...

– Vous vous concentrez mieux en fermant un œil ;

– Le parking n'était pas au même endroit lorsque vous êtes arrivés ;

– Chaque femme que vous rencontrez se ballade avec sa sœur jumelle ;

– Votre lit vous fait penser à un bateau sur une mer démontée ;

– Dans votre tête, lorsque vous fermez les yeux, vous rejouez la scène de la charge des hélicoptères dans Apocalypse-Now ;

– Vous appelez vos enfants Heineken et Kanterbrau ;

– Vous avez votre nom gravé sur un tabouret du bar ;

– Votre verre s'obstine à rater votre bouche ;

– Vous commencez à comprendre ce que dit Michel Rocard ;

– Ils ne veulent plus de vous au « Don du Sang »…

– Les moustiques meurent d'overdose quand ils vous piquent ;

– Un troupeau d'éléphants roses a fait son nid dans un arbre de votre jardin…

Il est probable que vous soyez devenu alcoolique.

Parole d’expert !

 

Bonne fin de semaine à toutes et tous !

 

I3

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 04:02

Et diverses.

 

Jean-Marc entre dans son restaurant préféré, et s’assoit à sa table habituelle.

Il lance un regard furtif aux alentours et découvre une jeune-femme magnifique à une table toute proche.

Elle est toute seule.

Jean-Marc appelle le serveur et lui demande d’envoyer à la jeune-femme la bouteille de champagne la plus chère qu’ils aient en réserve, pensant que si la jeune-femme accepte la bouteille, elle se rendra immédiatement à ses pieds.

Le serveur apporte la bouteille à la table de la femme :

« C’est de la part de l’homme à cette table », dit-il, montrant Jean-Marc de la main.

La jeune-femme regarde la bouteille avec froideur durant une seconde, puis décide d’envoyer un petit mot à Jean-Marc.

Elle le donne au serveur qui l’envoie immédiatement au destinataire.

Le mot dit :

« Pour que j’accepte cette bouteille, vous devez avoir une Mercedes dans votre garage, un million de dollars à la banque et 20 cm dans votre pantalon. »

Après avoir lu le mot, Jean-Marc décide de répondre.

Il donne à son tour un mot au serveur qui l’apporte à la jeune-femme.

Le message dit :

« Pour répondre à votre requête, je pourrais revendre ma Ferrari Modena 360 et ma BMW 850 pour qu’il ne me reste que la Mercedes 600 SEL dans mon garage.

Je pourrais également investir même les 2 des 3 millions de dollars que j’ai sur mon compte pour qu’il n’en reste qu’un seul.

Mais… Même pour une femme aussi belle que vous je ne me couperais jamais 5 centimètres !

Bien cordialement,

J-M

P.S. Rendez-moi la bouteille ! »

 

Jean-Marc est en pleine action, la pression commence à monter...

Elle : Vas-y sauvagement !

J-M : Oui, oui !

Elle : Continue ! Continue !

J-M : Oui, oui !

Elle : Ne sois pas timide !

J-M : Oui, oui !

Elle : Montre que tu es un homme !

J-M : Oui ! Oui !

Elle : Dis-moi des choses bien dégueulasses !

J-M : La cuisine, la salle de bain, les chiottes, le salon, la bagnole....

 

Jean-Marc fait la rencontre d'une très belle femme…

Après quelques heures, ils conviennent de passer la nuit ensemble moyennant un montant de 500 euros que Monsieur versera à Madame.

Au petit matin, Jean-Marc dit à la très belle femme qu'il n'a pas d'argent sur lui mais que sa secrétaire lui enverra un chèque de 500 euros pour motif de « location de logement ». 

Sur le chemin du retour, il regrette et estime que cela ne valait finalement pas autant.

Lorsqu'il arrive à son bureau, il demande donc à sa secrétaire d'envoyer un chèque de seulement 250 euros à la dame avec le message suivant :

« Je n'ai pas envoyé le montant convenu parce qu'en louant votre logement je croyais qu'il n'avait jamais été occupé, qu'il était beaucoup plus chaud et qu'il était assez petit pour m'y sentir chez moi.

Malheureusement, j'ai découvert qu'il avait déjà été souvent occupé, qu'il était difficile à chauffer et qu'il était trop grand. »

Sur réception de cette note, la femme lui renvoya le chèque avec le message suivant :

« Cher Monsieur,

Comment avez-vous pu penser qu'un si bel appartement ait pu rester vacant jusqu'à votre arrivée ?

En ce qui concerne le chauffage, il n'en manque pas, il vous suffisait simplement de l'allumer.

Enfin, pour ce qui est de l'espace loué, je vous assure qu'il n'est pas plus grand qu'ailleurs : ne blâmez donc pas la propriétaire si vous n'avez pas assez de mobilier pour le remplir convenablement ».

 

Ce matin-là, Mohammed va trouver son patron et lui dit :

« – Patron, ji ni peux plus travailler chez toi, tous tes employés sont di racistes !

– Quoi ? Qu'est-ce que tu racontes là Mohammed ? Qu'il y ait un ou deux « blackos » qui soient racistes, je veux bien, mais pas tous quand même !

– Si, si. Ji til dis qu'ils sont tous racistes ! D'ailleurs, ji ai fait un test : ji liz ai tous posé la mime question et tous m'ont donné la mime réponse.

Ils sont tous racistes, ji ti l'dis.

– Mais, quelle est cette question ?

– Et bien, ji leur ai demandé ci qu'ils diraient si on exterminait tous liz arabes et tous li boulangers... »

Jean-Marc hésite et puis répond :

« – Les boulangers ?... Pourquoi les boulangers ?...

– Ah, ti vois... toi aussi ! »

 

Dimanche 7 heures du matin, Jean-Marc se lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller son épouse.

Il charge son vélo sur la voiture et s'en va en randonnée.

Arrivé sur la place il se met à tomber des trombes d'eau.

Sa matinée est foutue, il décide de rentrer chez lui.

Il revient, se déshabille sans faire de bruit, et se recouche doucement tout près de son épouse et lui chuchote à l'oreille :

« Il pleut comme vache qui pisse ! »

Et elle de répondre :

« Quand je pense que l'autre con est en train de pédaler ! ».

 

Un ventriloque qui fait la tournée des clubs, s'arrête dans une petite ville pour une représentation.

Il commence son show en racontant des blagues sur les blondes, quand une très belle jeune femme blonde se lève et crie :

« Mais j'en ai assez de vos blagues stupides sur les blondes, espèce d’enfoiré !

Qu'est-ce qui vous permet de stéréotyper les femmes de cette façon ?

Quel rapport peut avoir la couleur de cheveux d'une personne avec sa personnalité et son âme ?

Ce sont de pauvres gens comme vous qui empêchent des femmes comme moi d'être respectées professionnellement et humainement.

À cause de vous et de vos préjugés les gens continuent de répandre ce genre de légende.

Vous êtes un retardé pathétique et pitoyable, et ce que vous faites est non seulement contraire à la loi sur la discrimination de tout pays civilisé mais également extrêmement offensant pour toute personne sensible.

Vous devriez en mourir de honte ! »

Jean-Marc commence à bafouiller des excuses quand la blonde l'interrompt :

« Vous ... restez en dehors de ça ! Je parle à l'imbécile qui est assis sur vos genoux. »

 

Jean-Marc et Jean-Paul veulent faire la tournée des bistrots, mais ils n'ont que deux euros en poche.

Soudain Jean-Marc dit :

« – J'ai une idée ! On va acheter une saucisse et je vais la mettre dans mon pantalon. On boira un coup, et puis au moment de payer, tu te mettras à genoux, j'ouvrirai ma braguette, et tu prendras la saucisse dans ta bouche.

Et là, c'est sûr on nous flanquera à la porte.

– Excellente idée ! » répond Jean-Paul.

Avec leurs deux euros, ils achètent une saucisse, puis ils vont dans un premier bistrot, boivent un verre, et quand l'autre s'agenouille et met la saucisse dans la bouche, le patron scandalisé les jette dehors immédiatement !

Ils font la tournée des cafés et ça marche à chaque fois.

En sortant du quinzième, Jean-Paul, celui qui s'agenouille, dit :

« – Je commence à avoir mal aux genoux, et puis je n'ai plus soif. Par contre j'ai une petite faim. Si on mangeait la saucisse ?

– La saucisse ? Ben je l'ai perdue au second bistrot ! »

 

La fille de Jean-Marc, 17 ans rentre penaude chez ses parents au petit matin.

« Papa, maman, j'ai couché avec un homme et je suis enceinte... »

Jean-Marc devient fou, prend et brandit son fusil, demande qui est le coupable et jure qu'il va le plomber.

La gamine :

« Mais c'est un type bien, il va prendre ses responsabilités ».

Sur ces entrefaites une grosse berline entre dans la cour de la fermette et un grisonnant ultra-classe en descend.

Il salue, s'assied à la table et s'adresse aux parents de la petite :

« J'ai eu commerce avec votre fille et mes obligations familiales m'interdisent de prolonger notre relation, cependant je suis un homme d'honneur et je tiens à ce qu'elle et son enfant ne soient pas laissés dans le besoin, c'est pourquoi je vous propose l'arrangement suivant :

– S'il naît un garçon je lui ouvre un compte que je crédite d'un million d'euros, et j'ajoute une chaîne de 5 concessions de Rolls-Royce dans tout le pays.

– Si en revanche il lui naît une fille elle aura la même somme et une chaîne de 10 salons de coiffure à Lyon et Paris.

– Par contre, si elle perd l'enfant.... »

Jean-Marc lui pose la main sur l'épaule et l'interrompt :

« Tu la rebaises ! »

 

Jean-Marc se trouve dans la banque au moment où un homme y commet un hold-up.

Le voleur prend les personnes présentes en otage et demande au premier d'entre eux :

« – M'avez-vous vu voler la banque ?

– Oui ! »

Le voleur lui tire une balle dans la tête.

Il passe au 2ème otage, lui pose la même question

« – M'avez-vous vu voler la banque ? »

Jean-Marc répond :

« – Moi ? Non, mais ma femme a tout vu ! »

 

Jean-Marc entre dans un bar et aperçoit Jean-Paul, l'air désœuvré et avachi sur le comptoir, avec 4 ou 5 verres vides devant lui.

Il s'assoit à côté de lui et lui demande ce qui ne va pas.

« – Eh ben, tu te rappelles de cette nana au boulot, avec qui je voulais sortir ? Celle qui me file une érection pas possible à chaque fois que je la vois ?

– Oui, bien sûr !

– J'ai finalement eu le courage de lui demander rendez-vous par e-mail et elle a accepté...

– Eh bien, mais c'est génial ! Quand est-ce que vous avez ce rendez-vous ?

– C'était ce soir il y a une heure... Je suis allé chez elle mais j'avais peur d'avoir une érection devant elle, alors j'ai pris du gros ruban adhésif et je me suis scotché la bite le long de la jambe, pour ne pas que ça se voie au cas où je bande...

– C'est une belle marque d'attention !

– .... Enfin, j'arrive à sa porte, et là elle m'ouvre, habillée avec une jupe hyper courte et un décolleté incroyable !

– Et alors ?

– Je lui ai envoyé mon pied dans la gueule... »

 

Deux petites vieilles se croisent dans la rue d’un village.

« – Comment vas-tu Marguerite ?

– Oh ! Je n’ai pas le moral… Je viens de perdre mon mari !

– Ah bon ! Qu’est-ce qui s’est passé ?

– Je l’ai envoyé dans le jardin chercher des carottes et des poireaux pour faire la soupe. Il a été pris d’un malaise. J’ai appelé les secours, quand ils sont arrivés, il était déjà mort. Une crise cardiaque…

– Qu’est-ce que tu as fait alors ?

– Des pâtes… »

 

Bon week-end à toutes et à tous !

 

I3

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 04:09

Nouvelle collecte de Jean-Marc

 

 « La victoire est brillante, l'échec est mat. »

 

« Bon ça suffit maintenant on bosse ! Vous me faites cet exo, c'est un travail individuel à deux ! »

 

« Le 21 décembre 2012 la terre va exploser ... Vous recevez vos bulletins ! »

 

« C'est une illusion d'optique ou je vois réellement un élève se promener à quatre pattes dans le fond de ma classe ? »

 

Le professeur aux parents de Jean-Marc lors d'une réunion de parents d’élève :

« Vous vous êtes mis à 2 pour faire un con pareil et vous voulez que moi tout seul j'en fasse un intello ! »

 

« Même si tu n'en es pas capable, je sais que tu peux y arriver. »

 

« Bon il se trouve que j'ai corrigé vos copies et, au final, si vous deviez passer votre brevet, vous seriez tous admis ! Sauf qu'il y'a 3 semaines, c'était un BAC blanc que j'avais évoqué... »

 

« Jean-Marc, que savez-vous sur les volcans ?

– J'ai un trou...

Tiens donc, Jean-Marc découvre enfin son corps... »

 

« Les courbes ne sont pas des droites mais les droites ne sont pas forcément des courbes. Une droite c'est une courbe droite. »

 

« Bon, j'en ai marre de vous, vous pouvez faire la sieste jusqu'à que ça sonne. »

 

« L'augmentation du poids des cartables est proportionnelle à la diminution des connaissances. »

 

« Jean-Marc, commence la lecture [...]

Attend, attend, attend, t'as appris à lire par correspondance ou quoi ? »

 

« – Madame, pourquoi vous avez changé le signe ?

– Je sais pas... C'est ce qui écrit dans le livre. »

 

« – Ha ! Tu es venu accompagner ta sœur afin qu'elle voit son examen, c'est sympa.

– Heu non, en fait, ce n'est pas ma sœur, on est dans la même classe et je viens voir mon examen.

– Tu es un de mes élèves ? »

 

« Même si vous ne parlez pas, je vous entends ! Donc rien que pour ça, taisez-vous ! »

 

« Je vous rappelle que le bac c'est comme la lessive : Si on pompe, si on sèche, on repasse ! »

 

« Vas-y beau blond, traduis le passage suivant.

– Mais, heu, je ne suis pas blond.

– Ben, t'es pas beau non plus. »

 

« Qu'est-ce que tu fais ? Tu dors ? Ah non tu regardes l'intérieur de tes paupières. »

 

En maths-spé, le prof :

« – Non, mais faut arrêter ! Je vous dis que les maths ce n’est pas réel.

– Bah, si monsieur c'est réel...

– Ah bon, parce que toi t'as déjà croisé un 2 dans la rue ? »

 

Jean-Marc envoie une boulette de papier sur un élève pendant un cours sur les rotations :

« – Tiens, il y a des nostalgiques des mouvements paraboliques, ici ! »

 

« – À quoi sert l'algèbre de Boole ?

– À manipuler des bits ! »

 

« Contrôle-surprise ! On se tait et on arrête de parler ! »

 

« Je vais vous faire une interprétation abstraite qui va vous aider à comprendre… »

 

« Je passe vous voir dans 10 minutes mais je vous laisse travailler pendant 5 minutes. »

 

Un professeur, agacé par des bavardages :

« Euh toi là, 1, 2, 3, ... soleil ! »

 

« – À la demande générale de moi-même, un nouvel exercice !

– Mais monsieur, c'est pas la demande générale alors !

– Qui te dit que je ne suis pas général ? »

 

« Résultats brillants malgré une faiblesse dans toutes les matières. »

 

Jean-Marc, un nouvel élève rentre dans la classe pour la première fois

« – Bonjour, comment t'appelles-tu ?

– Avec un téléphone, monsieur.

– Ou là, là, quel comique ! Je t'en prie, fais nous rire !

– ...

– Ah, ah, ah, vraiment excellent ! Tu imites à merveille le con ! »

 

« Tout devoir non remis ne sera pas corrigé. »

 

« Cet examen est à la mesure de vos capacités intellectuelles démesurées... Je vais me taire, vous allez finir par y croire. »

 

« J'ai l'impression de parler à des moules atteintes de la maladie d'Alzheimer ! »

 

« « On », pronom indéfini qui, quand on rajoute un « c » devant, donne la nature de la personne qui l'utilise. »

 

« Vous me traitez de sadique ? Mais vous ne me connaissez pas. Tenez, par exemple, quand un clochard me demande de l'argent, je lui dis : « Désolé j'ai que des billets de 500 ». »

 

« – J'en ai assez, avec vous on ne décolle pas !

– Lâchez du lest, madame.

– Oui je crois que tu as raison Jean-Marc, tu vas filer droit chez le CPE ! »

 

« La salle des profs c'est risqué, c'est un lieu mal fréquenté. Il y a plein de choses qui disparaissent ! »

 

« – Avez-vous amené vos transparents pour la présentation?

– Non, je ne suis venu qu'avec mon cerveau.

– Vous voyagez léger, Jean-Marc ? »

 

« Jean-Marc, au tableau !

– Oh non monsieur ! Toujours moi : C'est du racisme ça.

– Non ! C'est de la discrimination positive. »

 

« – Bon, vous me faites le schéma pour jeudi, et tous ceux qui ne l'ont pas fait, je ramasse et je mets zéro !

– M'sieur, vous allez ramasser quoi si on l'a pas fait ? »

 

« Tracez un carré de 9 cm sur 14 cm ! »

 

« Normalement vous allez vous planter, c'est sûr. Faut pas paniquer... »

 

« Statistiquement, dans la classe, les garçons se prennent plus de râteaux qu'il ne roulent de pelles. »

 

« – Oh whisky, oh whisky !

– Je ne m'appelle pas whisky monsieur, mais Jean-Marc.

– Je sais, mais tu saoules. »

 

« Bon, je vois qu'il reste 5 minutes avant la sonnerie, alors je vous propose de ne rien faire en attendant d'aller manger. »

La classe devient joyeuse, après 3h de torture.

« ... Non je rigolais, en fait on commence un nouveau chapitre ! Alors, les équations locales de Maxwell ! »

 

« – M'sieur, pourquoi l'objet il ne coule pas ?

Jean-Marc, t'as fini de me poser des questions !

– Mais m'sieur, j'comprends pas !

– Moi non plus en fait, alors arrête ! »

 

« – Vous devez faire des recherches sur internet pour le week-end.

– (Françoise) Moi, j'ai pas internet...

– (Jean-Marc) : Ben tu viens chez moi !

– Bien voilà depuis le temps que tu attendais ça... Merci qui ? Merci la Prof ! ... Ça fera 10 euros. »

 

« Tu as toujours une bonne raison qui n'est pas valable. »

 

« On surnommait la reine d'Angleterre Victoria « boulotte » parce qu'elle faisait 1,20 m de long et 1,20 m de large... »

 

« Épicure, basiquement, ne foutait rien de sa journée. Ah ! Je vois un lien de corrélation avec vous, Jean-Marc ! »

 

« Votre schéma ressemble à un bocal pour poisson en vacances. Je vous mets quand même un point pour les couleurs. »

 

La mondialisation :« Quel est ce flux qui transite entre ces deux grosses bourses ? »

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

I3

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 04:03

Les profs se préparent à la correction des copies du Bac…

 

Et en profitent pour se lâcher :

 

Jean-Marc : « Mais M’sieur... Pourquoi vous venez un jour de grève ? Vous ne seriez pas venu, on aurait pu rester tranquilles chez nous... »

Les jours de grève, rares sont les élèves qui viennent en cours ! En d'autres termes, je ne fous rien, mais je suis quand même payé. »

 

Professeur de chimie qui fait une expérience colorimétrique :

« – Bon alors vous voyez il y a un précipité bleu qui se forme...

– Mais m’sieur ! C'est pas plutôt orange ça, comme couleur ?

– Non ! Mais c'est le matériel qui est nul ! Donc je disais, vous voyez... Enfin on devrait voir un précipité bleu. L'expérience est donc vraie ! »

 

« – Monsieur il y a l'alarme incendie !

– Eh alors il faut bien mourir un jour ! »

 

« Je vais interroger un élève au hasard et je sais déjà qui. »

 

« Ouh-là, il y a un problème dans l’erreur... »

 

« Si vous vous trouvez en montagne et que vous faites brûler par une méduse, comment faites-vous pour trouver de l'eau chaude ? »

 

« Vos parents ont pris 2 minutes de plaisir et vous allez me faire chier pendant une année entière... »

 

« Bon finissez-moi tout ça très vite, je dois arriver le premier à la machine à café. Là-bas c'est la guerre ! »

 

« – Madame, hier j'ai vu un de vos anciens élèves qui m'a dit qu'avec vous je perdrai une année !

– Ah ? Bah moi, je te le confirme. »

 

« – De quoi descendons-nous ?

– Bé, des singes !

– Fais pas de ton cas une généralité, Jean-Marc ! »

 

« – Quel auteur latin a écrit de nombreux passages comme ça ?

Homère.

HOMERE ? LATIN ? Mon dieu ! Percée jusqu'au cœur d'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle, misérable vengeur d'une juste querelle ! Homère ! Latin ! Non mais je rêve ! »

 

« Mes chers enfants, vous semblez vraiment plus intéressés par l'accouplement des deux mouches au plafond que par mon cours. Pour que vous soyez attentifs, dois-je appeler ma collègue de la salle d'à côté ? »

 

« Bon, on va commencer la dictée... Ouvrez les guillemets et fermez vos gueules. »

 

« Cette année dans votre classe, il y a 10 % de réussite et 90 % de cerveaux amorphes ! »

 

« Alors toi, j'ai hésité entre un manque total de travail ou une mort cérébrale. »

 

« Je vous préviens : Si vous voulez dormir pendant mon cours, je m'en fous royalement. Mais vous gardez juste le dos droit et les yeux ouverts ! »

 

« – Monsieur vous donnez vraiment trop de polycopiés, il faudrait penser aux arbres.

– Ah mais justement j'ai créé une association, « Sauvez un arbre, abattez un élève ». »

 

L'alarme incendie sonne :

Le professeur de mathématique : « Bah, on s'en fout on continue la démonstration, on est au rez-de-chaussée. Quand le tableau commencera à prendre feu, on sortira par la fenêtre ! »

 

« Ne mettez pas satirique avec un « y », sinon c'est le monsieur qui écarte son manteau à la sortie des écoles... »

 

« – Et toi, ton carnet !

– Mais monsieur, j'ai rien fait !

– Justement. « Ne fais rien et le dit lui-même » ! »

 

« Bon, maintenant qu'on a énoncé la propriété, faut la démontrer. (Silence, on réfléchit) ... mais comme en fait ça me fait chier de le faire, je vais aller me chercher un café. »

 

« Arrête de me regarder avec ta tête de lama, on dirait que tu vas me cracher dessus. »

 

« – Nous avons donc deux ronds... et rond, et rond...

– Petit patapon !

– Au moins sur 32, y'en a un qui suit ! »

 

« T'es comme une grosse plante verte : Tu es présent, tu ne dis rien mais au moins tu décores. »

 

« Jean-Marc, je t'ai mis trois. Un pour l'encre, un pour le papier, et un pour l'unique neurone qui s'est dévoue à la tâche. »

 

Jean-Marc porte un T-shirt avec inscrit dessus « La connerie tue ».

Après un long silence pendant lequel le prof regarde le T-shirt, il finit par laisser tomber :

« Malheureusement non... »

 

« Jusqu'à présent j'ai été beaucoup trop laxiste et maintenant je vais devenir laxatif : Ça va chier ! »

 

« ... Et le premier qui triche, je lui mets zéro et je divise la note par deux ! »

 

« Vous avez l'énergie d'un plat de nouilles trop cuit. »

 

« J'ai pensé à votre classe ce week-end : J'ai vu une émission sur l'échec scolaire... »

 

« Si les portables n'existaient pas, on se demanderait ce que tu fais avec tes mains sous la table... »

 

« Votre fils prétend que c'est vous qui avez rédigé ce devoir auquel j'ai mis 2... S'il dit la vérité, il faut bien reconnaître quelque valeur au vieil adage « tel père, tel fils » ! »

 

L'odeur caractéristique de la boule puante se répand dans la classe :

« Fermez porte et fenêtres, nous allons pleinement profiter de cette atmosphère de travail... »

 

« Pour l'oral, vous avez carte blanche, vous pouvez mentir ils n’en sauront rien. S’ils vous demandent votre moyenne à l'année, c'est 15, point barre. Et si vous vous plantez, dites que votre prof était alcoolique. »

 

« Levez la main anonymement ! »

 

« Vous connaissez Canada-Dry, non ?

Vous êtes trop jeune...

Non, pas possible, vous connaissez !

Vous avez redoublé combien de fois ? »

 

« – Il y en a qui ne trouveront jamais de petit-copain !

– T'inquiète pas chaque poubelle a son couvercle ! »

 

« Vous savez, il y a deux avantages à être professeur : Juillet et Août. »

 

« Ça me fait l'effet d'être en string et en tongs au pied de l'Himalaya. »

 

Jean-Marc ouvre la fenêtre, il fait chaud.

« – Non ! Non ! Fermez-moi ça !

– Mais pourquoi m'sieur, il fait chaud !

– Oui, mais il y en a qui risquent de sauter par la fenêtre alors non, c'est moi qui suis responsable ! »

 

« Tu me les casses, et je ne parle pas des pieds ! »

 

« La paléontologie n'est pas seulement quelque chose... qui vous permet de passer une après-midi... agréable dans une foire aux minéraux... »

 

« Jean-Marc, savez-vous ce qu'il s’est passé en 1111 ?

– L'invasion des Huns ? »

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

I3

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 04:02

Jean-Paul et Jean-Marc discutent :

 

« – Tu connais la blague du petit déjeuner?

– Non

– Pas de bol ! »

 

Un jour, Dieu ordonna à David de guetter... et David Guetta !

Un jour, Dieu ordonna à Hélène de s'égarer... et Hélène Ségara !

Un jour, Dieu ordonna à Bruce de lire... et Bruce Lee !

Un jour, Dieu ordonna à Katy de mourir... et Katy Perry !

Un jour, Dieu ordonna à Marra de donner... et Maradona !

Un jour, Dieu ordonna à Clara Morgane de savoir ça... et Clara suça !

Un jour, Dieu ordonna à Fred d’avoir cet air... et depuis, Fred Astair !

Un jour, Dieu ordonna qu'on arrête Franklin... alors on Aretha Franklin

Un jour, Dieu ordonna à Hannah de rire... et je peux vous dire qu'elle Rihanna !

Un jour, Dieu ordonna à Nir de vanner... et Nirvana !

Un jour, Dieu ordonna à Michael-Jack de sonner à la porte... et depuis, Michael Jackson !

Un jour, Dieu ordonna au lait de dire « Gaga »... et le Lady Gaga !

Un jour, Dieu ordonna à Nathalie de dormir... et depuis, Nathalie Baye !

Un jour, Dieu ordonna que Rita mette Souko... et Rita Mitsouko !

Un jour, Dieu ordonna à Mat de mater... et Matmata !

Un jour, Dieu ordonna à Jean de ferrer... et Jean Ferrat !

Un jour, Dieu ordonna à Lady de faire un gag... et Lady Gaga !

Un jour, Dieu ordonna à Emin d'aimer... et depuis, Eminem !

Un jour, Dieu ordonna que Mozart hèle... et Mozzarella !

Un jour, Dieu ordonna à Nafissatou de répondre au téléphone... et Nafissatou Diallo !

Un jour, Dieu sema le blé, et Marc Lavoine !

Un jour, Dieu ordonna à Thierry d'en rire... et Thierry Henry !

Un jour, Dieu ordonna à Benz d'aimer... et Benzéma !

Un jour, Dieu ordonna à Fatou de mater... et Fatou Matta !

Un jour, Dieu ordonna à Madame Sarkozy de bronzer... et Carla Bruni !

Un jour, Dieu dit à Julien qu’il avait un bouton... et depuis, Julien Lepers !

Un jour, Dieu ordonna à Julien de se tenir droit... parce que Julien Courbet !

Un jour, Dieu ordonna à Philippe de faire des créneaux... et depuis, Philippe Manœuvre !

Un jour, Dieu ordonna à Tony de sauter Anna... et depuis, Tony Montana !

Un jour, Dieu ordonna à Laurent de gérer... et Laurent Gerra !

Un jour, Dieu ordonna que le père fourre... alors le père Fouras !

Un jour, Dieu ordonna aux gens de brader Pitt... et depuis, les gens Brad Pitt !

Un jour, Dieu ordonna à Rocky de battre le Boa... et depuis, Rocky Balboa !

Un jour, Dieu ordonna à Léonardo de dire « Caprio »... et Léonardo Di Caprio !

Un jour, Dieu ordonna à Adriana de Limer... et Adriana Lima !

Un jour, Dieu ordonna à Chuck Norris de mourir... et Chuck Norris à bien rigolé !

Un jour, Dieu ordonna à Ni de coller Sarkozy... et Nicolas Sarkozy !

Un jour, Dieu ordonna à Liliane Bétand de courrir... et depuis, Liliane Bettencourt !

Un jour, Dieu ordonna à Chi de raquer... et depuis, Chirac !

Un jour, Dieu ordonna à Lionel Jos de peindre... et depuis, Lionel Jospin !

Un jour, Dieu ordonna à Charles 2 de gauler... et depuis, Charles De Gaulle !

Un jour, Dieu ordonna à George de boucher... et depuis, George Bush !

Un jour, Dieu ordonna à Bill Clinton de rire... et Hilary !

Un jour, Dieu ordonna à Jésus de parler plus fort... et depuis, Jésus Christ !

Un jour, Dieu ordonna à Léonard de devenir une scie... et Léonard De Vinci !

Un jour, Dieu ordonna à Socque de rater... et depuis, Socrate !

Un jour, Dieu ordonna à Plat de tondre... et depuis, Platon !

Un jour, Dieu ordonna à Bernard-Henry de les voir... et Bernard-henry Lévy !

Un jour, Dieu ordonna à Robinson de croire Zoé... et Robinson Cruzoé !

Un jour, Dieu ordonna à Kiri de coudre... et depuis, Kirikou !

Un jour, Dieu ordonna à Bob d'éponger son verre... et depuis, Bob l'éponge !

Un jour, Dieu ordonna au Petit de pousser... et hier encore, le Petit Poucet !

Un jour, Dieu ordonna à Gargan de tuer... et Gargantua !

Un jour, Dieu ordonna au Coca de coller... et le Coca Cola !

Un jour, Dieu ordonna à Hugo de bosser... et depuis, Hugo boss !

Un jour, Dieu ordonna à Lustu de croire... et Lustucru !

Un jour, Dieu ordonna à Bana de nier... et Banania !

Un jour, Dieu ordonna à Mam d'innover... et Mami Nova !

Un jour, Dieu ordonna à Choca de ne plus se raser... et depuis, Chocapic !

Un jour, Dieu ordonna à Maly de boire... et Malibu !

Un jour, Dieu ordonna de tuer Zani... et Pan-Zani...

Un jour, Dieu ordonna à Carre de fourrer... et depuis, Carrefour !

Un jour, Dieu ordonna au riz de coller... et le Ricola !

Un jour, Dieu ordonna à Rex de sonner... et Rexona !

Un jour, Dieu ordonna à au Castor de ramer... et le Castorama !

Un jour, Dieu ordonna à Confo de ramer... et Conforama !

Un jour, Dieu a dit : "Ton petit lira"... et le petit Lu !

Un jour, Dieu ordonna à Benné de dicter... et Bénédicta !

Un jour, Dieu ordonna à Mono de prendre... et Monoprix !

Un jour, Dieu ordonna à Goo de gueuler... et depuis, Google !

Un jour, Dieu ordonna à « O » de ranger... et depuis, Orange !

Un jour, Dieu ordonna à Neuf de boxer... et depuis, NEUFBOX !

Un jour, Dieu ordonna à « X » de boxer... et depuis, XBOX !

Un jour, Dieu ordonna à Micro de manier... et Micromania !

Un jour, Dieu ordonna à Mario de brosser... et depuis, Mario Bross !

Un jour, Dieu ordonna à quelqu'un de dire « Bou »... et cette personne Adibou !

Un jour, Dieu ordonna à Mousse de taffer... et Mousstafa !

Un jour, Dieu ordonna à Véro de niquer... et Véronica !

Un jour, Dieu ordonna à Moha de m’aider... et depuis, Mohamed !

Un jour, Dieu ordonna à Dim de trier... et depuis, Dimitri !

Un jour, Dieu ordonna à Jon d’attendre... et depuis, Jonathan !

Un jour, Dieu ordonna à Sébas de tenir... et depuis, Sébastien !

Un jour, Dieu ordonna à Passe de caler... et depuis, Pascal !

Un jour, Dieu ordonna à Zac de rire... et Zachary !

Un jour, Dieu ordonna à Al de foncer... et depuis, Alfonse !

Un jour, Dieu ordonna à Ali de scier... et Alicia !

Un jour, Dieu ordonna à Laeti de scier... et Laetitia !

Un jour, Dieu ordonna à Clé de mentir... et depuis, Clément !

Un jour, Dieu ordonna à Sam de hanter... et Samantha !

Un jour, Dieu ordonna à Inch d'aller... et Inchallah !

Un jour, Dieu ordonna à Harmo d'assurer sa descendance... et Harmonica !

Un jour, Dieu ordonna à Sodo de mettre... et Sodomie !

Un jour, Dieu ordonna à Harry de zoner... alors Arizona !

Un jour, Dieu ordonna à Léo de partir... et aussitôt, Léopard !

Un jour, Dieu ordonna au croco de dealer... et depuis, le crocodile !

Un jour, Dieu ordonna aux roux de se soulager... et depuis, les roupettes !

En 1903, Dieu interdit aux gendarmes d'être tristes... et depuis, la Gendarmerie !

Un jour, Dieu ordonna à Delta de fumer... et depuis, Delta plane !

Un jour, Dieu ordonna à « Ca » de roter... et depuis, Carotte !

Un jour, Dieu ordonna d’être content quand on se couche... et depuis, on est Ravioli !

Un jour, Dieu ordonna au rat d’avoir froid... et maintenant le Racaille !

Un jour, Dieu ordonna à la Lampe d’adhérer... et aussitôt, la Lampadaire !

Un jour, Dieu ordonna à Charles de patienter... et depuis, Charlatan !

Un jour, Dieu ordonna à Passe de tisser... et depuis, Pastis !

Un jour, Dieu ordonna au zée de boire... et le zébu !

Un jour, Dieu ordonna à Lin de jeter... et aussitôt, Lingette !

Un jour, Dieu ordonna au chaud de coller... et le chocolat !

 

C'est l'histoire de Jean-Marc qui entre dans un bar et qui demande :

« Une limonade s'il vous plait ! »

Le barman lui donne et là, Jean-Marc sort un dé à coudre, verse un peu de limonade dedans et dit :

« C'est bon Jean-Paul, tu peux sortir. »

Et là un minuscule bonhomme sort, et boit dans le dé à coudre.

Alors le barman demande :

« Ça alors, qu'est-ce qu'il lui est arrivé ? »

Jean-Marc lui répond :

« Oh, c'est une longue histoire ! Nous étions en Afrique, dans le petit village de, euh . . . Dis donc Jean-Paul, c'était quoi le nom du village où tu as traité le sorcier d'abruti ? »

 

Quand on lui dit que l'ampoule a grillé, voilà ce qu'il répond...

– L’électricien : Ça fera 350 euros !

– Le mécano : Ha ma p’tite dame, va falloir remplacer tout le lustre !

– Le dealer : La première fois c'est gratuit...

– L'économiste : Le marché s'en chargera si c'est nécessaire.

– La psy : Il faut vraiment qu'elle veuille changer, sinon je n'y pourrais rien faire

– La Nounou : Changer l'ampoule ? J'ai pas de couche pour ça, moi !

– L'alchimiste : La changer en quoi ?

– Le chirurgien : Je vais tenter une greffe de filaments...

– Le programmeur : Ça ne me regarde pas, c'est un problème de hardware.

– Le linuxien : Ok, normalement c'est plus facile chez nous que chez windows, par contre va falloir chercher un moment...

– Bill Gates : Non, l'ampoule n'a pas grillé, elle s'est mise à jour !

– Le politicien : Pas la peine, il y a encore de la lumière là-bas, au bout du tunnel...

– Le communiste : Ah bon ? C'est pourtant comme ça qu'on marche depuis 60 ans...

– Le révolutionnaire : Ça ne sert à rien de vouloir la changer, il faut l'écraser purement et simplement !

– L'anarchiste : Comment ça une douille ? Si moi j'ai envie de mettre une ampoule à vis ? Dictateur !

– Une blonde : D'accord. On la remplace. Je tiens l'ampoule, tu tournes la chaise ?

– Le surréaliste : Un poisson au pneu brûlé.

– L'administration : Pour un remplacement d'ampoule, il faut que Gérard vienne constater qu'elle est bien grillée, que Luis la démonte, que Sandra remplisse le bon de commande, que Jean-Marc le tamponne, que...

– SOS racisme : Et qu'est-ce que vous avez contre le noir ?

– Le Nord-Coréen : Chez nous, chaque citoyen du glorieux empire peut changer ça bien mieux et bien plus rapidement qu'ailleurs ! Par contre, on n’a pas d'ampoule neuve.

– Le « Gaulois » : C'est mon aura qui masque sa lumière...

– Le Sicilien : Elle a trahi la famille... Que Luigi s'en charge, et j'éliminerais les témoins.

– Le Québécois : C'est pas l'ampoule, c'est la ligne électrique qui a cédé sous le poids de la neige…

 

Quelques réalités :

– Quand un unijambiste se lève du mauvais pied, il s'en rend compte de suite !

– Je ne bois jamais à outrance... Je ne sais même pas où c'est !

– Si le flic me dit « papiers » et que je réponds « ciseaux », j'ai gagné ?

– Je ne suis pas croyant, Dieu merci !

– En Chine, si t'as pas de bol, ben t'as pas de riz...

– Tu penses aussi que l'invention du suppositoire restera dans les annales ?

– On vit dans un monde où la pizza arrive plus vite que la police...

– À ceux qui ne voient jamais la rosée du matin à cause du rosé de la veille, je lève mon verre !

– Mettre une gifle à une voyante et lui dire « et celle-là, tu l'as vue venir ? »

– Jeanne d’Arc s'est éteinte le 30 mai 1431, environ deux heures après sa mort.

– Il y a 40 ans, la SNCF présentait le TGV. Grande invention qui permet aux voyageurs d'arriver plus vite en retard.

– Le taux de radiation est plus élevé au pôle emploi qu'à Tchernobyl…

– Le gars qui a convaincu les aveugles de porter des lunettes de soleil est quand même un excellent commercial !

– Ne contredis jamais ta femme ! Attends 5 minutes et elle le fera d'elle-même.

– J'ai postulé pour travailler dans un pressing et ils m'ont dit de repasser demain. Je ne sais pas comment le prendre.

– Mieux vaut être une vraie croyante qu'une fausse sceptique.

– Il est impossible de faire 10.000 pompes par jour… sauf si vous êtes un enfant chinois dans une usine Nike.

– Un milliardaire change de Ferrari tous les jours. Un SDF change de porche tous les jours.

– J'ai l'intention de vivre éternellement. Pour le moment, tout se passe comme prévu.

– Je me demande si à moyen terme, le changement climatique finira par avoir des conséquences irréversibles sur les pizzas 4 saisons.

– Comme dirait Dracula, j'irais bien boire un cou.

– Quand un crocodile voit une femelle, il l'accoste.

– Que celui qui n'a jamais bu me jette la première bière.

 

C’etait la collecte de la semaine.

Bon week-end à toutes et tous !

 

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 04:06

La « clé du paradis »…

 

C'est un gamin qui demande à son père :

« – Papa comment on fait les bébés ? »

Jean-Marc répond :

« – Écoute mon fils, maman a le paradis entre ses jambes et moi j'ai la clé du paradis, tu comprends ?

– Oui papa mais est-ce que le voisin a aussi la clé du paradis ?

– Oui mon fils, il en a une. Pourquoi cette question ?

– Parce qu’hier c'est le voisin qui l'a ouvert, le paradis. »

 

Une actrice de théâtre se plaint à une collègue :

« – Mon fiancé est d'une jalousie maladive !

Il m'accuse de le tromper alors que depuis 6 mois je n'ai eu qu'un seul amant : Le pompier de service !

– Oui, mais tu oublies de préciser qu'il change tous les soirs ! »

 

Un gentleman anglais va voir son avocat pour entamer une procédure de divorce.

« – Vous avez un motif grave ?

– Oui maître, elle m'a traité d'idiot !

– Mais enfin, monsieur, ce n'est pas un motif grave !

– Peut-être pas pour vous mais quand je suis rentré à l'improviste chez moi, je l'ai trouvée couchée avec un autre.

– Voilà qui est mieux…

– … Je lui ai demandé ce qu'elle était en train de faire et elle m'a répondu : Tu le vois bien, espèce d'idiot ! »

 

Une dame revient vers minuit et trouve la baby-sitter avec la jupe déchirée, le corsage en lambeaux, la tignasse défaite, le soutien-gorge pendant, la savate éparpillée, la jarretelle dégoulinante, etc.

« – Mon fils a été insupportable ?

– Non madame, il s'est endormi à huit heures et demie.

Par contre, votre mari est rentré beaucoup plus tôt que prévu ! »

 

Un lièvre se fait shooter par une voiture.

Il atterrit 50 mètres plus loin dans un champ, entre les sabots d'un taureau.

Celui-ci lui dit :

« – Tu es quand même un peu con, avec les oreilles que tu as, tu n'as pas entendu la voiture arriver ?

– Et toi, tu as vu la paire de cornes que tu as malgré tes grosses boules entre les jambes ? »

 

Jean-Marc rentre d’un long voyage.

« – Alors chérie, tu as été fidèle ?

– Oui, bien sûr, pas de problème. »

Ravi, Jean-Marc lui saute dessus et ils font l'amour comme des fous.

C’est alors que le voisin frappe à la porte et crie :

« Alors, c'est tous les soirs maintenant ? »

 

Variante :

« – Papa, comment cela s'appelle, là entre les jambes de Maman ?

– Cela s'appelle le Paradis, fiston.

– Et chez toi Papa, comment ça s'appelle ?

– C'est la clé du Paradis.

– Dis, Papa, tu devrais faire gaffe, le voisin du dessus a un passe-partout ! »

 

C'est deux filles qui arrivent au Paradis, l'une dit à l'autre :

« – Salut ! Tu es morte de quoi toi ?

– Crise cardiaque et toi ?

– Congelée. Comment est-ce arrivé, ta crise cardiaque ?

– Oh, hum... J'avais un mari adorable, un jour en rentrant chez moi je l'ai retrouvé nu. J'ai pensé qu'il me trompait. J'ai cherché la fille partout et puis je ne l'ai pas retrouvée. Alors, énervée, épuisée, j'ai fait une crise cardiaque...

– Punaise !

– Pardon ?

– T’es con ! Si t'avais regardé dans le congélateur on serait encore en vie toute les deux ! »

 

Le voisin de Jean-Marc vient chaque matin frapper à sa porte depuis peu.

Jean-Marc partant toujours très tôt au boulot, c'est sa femme qui ouvre et là, l'homme lui demande gentiment :

« Madame, avez-vous un cul ? »

Question de mauvais goût, telle que madame lui ferme aussitôt la porte au nez.

Mais le voisin ne tarde pas à revenir le lendemain et le lendemain du lendemain avec la même question :

« Madame, avez-vous un cul ? »

Embarrassée la femme en parle à Jean-Marc le soir dès son retour du travail.

« Chérie, je ne vais pas bosser demain. Il nous trouvera tous les deux et il m'expliquera ce qu'il veut. Dès qu'il te pose la question, réponds et je serai derrière la porte avec un gourdin. »

Le lendemain, voisin se ramène :

Toc, toc, toc : « Bonjour madame avez-vous des seins ? »

– Oui et que voulez ? Les toucher ?

– Non madame, je voudrais seulement que vous disiez à votre mari d'arrêter de toucher à ceux de ma femme. »

 

Jean-Marc se méfie de sa femme.

Il installe sous le lit conjugal un pot de crème fraîche et suspend une cuiller qui trempe dans le pot.

Le lendemain il regarde sous le lit : Il trouve une motte de beurre !

 

Jean-Marc et Jean-Paul discutent.

Tout à coup, l'un d'eux demande à l'autre :

« À ton avis, sans te compter, combien crois-tu qu'il y ait de cocus dans la ville ? »

L'autre répond, furieux :

« – Comment ça, sans me compter ?

– Excuse-moi », reprend Jean-Marc un peu gêné. « Je n'ai pas voulu te froisser. Alors, en te comptant, combien crois-tu qu'il y en ait ? »

 

Jean-Paul rentre chez lui plus tôt que de coutume et trouve sa femme très occupée sur le canapé avec le facteur.

Le lendemain, il retrouve son meilleur ami Jean-Marc au bar et lui raconte ses malheurs.

« – Qu'est-ce que tu as fait ?

– J'ai claqué la porte un bon coup en partant, pour bien montrer que je n'étais pas content !

– Oui, mais encore ?

– Eh bien, je vais vendre le canapé ! »

 

Jean-Marc rentre chez lui à quatre heures du matin.

Pour ne pas réveiller sa femme, il se déshabille avant d'entrer dans la chambre. Puis, il entre sans faire de bruit.

C'est alors qu'il croise un homme qui en sort et qui lui dit :

« Bonne chance, mon vieux. Mais je vous conseille de faire vite : Elle attend son mari d'un moment à l'autre ! »

 

Dernière variante :

« – Dis papa, c'est bien le paradis qui est entre les jambes de maman ?

– Oui.

– Et c'est vrai que c'est toi qui a la clef ?

– Oui.

– Alors tu devrais changer de serrure : Le voisin a le double. »

 

Elles sont mimis, hein !

Sans rancune et bonne fin de week-end : La semaine prochaine, il vous faudra rattraper tout le retard accumulé en votre absence !

 

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