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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 04:01

Vous en avez été privés vendredi !

 

Pour cause de très, très, très mauvaise humeur de ma part.

Mais vus les vifs reproches d’une quantité impressionnante de lecteurs assidus que j’ai pu recevoir en direct, la bordée hebdomadaire des blagues ambiguës de Jean-Marc, je la reprends ce jour (bien obligé pour éviter les conséquences fâcheuses d’attentat du « front », je ne vous dis pas lequel) aujourd’hui.

Tant pis pour « la suite » de « démocratie & corruption », qui peut attendre encore un peu…

Donc :

 

Sur un green de golf, ça fait déjà 5 minutes que Jean-Marc est en position de swinguer, regardant au loin, puis regardant sa balle, mesurant la distance du regard, essayant de calculer la vitesse et la direction du vent.

Forcément, ses partenaires de jeu s'énervent :

« – Mais bon sang ! Qu'est-ce que tu attends pour te décider ? Tu vas la frapper cette sacrée balle ?

– Ma femme est là-bas en train de m'observer depuis le club-house. Je veux que mon tir soit parfait !

– Eh bien si tu veux mon avis, tu n'as pas la moindre petite chance de la frapper avec ta balle en la tirant d'ici ! »

 

C'est un couple qui s'entend très bien mais il n'y a plus d'argent pour faire tourner le ménage, accablés qu’ils sont par la crise.

Si bien qu'un jour, ils décident de prendre enfin une décision et Jean-Marc vient à dire :

« Dorénavant, nous ne vivrons plus que d'amour et d'eau fraîche. »

Sur ce, celui-ci part bosser pour la journée. Il rentre le soir et aperçoit sa femme nue se laissant glisser sur la rampe d'escalier.

« – Mais enfin chérie, que fais-tu ?

– Bah tu vois bien ! Je fais chauffer le dîner… »

 

On estime en moyenne que l'homme dit 5.000 mots par jour, et que la femme dit 7.000 mots par jour…

 … « Le problème, c'est que quand je rentre du travail, j'ai fini mes 5.000 mots, alors que ma femme n'a pas encore commencé ses 7.000. »

 

Deux vieilles copines sont en train de bavarder de tout et de rien. À un certain moment l'une d'entre elles dit à l'autre :

« – Je suis bien désespéré, depuis quelques années mon mari développe le syndrome de l'oignon et ça semble irréversible.

– Le syndrome de l'oignon, mais qu'est-ce que c'est ? » s'enquiert l'autre avec empressement.

« Bah, c'est simple ! Tout comme l'oignon, son ventre grossit et sa queue sèche. »

 

Une femme désirant le divorce se plaint auprès du juge du mauvais caractère de son mari...

Le juge à Jean-Marc : « Votre épouse prétend que vous ne lui avez plus adressé la parole depuis des années.

– C'est vrai.

– Pourquoi ?

– Parce que je suis trop poli pour l'interrompre… »

 

C'est un couple qui cherche un appartement. Mais tout ce qu'on lui propose dépasse ses possibilités.

Et un beau jour, miracle, l'agent immobilier les emmène visiter un magnifique appartement et leur annonce un prix qui est la moitié de ce qu'il devrait valoir.

Jean-Marc et sa femme sont prêts à signer lorsque le vendeur leur dit :

« Je dois vous dire la raison du prix exceptionnel de cet appartement. Le premier qui l'a acheté a vu mourir sa femme dans le mois qui a suivi. Effondré, il a revendu l'appartement sous son prix d'achat. La femme du second acheteur est morte dans le mois qui a suivi l'achat, et il l'a revendu immédiatement sous son prix d'achat et ainsi six fois de suite. »

Jean-Marc regarde sa femme et dit :

« Tant pis, je prends le risque ! »

 

C'était du temps où on trouvait encore dans les rues des balances, qui pour 20 ou 50 centimes vous donnaient votre poids, avec en plus une petite carte qui était supposée être un résumé de votre personnalité.

« Ce jour-là, ma femme voulait connaître son poids. Elle met 50 cts dans la machine, et se place sur le plateau. La machine lui sort une carte sur laquelle on pouvait lire :

Vous êtes chaleureuse, compréhensive et amoureuse »

Alors elle se retourne vers Jean-Marc et me dit :

« Ah! Tu vois ! »

Et à ce moment-là, Jean-Marc la regarde, puis regarde le cadran de la balance, et lui répond :

« Oui, je vois ! Et je vois que la balance s'est AUSSI trompée sur ton poids. »

 

Jean-Marc est un type qui souffre d'une particularité pas très ragoûtante : il pue des pieds de façon épouvantable.

Il a beau se laver à la soude caustique, se désodoriser à la Javel, se couper les ongles au fer à souder, rien n'y fait : C'est une infection.

Alors il n'a pas eu beaucoup de chance avec les filles pendant des années.

Pas loin de là, il y a une fille qui pourrait lui plaire.

Elle, son problème, c'est l'haleine : Elle se brosse les dents avec de la paille de fer, se les passe au savon noir, se fait des bains de bouche avec le numéro 5 de Chanel, mais impossible de se débarrasser de ses relents d'égout.

Un jour d'hiver la chance leur sourit : Enrhumés l'un et l'autre, ils se rencontrent, et c'est l'amour fou !

Ils prennent l'avion et vont se marier à Las Vegas.

Nuit de noces, tralala... Le lendemain, parmi les vêtements épars, ils s'avouent tout.

Elle :

« – Chéri, il faut que je t'avoue quelque chose de pas très glorieux...

– Ne dis rien, j'ai deviné : Tu as mangé mes chaussettes dans la nuit ? »

 

Variante :

Jean-Marc, qui pue désormais horriblement du bec en parle à son toubib.

L’homme de science lui prescrit de se brosser les dents en ajoutant une goutte d'essence de pin concentrée.

Le soir, il a rendez-vous avec une superbe blonde sexy, avec une opulente poitrine, alors il se doit d'assurer et d'éviter de puer de la bouche.

Il décide donc de vider d'un coup le contenu de son tube d'essence de pin...

La fille arrive, ils discutent et il a l'impression que ça va marcher.

Malheureusement la fille semble gênée et elle dit : « C'est bizarre, ça sent drôle, comme si quelqu'un avait chié derrière un sapin… »

 

D’après Jean-Marc, il y a cinq types de relations sexuelles au cours du mariage :

1) Le Sexe à la Schtroumpf se passe durant la lune de miel : Les deux protagonistes n'arrêtent pas de baiser jusqu'à ce qu'ils soient bleus tous les deux !

2) Le sexe à la cuisine se passe au début du mariage : les deux protagonistes font ça n'importe où, n'importe quand, et donc aussi à la cuisine.

3) Le sexe dans la chambre se passe lorsqu'on s'est un peu calmé. À ce moment, on a souvent des enfants et il est préférable de ne pas se donner en spectacle. On utilise donc la chambre.

4) Le sexe dans le couloir se passe un peu plus tard au cours du mariage, lorsqu'on se croise le matin dans le couloir et qu'on se souhaite un bon « va te faire enkuler » !

5) Il y a enfin le Sexe au tribunal qui se passe au moment de divorcer, et où votre femme vous baise devant tout le monde.

 

Une femme enceinte de 8 mois, se sent déprimée en regardant son image dans le miroir.

Elle demande à Jean-Marc, son mari, si elle a au moins, cette espèce de rayonnement qu'on attribue aux femmes enceinte ?

Il la regarde et lui dit :

« Oui, il y a un peu de ça... Je dirais, que tu as l'air d'une ampoule. »

 

Une épouse excédée dit à Jean-Marc, son ivrogne de mari :

« – Connais-tu la différence entre la Lune et toi?

– Ben non, j'vois pas !

– La Lune est un astre et toi un désastre !

– Pourquoi me dis-tu cela ?

– Parce que la Lune est pleine tous les mois, mais toi c'est tous les soirs. »

 

Jean-Paul, le pote de Jean-Marc, s'était marié avec une blonde l'année dernière.

Cette année, pour fêter son anniversaire de mariage, il a amené sa dulcinée blonde en Australie.

« – En Australie, pour le premier anniversaire de mariage, t'es complétement givré, c'est l'escalade… et pour ton 50ème anniversaire, ça sera sur la lune non ?

– Non penses-tu ! Pour le cinquantième anniversaire j'irai la récupérer… Et en y réfléchissant, au retour, on fera peut-être un détour sur la lune, si le progrès le permet, pourquoi pas ? »

 

Un monsieur très riche a appelé son notaire sur son lit de mort car au dernier moment, il veut changer ses dernières volontés...

« – Je veux laisser tout ce que je possède, actions, titres de propriétés, immeubles et tableaux de maîtres, je veux tout laisser à ma femme, mais avec une condition...

– Et quelle est-elle ?

– Si elle veut tout hériter de moi, ma femme doit se remarier dans les six mois qui suivent ma mort ! »

Le notaire est assez surpris par la condition demandée par son client, et il demande :

« – C'est assez inhabituel comme condition. Vous avez une explication pour cela ?

– Oh oui ! C'est parce que de cette façon, je suis sûr qu'au moins une personne regrettera ma mort. »

Alors le notaire commence à rédiger le nouvel acte... Et puis le mourant l'interrompt pour lui faire une recommandation de plus :

« Dans mes dernières volontés, ajoutez que je veux être incinéré et qu'ensuite mes cendres soient dispersées dans la mer. »

Le notaire à qui on ne la fait pas, demande tout de suite pourquoi, et le vieux répond :

« C'est juste pour le cas où ma femme voudrait faire ce qu'elle a toujours dit qu'elle ferait à ma mort… danser sur ma tombe. »

 

Une dame âgée était appuyée sur la rampe d'un bateau de croisière tenant fermement son chapeau pour qu'il ne s'envole pas dans le vent.

Jean-Marc, en jeune homme, l'apostrophe...

« – Pardonnez-moi madame, je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas mais saviez-vous que votre robe se soulève avec ce grand vent ?

– Oui, je sais, mais j'ai besoin de mes deux mains pour tenir mon chapeau

– Mais madame, saviez-vous que vous ne portez pas de culotte et vos parties intimes sont exposées à la vue de tous ! »

La vieille dame regarde son interlocuteur de haut en bas et répond :

« Cher jeune homme, ce que vous voyez plus bas date de 75 ans… et ce chapeau est neuf d'hier ! »

 

Sans rancune aucune !

 

Bon dimanche à toutes et à tous…

 

I3

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11 octobre 2013 5 11 /10 /octobre /2013 04:02

Socrate a dit :

 

« Dans tous les cas mariez-vous, si vous tombez sur une bonne épouse vous serez heureux.

Si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l'homme. »

 

Jean-Marc rapporte :

 

« J'ai dû divorcer : Elle ne pouvait plus me supporter quand j'avais bu !

 ... et je ne pouvais plus la voir quand j'étais à jeun. »

 

À la fin du jugement de son divorce, le juge déclare à Jean-Marc :

« Après mûre réflexion, j'ai décidé d'accorder 3.000 euros mensuels de pension à votre ex-femme dans cette affaire de divorce. »

Et Jean-Marc de répondre :

« Très bien. Merci Monsieur le juge. J'essaierai moi aussi de lui donner quelque chose de temps en temps… »

 

Jean-Marc se ballade rue Saint Denis.

Il approche d’une « Dame » (de vertu légère) et il lui demande :

« – C'est Combien ?

– 200 euros !

– Et pour 50 ça ira ?

– Ça va pas non ! C'est pas l'Armée du Salut ici ! Allez tire-toi ! »

Il continue son chemin et s'approche d'une autre.

Même discussion, même réponse.

Vers 16 heures, il se souvient qu'il doit aller chercher sa femme à la sortie du bureau.

Il va chercher Madame et il doit repasser rue Saint Denis pour rentrer chez lui.

Une des dames qu'il avait accostée éclate de rire et lui dit :

« Eh ! Non mais t'as vu ce que tu te tapes pour 50 balles ? »

 

« Le mariage est une merveilleuse institution, qui sert à partager à deux les problèmes qu'on n'aurait jamais eus si on était resté seul. »

 

Toujours Jean-Marc :

Les fiançailles sont un compromis (un kon promis) ;

Le mariage est une formalité à remplir (une forme alitée à remplir) ;

Le divorce est un prestige de perdu (un presse-tige de perdu) !

 

« – Maman, qu'est qu'il arrive aux voitures quand elles sont trop vieilles et trop rouillées pour rouler ?

– Eh bien, il y en a toujours un qui arrive à les vendre à ton père ! »

 

Ils viennent de se marier.

Ils rejoignent la chambre nuptiale à la fin des festivités.

Jean-Marc :

« – Chéri, regarde, j'ai acheté ce magnum de champagne rien que pour nous deux, à déguster maintenant, afin de continuer de faire la fête...

– Non merci, le médecin m'a conseillé de ne pas prendre d'alcool avec les somnifères… »

 

À la ferme, une paysanne à son mari :

« – Demain c'est l'anniversaire de nos 30 ans de mariage ! Pour la circonstance, on pourrait tuer le cochon ?

– Pourquoi ? C'est pas sa faute ! »

 

Cela se passe pendant la nuit de noce :

Elle : « Tu m'aimes ? »

Lui : « Qu'est-ce que tu crois ? Que je fais des pompes ? »

 

Jean-Marc à sa femme :

« – As-tu déjà regardé un homme depuis notre mariage, en te disant que ce serait bien d'être de nouveau célibataire ?

– Oui ! Toi tous les matins. »

 

Au salon de l’agriculture, Jean-Marc et sa femme.

Dans l’arène défilent les taureaux de concours :

« Magnifique taureau, bla bla… quinze saillies par jour ! »

La femme : « T'entends !? 15 saillies par jour ! ».

Un autre magnifique taureau, « vingt saillies par jour ! »

« T'entends !? 20 par jour ! »

« Une superbe bête qu'est celui-là, vingt-deux saillies par jour ! »

« T'entends !? 22, pfut ! »

« Nous continuons avec ce spécimen qui atteint dix-neuf saillies par jours ! »

« T'entends ça Jean-Marc !? 19 tous les jours ! »

Et comme ça pendant une heure.

Pour finir, Jean-Marc qui n'en peut plus de se faire charrier sur la fréquence de ses saillies à lui, se lève prend sa femme avec lui et se dirige vers le vendeur.

« – Dites-moi monsieur, tous vos taureaux, ils le font avec la même vache ?

– Bien sûr que non, ils ont tout le troupeau. 

– T'entends ça, chérie !? »

 

Jean-Marc :

« – Je ne comprends pas : 3 docteurs nous ont certifié au début de notre mariage que je ne pourrai jamais être père. Donc, l'enfant que tu attends ne peut pas être de moi !

– Tu as de ces raisonnements !!! Alors, si les docteurs avaient en même temps affirmé que j'étais stérile, le petit ne serait de personne... Réfléchis, voyons ! »

 

Jean-Marc et sa femme ont pas mal bu, alors forcément, ils se posent des questions existentielles idiotes comme celle-ci :

« Qui, de l'homme ou de la femme, prend le plus de plaisir pendant l'acte sexuel ? »

Jean-Marc dit :

« – Ce sont les hommes qui prennent le plus de plaisir ! Sinon pourquoi penses-tu que les hommes aient toujours envie de baiser ?

– Ça ne prouve rien du tout, chéri. Réfléchis deux seconde à ça : Quand ton oreille te gratte et que tu utilises ton petit doigt, qui se sent mieux après ? Ton petit doigt ou bien ton oreille ? »

 

Jean-Marc à sa femme :

« – Pourquoi ne me dis-tu jamais quand tu as un orgasme ?

– Parce que tu n'es jamais là ! »

 

Jean-Marc :

« – Chérie, j'ai une mauvaise nouvelle et une bonne…

Tout d'abord, j'ai décidé de partir vivre avec Hélène…

– Sans blague ! Et qu'elle est la mauvaise nouvelle ? »

 

Dans la série des devinettes idiotes :

 

Quelle différence y a-t-il entre une femme célibataire de 40 ans et un homme célibataire de 40 ans ?

La femme de 40 ans pense à avoir des enfants et l'homme de 40 ans ne pense qu'à les draguer.

 

Votre femme est devant la porte d'entrée en train de vous aboyer dessus.

Votre chien est à la porte de derrière en train d'aboyer pour rentrer.

Lequel des deux devez-vous faire rentrer ?

 ...

Le chien !

Il arrêtera d'aboyer quand il sera à l'intérieur.

 

Quelle est la différence entre une femme et un ouragan ?

Aucune, quand ça vient, c'est chaud et humide, quand ça repart, c'est avec ta bagnole et ta maison.

...

 

Quelle est maintenant la différence entre un homme et un ouragan ?

Aucune. Quand ça vient, c'est toujours trop vite. Quand ça repart, ça se fout totalement du bordel laissé dans la maison.

 

Pourquoi les hommes mariés prennent du poids alors que les célibataires restent maigres ?

Les célibataires ouvrent leur frigo, n'y trouvent rien qui leur plaise, alors ils retournent au lit.

Les hommes mariés vont au lit, n'y trouvent rien qui leur plaise, alors ils vont au frigo.

 

Et puis mes deux préférées du moment :

 

Discussion entre copines devant une tasse de thé :

« – Mon mari et moi, nous sommes mariés depuis plus de deux ans, et on ne s'est pas encore disputé sur quoi que ce soit !

Si jamais on n’est pas d'accord sur quelque chose, et que j'ai raison, mon mari acquiesce et accepte mon point de vue.

– Mais… Si c'est lui qui a raison ?

– Ah, ça ce n’est pas encore arrivé ! »

 

Un jour que son mari est en retard pour rentrer du travail, l’épouse de Jean-Marc est très nerveuse et en parle à sa mère au téléphone :

« – Je suis sûre qu'il voit une autre femme !  

– Pourquoi toujours voir le pire ? Peut-être il a simplement eu un accident… »

 

Bon week-end à toutes et à tous !

 

I3

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4 octobre 2013 5 04 /10 /octobre /2013 04:06

L’affreuse semaine d’un alcoolique…

 

C’est Jean-Marc qui arrive dans un bar avec sa femme et demande :

« Une bière s.v.p. ».

Il la boit et demande :

« Une autre s.v.p. avant que ça commence ».

Le barman lui sert une autre bière. Il la boit encore et dit à nouveau :

« Encore une autre avant que ça commence ».

Et le même manège de nouveau.

Puis la femme dit à son mari :

« Chérie, ça fait 5 bières que tu bois, tu ne crois pas que tu as assez bu ? »

Jean-Marc regarde le barman en disant :

« Et voilà, ça commence ! »

 

Variante :

C'est Jean-Marc qui rentre en courant dans un bar.

Il crie au serveur : « GARÇON ! Une bière avant que ça commence ! »

Étonné, le garçon le sert.

Puis, de nouveau, il crie : « Une autre, avant que ça commence ! Vite ! »

Intrigué, le garçon le sert de nouveau. Ainsi de suite jusqu'à la quatorzième.

Le barman dit alors :

« Heu... Ce n’est pas tout de boire, il faut payer maintenant ! »

Et Jean-Marc de répondre :

« Et voilà, ça commence ! »

 

Jean-Marc entre dans un bar. Il s'assied et demande au serveur :

« Bonjour, je prendrais un monocle. »

Le serveur un peu gêné, lui répond :

« – Monsieur, ici vous n'êtes pas chez un opticien.

– Non, je sais ! Je vous demande un monocle ! »

Le serveur, s'énervant lui demande :

« – Qu'est-ce qu'un monocle d'après vous ?

– C'est un verre à l’œil ! »

 

Deux mecs, à Paris qui sont complétement bourrés et qui se parlent.

« – Toi t'habites où ?

– Dans le 13ème arrondissement et toi ?

– Tu déconnes ! Moi aussi !

– Mais moi j'habite avenue de la Glacière !

– Putain moi aussi ! Tu le fais exprès ou quoi ?

– Non. Moi, j'habite au numéro 13.

– C'est pas vrai c'est moi qui y habitent ! »

Alors les 2 mecs se jettent dessus et se bastonnent.

Et le barman de commenter :

« Y sont tellement bourrés qu'ils ont oubliés qu'ils sont père et fils ! »

 

Variante :

Fin de soirée, deux types discutent dans un bar :  

« – Tu es né où, toi ?

– À Lille.

– À Lille ? Moi aussi ! Et dans quelle maternité ?

– À Jeanne de Flandre...

– À Jeanne de Flandre ? Moi aussi ! Et quel jour ?

– Le 16 octobre 1973...

– Le 16 octobre 1973 ! Oh ! C'est dingue ! Moi aussi ! »

Jean-Marc entre dans le bar et s'adresse au barman :

« – Bonsoir Jeannot, quoi de neuf ce soir ?

– Rien de spécial… Les jumeaux sont encore bourrés, comme d'habitude ! »

 

Jean-Marc entre dans un bar et demande à la serveuse une 16.

La serveuse dit « une 1664 ? »

« Non une 16 … pour m’asseoir ! »

 

Jean-Marc, bourré tire à la carabine dans une foire.

Il est bon tireur et réussit à mettre dans le mille.

Il gagne une tortue...

Il revient un quart d'heure plus tard et gagne à nouveau.

On lui donne une peluche, mais il demande :

« Vous n'auriez pas un sandwich comme tout à l'heure ? »

 

Jean-Marc rentre dans un bar et commande directement 6 whiskies.

Le barman lui dit en le servant :

« – Hé ben... Vous avez dû passer une sacrée journée !

– M'en parlez pas ! Je viens tout juste de découvrir que mon frère aîné est gay… »

Quelques jours plus, Jean-Marc se re-pointe dans le bar et recommande 6 whiskies.

Naturellement, le barman lui demande ce qu'il a encore appris aujourd'hui et Jean-Marc répond :

« Je viens juste d'apprendre que mon frère cadet est gay lui aussi ! »

Une semaine encore plus tard, re-belote, Jean-Marc débarque au même bar et commande à nouveau ses six whiskies.

Alors le barman lui dit :

« – Mais enfin, il n'y a personne dans votre famille pour aimer les femmes ?

– Si… la mienne ! »

 

Un facteur discute avec le docteur qui a accouché sa femme.

Surpris d'avoir eu des triplés, car il ne s'y attendait pas du tout, il demande :

« – Docteur, dites-moi, des triplés, c'est incroyable ! Ça dépend de quoi ?

– Eh bien, » dit le docteur, « ça peut dépendre de plusieurs facteurs...

– Je le savais ! Ah les enfoirés…! »

Re-six bières…

 

Jean-Marc et Jean-Paul, bourrés dans la même voiture, roulent à 90 km/h.

Soudain il y en a un qui hurle : « Freine ! »

La seconde suivante, ils se retrouvent dans le fossé et le premier demande à l’autre :

« – Pourquoi t’as pas freiné ?

– Bah ! C’est toi qui conduis ! »

 

Dans un bar, Jean-Marc et Jean-Paul discutent :

« J'ai pas de chance, vraiment !

Une fille s'était plainte que j'avais essayé d'attenter à sa pudeur dans ma voiture. Je suis passé au tribunal ce matin. J'ai été condamné à une amende de 150 €...

Et quand le juge a vu la fille, il m'a condamné à une amende de 200 € de plus pour conduite en état d'ivresse ! »

 

Un type complétement saoul sort d'une boîte de nuit et marche vers les voitures sur le parking.

Il touche le toit de la voiture, puis il va voir à côté.

Il retouche puis ainsi de suite.

Jean-Marc, pas plus sobre que lui, le voit et lui demande :

« – Qu'est-ce que vous faites ?

– Ben je cherche ma voiture. »

Intrigué, il lui demande comment il compte la reconnaître et touchant le toit des voitures

« Ben la mienne c'est celle qui a un gyrophare ! »

 

Jean-Marc rentre dans un bar :

« – Je voudrais une chwourkanistroufblisk à la menthe.

– Un chwourkanistroufblisk à la quoi ? »

(C’est une revenue d’il y a déjà très longtemps, qui a fait le tour du monde avant d’atterrir à nouveau dans la trompe d’eustache de Jean-Marc. Mais il ne s’en souvient plus…)

 

(Encore une, de « revenue », mais améliorée)

Jean-Marc assis à un bar.

Il dit au Barman :

« – As-tu vu la femme là-bas ? Je lui paie un verre.

– Oublie-ça, ça ne sert à rien. Cette femme-là est une lesbienne !

– Voyons donc ! Ce n'est pas grave ! Ça ne me dérange pas, qu’est-ce que ça peut faire ?

– C’est ton pognon, tu en fais ce que tu veux ! »

Le barman va porter un verre à la demoiselle de la part du gentil monsieur.

La demoiselle remercie gentiment Jean-Marc de la main.

Puis il lui paie un deuxième verre, puis un troisième et se décide alors d'aller la voir.

Il s'assied à côté d'elle. Ils se présentent, discutent un peu et finalement, embêté, il demande à la fille :

 « Dis-donc : Y’a-t-il encore la guerre, en Lesbie ? »

 

Jean-Marc rentre chez lui après une bonne soirée au bistrot.

Voyant sa femme, il lui demande :

« – Chérie, des corbeaux de 1,60 m de haut, ça existe ?

– Bien sûr que non !

– C'est bien ce que je pensais. J'ai dû écraser une religieuse. »

(Version un peu différente de celle du camionneur de la semaine dernière, convenez-en tous…)

 

Soudain, dans la rue, un passant s'écroule.

Un attroupement se forme aussitôt, et un homme s'écrie :

« Vite !... Allez lui chercher un verre d'eau ! »

Une dame intervient :

« Mais non !... Portez-lui plutôt un petit verre de cognac ! »

Jean-Marc, le type qui est à terre, soulève péniblement sa tête et dit :

« C'est… hic… la dame… hic… qui a raison ! »

 

Deux brunes, complétement saoules, sortent d'un bar.

Elles sont particulièrement fauchées et ont mal au pied, quand tout-à-coup, il y en a une qui se dirige vers un champ et qui escalade la clôture.

Sa copine lui dit :

« – Mais Jeannette, qu'est-ce que tu fais ?

– Laisse, laisse… »

Elle escalade les barbelés, se met sous une vache et se met à téter les pies de la vache…

« – Mais Jeannette, qu'est-ce qui te prend ?

– Attends et laisse-moi faire ! Il y en a bien un des quatre qui va nous ramener ! »

 

Jean-Marc rentre dans un bar chic de Paris.

En voyant une belle jeune fille seule, il décide de l'aborder.

« – Mademoiselle, puis-je prendre la liberté de vous offrir un verre ?

– Quoi ? Espèce de cochon ! » se met-elle à hurler.

Tous les regards se posent soudain sur Jean-Marc, qui tente de se racheter :

« – Vous n'avez pas compris, je vous demande si vous voulez un verre de whisky...

– Quoi ! Mais je ne suis pas une pute, lâchez moi ! » persiste-t-elle à hurler.

Jean-Marc abattu, laisse tomber l'affaire, et va s'asseoir un peu plus loin.

Plus tard, la fille revient pour lui dire tendrement :

« – Désolée pour tout à l'heure, mais je vous ai fait un test psychologique, pour mes études.

– Quoi ?!? Deux mille Euro ?!? » fait Jean-Marc en criant de toutes ses force…

 

Jean-Marc et Jean-Paul se retrouvent dans un bar.

Jean-Paul voit que Jean-Marc, blasé de tout, n’a pas le moral et tente de l’aider.

« – Alors, quand est-ce que tu viens croûter à la maison ?

– Oh, tu sais… Manger, toujours manger....

– Viens au moins prendre l'apéro, ça te permettra de voir ma maison !

– Oh, tu sais… Boire, toujours boire…

– Mais si ! Allez… Ma femme sera contente de te revoir.

– Oh, ta femme !… Baiser, toujours baiser… »

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

I3

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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 04:09

En terrasse des « Palmiers »

 

Deux mecs s’installent.

Le garçon arrive.

« – Et pour ces messieurs, qu’est-ce que ce sera ?

– Une Serena (Bière blonde « locale ») !

– Alors ça fera deux Serena », fait le second.

Quand le premier réfléchit et dit :

« Euh... tout compte fait, je prendrai deux Serena aussi ! »

 

Les mêmes discutent de tout et de rien, quand soudain, Dumè dit à Anton :

« – J'ai été pas mal chanceux hier, aux courses de chien. J'ai gagné quatre courses sur sept.

– Aho é bé ! Tu dois être pas mal fatigué ce matin ! »

 

C’est en plein maquis corse, un homme vêtu d'une combinaison de plongée, tuba et palmes avance péniblement...

« Putain de canadair ! »

 

Définition : Un statisticien, c'est un mek qui a la tête dans le four et les pieds dans le frigo.

En moyenne, il est bien.

 

Jean-Marc monte dans le bus et dit au chauffeur :

« Aujourd'hui Jean-Marc, il prend pas de ticket ».

Le lendemain idem : « Aujourd'hui Jean-Marc, il prend pas de ticket ».

Et ainsi de suite pendant une semaine.

Le « traminal » en a marre et demande aux contrôleurs de venir à l'heure où Jean-Marc prend le bus.

Le lendemain :

« – Aujourd'hui Jean-Marc, il prend pas de ticket.

– Ah oui ? Et pourquoi il prend pas de ticket, le Jean-Marc ?

– Parce que Jean-Marc il a une carte Navigo ! »

 

Jean-Marc se cherche du travail.

Lors d'un entretien d’embauche, un patron lui demande s'il est quelqu'un de responsable.

« – Ah oui ! Lors de mon dernier travail, à chaque fois qu'il y avait une erreur, c'était moi le responsable. »

 

C'est un jeune couple, dont la femme pense être enceinte.

« – Au fait chéri, cet après-midi je vais voir mon gynécologue pour savoir si tout va bien pour notre futur bébé.

– Ha, c'est bien. Tu me téléphoneras au garage pour me dire ce qu'il en est. »

Déception !

Le spécialiste lui dit qu'elle n'est pas enceinte mais qu'elle souffre d'aérophagie.

De retour à la maison, elle téléphone au garage pour l'annoncer à son mari :

« Allô, bonjour monsieur, je voudrais faire une commission à mon mari, ne le dérangez pas, dites-lui simplement que je ne suis pas enceinte mais que je fais de l'aérophagie. Merci, au revoir. »

Le soir, le mari rentre du travail, le visage défait, l'air en colère.

Il s'adresse à son épouse :

« Dis donc, qu'est-ce que tu es allée leur raconter au garage ? Toute la journée mes collègues de travail n'ont pas arrêté de me dire : « Hé-ho, Jean-Marc ! Amène ta biroute, on a un pneu à regonfler ! ». »

 

La dernière grande soirée en faveur de la faim dans le monde a été un véritable bide…

 

Toujours à Calvi, sur le port, en terrasse des « Palmiers »

« – Tu prends quoi ?

– Un soda, s’il te plaît.

– Pour moi aussi. Garçon ! Deux seaux d’eau ! »

 

Entendu dans la gendarmerie de Calvi, planquée à flanc de montagne, un camionneur « pinzutu ».

« – B'jour! Dites, vous avez des vaches noires dans l'pays ?

– Bah non.

– Et des chevaux noirs ?

– Non.

– Des gros chiens noirs, alors ?

– Non plus, non !

– Merde... Alors j'ai écrasé l'curé ! »

 

« – L'autre jour j'ai lu dans le journal qu'à chaque fois que je respirais, un homme mourrait sur la planète.

– Ça ne m’étonne pas ! Tu ferais mieux de changer de dentifrice… »

 

« – J'ai été marié trois fois.

– Des enfants ?

– Non, non ! Toujours des adultes ! »

 

Jean-Marc et Jean-Paul se promènent. Soudain ils lèvent la tête pour regarder un avion qui passe.

« – Ah, je le reconnais », dit l'un, « c'est l'avion du président, qui revient du Mali

– T'es fou, on aurait vu passer les motards ! »

 

Que se passe-t-il quand la foudre tombe sur un bossu ?

Ça le fout droit…

 

C'est un play-boy qui fonce au volant de son Aston-Martin décapotée et qui s'arrête pour ramasser une ravissante auto-stoppeuse.

Ils font donc connaissance à 200 à l'heure… si intimement connaissance que… ben… la voiture sort de la route, fait une série d’embardées et de tonneaux pour se retrouver perchée dans un arbre !

Un paysan arrive alors sur le lieu du drame, et dit au type :

« Bouh ! Z'avez eu là une sacrée veine, hein ! Z'avez l'air sains et saufs, vot' dame et vous ! Elle est dans l'pré là-bas ! Elle a passé par d'ssus la voiture, mais elle va bien ! »

Le type se met à chialer et dit :

« – Elle va bien hein ! MAIS PAS MOI ! Allez donc voir ce qu'elle tient dans la main ! »

 

Jean-Marc et Jean-Paul vont au restaurant et commandent chacun une sole.

Le serveur arrive et leur présente le plat qui contient effectivement deux soles mais une très grosse et une très petite.

Les deux amis sont un peu gênés quand l'un dit à l'autre :

« – Vas-y, sers toi, je t'en prie !

– Mais non, après toi, je t'en prie !

– Allez, fais pas d'histoire, choisis le premier…

– Non, à toi l'honneur… »

Pendant 5 minutes, chacun hésite, se renvoie la politesse et, finalement, l'un des deux en a marre et se sert.

Il prend la grosse sole.

« – T'es gonflé ! Si moi je m'étais servi le premier j'aurai pris la petite !

– Eh ben ! Qu'est-ce que t'as à râler ? Tu l'as la petite… »

 

On sait désormais pourquoi la Vénus de Milo n'a plus de bras !

« Parce qu'elle se rongeait les ongles… »

 

Connaissez-vous l'origine du fameux cri de Tarzan ?

… Un jour, Jane tombe dans un fleuve, et comme elle ne sait pas nager, elle appelle au secours.

Tarzan, n'écoutant que son courage, attrape une liane, se lance au-dessus du fleuve et crie à Jane qui se noie :

« ACCROCHE-TOI OÙ TU PEUX ! »

 

Deux mecs sont toujours à la terrasse des « Palmiers » sur le port de la cité « Simper Fidelis » (à Genova) au pied de la citadelle de Calvi.

L’un lit le journal.

« – Ò Dumè ! T'as vu ce qu'ils disent ? À Chicago y a un mec qu'est tué toutes les 20 minutes !

– Le pauvre vieux… »

 

Quelle est la différence entre une hermine et un ramoneur ?

L'hermine est blanche avec une queue noire.

Le ramoneur est noir avec une … petite échelle sur le dos.

 

Un dernier conseil de l’adjudant entendu dans le Transall qui survole la baie de Calvi au stick de paras du 2ème REP qui s’apprête à sauter en parachute :

« Et rappelez-vous que si d'aventure vos deux parachutes venaient à ne pas s'ouvrir ou à se mettre en torche, déglutissez trois fois ou sucez un bonbon à la menthe afin d'éviter une surdité passagère ! »

 

À propos de parachute : « L'esprit c'est comme les parachutes, ça ne fonctionne que lorsque c'est ouvert. » Pierre Dac.

 

« L'intelligence, c'est comme le parachute : quand on n'en a pas, on s'écrase. » Pierre Desproges

 

Encore Pierre Dac : « J'aime le travail, je passerais des heures à le regarder ».

« Le travailleur vraiment courageux est celui qui n'hésite pas à se coucher à côté de son travail pour bien lui montrer qu'il n'a pas peur de lui », même dans le noir !

« Si vous ne vous sentez pas bien …

… faites-vous sentir par quelqu'un d'autre ! »

 

Titre : « Les hémorroïdes gagnent encore du terrain. Les chercheurs se grattent la tête. » (JM Bigard)

 

Pas drôle, je sais… Mais c’était la collecte de la semaine.

Bon week-end à toutes et tous !

 

I3

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 04:05

Une authentique, paraît-il :

 

L'empereur Bokassa est en visite officielle en Grande-Bretagne.

Sa majesté, la reine Elizabeth II le reçoit avec les honneurs dus à son rang.

Notamment, elle le conduit à travers Londres dans un royal cabriolet tiré par 4 royaux chevaux blancs.

Soudain, l'un des chevaux lâche un pet aussi odorant que retentissant. La reine, confuse, se tourne vers l'empereur et lui murmure :

« – Je suis désolée, vraiment…

– Ne soyez pas désolée, majesté », lui répond Bokassa, « moi je croyais que c'était le cheval… »

 

Pendant l'été, un jeune homme s'est fait embaucher au supermarché du coin pour se faire de l'argent de poche.

Débute sa première journée : Jean-Marc, le directeur du magasin l'accueille avec une franche poignée de main et un sourire tout commercial, puis lui donne un balai et dit :

« – Tu vas commencer par balayer toute l'entrée.

– Mais... Monsieur ! J'ai une licence de l’université et je suis en classe préparatoire pour l’ENA ! » répond le gars indigné.

« Oh, pardon, je n'étais pas au courant », répond le Jean-Marc. « Dans ce cas, donne-moi le balai, je vais te montrer »

 

C'est Jean-Marc qui fait une oraison funèbre lors de l'enterrement d'un ami.

Il dit entre autres choses : « Et sa disparition laissera un vide douloureux »…

À la fin de la cérémonie, Jean-Paul lui demande :

« – Comment un vide peut-il être douloureux ?

– Tu n’as jamais eu mal à la tête, toi ? »

 

Jean-Marc à son patron :

« – Monsieur, mon salaire n'est pas en rapport avec mes capacités !

– Oui ! Nous ne pouvons tout de même pas vous laisser mourir de faim ! »

 

Deux vieilles stars de Hollywood se retrouvent à l'occasion de la cérémonie des Oscars.

La première veut se faire mousser et lâche à la seconde :

« – Tu sais que j'avais fait assurer ma poitrine pour un million de dollars…

– Ha oui ? Et tu as fait quoi de tout cet argent ? »

 

Sur une route de montagne se suivent 3 voitures : Une Lada en tête, suivie d'une Ferrari, elle-même suivie par une Porsche.

Soudain, à la sortie d'un virage sans visibilité, un camion !

La Lada se plante dans le camion, la Ferrari se plante dans la Lada et la Porsche se plante dans la Ferrari.

Les trois voitures sont bousillées.

Le chauffeur de la Porsche sort de sa voiture en pleurant :

« Ouin, 15 jours de salaire ! ».

Celui de la Ferrari, en hurlant :

« Ouin, 2 mois de salaire foutus ! ».

Et enfin, Jean-Marc, complétement atterré sort des lambeaux de sa Lada :

« – Ouin, toute une vie de labeur ! ».

– Nom de Dieu ! Toute une vie ? Vous avez les moyens vous !… »

 

Comment appelle-t-on des chaussures d'enterrement ?

« Des pompes funèbres ! »

 

C'est Jean-Marc qui veut un boulot de contrôleur ferroviaire.

On lui demande de rencontrer un inspecteur pour passer des tests.

L'inspecteur commence à lui poser des questions :

« – Que faites-vous si vous réalisez que deux trains allant en sens contraire utilisent la même voie ?

– Dans ce cas je change un des trains de voie.

– Et si la commande électrique ne répond pas ?

– Alors je laisse tomber l'électronique pour aller actionner le levier manuel sur la voie elle-même.

– Et si le levier manuel a été frappé par la foudre ?

– Alors je retourne à mon poste d'aiguillage en courant pour prévenir par téléphone le poste d'aiguillage précédant de faire le nécessaire.

– Et si la ligne est occupée ?

– Alors je quitte le poste d'aiguillage et je courre vers le poste téléphonique d'urgence situé au passage à niveau.

– Et si ce poste a été détruit par des vandales ?

– Oh... Alors je vais en courant jusqu'au village prévenir mon oncle Roger ! »

L'inspecteur est surpris de la réponse et demande :

« – Ah tiens ! Et pourquoi votre oncle Roger ?

– Parce qu'il n'a jamais vu de catastrophe ferroviaire. »

 

C'est trois samouraïs qui veulent mesurer leur adresse au sabre.

Ils se choisissent un juge qui sera le gage de l'équité de la joute qui va se dérouler entre les 3 guerriers.

Le juge, qui s'y connaît en tournoi de samouraïs, leur a apporté de quoi se mesurer : Il ouvre une petite boîte dans laquelle il y a une mouche.

Le katana du premier samouraï sort de son fourreau en un éclair, et la mouche retombe sur le sol, coupée en deux !

Le juge est satisfait par cette première performance, et il félicite le premier samouraï.

Lorsque le deuxième samouraï est prêt, le juge ouvre une nouvelle boîte et laisse s'envoler une autre mouche.

Cette fois-ci, le deuxième samouraï donne deux coups de sabre dans l'air, et la mouche retombe, coupée en quatre !

Cette fois, le juge est vraiment impressionné.

Et il le dit au deuxième samouraï.

Mais il reste un troisième concurrent. Lorsque celui-ci est prêt, le juge ouvre une troisième boîte contenant une troisième mouche...

Le dernier des samouraïs sort son sabre, dessine une arabesque dans l'air, et range son sabre, mais la mouche continue à voler...

Le juge dit alors :

« – Mais la mouche vit toujours !

– C'est vrai, » répond le troisième samouraï, « mais elle ne pourra plus jamais se reproduire. »

 

Jean-Marc entre chez le coiffeur avec un petit garçon.

Il se fait couper les cheveux puis dit au coiffeur :

« Coupez les cheveux du petit, je vais faire une course. »

Une heure passe et Jean-Marc ne revient pas.

Le coiffeur dit au petit garçon :

« – Il ne revient pas ton papa ?

– C'est pas mon papa ! C'est un monsieur qui m'a pris par la main dans la rue. Et il m'a dit viens gamin on va se faire couper les cheveux à l'œil ! »

 

C'est un jeune cadre dynamique qui s'apprête à quitter son bureau vers les 20 heures, lorsqu'il croise le directeur général de sa boîte en face du broyeur de documents, une feuille de papier à la main...

« – Ah, Jean-Marc ! Vous allez pouvoir m'aider avant de partir : Ceci (en montrant son papier) est très important et ma secrétaire vient de partir ; sauriez-vous faire fonctionner cette machine ?

– Certainement Monsieur. »

Et il branche la prise, insère le papier dans la fente et celui-ci est aussitôt broyée.

« Excellent ! » dit le Directeur Général alors que son papier disparaît. « Une copie suffira… »

 

Un repris de justice est convoqué comme témoin...

«  Vous êtes en retard. Quand on est convoqué à 10H00, il faut arriver à 10 heures !

– Ben oui, mais je me suis perdu dans les couloirs du palais de justice, sinon, j'étais à l'heure.

– Pourtant, si je me souviens bien, je vous ai déjà vu en d'autres circonstances dans cette salle…

– Oui, oui, vous avez raison. Mais cette fois-là, j'étais arrivé par l'entrée des artistes… »

 

Jean-Marc se présente dans un restaurant et propose un deal au patron :

« Écoutez, moi je n’ai pas d'argent, mais je vous propose un pari : Vous me présentez une assiette propre, et je vous devine ce qu'il y avait dedans avant de la laver. Si je devine, vous m'offrez un repas, sans ça je m’en vais sans avoir mangé. »

Intrigué et joueur, le restaurateur accepte.

Il pose devant Jean-Marc une assiette propre.

« – Mmmmh, ça c'était du civet de lièvre aux champignons. »

Et effectivement, ça c'était ce que l'assiette avait contenu !

La scène se répète 1, 2, 3 jours suivants.

Au bout d'une semaine, le restaurateur commence à en avoir marre de devoir donner à manger gratuitement à ce gusse.

Dès qu'il le voit arriver, il va dans la cuisine du restaurant et demande à la cuisinière :

« – Ginette, vite, baisse ta culotte !

– Mais enfin, patron !

– C'est pour faire une blague Ginette, baisse ta culotte et frotte-toi la chatte contre cette assiette, vite ! Après tu la laves et tu me la donnes. »

Une fois l’assiette nettoyée et essuyée, le patron retourne auprès de Jean-Marc assis à sa table et la lui donne.

Jean-Marc renifle une fois, deux fois l'assiette, interloqué, et il demande enfin :

« Mais, mais… la Ginette, elle travaille ici ? »

 

L’épouse de Jean-Marc se plaint à son médecin de la fatigue sexuelle de son mari.

Il lui prescrit donc un remontant sous forme de pilules concentrées.

Posologie à ne pas dépasser : Une pilule par jour mélangée à une sauce quelconque.

Elle rentre chez elle, écrase 3 pilules dans un pot de moutarde et entreprend de préparer une choucroute.

Son mari rentre, se met les pieds sous la table et commence à manger sa choucroute.

Sa femme attend patiemment dans la cuisine que son mari arrive et lui saute dessus, quand elle l'entend hurler de rire.

Elle va dans le séjour et demande à son mari, toujours hilare, ce qui se passe :

« J'ai mis de la moutarde sur la saucisse, elle a défoncé toute seule le kul du chat ! »

 

Je sais, je sais, toujours d’un niveau très lamentable.

Que voulez-vous, il s’agit de notre Jean-Marc national, par le pisse-froid de « Air-Haut ».

Et puis au bureau, il détend l’atmosphère en nous les racontant…

Ça réconforte en ces temps si difficiles.

 

Bonne fin de semaine quand même,

À toutes et tous !

 

I3

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 04:05

De Jean-Marc, naturellement

 

Jean-Marc va se confesser.

« – Mon père, je m'accuse d'avoir péché… J'ai fauté avec une femme qui n'était pas la mienne.

– Était-ce contre son gré, mon fils ?

– Oh non, contre le mur, mon père. »

 

Après des années, deux anciennes amies se retrouvent :

« – Tu te souviens de ce grand blond qui nous emmenait dans sa voiture de sport.

– Oh oui ! » répond l'autre. « Il voulait à tout prix m'épouser. Il m'avait même dit qu'il ferait une bêtise si je lui disais « non ». C'est pourtant ce que j'ai fait parce qu'il était vraiment trop bête.

– Ah bon », dit la première, l'air pincé. « Eh bien, figure-toi qu'il m'a épousée ! »

 

Dans un jardin, un homme marche tirant par la main un enfant qui pleure, trépigne et hurle à pleins poumons.

« Reste tranquille Jean-Marc… Calme-toi Jean-Marc… »

« Essaie de te retenir, Jean-Marc… Ne t'énerve pas Jean-Marc… » murmure l'homme.

Une dame d'un certain âge s'approche.

« – Quel brave père vous êtes » dit-elle. « Ça fait vraiment plaisir de voir un père aussi patient avec son petit Jean-Marc… C'est bien comme ça qu'il s'appelle ce chérubin, n'est-ce pas ?

– Non », répond l'homme, « Jean-Marc c'est moi, lui il s'appelle Jean-Louis ! »

 

L’officier de police judiciaire s'adressant à la victime :

« – Si toutes les sorties étaient surveillées, comment le voleur a-t-il pu s'échapper ?

– Il est parti par l'entrée. »

 

Jean-Paul et Jean-Marc discutent :

« – Tu sais, mon père avait un truc infaillible pour m'endormir quand j'étais bébé !

– Ah ouais ? C'était quoi ?

– Il me lançait en l'air et me rattrapait.

– Et ça marchait ?

– Oh oui ! À tous les coups ! Le plafond était assez bas à la maison ! »

 

Sur les quais de Seine, une parigote du seizième fait le tour des animaleries pour se trouver une petit chien.

« – Je veux un chien dont je puisse être fière » dit-elle au vendeur. « Est-ce que celui-ci a un bon pedigree ? »

« Madame, » répond Jean-Marc, « s’il pouvait parler, il ne daignerait certainement pas nous parler, ni à moi, ni à vous. »

 

« – Papa, tu allais à la messe quand tu étais petit ?

– Oui mon fils : J'y allais tous les dimanches.

– C'est bien ce que je pensais. Je parie que ça ne me fera aucun bien à moi non plus. »

 

Un opticien dit à un peintre en lettres :

« Vous m'écrirez sur toute la largeur de la vitrine : « Ici, examen gratuit de vos yeux. »

Et débrouillez-vous pour me faire des lettres suffisamment floues afin que les passants s'imaginent qu'ils ont absolument besoin de lunettes. »

 

Un samedi après-midi.

Alors qu'elle fouille dans son sac à la recherche de sa carte de crédit, une femme fait tomber une télécommande de télévision.

La caissière regarde la femme bizarrement et lui demande :

« – Vous trimballez souvent votre télécommande dans votre sac?

– Non ! En fait, mon mari n'a pas voulu m'accompagner pour faire les courses avec les enfants. J'ai trouvé que ce serait une bonne petite vengeance personnelle… »

 

Un coutier qui travaille au Palais Brongniart passe par hasard rue Saint-Denis à pied...

Naturellement, il se fait aborder par une demoiselle :

« – Hé, ça te dirait une bonne petite pipe, chéri ? … T'as l'air tout tendu !... Seulement 30 Euros…

– Pas question », répond le courtier. « Je suis marié !

– Et alors ?

– Alors ? Ma femme le fait pour 15 Euros »

 

Deux publicitaires discutent dans un bar. Ils parlent de leurs campagnes de pubs à la télé :

« – À propos des pubs pour les serviettes périodiques, tu savais que les hommes pouvaient aussi d'en servir ?

– Non ?

– Ben oui : Tu te les mets sur le front pour combattre les pertes de mémoires !

– Moi, c'est du PQ que je mets autour de la tête : À chaque fois que j'ai une idée, c'est de la merde ! »

(Oui c’est une « revenue », celle de Jean-Marc consultant son médecin pour soigner sa « diarrhée-mentale »)

 

Un père banquier s'explique avec son fils :

« – Dis, pourquoi est-ce que tu ne te cherches pas un travail ?

– Pourquoi ? », répond Jean-Marc.

« – Ben, pour gagner de l'argent !

– Pourquoi ?

– Comme ça tu pourras remplir ton compte en banque et le faire fructifier.

– Pourquoi ?

– Comme ça, quand tu seras vieux, tu pourras utiliser l'argent de ton compte en banque... et tu n'auras plus à travailler !

– Mais je ne travaille pas, papa… »

(Encore une revenue, celle de l’histoire du pêcheur africain racontée par « Chouette-Chouette »).

 

C'est deux papiers qui se promènent au bord de la piscine et il y en a un qui plonge et qui coule.

Alors l'autre lui dit :

« – Mais qu'est-ce qui se passe ?

– Ben, j'ai pas pied ! »

 

Que dit le comte Dracula après avoir saigné une jolie créature ?

« Merci, beau cou ! »

 

Un arbuste s'engueule avec un bégonia :

« Espèce d'empoté ! »

 

« – Celui-là, son succès lui est monté à la tête.

– C'est compréhensible. C'est là qu'il y avait le plus de place libre ! »

 

Dans un petit village, on fête un centenaire. Fier et heureux, Jean-Marc le bourgmestre s'adresse à lui :

« – Grand-père, toutes mes félicitations. Et l'année prochaine, j'espère que je pourrai fêter votre cent et unième anniversaire.

– Pourquoi pas ? Vous n'avez pas l'air en trop mauvaise santé… »

 

Une dame regarde Jean-Marc, son mari, qui est en train d'essayer d'enfoncer un clou dans un mur.

« Ton marteau me fait penser à la foudre », dit-elle.

« Tu dis cela parce qu'il en a la rapidité », répond-il.

« Non, je dis cela parce que, comme la foudre, il ne frappe jamais deux fois au même endroit. »

 

« – Maman, qu'est-ce que c'est qu'un compte-gouttes ?

– C'est un petit appareil avec lequel ton père me donne de l'argent. »

 

L’épouse de Jean-Marc a pris la voiture pour aller faire des courses.

Le soir elle rentre et lance à son mari avec un petit sourire :

« Dans le fond, ta voiture, elle est comme ta mère, elle se froisse pour un rien ! »

 

Un chanteur, aussi prétentieux que dénué de voix, passe une audition devant le directeur d'un grand music-hall.

Il pousse quelques chansons.

« Je regrette » fait le directeur consterné. « Mais je n'aime pas entendre de grossièretés dans mon théâtre

– Mais », dit Jean-Marc. « Je n'ai pas dit de grossièretés !  

– Peut-être ! Mais si je vous engageais, le public, lui ne se privait pas pour vous en balancer ! »

 

Jean-Marc demande à une jeune fille :

« – Et vous, vous ne songez pas à vous marier ?

– Si ! Mais j'hésite entre un banquier et un médecin ...

– La bourse ou la vie, en somme ? »

 

Une jeune touriste américaine visite un vieux château écossais. À la fin de la visite le guide lui demande si elle a aimé.

La jeune touriste reconnaît qu'elle a eu un peur de voir débouler un fantôme.

« – Ne vous affolez pas, je n'ai jamais vu un fantôme depuis que je suis ici.

– Et cela fait combien de temps ?

– Environ trois siècles… »

 

Et encore une « revenue », très, très vieille celle-là, puisque Jean-Marc nous assure qu’il la racontait déjà au lycée…

Qu’on n’aurait même jamais imaginé qu’il ait pu fréquenter ce genre d’établissement, sauf à être pion :

 

Deux ordinateurs hyperpuissants moulinent comme des malades depuis des lustres et des lustres sur une question fondamentale : « Dieu existe-t-il ? »

Enfin, l'un des deux se met à cracher un petit mot sur un maigre bout de papier :

« Dieu n'existe pas ! »

Aussitôt l'autre crache également un autre bout de papier :

« Mais alors, qui nous a branchés ? »

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

I3

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 04:05

Deux minutes d'arrêt

 

Le petit Jean-Marc joue au train électrique sur le tapis du salon pendant que sa maman vaque à son repassage...

La maman entend :

« Gare de Lille... Gare des imbéciles... 2 min d'arrêt... »

La maman : « Jean-Marc, s'il te plaît surveille ton langage, sinon je t'envoie dans ta chambre... ».

Le petit Jean-Marc, ignorant la menace continue à jouer...

« Gare de Montbéliard... Gare des connards... 2 min d'arrêt... »

La maman : « Jean-Marc, cesse d'être grossier sinon tu vas dans ta chambre... »

Quelques minutes passent et il reprend :

« Gare d'Avignon... Gare aux kons... 3 min d'arrêt... »

Le garçon n'a pas le temps de finir sa phrase, qu’il prend une paire de gifles, sa mère l'envoie dans sa chambre en lui rappelant qu’elle l’avait prévenu.

Jean-Marc pleure, hurle, trépigne, mais rien n'y fait...

Le temps passe, la maman termine son repassage, tout en pensant qu'elle a peut-être été un peu sévère avec son fils.

Elle finit par aller le rechercher, et il peut reprendre son jeu...

Le petit Jean-Marc recommence à jouer et après quelques minutes la maman entend :

« Gare Montparnasse ... Deux heures de retard à cause d'une konnasse... »

 

Lucie et Germaine sont deux vieilles qui vivent dans une résidence pour personnes âgées. Elles sont veuves toutes les deux mais Germaine aimerait tellement retrouver l'âme sœur...

Un jour, la rumeur d'un nouvel arrivant de sexe masculin vient à leurs oreilles.

Comme la rumeur dit aussi que le vieux monsieur est encore très bien conservé et qu'il a de bonnes manières, nos deux vieilles sont toutes excitées et décident d'en savoir un peu plus !

Germaine dit :

« Lucie, tu sais combien je suis timide. Tu ne voudrais pas aller discuter un peu avec lui pour connaître ses intentions ? »

Lucie qui n'a peur de rien est tout à fait d'accord.

Aussi, au repas suivant, elle se place à la table du nouvel arrivant et essaie de lui tirer les vers du nez :

« Alors comme ça, vous êtes nouveau ici ? Mon amie Germaine et moi, nous nous demandions pourquoi un homme si bien de sa personne comme vous, et si jeune, venait dans une résidence comme la nôtre sans compagnie... »

L'homme répond :

« – C'est que je sors de prison... J'y ai passé 20 ans !

– Non, c'est pas vrai ? Vous plaisantez ? Et pour quelle raison ?

– J'ai tué ma troisième femme. Je l'ai étranglée...

– Et qu'est-il arrivé à votre deuxième femme ?

– Je l'ai tuée aussi. Avec mon revolver.

– Heu, et votre première femme alors ?

– Elle est tombée par le balcon de l'immeuble où l'on habitait au cours d'une dispute. »

Alors Lucie se tourne sur sa chaise, et regardant Germaine à la table d'à côté elle cache sa bouche avec sa main et chuchote très fort :

« Tout va bien Germaine, il est veuf ! »

 

Une « revenue » et améliorée :

Un jour, au Paradis, Adam va voir Dieu.

« – Dieu », lui dit-il, « je ne suis pas heureux.

– Comment ça, Adam, pourtant tu es au Paradis, au milieu de superbes arbres, avec un climat délicieux, et des animaux magnifiques !

– Je sais, Seigneur, et je t'en suis reconnaissant. Mais malgré tout, je me sens un peu seul. »

Dieu réfléchit quelques instants puis dit :

« – Je sais, Adam, Je vais te donner... une femme !

– Et... qu'est-ce que c'est ?

– Une créature délicieuse. Elle saura deviner tous tes tourments avant toi-même, elle sera si intelligente qu'elle satisfera tous tes désirs ; elle cuisinera la plus divine cuisine ; elle sera le sommet de Ma Création, la plus belle et la plus douce créature qu'il y aura jamais. Tu la chériras et elle te chérira. Tu ne sauras plus jamais seul, vous vous compléterez à merveille.

– Ouaou ! Ça semble bien.

– Mais ça te coûtera cher.

– Aïe... Je me disais bien que c'était trop beau. Ça me coûtera quoi ?

– Un bras, une côte, un œil, une jambe.

– Ah... Et qu'est-ce que je peux avoir pour seulement une côte ? »

 

Encore une autre :

Lors d'un terrible combat contre un lion enragé, Tarzan perd un œil, un bras et son pénis...

Les animaux de la jungle le soignent et le ramènent à la vie. Ils lui greffent un œil de faucon, un bras de gorille et pour son membre central ils prennent la trompe d'un bébé éléphant.

Après un mois de convalescence il rentre chez lui et retrouve Cheetah.

« – Et tes greffons, qu'en penses-tu ? » lui demande-t-elle

« – Œil bon, Tarzan voir loin et net... bras bon, long et fort... mais Tarzan pas très satisfait nouvelle queue...

Toute la journée cueillir herbe et la bourrer dans kul… de Tarzan ».

 

Une jeune secrétaire est en train de faire des photocopies au bureau lorsqu'un de ses collègues de travail lui dit :

« Hmmm, tes cheveux sentent drôlement bon ! »

Aussitôt, la secrétaire va voir son chef et se plaint auprès de lui d'avoir été victime de harcèlement sexuel.

« – Comment ça ? » demande le patron.

« – Il m'a dit que mes cheveux sentaient drôlement bon... » Répond la fille.

« – Et alors ? » S'étonne le chef. « J'aurais plutôt pensé que c'était le genre de compliment qui vous aurait fait plaisir.

– Mais patron, » reprend la fille. « C'est un nain ! »

 

Je sais, pas terrible : Il est en mode « rentrée des classes »…

 

Sans rancune !

Et bon week-end à toutes et à tous quand même.

 

I3

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2 août 2013 5 02 /08 /août /2013 04:01

VDM = Vacances De M… !

 

Aujourd'hui, et comme toujours, quand je pars en vacances à l'étranger, je n'apprends que trois mots indispensables en préparant mon séjour : « Bonjour », « merci » et « diarrhée ».

C'est un principe qui continue de faire ses preuves...

 

Aujourd'hui, en Inde, j'ai de très gros problèmes gastriques. Après une demi-heure de bus, je me suis vu dans l'obligation de stopper le car pour aller souscrire à l'urgence naturelle du popo.

Obligé de me soulager devant un bus complet et un train qui passait...

Rempli d’une centaine de passagers médusés.

 

Aujourd'hui, alors que j'ai passé une douce nuit sans avoir été piqué, je me suis réveillé avec des plaques de boutons sur tout le corps.

Quelle était la probabilité pour que je fasse une allergie au produit anti-moustique dont la notice d'utilisation était exclusivement en grec ?

 

Aujourd'hui, après des semaines à argumenter sans résultat auprès de mon Jean-Marc sur le fait que la Belgique c'est super et qu'il y a des endroits romantiques, mes frères ont réussi à le convaincre avec un seul argument :

Le fait de pouvoir manger tous les jours de vraies frites.

 

Aujourd'hui, Jean-Marc m'a annoncé qu'il avait réservé des billets d'avion pour nos vacances.

Il a ajouté : « Vers une destination qui te correspond bien... » Puis m'a tendu les billets.

Direction Kaunas en Lituanie.

 

Aujourd'hui, j'ai enfin convaincu ma femme de partir en vacances en camping, afin de retrouver l'essence de ma jeunesse.

Ah pour ça, pas de souci... Elle a passé le séjour à me crier dessus : « Ne fais pas ci ! Ne va pas là ! Range ta chambre ! »

Comme à un enfant.

 

Aujourd'hui, étant fauché, je ne peux pas me payer de vacances.

Charitables, mes grands-parents me proposent de venir avec eux dans un village vacances. « On ne sera pas sur ton dos, promis. »

Vous saviez que des villages uniquement pour personnes âgées existaient ? Pruneaux au menu et au lit à 22 h !

 

Aujourd'hui, sur la plage, une femme très séduisante me regarde avec un petit sourire, que je lui rends.

Flatté, je me dis que je suis peut-être un homme à son goût.

Ou alors que c'était à cause de ma serviette Winnie L'Ourson.

 

Aujourd'hui, je pars en vacances au soleil avec Jean-Marc, mon amoureux. Alors que ma valise ne contient presque que des bikinis, la sienne est remplie avec sa console et tous les jeux qu'il pouvait caser dedans.

 

Aujourd'hui, j'escalade une via-Ferrata dans le Vercors pour la première fois, avec un équipement loué.

Je suis désormais à 400 mètres du sol, je tremble et j'ai peur...

J'ai honte aussi, en repensant au panneau de départ :

« Débutant, à partir de 8 ans. »

 

Aujourd'hui, enfin arrivés sur notre lieu de vacances après onze heures de route dont quatre de bouchons, nous trouvons un couple déjà installé dans notre location !

Je me suis trompé de jour au moment de la réservation : Nous avons une semaine de retard.

 

Aujourd'hui, je sais ce que donne un verre d'eau à l'hôtel pendant les vacances : La tourista.

J'en ai tellement souffert qu'en me pesant au retour, ma balance électronique m'a proposé de rentrer une deuxième personne en mémoire.

Elle ne m'a pas reconnu.

 

Aujourd'hui, vacances avec Jean-Marc, le chéri. On nous annonce qu'il y a des activités sportives et monsieur déclare d'office qu'il prend tout.

Étonnée, je lui fais remarquer que d'ordinaire, il n'est pas si sportif.

Sa réponse, accompagnée d'un tapotement sur les fesses :

« C'est pas pour moi, c'est pour toi ! »

 

Aujourd'hui, à la plage, j'ai croisé une personne qui, comme moi, faisait du sein nu. Je lui ai dit : « Ah, vous aussi, vous voulez éviter les traces de maillot ?

– Non, moi, c'est juste que je suis un homme. »    

 

Aujourd'hui, les bouchons sur Lyon étaient tellement gros que j'ai pu profiter du réseau Wi-Fi gratuit de l'hôtel voisin pendant 30 bonnes minutes.

 

Aujourd'hui, l'ascenseur de l’hôtel, dans lequel j'étais avec une jolie demoiselle, s'est bloqué.

J'ai vu la femme pâlir et trembloter, et je lui ai demandé si elle était claustrophobe. Elle m'a répondu :

« Non, mais dans les films, c'est le moment où les hommes louches sautent sur les femmes. »

 

Aujourd'hui, comme toujours, je suis très difficile sur la nourriture.

Au restaurant avec des amis, j'ai opté pour un menu enfant parce que la carte ne me faisait pas envie.

Le serveur m'a apporté un bavoir.

 

Aujourd'hui, j'ai commandé un thé glacé en terrasse. La serveuse m'a servi un thé tiède. Je l'ai appelée pour l'en informer et, pour vérifier la véracité de mes dires, elle a trempé son index dans ma tasse :

« Bon, c'est vrai, ce n'est pas très frais, je vais vous apporter des glaçons ! »

 

Aujourd'hui, alors que je profitais de ma première journée de vacances dans une location, le voisin du dessus a sonné vers 7 heures du matin pour me prévenir que de l'eau venant de chez moi s'infiltrait dans sa cuisine.

Oui, le voisin du dessus…

 

Aujourd'hui, à la plage, un jeune garçon m'a demandé de surveiller ses affaires, qui étaient dans un sac plastique, pendant qu'il se baignait.

Ne l'ayant pas vu revenir, je suis allé alerter le poste de secours.

Le maître-nageur a vérifié le contenu du sac : Il s'agissait d'une poubelle.

 

Aujourd'hui, en rentrant de vacances, j'ai trouvé au milieu du salon un saladier retourné. Ma fille refusait que la grosse araignée qui se trouvait dessous se balade librement dans la maison, mais ne voulait pas l'écraser parce que « c'est trop dégoûtant ».

L'araignée était donc prisonnière là depuis dix jours.

 

Aujourd'hui, en salle de sport, j'ai vu une très belle jeune femme sur un tapis de course et me suis mis sur celui juste à côté.

Voulant l'impressionner, je suis monté à la vitesse maximale.

Je me demande encore pourquoi, quand nos regards se sont croisés, j'ai arrêté de courir…

 

Aujourd'hui, pendant la nuit, mourant de chaud, j'ai décidé de passer un coup de brumisateur sur moi. En voyant mon Jean-Marc dormir à côté de moi, je me suis dit que cela pourrait aussi lui faire du bien.

Je ne m'attendais pas à ce que ça provoque une fuite urinaire.

 

Aujourd'hui, journée dans un parc aquatique. En descendant un toboggan, j'ai foncé sur un homme sans le faire exprès. Je me suis relevé tout en m'excusant. Il m'a tendu la main.

Et mon maillot de bain.

 

Aujourd'hui, une ex de mon grand frère, avec laquelle j'ai eu une aventure, a dit en enlevant mon boxer : « Ah oui, effectivement, tu es bien Jean-Marc, le PETIT frère. »

 

Aujourd'hui, je suis allée au cinéma avec Jean-Marc, le garçon qui me plait depuis quelques mois. La salle était pleine.

Pendant tout le film, il a parlé avec la fille assise à sa gauche.

J'étais à droite.

 

Aujourd'hui, vous connaissez sûrement le mioche à la pelle jaune et au seau rouge qui braille sur la plage.

Maintenant, imaginez ce même mioche qui, pendant que vous somnolez sur le sable, vous lâche une méduse morte sur le ventre.

 

Aujourd'hui, à la plage, Jean-Marc m'a demandé si sa serviette hygiénique sous son maillot se voyait.

 

Aujourd'hui, cela fait quelques mois que Jean-Marc et moi essayons de faire un enfant.

Après notre rapport, comme d'habitude, Jean-Marc s’est penché sur mon ventre pour... encourager ses spermatozoïdes :

« Allez, les gars, on y croit ! »

 

Aujourd'hui, veillée funèbre pour la grand-mère de Jean-Marc, décédée chez elle. Pour lui fermer la mâchoire avant la rigidité cadavérique, on lui a enroulé la tête dans un de ses foulards de couleur vive à pois.

J'ai trouvé qu'elle ressemblait à un œuf de Pâques.

J'ai explosé de rire devant tout le monde.

 

Aujourd'hui, dans mon rôle de maman poule que je prends très à cœur, j'ai demandé à mon fils de 19 ans, qui s'apprêtait à passer la journée à la plage, s'il avait de quoi se protéger. Il a sorti une boîte de préservatifs de son sac en m'adressant un grand sourire plein de fierté.

Je lui parlais de crème solaire.

 

Aujourd'hui, je me suis aperçue que mon sac contenait des préservatifs. Perdue, j'ai appelé ma mère pour lui demander si elle en était la cause. Elle a répondu de façon très naturelle que oui, car malheureusement, elle n'avait pas trouvé meilleure cachette pour ne pas éveiller les soupçons de Jean-Marc, mon père.

 

Aujourd'hui, j'ai pris un méchant coup de soleil en portant mon maillot de bain bandeau.

Jean-Marc s'est exclamé : « Ha, ha ! Tu ressembles à un panneau de sens interdit ! ».

 

Aujourd'hui, j'ai fait un strip-tease à Jean-Marc, qui a eu un fou rire au beau milieu du show.

« Tu as mis ta culotte à l'envers, chérie ! »

Ah oui.

 

Aujourd'hui, retour d'une soirée d'ivresse. Après trente minutes d'acharnement pour faire entrer ma clé dans la serrure, ma femme a ouvert et m'a trouvé devant la porte, à genoux, avec une pièce de deux euros à la main.

 

Et puis quelques autres :

 

Jean-Marc arrive chez lui complétement bourré.

Il se faufile dans son lit près de sa femme et tombe ivre mort.

Il se réveille aux Portes du Paradis devant St-Pierre qui lui dit :

« Jean-Marc, tu es mort dans ton sommeil. »

Jean-Marc complétement abasourdi lui répond :

« J’suis mort ? J’veux pas être mort ! J’aime trop la vie ! J’veux retourner sur terre ! »

St-Pierre dit : « D'accord, mais la seule manière que tu as d’y retourner, c’est sous la forme d’une poule. »

Jean-Marc répond : « Bon, du moment que c’est dans une ferme près de ma maison, je suis d’accord. »

Aussitôt dit aussitôt fait, Jean-Marc se retrouve couvert de plumes et grattant le sol en picorant.

Un coq s’approche de lui : « Alors c’est toi la nouvelle poule ? Comment s’est passée ta première journée ? »

« Pas mal », dit Jean-Marc la poule, « Mais j’ai un truc bizarre dans mon ventre comme si j’allais exploser. »

« Tu ovules », explique le coq. « Ne me dis pas que t’as jamais pondu d’œufs ? Relaxe, laisse-toi aller, tout cela est normal. »

Jean-Marc écoute les conseils du coq et un moment plus tard, voilà l'œuf !

Ce qui le remplit d’une grande d’émotion, lui qui n'avait jamais connu la maternité.

Aussitôt il pond un deuxième œuf, et éprouve une joie sensationnelle.

Comme il se prépare à pondre un troisième œuf, il a ressenti une grande claque derrière la tête, et il entend sa femme hurler :

« Réveille-toi connard, t’es en train de chier dans le lit ! »

 

C'est Jean-Marc qui est en vacances à l'étranger.

Il entre dans un bistrot et demande au barman :

« Vous z'auriez pas un bout d'fil de fer? J'ne peux plus ouvrir la portière de ma voiture. La vitre est restée entrouverte et j'voudrais essayer d'accrocher la poignée intérieure... »

Et le voilà qui se dirige vers sa voiture avec son fil de fer dans la main.

Il se contorsionne comme un diable pour tenter d'ouvrir la portière de sa caisse.

Et au bout d'un moment, il entend une voix qui vient de l'intérieur de la voiture. C'est sa femme qui lui dit :

« Un peu plus à gauche, là ! »

 

Un couple part en vacances en bateau pour aller pêcher. Jean-Marc adore pêcher, mais sa femme, elle, préfère plutôt la lecture. Pas sportive pour un sou.

Un matin, après plusieurs heures de pêche, Jean-Marc décide d'aller faire une petite sieste...

Sa femme prend alors les commandes du bateau, mais ne sachant pas trop le manœuvrer, elle préfère l'accoster à un endroit sans personne et puis elle se met à lire tranquillement.

Peu après, un garde-pêche l'aborde et lui demande :

« – Puis-je savoir ce que vous faites ici, madame ?

– Eh bien, je lis un livre, ça se voit non ?

– Vous êtes dans une zone ou la pêche est interdite madame.

– Oui, et alors ? Je lis, je ne pêche pas...

– Humm, mais vous avez le matériel, je vous mets donc une amende pour pêche illicite.

– Humm, d'accord ! Mais si vous faites ça, je vous accuse de viol ! » dit-elle, assez en colère.

« – Mais... mais, je ne vous ai même pas touché ! » répond le garde-pêche...

« – C'est vrai,... mais vous avez tout le matériel ! »

 

« – Alors mon cher, ces vacances? Où étiez-vous ?

– Oh, la première semaine, j'étais dans les Alpes et les deux suivantes, j'étais dans le plâtre. » 

 

Deux Belges en vacances à Paris regardent des cygnes sur le lac du Bois de Boulogne.

Soudain, Jean-Marc s'approche d'eux et leur demande :

« – Vous en avez admiré combien ?

– Cinq », répond un des Belges.

« – Alors, comme c'est 1 euro par cygne, cela vous fera 5 euros. »

Le soir, de retour à l'hôtel, les touristes belges racontent leur histoire au réceptionniste, qui s'exclame :  

« – Mais c'est de l'escroquerie !

– Oui ! » triomphent les deux Belges. « En fait on en avait vu douze ! » 

 

Bon week-end à toutes et tous !

Bon retour pour les juillettistes : On vous confie le pays pour tout le mois d’août.

Soyez prudents et vigilants, SVP.

Perso, je décampe faire les valises et pars avec « ma nichée » pour ma « Corsica-Bella-Tchi-tchi », ses odeurs de maquis irremplaçables et uniques au monde, ses paysages extraordinaires, ses jeux de lumières fabuleux sur les levers et couchers de soleil flamboyant.

 

Je vous laisse en ligne le roman d’été : « Parcours olympiques » qui s’étale durant tout le mois d’août et jusqu’à mon retour début septembre, à raison de deux chapitres par jour (si tout va bien), histoire que vous ne vous ennuyez pas trop.

Sommaire cet après-midi.

 

En attendant, ne vous étonnez pas, les commentaires que ces chapitres-là pourraient vous inspirer sont dits « modérés ».

Enregistrés par la plateforme, mais n’apparaissant en ligne que si je les valide… à mon retour : Pas d’inquiétude donc !

C’est juste une mesure de prudence imposée par la Loi.

 

Bien à toutes et tous !

 

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 04:01

Jean-Marc peut donc partir en vacances !

 

Et il rencontre Jean-Paul qui a retrouvé un nouveau travail !

Ce dernier lui dit :

« – Tu sais ce que je fais maintenant ?

– Non.

– Je vends des pigeons voyageurs ! C'est 100 % bénéfice : Je les vends le matin et ils rentrent le soir ! »

 

Jean-Marc et Jean-Paul discutent :

« – Il y a trois ans, je vais en vacances en Thaïlande et ma femme tombe enceinte. Il y a deux ans, je vais en vacances en Guadeloupe et ma femme tombe de nouveau enceinte. L'année dernière, je vais en vacances au Guatemala, et de nouveau elle tombe enceinte.

– Non ? Et qu'est-ce que tu vas faire ?

– Cette année, je l'emmène avec moi. »

 

Deux blondes stagiaires dans une petite société maritime sur le port de Bandol, ont pour tâche de mesurer la hauteur d'un mât.

Elles sortent et se rendent au pied du mât avec les échelles et les rubans à mesurer.

Tour à tour, elles tombent de l'échelle ou laissent tomber le ruban à mesurer.

Jean-Marc passe par là et voit ce qu'elles essaient de faire.

D'un geste moqueur il met le mât à terre, à plat, le mesure de bout à bout et enfin donne la mesure à une des blondes, puis il s'en va.

Après qu’il soit parti, une des deux blondes se tourne vers l'autre et dit en riant, moqueuse :

« Ça c'est au moins un ingénieur. Nous cherchons la hauteur et lui il nous donne la longueur.

Quel gros nigaud ! »

 

Enfin les vacances...

Jean-Marc jeune PDG d'une start-up d’Internet va prendre ses premières vacances depuis plus de quatre ans.

Et il ne part qu'avec une toute petite valise. Pas de PDA, pas d'ordinateur, pas de téléphone. Rien d'autre...

Avant le départ, il fait ses recommandations à son équipe :

« Bon les gars, vous vous débrouillez sans moi. Interdiction de me déranger. En cas de gros, gros pépin, envoyez-moi un fax à l'hôtel et pas 15 pages, hein ! 2 lignes et pas plus, ok ? »

Après quinze heures d'avion, 2 jours de caboteur, 8 heures de taxi-brousse et 6 heures de marche à travers la jungle primitive, Jean-Marc arrive enfin à l'hôtel vêtu de sa chemise hawaiienne et de son bermuda.

Dans le hall de l'hôtel, le concierge se précipite vers lui en lui tendant un fax :

« Problème très, très grave survenu une heure après votre départ. Comptez sur nous pour tout faire pour éviter la faillite de la société.

Bonnes vacances quand même ! »

 

C'est un joueur de l'OM qui est déprimé et qui se rend chez son ami médecin.

Le médecin :

« – Alors qu'est-ce qui t'amène ?

– Eh bien je ne me sens pas bien.

– As-tu des problèmes avec la construction de sa nouvelle villa sur les hauteurs de Marseille.

– Non, tout se passe bien.

– Alors as-tu des soucis avec ta nouvelle Porsche ?

– Non, non elle roule très bien !

– Des problèmes d’érection avec ta nouvelle fiancée, peut-être ?

– Non, non, elle a la cheminée qui tire bien !

– Mais dis-moi, la saison se termine bientôt ?

– Oui, oui je vais avoir deux mois de vacances.

– Ok, je vois ce que tu as, profite de tes deux mois de vacances pour faire un peu de sport ! »

 

Dans le train, le contrôleur dit à une vieille dame :

« – Votre billet est pour Bordeaux. Or ce train va à Nantes.

– Ça c'est ennuyeux », grommelle la voyageuse. « Et ça arrive souvent au chauffeur de se tromper comme ça ? »

 

Jean-Marc raconte à son collègue ses dernières vacances :

« – La première semaine, on a tout subi : La pluie, la neige, la grêle, le verglas, les tempêtes... et la deuxième semaine, ça s'est gâté...

– Ah ? Et qu'est ce qui s'est passé ?

– Ma belle-mère est arrivée... »

 

Dans un avion à destination de l'île de la Réunion, un pilote dit à son co-pilote :

« – Regarde, nous arrivons sur l'île de la Réunion, le paysage est vraiment magnifique. Pour être vraiment heureux il ne manque plus qu'une belle paire de fesses et une bonne bouteille de whisky ! »

Mais le micro était ouvert et tout l'avion entend la conversation.

Une hôtesse se précipite en direction de la cabine pour les prévenir lorsque Jean-Marc, un passager, s'écrit :

« – Eh madame, madame, n'oubliez pas la bouteille de whisky ! »

 

Jean-Marc et Jean-Paul se rencontrent un matin de retour de vacances.

« – Alors, comment c'est passé ton séjour ?

– J'sais pas, j'ai pas encore développé les photos... »

 

C'est Jean-Marc qui doit prendre le train pour partir en vacances.

Dans la librairie de la gare, comme il ne sait pas quoi choisir, il demande conseil :

« – Je voudrais acheter un livre SVP ! »

– Oui, bien sûr, de quel auteur ?

– N'importe, pourvu qu'il rentre dans le wagon. »

 

Pendant leurs vacances, nos deux blondes escaladent la clôture d'une plage privée du côté de Bandol.

« – Hé ! » dit l'une. « C'est une plage de naturistes !

– Hommes ou femmes ?

– Je ne sais pas : Ils n'ont pas de vêtements... »

 

Deux requins aperçoivent un surfeur au large de Bandol.

« T'as vu ? C'est comme au restaurant : On est servi sur un plateau ! »

 

Quel sport les hommes font-ils sur la plage de Bandol ?

Ils rentrent leur ventre chaque fois qu'ils voient une jeune-femme en bikini.

 

Le cuisinier d'un restaurant de la côte de Bandol appelle un serveur :

« Faut supprimer « cassoulet maison » sur les menus... j'ai cassé l'ouvre-boîte ! »

 

Bonnes vacances quand même à toutes et à tous !

 

I3

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 04:07

Parce que le niveau baisse…

 

C'est l'histoire d'un prof d'économie dans une université Anglaise qui avait la fâcheuse tendance de toujours raconter des blagues salaces et de faire des insinuations grivoises.

Lassées d'être toujours prises pour cible, un groupe d'étudiantes décida qu'à la moindre allusion à tendance sexuelle, elles se lèveraient et quitteraient l'amphi en signe de protestation.

Néanmoins, un garçon ayant entendu les filles élaborer leur plan et voulant fayoter raconta tout au professeur.

Au cours suivant qui parlait de l'économie « Gauloise », le professeur plaça judicieusement cette phrase :

« Vous savez que malgré un taux de chômage élevé, la France a encore besoin de main d'œuvre... On sait, par exemple, qu'il y a une pénurie de prostituées à Paris... »

À ces mots, les filles ayant décidé la rébellion se regardèrent, opinèrent du chef et se levèrent toutes en même temps pour quitter la salle...

... Et le professeur, les observant d'un air innocent leur dit bien fort :

« Allons mesdemoiselles, inutile de vous presser ! Le prochain avion pour Paris ne décolle pas avant ce soir... »

 

Moshé et David sont au « Mur des Lamentations », à Jérusalem.

Les deux se lamentent et pleurent...

Le premier :

« Mon Dieu s'il te plaît, fais-moi gagner 5 millions, s'il te plaît, 5 millions, allez... »

Et le second :

« Mon Dieu, tu sais que je n'ai pas du tout d'argent, je te demande seulement 100 € pour vivre et manger aujourd'hui c'est tout... »

Et chacun se lamente, sans arrêter.

À un moment, le premier se retourne vers le deuxième et lui dit :

« Bon écoute, tiens, voilà tes 100 € et laisse le Bon Dieu se concentrer, hein ? »

 

Le matin de leur anniversaire de mariage, au moment où elle se réveille, Madame dit à son Jean-Marc :

« – Chéri, je viens de faire un rêve incroyable. Je rêvais que tu m’offrais un collier de perles pour notre anniversaire de mariage. À ton avis, qu’est-ce que ça peut vouloir dire ?

– Tu le sauras ce soir… » répond Jean-Marc avec un petit sourire en coin.

Ce soir-là, Jean-Marc rentre du travail, un bouquet de rose à la main droite et un petit paquet cadeau dans l’autre main.

Un livre : « L’interprétation des rêves pour les nuls ! »

 

Un train imaginaire transporte Lénine, Staline et Brejnev, traverse l'URSS, quand soudain il est bloqué par une congère.

Lénine descend, constate les dégâts et fait descendre tout le monde

« Retroussons nos manches, et dégageons la voie ! »

Et le train repart.

Plus tard, le train stoppe à nouveau.

Staline descend, constate les dégâts, fait arrêter un passager sur dix.

Les prisonniers dégagent la voie, puis on les fusille et le train repart.

Lorsqu'il s'arrête à nouveau, Brejnev descend et constate les dégâts.

Il fait fermer tous les rideaux, et secouer les wagons de temps en temps, pour faire croire que le train roule toujours.

 

C'est un fermier qui découvre un beau jour que l'une de ses poules ne pond plus que des œufs carrés.

Décidant d'exploiter cette anomalie spectaculaire, il prévient l'INRA de son cas, lequel vivement intéressé, prend la poule en pension contre une bonne compensation financière.

Le problème, c'est qu'une fois installée à l'INRA, la poule recommence à pondre des œufs ovales.

Convoqué pour constater le fait, le fermier va voir sa poule et lui demande ce qui ne va pas. Laquelle lui répond alors :

« Eh alors... tu crois que j'vais continuer à me casser le cul, maintenant que je suis fonctionnaire ? »

(C’est une « revenue » et améliorée : Dans l’originale, c’était un chat chasseur de souris embauché à la préfecture…)

 

Chez le coiffeur, Jean-Marc dit à la manucure qui lui fait les ongles et qu’il trouve à son goût :

« – Quand vous aurez fini votre journée, mon petit, venez prendre un verre chez moi. Après on verra ce qu’on fait…

– Mais je suis mariée, monsieur.

– On s’en moque de votre mari ! Vous n’avez qu’à lui dire que vous serez retenue ce soir par votre travail.

– Dites-le-lui vous-même. Il est en train de vous raser… »

 

Combien de chirurgiens faut-il pour changer une ampoule ?

Inutile. Ils sauvent l'ampoule par une greffe de filament.

 

Jean-Marc arrive dans la salle d'attente archibondée d'un cabinet médical.

La secrétaire-médicale lui demande :

« – Bonjour monsieur. Quel est votre motif de consultation ?

– Il y a quelque chose qui ne va pas avec ma bite... »

La dame prend un air catastrophé et outré et lui répond :

« – Mais enfin monsieur, vous ne devriez pas employer un tel langage devant autant de monde !...

– Et pourquoi pas ? Vous me demandez pourquoi je viens consulter et je vous le dis.

– Nous n'utilisons pas un tel langage ici ! Retournez dehors, et revenez me voir en me disant que votre oreille ne fonctionne pas bien par exemple... »

Alors Jean-Marc sort, va prendre un café au bar du coin et revient au cabinet.

La même dame l'accueille en souriant et lui demande :

« – Oui monsieur ?

– Il y a quelque chose qui ne va pas avec mon oreille...

– Et qu'est-ce qui ne va pas avec votre oreille, monsieur ?

– Je n'arrive plus à pisser avec. »

 

Jean-Marc rentre dans un bar en annonçant à tout le monde :

« – Je vous parie 500 euros à chacun de vous, que ma pieuvre, ici présente est capable de jouer de n'importe quel instrument de musique ! »

Un des gars qui avait sa guitare avec lui l'amène à la pieuvre, qui se met à jouer la 40ème aussi sec et avec fougue.

Et le gars en est quitte pour donner 500 euros au possesseur de la pieuvre.

Un autre gars qui traînait par là avec son saxophone amène ensuite son instrument à la pieuvre.

La pieuvre prend le saxophone, se mouille la cavité buccale et commence à jouer « Petite fleur » aussi bien que Bechet !

Naturellement, le possesseur de la pieuvre empoche 500 euros de plus.

À ce moment-là, le patron du bar qui avait suivi la scène va dans sa remise, et il en revient avec une cornemuse sous le bras.

Puis il dit à Jean-Marc :

« Si ta pieuvre sait jouer de ça, je te donne 1.000 euros ! »

Alors la pieuvre agrippe la cornemuse, la regarde dubitativement, la tourne et la retourne dans tous les sens et semble bien ennuyée.

Jean-Marc dit alors à sa pieuvre :

« – Qu'est-ce qui t'arrive? Tu vas te dépêcher de jouer de cette putain de cornemuse oui ou non ?

– En jouer ? Si j'arrive à savoir comment lui enlever son pyjama, je vais plutôt la baiser oui... »

(C’est une très vieille, il nous l’avait déjà racontée, mais je ne l’avais pas encore reprise…)

 

En 1944, les USA s'apprêtent à débarquer en Normandie et enrôlent à tour de bras pour garnir les troupes d'assaut.

Des sergents recruteurs sillonnent le vaste pays et enrôlent le fils du chef indien, qui ne parle que le comanche et ne comprend pas très bien ce qui lui arrive...

2 semaines d'instruction, un parachute sur le dos et hop, largué au-dessus de Sainte Mère-Église au petit matin d'un jour de juin...  

Naturellement, notre jeune comanche, peu habitué aux délicates manœuvres d'un parachute de l'époque, dérive gravement et finit par se poser en pleine cambrousse, complétement perdu, à des kilomètres de sa compagnie.

Surgit alors un brave paysan. Ébahi mais ravi de voir un G.I. celui-ci plante sa fourche dans le sol et essaie d'entamer la conversation.

« Oh, un américain à c't'heure ! Salut mon gars ! T'es parachutiste ? »

Évidemment, l'autre ne comprend rien et reste bouche bée.

Le paysan met alors ses bras au-dessus de sa tête, en forme de parachute, et repose la question, sans succès.

Avec son index et son majeur, il représente un personnage entrain de marcher et demande :

« T'es fantassin mon gars ? »

L'autre, un peu inquiet recule d'un pas sans mot dire.

Empoignant une mitrailleuse imaginaire, mais tressautante, il demande :

« T'es mitrailleur peut-êt' ? »

L'autre, de plus en plus circonspect recule de 2 pas.

Dans une dernière tentative, le paysan place ses mains en cornet devant ses yeux, à la manière d'une paire de jumelles, et demande :

« C'est-y qu't'es un éclaireur venu pour observer, des fois ? »

À ce moment, le G.I. affolé s'enfuit en courant.

Déçu, notre brave paysan reprend sa fourche et s'en va de son côté en grommelant.

Heureusement, l'histoire se termine bien pour notre héros, qui, après une campagne victorieuse est démobilisé et réexpédié dans sa réserve natale.

Arrivé dans son tipi, son grand sachem de père le questionne sur ses exploits guerriers et lui demande entre autre s'il a été un vaillant guerrier digne de ses ancêtres, n'ayant pas connu la peur.

L'ex-G.I. répond :

« Jamais je n'ai connu la peur, sauf une fois : Le premier homme blanc de là-bas que j'ai rencontré, eh bien figure toi qu'il parlait comme nous ! Et là, j'ai eu vraiment peur. Il m'a dit (se remémorer les gestes dans l'ordre) :

« Quand frère soleil très haut dans ciel,

Quand autres guerriers partis très loin,

Je vais te défoncer le cul,

T'auras les yeux qui te sortiront de la tête ! »

 

Jean-Marc retourne voir son médecin parce qu'il a une douleur à l'entre-jambe, là, qui le tire sur le côté, puis qui remonte comme ça.

« Ah, mon pauvre monsieur, il faut amputer. Quand on a une douleur à l'entre-jambe, là, qui tire sur le côté puis qui remonte comme ça, c'est très grave, c'est une machino-chozyte, et l'amputation est inévitable. »

Bon. Jean-Marc va voir tous les spécialistes pour s'assurer qu'il n'y a pas d'autre solution, mais finit par se rendre à l'évidence. Il passe sur le billard et se fait amputer, là, à l’entre-jambe.

Mais comme il a perdu beaucoup de poids à force d'inquiétude, il doit refaire sa garde-robe complète.

Il va voir son tailleur.

« – Avant tout, cher monsieur, dites-moi de quel côté vous la portez.

– Hélas, ça n'a plus d'importance aujourd'hui...

– Ah mais détrompez-vous, si on se trompe, le costume ne vous ira pas, et vous aurez une douleur à l'entre-jambe, là, qui tire sur le côté, puis qui remonte comme ça... »

(Une autre « revenue » : Il nous avait fait la même avec le tour de cou trop étroit de « Bling-bling » qui souffrait d’un mal de crâne épouvantable et s’était fait retirer pratiquement tout, même « là »)

 

Un ver de terre sort de son trou, juste après la pluie, et voit un autre ver, sorti lui aussi non loin de là.

« Beau temps, hein ? » lance t-il allègrement.

L'autre ver ne répond pas.

« Le temps idéal pour aller à la pêche, non ? »

Toujours pas de réponse.

« Dites donc, vous ! Je vous ai parlé ! »

Silence de marbre.

« Ça y est », grommelle le ver de terre en rentrant dans son trou. « J'ai encore parlé à ma queue... »

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

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