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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
15 avril 2012 7 15 /04 /avril /2012 06:00

Intéressant : « Mélangeons » explose tous ses rivaux !

 

C’est dans Paris-Match (et nous n’y reviendrons pas : Ce n’est un sondage, et j’ai assez peu de confiance dans les sondages à l’avant-veille d’élections « grandeur-nature », mais celui-là est intéressant) à l’occasion de quelques question auprès d'un échantillon national « représentatif » de 1.425 personnes âgées de 18 ans et plus…

 

Première leçon du baromètre de l'Ifop : Pour 47 % des personnes interrogées (+ 3 %), c'est « Mélangeons » qui fait, et de loin, « la meilleure campagne » !

Il faut dire que la plupart sont devenus inaudibles et que les quatre autres pataugent « grave » dans un assourdissant brouhaha.

 

Le baromètre quotidien dont les résultats ont été rendus publics mardi soir confirme et accentue les indications du baromètre du lundi précédent.

Au premier tour, notre « Ô combien vénéré Président » recueille 28 % des intentions de vote (sans changement) et voit se rapprocher « François III » à nouveau à 27,5 % des intentions de vote (soit + 0,5 %).

Derrière, « Marinella-tchi-tchi » cédait un peu de terrain (- 0,5 %, soit 16,5 % des intentions de vote) et « Bébé-roux » s'enfonçait encore un peu plus (- 0,5 %), soit autour de 9,5 % seulement des intentions de vote

Autrement dit, les frontistes restent au-dessus de 15 % (comme prévu jusque-là), mais sans accéder au second tour (ce qui aurait pu être redoutable et que nous redoutions il y a encore un an…) et le « centre-mou » explose véritablement écrasé par les « hautes pressions » des altitudes sous-marines.

 

Qui progresse à nouveau ? L'indéchiffrable « Mélangeons » !

Ce n’est pas bien énorme, avec de 14 % des intentions de vote, il rattrape « Marinella-tchi-tchi » et fait disparaître « Efa Choly »…

Par rapport au lundi précédent, le candidat du « Front de gauche-coco-compris », gagne un demi-point et, surprise, sans nuire au candidat PS !

 

Il est vrai que, d'après l'Ifop, le fédérateur « Mélangeons » séduit aujourd'hui, en-dehors de son « noyau dur », jusqu’à 7 % des électeurs PS, 10 % des sympathisants Verts, 3 % des amis de « Bébé-roux » et même 12 % de ceux qui disent n'être affiliés à rien ni personne.

Mais seulement 1 % des électeurs UMP !

 

Vu comme ça et a priori, sa percée sert donc les intérêts de la gauche puisque, au second tour, l'écart se creuse à nouveau entre « François III » et « Bling-bling » : 54 % pour le candidat PS (+ 0,5 %) contre 46 % au « président-sortant » (- 0,5 %).

 

Pour avoir, à l'approche du premier tour, une bonne idée de ce que pensent réellement les électeurs gaulois, il faut aller voir le jugement qu'ils portent sur la qualité de la campagne électorale des uns et des autres.

L’enquête que l'Ifop renouvelle tous les huit jours.

Et là « Mélangeons-zoukons », en tête depuis plusieurs semaines, et fort de ses rassemblements réussis de La Bastille puis de Bordeaux en attendant celui de Marseille samedi, « explose » véritablement ses rivaux :

 

– 47 % des personnes interrogées jugent qu'il fait décidément « la meilleure campagne » (+ 3 %).

« Bling-bling » déçoit plus que plus avec un score en chute libre de – 3 %, soit 19 % seulement des citations.

Il est proprement « largué » malgré une actualité tonitruante.

 

– « François III », sur ce terrain-là, n'est plus presque plus dans la course malgré une progression de + 1 %, soit 13 % de citations.

 

– « Marinella-tchi-tchi » progresse à peine, + 1%, soit 10 % de citations.

 

– Quant à « Bébé-roux », avec 5 %, il est carrément hors-jeu !

 

La leçon est claire : Sans qu'on puisse déterminer dans le « phénomène Mélengeons-zoukons » la part du choix de fond et celle de la toquade passagère, c'est lui – sans l'ombre d'un doute – que plébiscitent aujourd'hui les « gaulois-natifs ».

Pour son engagement, pour son éloquence torrentielle et, tout l'indique, pour son goût pour la transgression.

 

Il faut bien le dire que c’est le seul qui nous aura « amusé », « dérangé », « interpellé » durant cette campagne qui ne se décide pas à aborder les « vrais problèmes » ni à avancer de « vraies solutions ».

Lui, il est désormais le seul à l’avoir fait.

On en reparlera pour les prochaines législatives…

On vote la semaine prochaine : Tous aux urnes !

« TSS » ou « Au secours ils reviennent ! », c’est le choix qui vous est réservé le 6 mai prochain…

 

Mais je reviendrai sur « Mélangeons-zoukons » rapidement avant son élimination programmée… qui pèsera lourd pendant 5 ans !

Une OPA plus que réussie sur les « archéo-staliniens », qui devrait faire renaître les « dogmes anciens » avec des habits du XXIème : Il était temps, remarquez !

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14 avril 2012 6 14 /04 /avril /2012 04:12

Tiré du site : « ovni66 » Pyrénées-Orientales

 

« Mardi 3 avril 2012, le GEIPAN (Groupement d'Études et d'Informations sur les Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés) était invité par l'INSA (Institut National des Sciences Appliquées) à Toulouse pour une conférence en trois parties.

Le public jeune était principalement composé d'étudiants et d'une poignée d'ufologues. La salle de l'amphithéâtre était comble et l'ambiance plutôt studieuse et passive (à part quelques réactions offusquées de courte durée concernant la rareté des cas « D » présentés).

 

Le Directeur du GEIPAN :

Xavier Passot a dressé un bref historique du GEIPAN, ses relations avec le CNES (Centre National d'Études Spatiales), le fonctionnement de cette institution unique en son genre et quelques cas étudiés récemment.

Il s'est montré extrêmement prudent quant à l'interprétation des observations d'OVNIS qu'il reçoit quotidiennement et nous a fait clairement ressentir son scepticisme par rapport aux phénomènes non identifiés dans leur ensemble.

C'est sans ambiguïté qu'il aborde le sujet d'une manière rationnelle, scientifique et pragmatique.

Reconnaissant que les cas d'une haute étrangeté sont plutôt rares, il n'a pas manqué de nous démontrer que les cas les plus courants sont des méprises ou erreurs d'interprétations, photos, schémas et vidéos à l'appui (Sprites, satellites, effets de Flare, reflets, bolides, spectre de Brocken, « cocarde du pilote », lanternes thaï, etc.) et que le rôle du GEIPAN consiste à répondre à une forte demande d'explications par un public souvent peu ou mal informé sur le ciel, la météo, l'astronomie et l'aéronautique en général.

 

Pour les cas restés non-expliqués, Xavier Passot distingue les cas « D1 » (cas inexpliqué peu consistant avec un caractère d’étrangeté marqué) et « D2 » (phénomènes très étranges et « de consistance forte » avec plusieurs témoins indépendants, et/ou des enregistrements photo ou vidéo, et/ou des traces au sol) des anciens cas « D » (phénomène non-identifié), amenant ainsi quelques précisions utiles à la classification destinée aux chercheurs et au public.

 

Malgré son excessive prudence, M. Passot a su convaincre de l'utilité du rôle du GEIPAN et de la nouvelle dynamique qu'il compte insuffler à cet organisme d'utilité publique. »

C’est son rôle, il est payé pour ça avec le maigre budget octroyé par la puissance publique.

 

« Romain Bouvier, chercheur en psychologie au CNRS :

Ce jeune scientifique a tenté de nous expliquer que le comportement d'un enquêteur (sa manière de poser les questions, le vocabulaire utilisé, la gestuelle) pouvait influencer le récit du témoin de manière inconsciente et qu'il était donc important que celui-ci soit formé aux techniques interrogatoires appropriées à ce genre de situation.

Fort de ses connaissances en psychologie cognitive, M. Bouvier a donné quelques exemples démonstratifs (vidéos et sonores - qui n'ont pas manqué de faire rire le jeune public), concernant les phases d'étonnement, d'émerveillement, de peur et de panique de certains témoins face à un phénomène qu'ils n'identifient pas sur le moment.

L'exposé était rapide et le phrasé un peu maladroit (M. Bouvier semblait vouloir rester discret sur sa méthode tout en nous faisant partager son enthousiasme) mais ce chercheur en psychologie avait l'air très sûr de lui, parlant d'hypothèses de nature psychologique, de phénomènes « psycho-pathologiques » et « schizophréniques »... des termes qui font évidemment bondir certains ufologues.

 

J'ai bien aimé sa remarque : « La moitié des erreurs judiciaires est due à des erreurs d'évaluation des témoins oculaires ». »

Heureusement pour mon pays, elles sont finalement assez peu nombreuses (hors le cas de la couleur du scooter de « Mohamed » et de sa corpulence… naturellement).

 

« La brièveté de son exposé concernant les méthodes interrogatoires calquées sur celles utilisées par la police ou les agents d'assurance n'a pas permis de rendre compte de la portée de ses recherches mais elles semblent prometteuses.

J'ai retenu que sa méthode permettrait de différencier les souvenirs réels des souvenirs induits ou construits, entre autres.

Les enquêteurs de terrain auraient fort à gagner à suivre une formation de ce type.

 

Michael Vaillant, informaticien et statisticien :

Cette partie pouvait paraître un peu ardue mais aurait largement mérité un prolongement tant le sujet était à la fois original, riche et pointu.

Michael nous a épargné les formules mathématiques complexes, algorithmes et autres tortures de l'esprit en réussissant à vulgariser au maximum son exposé.

 

Cartes géographiques des cas :

Partant de cartes géographiques sur lesquelles sont pointés les cas répertoriés au niveau national, Michael Vaillant a essayé de découvrir quels étaient les points communs entre certaines de ces observations et la géographie locale.

Les paramètres tels que la densité de population, le taux d'ensoleillement, la présence d'aéroports, les sites de stockage, de traitement ou centrales nucléaires, confrontés à la présence de phénomènes aériens non-identifiés font l'objet d'une étude scrupuleuse et factuelle, sans états d'âmes ou subjectivité.

 

Et les résultats sont troublants : Après avoir nettoyé des cartes les PANS de type « A », « B » et « C », il ressort qu'il y aurait une corrélation entre la présence de PAN « D » et tout ce qui est lié au nucléaire.

Ce fait étonnant est passé presque inaperçu pendant la conférence et personne n'a relevé sur le moment l'importance de cette découverte qui suscitera certainement de nombreuses interprétations et commentaires dans un avenir proche.

Michael Vaillant propose d'ajouter des variables pour essayer d'aller plus loin dans cette voie de recherche. »

Personnellement, ça m’avait déjà « sauté aux yeux » depuis fort longtemps, y compris dans les rapports d’observations à l’étranger (USA, Chine, URSS) dans le passé…

Sans pour autant ne rien démontrer.

 

« Chronologie des vagues :

Une autre étude démontre que les vagues d'ovnis - à un niveau mondial cette fois-ci - (communément admises par leur réelle popularité) ont une fréquence régulière dont la durée est exponentielle dans le temps.

M. Vaillant suggère que ce rythme ressemble à celui d'un apprentissage programmé, sans se risquer de préciser si celui-ci est dû à une volonté extérieure ou plus simplement à un traitement médiatif porté par un inconscient collectif.

La prochaine vague importante serait même prévisible : 2035.

Michael Vaillant a fait un travail remarquable. La publication de ces constats est attendue avec impatience ! »

 

J’avoue que, pour avoir lu quelques études de Mickael avec qui j’ai eu pas mal d’échanges l’année dernière (au titre des « muets » de (f)ummistes), que ses cartes et études sont particulièrement soignées.

Un vrai travail de recherche en profondeur…

 

Ce qui doit vous interpeller, somme toute, ce n’est pas tant qu’il y ait de « savantes autorités » qui veillent à notre « police de l’espace » (un service des armées assez récent alors que le GEIPAN est désormais relativement ancien), mais qu’il y ait encore des « cas D2 » que même la science moderne et tous ses outils, reste incapable de rejeter ou d’expliquer !

Là, ça reste stupéfiant, d’autant que ça dure ainsi depuis tant d’années…

 

L’autre aspect, c’est cette « attractivité » pour les sites nucléaires. D’aucuns en tire la conséquence d’une surveillance accrue de « nos aliènes » pour ces sources potentielles de danger létal pour l’humanité…

(Un des « pièges » ummistes).

Alors qu’au contraire, l’explication pourrait très bien être de nature militaire et secrète… De l’espionite aiguë, tout simplement, avec des moyens « non-reconnus ».

 

Mais je vous laisse avec ces questions-là au coin du week-end.

De toute façon, aucun d’entre nous, moi y compris, n’a de réponse appropriée et appropriable pour être « vraies » à vous servir.

 

Juste une piste à explorer (comme ça, là, une « intuition » laissée à l’état de trace dans mon pauvre cerveau, par mes « On » d’antan) : Où en sont les recherches sur les « méta-matériaux » ?

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13 avril 2012 5 13 /04 /avril /2012 04:29

Alors j’y reviens : De quoi en rire…

 

« Travailler plus pour gagner plus » qu’il disait ! Je veux… Tout ce que je fais moi-même, je n’ai pas à le faire faire par autrui et c’est autant que je n’ai pas à payer non plus !

Tout ce que je fais moi-même qui aurait dû être fait par autrui, non seulement ça ne me coûte que de la sueur (et parfois un peu de talent), autrement dit rien (puisque je ne vaux rien) mais en plus on me le paye (parfois seulement) et ça me rapporte à moi et pas à autrui : Que je te bouffe la laine sur le dos pour m’en mettre plein les poches, naturellement.

Et tant pis pour toi… qui aurait pu le faire.

Donc, « travailler plus pour gagner plus », c’est gagnant à tous les coups.

 

Et j’en connais un qui s’y connaît : J’ai même voté pour lui quand il a sollicité mon bulletin, il y a 5 ans !

Je croyais qu’il allait nous en donner « plus », que même sa première décision a été de gagner plus pour lui-même, c’est dire s’il allait « nous en donner plus » à nous avais-je osé croire : Une vraie « rupture » annoncée où à force de donner, on allait enfin recevoir.

Parce que « donner », quand c’est pour que ça cesse définitivement, je vote pour, naturellement !

 

Pour en revenir au sujet de ma « rigolade » (ce qui vous change des « histoire à la noix » de Jean-Marc), vous avez déjà eu l’occasion de compter.

Un post qui vous a tous laissé de marbre

« C’est normal », « y’a rien à redire », « C’est bien », « il faut bien qu’il ne s’appauvrisse pas » ai-je pu entendre.

« Là où il est avec les responsabilités qu’il a assumées pendant 5 ans, il n’aurait plus manqué qu’il n’en ressorte pas enrichi ! »

« Il n’y a rien d’exagéré. C’est très bien… »

D’ac’ ! J’entends bien.

 

Mais qu’on recompte un peu, SVP.

 

Tu prends un « fat-lambda », même monté sur talonettes, qui part il y a 5 ans avec un patrimoine de 2.042.166 d’euros, essentiellement placé en assurance-vie.

5 ans plus tard, les mêmes contrats, peut-on supposer valent 2.584.034 €, soit 541.868 € de plus…

+ 26,53 %, ou un rendement annuel d’un peu plus de 4,75 % net de chez net.

Un « bon cru » à ne rien faire de « bosser plus », mais admettons.

Exit le « travailler plus », puisqu’il s’agit de placement de valeurs mobilières en admettant qu’il n’en a pas rajouté au passage…

Parce que s’il en avait rajouté, ce serait encore pire que pire : Nous y reviendrons.

 

Le « fat-lambda », il « bosse-fort » à 21 K€/mois : Logique, c’est un « super-bon » qui bosse vraiment sans arrêt au tarif des heures-sup’.

Vous me direz qu’à ce niveau-là, même s’il a beaucoup de charges déductibles, il doit bien payer quelques charges sociales et impôts sur le revenu comme tout le monde.

Disons l’équivalent de 15 % pour ce qui est de la « part salariale », ce qui est normal : Il est « hors catégorie ». Et à peu près autant d’impôt sur le revenu en moyenne vue toutes les charges déductibles qu’il peut imputer (parce qu’au-dessus, ça devient franchement kafkaïen jusqu’au diabolique).

Soit un net de chez net de l’ordre de 15,17 K€

Soit 15,17 K€ x 12 mois x 5 ans = 910,35 K€ au total.

 

On va dire aussi que le « fat-lambda », il ne paye pas sa bouffe, ses costards, ses capotes ni son loyer : Y’a des « vernis » dans la République, faudra-t-il un jour se rendre compte.

J’en ferai un autre jour un inventaire des « petits arrangements entre gens du même monde »…

 

Néanmoins, le « fat-lambda », il reconnaît avoir remboursé un prêt de 50 K€ à son banquier (en vue d’embellir son « chez-lui » à lui dit-il ; même s’il n’en possède aucun sait-on par ailleurs) pendant ladite période.

Entre-temps, comme les fins de mois sont difficiles et qu’il bénéficie d’au moins une voiture de fonction, il a vendu sa mini 1000 à 15 K€ : Une bonne affaire… pour « collector » !

Et comme c’est un mécène dans le sang, il a soutenu quelques artistes en collectionnant des montres de chez Rolex et quelques « signures » de valeur sous forme d’autographes : Valeurs 100 K€…

Soit 15 K€ d’encaissement pour 150 de décaissement…

Bon, de Madame, on ne sait rien : Elle remplit le frigo de glaçons d’eau de ville avec ses droits d’auteur-compositeur-interprète, admet-on aussi…

 

Quand on compte aussi les sous en banque, y compris les PEL et Codevi aux « ex » et aux gamins devenus majeurs entre-temps, il passe ainsi de 95,95 K€ à 56,919 K€, c’est-à-dire un « appauvrissement-constaté » de – 39,031K€.

 

Ce n’est pas tout : Le « fat-lambda », il décaisse tous les ans 71,112 K€ à quelques « divorcées-délaissées » (et autres épouses abandonnées en jachère).

Vous faites le calcul : Coup total de ses infidélités = 355,56 K€ !

 

Vous versez tout ça dans le shaker, vous agitez sans secouer et ça donne : 910,35 K€ + 15 K€ – 355,56 K€ – 39,03 K€ – 100 K€ (de collections d’objets « rares »), ce qui revient à 430,76 K€, soit à peine 7.179 €/mois de revenus disponibles.

On en est d’accord, non ?

4 patates presque trois-quarts par mois en « Franc-Pinay » à claquer tous les mois depuis 5 ans …

Y’a un truc qui cloche, ne trouvez-vous pas ?

Comment claque-t-on 47.000 francs par mois quand on vous paye absolument tout ?

On fait les champs de course tous les jours ?

On couvre sa belle d’étoles de vison et de rivières de diamants tous les matins ?

Surtout, surtout, ça se saurait compte tenu que le « fat-lambda » il est en permanence sous les sunlights de l’actualité et des paparazzis…

 

Bref, il en manque ou il y a en a en trop, je ne sais pas. Mais ça ne colle pas !

Comment un « fat-lambda » qui ne paye rien peut-il ainsi laisser courir une pareille voie d’eau ?

 

À moins, à moins, (je fais ma mauvaise-langue) qu’on nous fasse prendre des vessies pour des lanternes, une fois de plus : Parce que je vous raconte, si encore c’était dans un de mes « romans à la noix » (en « cuvée d’été » exclusivement), on me rigolerait au nez et à juste titre.

Mais là pas du tout : Il s’agit des finances de notre « Ô combien vénéré Président ».

Et là, je m’inquiète…

 

Soyons honnête : Il y a une explication, naturellement…

Ce « fat-lambda », en fait, il est pingre !

C’en est dramatique, mais c’est toujours le cas des gens à qui on paye tout…

Les « fameux riches ».

Comme il ne dépense rien, il alimente son assurance-vie avec ses excédents de trésorerie … en « bon père de famille » :

541.868 € de plus sur lesdits contrats – 430.760 K€ d’excédents, on retrouve un rendement de 111.108 €, ce qui compte tenu de la durée des versements successifs est nettement plus conforme aux performances d’un contrat d’assurance-vie « pépère ».

 

Que le monde entier sache qu’on a eu un PINGRE à la tête de l’État pendant 5 ans, ça c’est un scoop.

Je vous le dis, je ne m’en lasse pas d’en rigoler !

 

Et pour l’usage exclusif de notre « Ami-râle » et ses clippers, mais aussi vous consolez de n’avoir pas eu les belles tirades et autres « contrepêts » du moment de Jean-Marc, un petit « k-d’ékole » de « mat en cinq coups » : Un par année !

 

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12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 04:16

Est-ce vraiment pour cet été ?

 

Peut-être même dans les semaines qui viennent…

Car l’US-Navy vient d’indiquer qu’un second porte-avions nucléaire est désormais stationné aux abords du détroit d’Ormuz.

Et là je m’inquiète, déjà que nous avions signalé l’année avant-dernière le passage de douze navires de guerre US de la VIème flotte, normalement stationnés en méditerranée à y faire des « ronds dans l’eau » (et donc autant qui ont manqué en appui de « l’après-printemps-arabe ») par le canal de Suez (et c’est dire combien les services de renseignement américains restent « aveugles » à prévoir les événements politiques autour de la « mare nostrum » des anciens).

Là, maintenant, c’est toute une flottille (un porte-avions n’est jamais esseulé pour assurer sa protection) qui se prépare à « pacifier » la région…

 

Jadis troisième exportateur mondial d'or noir, l'Iran peine de plus en plus à vendre son pétrole et prépare dans une certaine nervosité des mesures pour faire face aux sanctions internationales.

Les tankers de pétrole iraniens se font rares sur les mers du globe, sous l'effet des sanctions occidentales.

 

La télévision iranienne avait annoncé la semaine dernière que Téhéran suspendait ses livraisons à deux compagnies grecques, « Hellenic Petroleum » et « Motor Oil Hellas ».

Ces dernières ont expliqué s'être vues interdire par l'Union européenne de régler leurs achats.

Et, pour la première fois une compagnie d'assurances chinoise, « China P&I Club », acteur clef du secteur maritime, a annoncé dans la foulée, et selon l'agence Reuters, qu'elle cesserait d'assurer les tankers iraniens à partir de juillet.

« China P&I » a souligné officieusement ne pas vouloir « s'isoler » de ses confrères occidentaux (qui boycottent l'Iran dans le cadre des sanctions visant à obliger le régime iranien à abandonner son programme nucléaire clandestin).

 

Un coup dur pour Téhéran, puisque les raffineurs chinois, malgré un recul de 20 % de leurs achats en mars à moins de 400.000 barils par jour, soit 22 % des débouchés de Téhéran, sont avec les Indiens les principaux acheteurs de pétrole iranien.

À l'entrée en vigueur des sanctions européennes, le 1er juillet prochain, ils devraient même être quasiment les seuls avec quelques importateurs turcs et asiatiques.

Ces derniers commencent d'ailleurs à prendre leurs précautions devant le resserrement de l'étau international sur Téhéran.

Ils exigeraient désormais dans leurs contrats des clauses de force majeure prévoyant qu'ils ne devraient aucune compensation aux Iraniens en cas de défaut d'assurance des tankers ou s'ils ne pouvaient finalement opérer les virements financiers nécessaires.

 

Ce véritable « étau » suscite une nervosité croissante parmi les dirigeants iraniens. De source généralement bien informée à Téhéran, le Conseil national de sécurité s'est réuni en urgence et secrètement le 17 mars dernier pour discuter des parades possibles.

Le président Mahmoud Ahmadinejad, ses ministres de l'Économie et du Pétrole, le gouverneur de la banque centrale, le patron de la Compagnie nationale iranienne des tankers (NITC) et de la Compagnie pétrolière nationale d'Iran (Nioc) ont constaté que les tankers du pays ne pourront bientôt plus, faute d'assurance, opérer dans la plupart des ports du monde.

Des licenciements massifs sont prévisibles à la « Nioc », a assuré son patron, Ahmad Qalebani, alors que les opérations de maintenance sont déjà au minimum, comme l'illustrent ces quinze derniers mois la douzaine d'incidents, explosions de raffineries et de pipelines.

 

Le gouverneur de la banque centrale d'Iran, Mahmoud Bahmani, a estimé que, puisque la plupart des banques nationales n'ont plus accès depuis début mars au système international de virements électroniques SWIFT, le pays devait être prêt désormais à faire régler ses exportations en monnaie locale, par exemple en roupies, ou par recours au troc.

Pour faire face à cette crise financière, le Conseil de sécurité a aussi discuté, au prix d'échanges très vifs, d'une hausse éventuelle des prix de l'essence de 50 à 70  % sur le marché domestique et de la possibilité d'exiger des ménages aisés qu'ils renoncent aux allocations compensant la suppression l'an dernier des subventions aux produits de première nécessité…

 

Drames à venir en Iran et tant que le bras de fer sur le risque nucléaire persistera.

C’est ce que l’on peut prévoir d’ores et déjà.

Mais je ne comprends pas plusieurs choses : En combien de temps nos « savants » ont-ils pu enrichir assez d’uranium pour doter notre pays de munitions nucléaires opérationnelles ?

En combien de temps, les USA et son projet « Manhattan », ont-ils pu le faire eux-aussi en pleine guerre mondiale ?

Et l’Inde comme le Pakistan, au nez et à la barbe des « puissances nucléaires » déjà existantes ?

En quelques mois, disons une paire d’années.

Depuis combien de temps on nous bassine le neurone avec les centrifugeuses vendues par les allemands à l’Iran que ce pays en « surcapacite » tout ce qui existe par ailleurs ?

Au moins une décennie si ce n’est pas plus.

Et toujours pas de « munition » opérationnelle ?

Voilà qui est particulièrement curieux…

 

Mais on persiste à préparer la guerre autour du détroit d’Ormuz par où transite l’essentiel de l’or noir du monde : Plus de 70 tankers tous les jours.

Au passage, c’est le « routier-sympa » qui paye et fait payer, c’est l’aéronaute qui divague par les airs autour de la planète, c’est l’automobiliste parigot (et quelques autres autour…), qui est assommé par les prix à la pompe.

Au passage, on apprend que les USA, avec leurs productions à base de schistes-bitumeux et autre « hydro-fracturation » sont devenus « exportateurs-net » d’or-noir !

On se prépare même un peu partout à « puiser dans les réserves stratégiques » pour faire face à une éventuelle crise.

 

Vous imaginez, là, entre deux tours de chez nous, notre « Ô combien vénéré Président » partir en pompier du monde et en urgence éteindre l’incendie provoqué par quelques tirs de missiles au large de Doha ?

Ou avant les législatives ?

J’adore la perspective, vraiment…

 

Y’a des fois où j’ai vraiment le sentiment que le citoyen « lambda » que je suis, n’est jamais que le spectateur d’une pièce écrite d’avance… et qu’on lui impose de jouer.

Le même qui s’inquiète pour la « rentrée scolaire » de sa « nichée » le 5 septembre prochain : Serais-je de retour à cette date après avoir parcouru tant de kilomètres pour lui avoir offert des vacances sur la terre de ses ancêtres, une année de plus ?

Et avec quels sous ?

 

Mais nos « sachants » s’en foutent : Ils n’attendent qu’une chose, conserver leurs places et « avantages acquis ».

Et à ce jeu-là, tous les coups sont décidément permis.

Quitte à ce que ce soit au détriment de la paix dans le monde, en pleine année olympique de la fraternité des peuples par le sport.

Là encore, j’adore le rapprochement : Tout est fait pour que le monde bascule, rien que pour faire oublier la crise mondiale de la finance en déroute qui chauffe de son côté.

 

2012, un tournant pour l’humanité ?

Je ne serai plus là pour vous le rappeler, moi qui rêve toutes les nuits de ma propre tombe, en ce moment.

C’est dire si j’ai un moral du tonnerre de Brest !

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 15:22

Vous m’emmerdez, les jeunes :

 

Depuis les posts sur Mohamed, à chaque fois que j’entre sur internet, les « grandes oreilles » du ministère de l’intérieur, ou d’un autre service de la DCRI ou d’ailleurs, interceptent mes communications électroniques.

 

Bon ça, je savais depuis longtemps et comme je n’ai rien à cacher derrière mon pseudo de misère et peux répondre de tout et même du reste devant la justice de mon pays si vous le désirez et quand vous le désirerez, tout cela n’est pas bien grave.

C’est juste une perte de temps pour vous, alors même « qu’Ahmed le diabolique » court toujours !

Bref, vous seriez plus efficaces sur d’autres « cibles », à mon humble avis.

 

En revanche, à chaque fois, ça coupe la connexion pendant plusieurs minutes, pourtant dûment acquittée auprès de mon fournisseur d’accès…

Enfin « de mon », de mes parce que l’ensemble est en réseau de « sous-réseaux » (un truc compliqué que même moi-même je n’ai pas bien compris pourquoi ça existe et comment ça marche : J’ai eu des informaticiens « bizarres de la connectique ». Pas de ma faute, j’avais que celui-là sous la main le jour dit).

 

Si cela ne gênait que moi, passe encore : Je suis assez patient.

Mais ça « flambe » en même temps toutes les connexions des autres réseaux de « mon » réseau et derrière, il y a des gens qui œuvrent à tenter de créer de la valeur ajoutée marchande qui paye notamment vos salaires (mais pas que ça non plus : Ils commencent par se payer de quoi donner à bouffer à leurs propres nichées déclarées du moment aussi).

 

Alors, une fois pour toute, faites ce que vous voulez, mais démerdez-vous pour que ça ne mette pas le boxon à tous les étages !

Où je délocalise plus vite que la lumière que vous en serez encore « marron » à devoir justifier vos émoluments dont la source sera tarie…

Ok ?

 

En un mot comme en cent : Faites votre boulot correctement, que je ne sois pas averti systématiquement par ces coupures inopportunes que vous me mettez « sur écoute » : C’est franchement kon de votre part !

 

Et si c’est l’effet d’un des « machins » protectifs mis en place par le « génie-maison » de l’informatique, comme je ne sais lequel et que je ne vais pas déranger pour si peu « ledit génie », trouvez fissa une solution idoine…

Je vous en saurai gré.

 

Bien à vous, fidèles serviteurs-zélés d’un État qui est d’abord le mien et que je partage volontiers, avant que d’être le vôtre (puisque c’est moi qui vous paye indirectement).

 

I3

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 04:24

Ce gars-là est-il cinglé ?

 

Je vous raconte l’histoire : C’est un bel institut « tout neuf », créé sui generis avec le pognon du « Grand emprunt » (que nos gosses rembourseront peut-être quand nous serons morts) au titre des pôles d’excellence et dans le cadre du « Labex Ose », lauréat du programme d'investissements d'avenir : Merci pour eux à « Juppette-Roro-Card » !

 

Et ils te nous racontent une belle histoire il y a peu dont tout le monde se contre-cogne au moment où elle est diffusée.

À savoir que depuis 2002, les très aisés ont profité de baisses d'impôt six fois supérieures à la moyenne !

En effet, les impôts et charges se sont réduits de 0,6 point du revenu national pour l'ensemble de la population…

J’en reste quelque peu dubitatif, parce que globalement, sur le terrain, ce n’est pas vraiment ce que j’ai pu constater.

 

Mais il faut dire que la baisse a atteint 3,6 points pour le 1 % des plus aisés, selon cette étude publiée par « l'Institut des politiques publiques », rattaché à l'École d'économie de Paris et au Crest.

Voilà l’explication : Sauf pour un de mes clients (mais lui je me suis occupé personnellement de son cas, donc je sais…), tous les autres ont vu au mieux leurs « prélèvements obligatoires » stagner et nombre d’autres augmenter…

Ce qui fait une « petite-baisse », moyenne-nationale, de 0,6 %.

Chercher l’erreur !

 

Selon cette étude, l’explication tient en ce l'impôt des plus aisés a beaucoup augmenté depuis deux ans (Ah bon ?) : Prélèvements sur le capital, taxe spéciale sur les très hauts revenus, etc., mais n'efface pas les baisses qui leur ont été accordées au cours de la dernière décennie (2002-2012) : Ouf, je veux !

 

C'est d’ailleurs l'un des principaux enseignements à tirer de ce rapport sur la « fiscalité et la redistribution en France », qui conforte largement les travaux déjà publiés par l'économiste de gauche Thomas Piketty et sa révolution fiscale.

 

Et de préciser que sous le second quinquennat du « Chi » et celui de notre « Ô combien vénéré Président » le 1 % des « ménages les plus aisés » se retrouve avec un taux d'imposition (charges et impôts) réduit de 3,6 points, alors que la baisse générale a été de 0,6 point du revenu national pour l'ensemble de la population en dix ans : On raisonne en pourcentage des revenus disponibles.

Ce qui biaise un peu la lecture, parce qu’en masse, ce n’est pas tout-à-fait ça…

Mais peu importe : C’est une façon comme d’autres d’appréhender les réalités.

 

La décennie de « droâte au pouvoir » a beau avoir accentué le phénomène, elle n'est toutefois pas responsable du fait que, au plus haut de l'échelle, les ménages paient proportionnellement moins d'impôt que ceux situés juste en dessous (le basculement se situe après le dernier centile), nous précise-t-on.

« Cette régressivité existait déjà en 1997. Elle est de nature structurelle », estiment les auteurs.

Elle est en fait « mécanique » par l’effet de la progressivité des barèmes plus l’envie de « la gagne » à travers quelques les niches fiscales…

D’ailleurs, « l’UMPPS » n'a jamais réellement mis en cause le fait qu'une majorité des revenus du capital échappait à l'impôt, à l'instar de l'assurance-vie (et quelques autres qu’elles ont soutenu vaille que vaille).

Même si les politiques menées n'en restent pas moins très différentes, poursuivaient les auteurs, qui comparent les effets des deux derniers quinquennats à ceux produits par le gouvernement de « Tonton Yoyo » (1997-2002).

Les mesures prises par ce dernier ont été plutôt favorables aux ménages modestes, nous a-t-on dit, grâce notamment à l'instauration de la prime pour l'emploi, de la baisse de 1 point de la TVA et des allégements de charges sur les bas salaires.

Les mesures prises ensuite ont « plutôt eu l'effet inverse », nous assurait-on.

 

C'est particulièrement le cas du quinquennat 2002-2007, marqué par une forte baisse de l'impôt sur le revenu. « L'essentiel de l'accroissement de la régressivité fiscale au cours de ces quinze dernières années a eu lieu pendant cette période », estiment les auteurs.

 

En revanche, d’après les mêmes auteurs, le quinquennat de notre « Ô combien vénéré Président » est plus difficile à qualifier : Car, pour mesurer l'avantage qu'en ont tiré les ménages aisés, il faut distinguer les hauts patrimoines et les hauts revenus.

« Les gagnants du quinquennat sont avant tout les contribuables ayant de hauts patrimoines mais de faibles revenus et les perdants les contribuables ayant de faibles patrimoines mais de hauts revenus », résument ces « sachants-là ».

La réforme de l'ISF a conduit à une baisse de l'imposition des hauts patrimoines plus forte que la suppression du bouclier fiscal qu'elle était censée remplacer.

Les très hauts revenus (le meilleur centile) ont subi l'effet inverse : Leur taux d'imposition effectif s'est accru de 1,7 point.

C’est effectivement conforme à ce que je peux en remarquer sur « le terrain », et ce qui me fait rager.

 

Qu’on comprenne pourquoi : Taxer la détention d’un patrimoine oblige son détenteur à le faire fructifier (C’est l’effet qu’on a vu de la mise en place du cadastre entre 1804 et 1848 : Oui, il a fallu plus de 40 ans pour en faire le tour ! Et ça a favorisé la « Révolution industrielle » naît sous second empire…)

Mais ça a une limite : Le plafond « spéculatif » !

Quand un bien vaut plus qu’il ne pourra jamais rapporter du fait de sa rareté et de l’abondance de monnaie, économiquement c’est une catastrophe puisque le bilan financier est négatif durant plus d’une génération.

C’est ce qu’on note dans l’effet de « l’ISF de l’île de Ré ».

De même, taxer av ec une progressivité accélérée des revenus contrarie la formation de « capital-nouveau ». Or, là aussi les effets sont néfastes à une économie dynamique qui a besoin de toujours plus de « capital » pour progresser.

 

Ainsi, un « prolo », quoi qu’il fasse, ne sera jamais en mesure de devenir « capitaliste », justement par l’effet de progressivité rapide des impôts et charges sur ses revenus.

Autrement dit, plus on taxe les revenus, plus on appauvrit le prolétaire cantonné dans sa lutte des classes à lui.

Et plus on taxe le patrimoine, moins il y a de « capitalisation », moins d’outil de travail du « prolo ».

En bref, l’impôt crée du chômage et de la pauvreté !

 

Mais bon, ça, c’est une remarque ressortant du « politiquement incorrect » d’un constat pluriséculaire : La réponse de « l’UMPS » a toujours été de taxer plus encore pour financer le « capital publik » générateur d’emplois « publiks et para-publiks » (ah que, ils nous bassinent tous avec leurs champions nationaux … qui sont essentiellement publiks, hors Michelin).

C’est l’effet de « l’économie-mixte » créée de tout pièce après-guerre, où « l’économie privée » est dépendante du « pouvoir publik » et de sa capacité d’achat, en toute opacité.

Ce que VCRM appelle intelligemment la « nationalisation rampante » de tout un pays qui procure jusqu’à des logements et des emplois, des places d’ékole et de krèche, à ses seuls électeurs-affidés, et uniquement eux.

Venez faire un tour en province, vous comprendrez, jusque et même à Calvi-sur-plage : Je peux en témoigner (ce que j’ai déjà fait ici !)

Une « nationalisation rampante » de nos vies économiques, nés que nous sommes tous pour trimer toujours plus et consommer juste ce qu’il faut pour nous maintenir en vie…

 

Des conclusions « formellement contestées » par « Bling-bling » depuis peu sur RTL et en direct l’autre jour, ce dernier n'hésitant pas à qualifier l'institut des politiques publiques, d'« organisme Théodule dont personne ne connaît l'intérêt, ni l'importance, ni la crédibilité ».

Trop drôle, n’est-ce pas !

Ça valait bien un post…

 

Si l'Institut des politiques publiques est effectivement peu connu du public puisqu'il a été créé en septembre dernier et a publié ses premiers travaux la semaine précédente, il a pourtant été lancé grâce au soutien du « Grand emprunt », de fin 2009 par le chef de l'État afin de financer « les investissements d'avenir ».

L'Institut des politiques publiques est en effet développé dans le cadre du « Labex OSE » comme indiqué ci-avant, un laboratoire d'excellence destiné à « ouvrir la science économique ».

Porté par l'École d'Économie de Paris, ce « Labex » fait partie des lauréats retenus par le Commissariat général à l'investissement, chargé de piloté le grand emprunt sous la responsabilité de Matignon.

Sur les 35 milliards du grand emprunt, 1 milliard est consacré à ces « Laboratoires d'excellence ».

« Par cette action, des laboratoires ou des groupes de laboratoires et d'équipes, de très haute qualité, pourront disposer de financements, notamment pour le recrutement ou le maintien en France de scientifiques de très haut niveau ou à fort potentiel », expliquait l'appel à projet.

 

Sélectionné par un jury d'experts internationaux, le « Labex OSE » s'est ainsi vu attribuer 8 millions d'euros (dont une dotation de 800.000 euros directement consommable).

Également soutenu par le Crest (Centre de recherche en économie Statistique), l'Institut des politiques publiques (IPP) repose sur des engagements fermes en matière d'indépendance scientifique.

« L'Institut défend une approche non partisane qui respecte le primat du politique sur l'apport de l'expertise. Son rôle est de faciliter la compréhension par les citoyens des enjeux qui sous-tendent les politiques publiques », est-il écrit sur son site (www.ipp.eu).

 

Autrement dit, jeunes-gens, quand « Bling-bling » emprunte du pognon que personne ne remboursera, sauf peut-être nos gosses quand nous seront morts, c’est pour financer des « organismes Théodule dont personne ne connaît l'intérêt, ni l'importance, ni la crédibilité ».

À 8 millions d’euros le bout, on se demande s’il n’est pas nés, comme les autres, pour jeter de l’argent qui n’est pas à lui par les fenêtres !

 

Quand on vous dit qu’ils restent « irrésistibles » à faire n’importe quoi…

Parce qu’il aurait pu faire « la leçon » de politique économique, comme je viens de vous le rappeler : Mais ce n’est pas « politiquement correct », vins-je de vous dire.

Dommage !

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 06:37

Parfois, je me demande…

 

Voilà notre « Ô combien vénéré Président » sortant à qui on a donné tous les pouvoirs durant 5 ans : Il était partout à la fois, sur le front international, sur les territoires en guerre ou en pleine révolution, dans toutes les réunions internationales qui causent des grands problèmes majeurs du moment, sur le front de tous les terrorismes, voulant juger même les fous et aligner les juges comme des petits-pois ;  

Il était partout au pays, dans les régions, au chevet d’entreprises malades, où les chiens à euthanasier ;

Il parcourait le pays de ses réformes menées « à la hussarde » et l’allure d’un TGV, bousculant tout le monde sur son passage, sûr d’avoir raison contre tous, pressé d’aboutir, croyait-on, pour redresser ce pays qui en avait bien besoin dans une posture de « rupture », et a pu faire tout ce qu’il entendait faire de la sorte, appuyé par une majorité parlementaire « à la botte ».

Ne parlons même pas de son lamentable bilan, pour une fois.

Mais de son « programme » futur !

 

Comment dire ? De son nouveau programme…

Cet homme-là est effarant : Il a un « nouveau programme » qui résoudra, si non tous nos problèmes nationaux, au moins une grande partie comme d’une nécessaire urgence !

Que ne l’a-t-il pas mis en place avant ?

Durant 5 années complètes.

 

Premier objectif : L’équilibre des finances publiques en 2016.

Et pourquoi non en 2012, s’il vous plaît ?

 

« Mon objectif est clair : construire une France assez forte dans les cinq années qui viennent (...), réconcilier la France du oui et la France du non », a-t-il indiqué.

Forza la « Gauloisie fortissimo ! », voilà qui est nouveau après avoir parachevé de la mettre à genoux !

Ce qui ne veut rien dire, sauf à constater que ce serait vraiment un virage à 180° avec le quinquennat précédent qui « aurait … affaibli » mon pays ?

 

Réduction du déficit : Dénonçant un « festival de dépenses nouvelles » de la part de « François III », « Bling-bling-dans-sa-tête » insiste sur le fait que de son côté, « toutes les propositions s'articulent autour d'un objectif : l'équilibre des finances publiques en 2016 ».

Avant, ce n’était donc pas important ? (« Mais ça, c’était avant », n’est-ce pas !)

En clair : 0 % du produit intérieur brut (PIB) en 2016 et même un excédent de 0,5 % en 2017.

La dette publique gauloise devrait ainsi passer de 85,8 % en 2011 à 80,2 % du PIB en 2017.

Sans vouloir critiquer systématiquement, c’est aussi ce qu’il nous avait quasiment-promis en 2007…

S’en souvient-il ?

 

124 milliards d’efforts ! Pour ce faire le candidat concède que l’effort à fournir n’est pas minime : 115 milliards d'euros d'efforts sont nécessaires sur cinq ans, auxquels il ajoute « 9,5 milliards de propositions de campagne », pour un effort total de 124 milliards d'euros.

Et de préciser que les trois quarts porteraient sur la réduction des dépenses publiques, et le reste sur les recettes… publiques.

Dans tous les cas, ceux qui trinquent, c’est donc le … « public ! » : De l’élixir de jouvence pour la « gauche de la gôche »…

Il était temps, là où la dépense n’a fait qu’enfler pendant 5 ans et les recettes, si elles n’ont pas sensiblement augmenté sur quelques « impôts-phares », on a quand même vu fleurir un tsunami de « nouveaux impôts et taxes » !

Et une vaste dégradation des services publics : À la limite, pourquoi pas, mais de là à réduire le format des « services régaliens » comme depuis 5 ans…

Passons !

 

Au menu : Prélèvements obligatoires passant de 43,8 % du PIB en 2011 à 45,6 % en 2017 et réduction des dépenses publiques de 55,9 % en 2011 à 51,9 % du PIB en 2017.

Voyez-y donc la perpétuation de l’augmentation de nos dettes publiques – contrairement à ce qu’on veut nous faire croire – qui augmenteront donc de 55,9 – 43,8 (4 points de PIB !) alors même que les « prélèvements obligatoires » n’augmenteront que de 1,8 point, soit un « équilibrage » à – 2,2 points…

On ne sait par quel miracle de l’arithmétique (peut-être une nouvelle réforme « magistrale » à venir ?), où « – 2,2 = + 0,5 » en 2017…

 

Un chiffrage soi-disant basé sur une prévision de croissance de 2 % « en sortie de crise », (et pas avant : On n’y vraiment pas …) qu’il estime « raisonnable », et d’ajouter que « toutes les prévisions que nous présentons sont conformes avec les engagements du gouvernement envers l'Europe et nos partenaires ».

Certes, mais « en sortie de crise » seulement et encore…

Elle vient comment ma « croissance » avec – 4 points de « relance keynésienne » dans ce pays shooté jusqu’à l’addiction à la « dépense publique » ?

 

Europe : En cas de réélection, il promet de faire voter la « règle d'or » budgétaire « dès l'été 2012 » (et il fera comment pour l’appliquer ?), d’imposer la réciprocité dans les échanges commerciaux en Europe, et de demander le gel de la contribution du pays au budget européen pour une économie de « 600 millions d'euros par an ».

Attention, voilà encore un effet d’annonce : Des « économies » sur une dépense putative, putative seulement puisqu’elle n’existe pas encore !

Chapeau…

 

En matière d’investissements, une partie des commandes publiques serait en outre réservée aux PME européennes comme c’est le cas aux États-Unis.

Même si dans les faits c’est déjà le cas chez nous, avec les résultats que l’on constate : Passons …

 

Réforme des institutions : Les collectivités territoriales devront également resserrer leur budget au même rythme que l'État en réduisant leurs effectifs et en abaissant leurs dépenses de fonctionnement.

Sa dernière réforme n’était donc pas suffisante ?

Nous le disions aussi, pratiquement pour toutes ses réformes depuis 5 ans : LME, LMT, RGPP, fiscalité, retraites, hôpitaux, collectivité territoriale, traficotage de la constitution, carte judiciaire et j’en passe.

Bref, il fera semblant de décider pour les autres, alors même qu’il n’a aucun pouvoir de décision sur le sujet : Trop drôle comme aveu d’échec « avancé » !

 

Le nombre de sièges de parlementaires serait réduit de 10 %, soit 57 députés en moins (et pourquoi donc ?) et une dose de proportionnelle serait injectée lors des élections législatives.

Pour quand ?

Pour les élections de 2017 ?

J’en rigole…

 

Impôts : Comme annoncé lors de la campagne, il se contente de vouloir imposer les exilés fiscaux.

C’est sûr que les « expat’ » sont ceux qui ne payent rien au pays, mais votent quand même et mobilisent à l’occasion l’ensemble des services diplomatiques voire militaires !

Juste pour la gloire de notre « rayonnement » lointain…

En plus, quand ils ont « bobo-là » (capitale du « Tamalou »), ils reviennent fissa se faire guérir chez nous… sans avoir cotisé !

Au même titre que le migrant, d’ailleurs…

 

La nouveauté pourrait aussi concerner les grands groupes qui échappent aujourd'hui au fisc, avec la création d’ « un impôt forfaitaire » sur leurs bénéfices (ignorant que l’IFA existe déjà, peut-être ?).

On en reparlera, parce que soit on renégocie les quelques 190 conventions fiscales bilatérales (alors même qu’on est incapable de négocier avec nos voisins helvètes…) dans ce sens, et on « réforme » totalement les règlements européens sur le sujet (le vaste chantier !), soit c’est pour faire comme les Suisses, un « petit paradis fiscal »…

 

Économie : Les entreprises seront par ailleurs encouragées à ne pas délocaliser grâce à une « TVA anti-délocalisation » (tient donc : Un taxe à l’import de leurs productions, où un ersatz de « TVA-sociale » ?), ce qui reviendrait à « 1.800 euros de charges en moins sur chaque emploi par an » !

Comment fait-il ce miracle-là ?

Et pourquoi, si c’est possible, ne l’a-t-il pas fait avant ?

Le problème n’est quand même pas si nouveau que ça, depuis 30 ans…

 

Et d’expliquer : Les salariés qui gagnent entre 1.000 et 1.400 euros par mois verraient leurs salaires nets augmenter de 840 euros par an, grâce à l'intégration de la prime pour l'emploi.

Et les autres ?

Ils payent jusqu’à entrer « dans la fourchette » en en retirant toujours plus ?

Et où passe donc la différence entre 1.800 et 840 euros ?

 

Dans le secteur immobilier, il confirme la hausse de 30 % des droits à construire dans les 3 ans et la division par deux des droits de mutation sur les résidences principales.

Pourquoi pas : De la recette en moins, c’est ça ?

 

Chômage et formation : La mesure annoncée pendant la campagne qui doit permettre à chaque chômeur longue durée de bénéficier d’une formation qualifiante est confirmée. Ceux-ci seront obligés « d’accepter l'emploi qui correspond à la formation » qui leur aura été donnée.

Et si je ne veux pas avoir une formation de boulanger parce que je suis un plombier ?

Et les autres qui ne sont pas encore de « longue durée » ? Ils attendent d’y être ?

 

Introduction de sept heures d'activité d'intérêt général obligatoire par semaine pour les titulaires du RSA. Ils font comment pour sortir de leur situation ?

 

Pour les jeunes, il poursuit dans sa croisade personnelle pour favoriser l’apprentissage : La dernière année du bac pro et du CAP sera obligatoirement effectuée en alternance dans une entreprise.

À condition de trouver un stage… et d’avoir assez révisé l’année précédente pour réussir son bac !

 

Pour les seniors, le programme prévoit l’exonération des charges patronales pour l'embauche des plus de 55 ans : Place aux vieux !

Encore un « truc » qui va coûter cher : Qui paye ?

 

100.000 immigrés par an, soit une division par deux du nombre d'immigrés accueillis chaque année.

Pourquoi en décider ainsi seulement après 5 ans d’exercice du pouvoir, si c’est une « bonne mesure » ?

Il souhaite « confier le contentieux de l'immigration à la jurisprudence administrative », ce qui exigera une réforme de la Constitution, et pourrait donc faire l'objet d'un referendum.

Pourrait seulement, hein !

Notez que si le « droit d’asile et de rétention administrative » est du contentieux des juridictions civiles, c’est qu’il s’agit d’abord d’une des libertés fondamentales de « tout homme en la partie des droits de l’homme ».

Et que les décisions de reconduite aux frontières, voire la délivrance de visas, sont déjà du ressort des juridictions administratives, puisqu’il s’agit de … décisions administratives !

 

Par ailleurs le regroupement familial sera conditionné à la connaissance du « Francilien-natif ».

Jusqu’à quel degré ?

Et puis « connaître », ce n’est pas « user de »…

 

Santé et société : Le programme exposé prévoit de plafonner l'augmentation des dépenses de l’Assurance maladie à 2,5 %, pour réaliser 4 milliards d'euros d’économies sur 5 ans… 800 millions/an seulement alors qu’il manque des milliards tous les ans : La belle ambition !

C’est déjà beaucoup, mais là encore, on ne sait pas faire les années à grippe…

Peut-être s’agira-t-il de virer « Bâche-l’eau » et de ne plus acheter de vaccins…

Ou de décréter que la grippe n’existe plus ?

Je ne sais pas…

 

La réforme sur la dépendance sera remise à l’ordre du jour : Tiens, encore une réforme qui n’a rendu que du « kaka » ?

Le programme prévoit en outre la création de 750 maisons de santé « pluridisciplinaires » (qui existent déjà un peu partout en milieu « rurbain »).

 

Et la création de 200.000 places de garde pour la petite enfance supplémentaires : On en a une urgente nécessité.

Mais notez que l’objectif était le même et que malgré une dotation de 12 milliards à la CAF pour le COG 2010/2012, on n’y est pas encore…

Parce que bon, il naît 850.000 Gaulois par an, ce qui nous donne 2,55 millions de mômes en déshérence avant d’entrer en scolarité tous les ans !

200.000 places = 7,84 % des besoins seulement…

 

Enfin le versement des retraites sera décalé au 1er du mois au lieu du 8, pour faciliter la vie des retraités…

J’adore !

Huit jours de trésorerie que les « seniors » finançaient jusque-là au fil des retards à l’allumage successifs accumulés depuis tant de décennies.

Passons : Qui paye quoi ?

 

En bref, que des « mesurettes », qui aurait pu être mises en place depuis 2007, voire en 2002 ou encore avant.

Franchement navrant, tout compte fait !

Et il veut que je colle ses affiches ?

 

Par l’effet d’un hasard insensé, j’ai croisé le regard de « Capucine », qui va affronter bravement « Goût-jonc » le boss de la fédération parisienne de l’UMP.

Si elle me le demande gentiment, parce qu’elle est mignonne et « propre sur elle », j’irai peut-être coller ses affiches à elle.

Peut-être seulement, parce que bon, ça reste une « soce » quand même !

Curieux que les jeunes « pousses-&-talents » ne soient pas de « ma bande »…

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 03:32

Sixième et septième siècle

 

Quelques lignes ont sauté à l’occasion du post précédent, que je reprends :

 

Nous sommes en au mois de janvier 596, quand Grégoire 1er charge Pierre (Petrus), alors évêque d'Aléria (qui a succédé à Martin), de la construction d’une basilique en l’honneur de Saint Pierre et d’un baptistère consacré au martyr Saint Laurent : L’église San Petrucculu d’Accia, est encore située sur le San Petrone, entre la vallée d’Orezza et celle du Rustinu.

 

Est-ce là la création de l'évêché d'Accia ?

En Castagniccia, à Quarcitellu ou au col de Pratu, qui vient s'ajouter à ceux déjà existants d'Aiacciu, de Aléria, de Mariana, du Nebbiu et de Sagone ?

Faut-il rajouter celui de Taina, au sud de Mariana, et celui d’Urcinum ?

Mes archives familiales sont quelque peu défaillantes à ce sujet.

 

Au mois de septembre 596, toujours Grégoire 1er charge Pierre, l’évêque d'Aléria, de lutter contre l'idolâtrie toujours pratiquée dans certaines régions de l’Île.

Dans nos montagnes, les anciennes divinités, non pas romaines mais celles de la forêt existent toujours : Même à l’heure contemporaine, certaines restent « actives » quand elles sont évoquée…

C’est un constat, pas une « croyance ».

 

En octobre 596, Grégoire 1er d’adresse au Patrice d'Afrique Gennade pour lui demander d'assurer la sécurité de l'Île, menacée par les invasions d'infidèles, vraisemblablement Lombards.

Ce dernier envoie en Corse son tribun militaire Athanase. Et celui-ci devient officiellement en 597 le gouverneur de l’Île au nom de l'Empereur Maurice.

 

Deux ans plus tard, en 599, les membres du clergé et ceux du « peuple » des chrétiens locaux, à savoir les « chefs de clans », se réunissent à Aiacciu pour élire pour la première fois leur évêque, qui est ensuite consacré à Rome.

C’est une première dans l’Île qui fera date, d’autant que si les « Sgio » sont en général les représentants des villages ou des pièves par « consensus-général » du fait de leur charisme naturel (ou de leur « grande-gueule »), parfois du fait d’élections où participent même les femmes, les hommes d’Église sont en général nommés par la hiérarchie et l’autorité papale et romaine.

À la fin du VIème siècle, en Corse, c’est l’inverse, comme à l’heure des tout premiers chrétiens : Les Corse élisent déjà leurs chefs et représentants « politiques » et religieux…

Ironie de l’affaire du premier évêque élu par les « fidèles », c’est que je n’ai pas retrouvé son nom : Dans mes archives, il y en a plusieurs à travers « la mémoire », mais ce ne sont que des candidats qui font la tournée des pièves.

Pourtant, au moins un de mes ancêtres en laisse trace, mais ne dit rien du vainqueur de cette élection !

Sans doute pas un « ami »…

 

 

On peut noter vers l’an 600 la présence de quelques missions et actions grégoriennes qui se poursuivent en Corse.

En fait, tout au long de la période qui va suivre, la Corse va rester « sous tutelle » du Vatican avant de changer de « protecteur ».

 

On détient une lettre datant du 17 juin 601, envoyée au « Defensor Corsicae Gregorius Bonifacio », le représentant l’autorité byzantine en Corse, du pape Grégoire 1er qui lui reproche vivement de négliger ses évêchés et le presse instamment de pourvoir aux sièges vacants d’Aleria et d’Aiacciu.

C’est donc que le vieillard élu deux ans auparavant n’est plus.

 

Vraisemblablement une période de troubles « politiques » survient puisque la mémoire familiale ne signale plus que quelques dates :

En 610, on sait qu’Iéronimo est élu et consacré évêque d’Aleria et qu’en 639, lui succède l’évêque Guglielmo, toujours à Aleria Mais sans savoir s’il est ou non élu…

 

Deux ans plus tard, en 641, après avoir envahi l’Italie et s’être emparé de la Toscane, les barbares débarquent une nouvelle fois en Corse.

Imperturbables, Bonoso devient évêque en remplacement de Gulielmo en 646.

Chacun se souvient des nombreux Conciles de Latran et tout particulièrement de celui de l’année 649 : Deux évêques Corses y participent : Donato (Donatus), de Mariana, et Benoît (Benedictus), d’Aiacciu. Il est rapporté que Benoît prendra par 2 fois la parole et que parmi les 105 évêques présents, il est cité au septième rang, après le pape Martin 1er.

On enregistre par la même occasion les premières donations effectuées en Corse aux moines du monastère de San Maximiliano, situé sur l’îlot italien de Montecristo.

 

Bien plus tard, en 660 on note l’arrivée d’Ugulino consacré évêque d’Aleria. On ne sait pas si celui-ci est « élu » par la communauté des chrétiens, mais Ugulino c’est la racine sémantique d’une lignée de Ugo qui deviendra célèbre plusieurs siècles plus tard, quand les républiques de Gênes et de Pise se disputeront la Corse.

 

Dès l’année suivante, en 661, c’est le début des vagues d’invasions sarrasines : La dynastie des Omeyyades, des califes d’origine arabes (661,750), disciples de Mahomet se montrent en Europe et en Corse.

C’est le commencement d’une longue période d’invasion « des croyants » qui ne trouvera son terme qu’après plusieurs croisades.

 

En 674, Angelo succède à Ugulino à l’évêché d’Aleria. Pour laisser la place à Paul en 687. Déjà en 688 quelques monnaies lombardes circulent dans l’Île. Et en 704, on note plusieurs invasions de Maures en Corse.

En 708, Timotéo devient l’évêque d'Aiacciu, consacré par le pape Sisiinius. Et l’on retrouve des monnaies lombardes datant de 712.

L’implantation est donc récurrente.

Toutefois, 30 ans plus tard en 718, les incursions des Maures sont de plus en plus nombreuses et deviennent habituelles.

Elles sont foudroyantes, inattendues et vraiment redoutées.

Un acte notarié de 719 atteste de l'authenticité et la précocité d'une qualité d'écriture alors usitée en Corse, très différente du Latin habituellement utilisé par les hommes de plume.

Non seulement le « Corse » existe à l’oral, mais connaît aussi sa transcription scripturale dès avant la fin du VIIème siècle.

Clairement au début du VIIIème !

C’est aussi l’année où le comte Roland, gouverneur de la Corse, fait donation de quelques terres aux couvents de la Corse. L’acte passé à Fogata, dans le lieu-dit « Marcoriu », par le notaire Leonardus Laurenti mais en Latin qui reste d’usage entre « lettrés ».

 

Autour de 725, les Lombards reviennent en qualité d’envahisseur. Leur roi Liutprand (713,744), se réclame « Prince et Catholique » et veut protéger l'Italie et la Corse du péril musulman.

Le pape Grégoire II (715,731) affaibli, ne peut s'y opposer.

En 729 Liutprand, le « Prince Catholique Lombard », étend alors son autorité et instaure sa loi féodale sur toute l'Île.

La Corse fait alors partie de la « Dix-Septième Province » du Royaume Lombard, sous la tutelle « hypothétique et allégée » du pape.

Qui consacre Elie évêque d’Aleria en 736 jusqu’en 743 où il est remplacé par Marc.

 

Mais dès 754, devant la menace du nouveau Roi des Lombards Aistolf (749,756), le pape Etienne II (752,757) réagit en demandant à Pépin le Bref, Roi des Francs (751,768), que la Corse lui soit attribuée en tant que Patrimoine de Saint Pierre.

Pépin le Bref mène alors une campagne victorieuse contre les Lombards d’Aistolf et c’est à l’Assemblée de Quiersy-sur-Oise, au cours de laquelle le Roi des Francs remet la Corse sous l'autorité du Saint-Siège et du pape Etienne II (Donation de Pépin).

Il finit d’ailleurs par battre définitivement Aistolf et ses Lombards, deux ans plus tard, en 756.

Mais les invasions mauresques persistent. En 759 les Corses font transporter sur le continent leurs plus précieuses reliques : Par exemple, celles de Sainte JUlie à Brescia, en Italie, entreposées là par les moines du monastère de La Gorgona, île de l'archipel toscan situé au large de la Corse.

L’unique texte écrit en lombard en Corse est retrouvé comme datant de 765…

 

Une légende attribue au mythique prince romain Ugo Colonna envoyé sur l’Île par le pape Etienne II, l'expulsion des Maures de Corse après 33 ans de luttes en 771.

C’est en 773 que le comte Giulio Ortoli, d’une famille d'Ancône, port de l’Adriatique, s’installe en Corse. Il serait le fondateur la famille d'Ortoli.

 

Le 6 avril 774, à Rome, Charlemagne, Roi des Francs (768,814), puis plus tard Empereur d'Occident (800,814), confirme au pape Adrien 1er (772,795), qui le lui demande (dans sa lettre « Liber Pontificalis »), de confirmer les décisions prises lors de la Diète de Kiersy en 754 faisant officiellement entrer la Corse dans les états du Saint-Siège.

L’année suivante, en 775 Charlemagne nomme Hadumar préfet de Corse.

Ce faisant en 777, dans une lettre adressée à Charlemagne, le pape Adrien 1er lui demande qu'on aide l'Église à recouvrer, entre autres, les patrimoines qu'elle possédait en Corse et qui lui avaient été enlevés par les Lombards.

Chose confirmée par la suite, puisqu’en 778, l'Île entre définitivement dans le groupe des états pontificaux. Et c'est Charlemagne qui garantit l'autorité pontificale sur ces territoires et les protège militairement.

 

Signalons l’existence d’une notice du Pape Léon III (795,816) citant en 795 l'existence à Rome, d'un « Monasterium Corsarum ».

Ne me demandez pas de quoi il s’agit.

En revanche, je peux signaler qu’en 797, c’est Maxime d’Alabano qui est l’évêque d’Aleria.

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8 avril 2012 7 08 /04 /avril /2012 04:02

Christ nous est ressuscité.

Chose incroyable dès la première année, mais d’autant plus tous les ans.

 

Par malchance, la pâque juive dite aussi « Pessah », c’était hier et celles des orthodoxes, c’est la semaine prochaine !

 

Du coup, cette année je me suis attardé à sa « détermination temporelle », au moins chez les « papistes » (et même les « hérétiques huguenots »).

Pour remonter jusqu’en l’an 325, lors du premier concile de Nicée, au cours quel a été décrété la règle suivante : Pâques est célébré le dimanche qui suit le quatorzième jour de la lune qui atteint cet âge au 21 mars ou immédiatement après.

Autrement dit, c’est le premier dimanche qui suit la première pleine lune située après le 21 mars (début du printemps).

Avant ce concile, la fête suivait des règles variables, influencées par la date de Pessah.

 

Dans cette définition, l’expression « âge de la lune » n’est pas prise dans son sens usuel : L’âge est compté en jours entiers, à partir du jour de la nouvelle lune. De plus, c’est la « lune de comput » (dite aussi « lune pascale ») où Le terme « comput », du latin computus, désigne le calcul des dates de fêtes mobiles dans la religion chrétienne, qui est utilisée pour ces calculs et non la nouvelle lune réelle.

La date ne dépend donc ni des tables astronomiques, ni d’une observation directe du croissant (pratique encore en usage pour l’observation de certaines fêtes musulmanes).

Ce n'est pas non plus la date de l'équinoxe de printemps, mais bien le 21 mars, qui est utilisée comme date de référence (l'équinoxe de printemps tombe souvent un 21 mars, mais parfois aussi le 20 mars).

Par construction, Pâques se situe au plus tôt le 22 mars. Cela se produit quand la lunaison pascale commence le 8 mars (nouvelle lune) et que le 22 mars est un dimanche (postérieur à l'équinoxe qui coïncide ce jour-là avec la pleine « lune de comput »).

 

Au contraire la date la plus tardive possible est le 25 avril. En effet, dans le comput grégorien, une lunaison (nouvelle lune) peut commencer le 7 mars. Le quatorzième jour (dernière pleine lune d’hiver) tombe alors le 20 mars et la pleine lune suivante (première pleine lune du printemps) est le 18 avril, soit 29 jours après).

Si ce 18 avril est déjà un dimanche, Pâques tombe le dimanche suivant, le 25.

Il en est de même dans le « comput julien » car, même s’il n’y a pas de nouvelle lune possible le 7 mars dans ce calendrier, une lunaison qui commencerait le 6 mars julien durerait alors 30 jours et non 29.

 

Notez qu’en 463, le pape Hilaire a approuvé le cycle pascal calculé par Victorin d'Aquitaine, approuvé en Gaule au concile d'Orléans de 541.

Et en l’an 525, c'est Denys le Petit qui a établi le cycle pascal adopté par l'église catholique, papiste, romaine, apostolique et universelle.

 

Il faut dire aussi que le « comput julien » utilise deux éléments : La lettre dominicale et le nombre d’or astronomique. Alors que le « comput grégorien » utilise la lettre dominicale et l’épacte (qui est une quantification de la différence entre les calendriers solaire et lunaire), même si la connaissance du nombre d’or est aussi nécessaire, contrairement à ce qui est généralement affirmé.

Car le cycle solaire est un élément dont l’emploi est équivalent à celui de la lettre dominicale julienne.

L’indiction romaine n’a plus aucun rôle dans le comput actuel : Il a servi dans une ancienne chronologie chrétienne, fondée sur une division du temps en cycles successifs de quinze ans à partir de l’an 313 de l’ère chrétienne, et dans laquelle il indiquait le rang d’une année dans son cycle.

 

La valeur de ces éléments est donnée chaque année dans les almanachs. Aussi a-t-on cru devoir la publier dans la « Connaissance des Temps » et dans l’annuaire du Bureau des longitudes.

En raison de cette publication, l’annuaire du Bureau des longitudes consacrait au « comput » un article périodique, qui se concluait naturellement par le calcul de la date de Pâques. Le texte de cet article était d’ailleurs très sensiblement la reproduction de la fin du Livre IV de la 3ème édition du Cours d’astronomie de H. Andoyer de 1923.

Il s’agissait d’une tradition non justifiée : Les éléments du « comput » n’ont aucun rôle scientifique, civil, ou même religieux. Le calcul réel de ces jours est plus compliqué que celui du calendrier perpétuel publié annuellement dans les « Éphémérides astronomiques » de l’annuaire du Bureau des longitudes.

 

Mais on peut aussi user d’un autre algorithme attribué à Gauss, sauf qu’il contient quelques erreurs (en fait d'erreur, il s'était basé sur des données limitées dans le temps ; son résultat n'est donc pas garanti pour toutes les périodes).

 

En revanche celui créé par Thomas O'Beirne, a le mérite d’être juste pour notre siècle et d’inclure tous les calculs intermédiaires du « comput » en partant simplement du numéro de l’année à calculer.

Pour la période actuelle (1900 - 2099), on a, de façon rapide :

Soit « M » l’année du calcul (prenons 2005 pour exemple) : On pose « n » = « M – 1900 » (on retranche 1900 à l’année, donc n = 105 pour notre exemple) ;

On prend « a », le reste de n dans la division par 19 (105 / 19 = 5 mais 5 × 19 = 95 au lieu de 105, il reste donc 10 ; « a » = 10) ;

On calcule « a × 7 + 1 » (ce qui donne pour l’exemple 7 × 10 + 1 = 71) ;

On en prend « b », le résultat (entier) de la division par 19 (71 / 19 = 3 donc « b » = 3) ;

On calcule « (11 × a) - b + 4 » (soit 11 × 10 - 3 + 4 = 111) ;

On en prend « c » le reste dans la division par 29 (111 / 29 = 3, or 3 × 29 = 87 au lieu de 111, il reste donc 111 - 87 = 24, donc c = 24) ;

On calcule « d » la partie entière de n / 4 (105 / 4 = 26) ;

On calcule « n - c + d + 31 » (soit 105 - 24 + 26 + 31 = 138) ;

On en prend « e » le reste dans la division par 7 (138 / 7 = 19, or 19 × 7 = 133 au lieu de 138, il reste donc 138 - 133 = 5, donc « e » = 5) ;

On calcule « P = 25 - c – e » (dans l’exemple : P = 25 - 24 - 5 = -4) ;

La date de Pâques tombe donc très logiquement « P » jours après le 31 mars (ou avant si « P » est négatif).

Ce qui signifie que pour « P = 1 », c’est le 1er avril, autrement dit « P » positif correspond directement au jour du mois d’avril ; pour « P = 0 » le jour de Pâques est le 31 mars, et pour « P = – 1 » le 30 mars.

Ou raconté autrement, « P » est négatif et doit être ajouté à 31 pour obtenir le jour du mois de mars.

Pour l’année 2005, on trouve « P = – 4 », ce qui veut dire que Pâques est le dimanche 31 - 4 = 27 mars).

En refaisant ce calcul pour l’année 2006, on trouverait « P = 16 » et on retrouverait le résultat précédent (Pâques 2006 tombe le 16 avril) et pour 2012 « P = 8 » soit aujourd’hui.

Simple n’est-ce pas ?

 

Sauf qu’avec cette Formule, et seulement à partir de l'an 2100, le dimanche de pâques tombe un samedi : En effet, 2100 ne sera pas une année bissextile, ce qui décale le résultat d'une journée pour tout le XXIIème siècle !

Mais on n’en est pas là…

 

En attendant, bonnes nouvelles : Outre la ressuscitation de Jésus-Christ conformément aux écritures, demain sera fériée.

Mauvaise nouvelle : On va devoir assumer une semaine normale en seulement 4 jours ouvrés !

 

Bref : Joyeuses Pâques à toutes z’et tous !

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7 avril 2012 6 07 /04 /avril /2012 05:10

Le TOP des crédits-d’impôt plébiscités par les TPE

 

1 – Le crédit d'impôt « Formation du chef d'entreprise » :

Il est égal au produit du nombre d'heures passées par le chef d'entreprise en formation, plafonné à 40 heures par année civile, multiplié par le taux horaire du Smic.

Soit jusqu'à 368 euros en 2011.

Facilité d'obtention : 5/5 (Un simple formulaire suffit au moment du bilan : Formulaire N°2079 FCE-SD)

 

Ce n’est pas grand-chose – une semaine de smic, mais ça fait entrer une peu de beurre dans les épinards, surtout quand le carnet de commandes est vide…

Et puis ça occupe l’esprit, forme le caractère et ouvre des horizons et procure parfois  des contacts nouveaux.

 

2 – Plus utile, le crédit d'impôt pour « Dépenses de prospection commerciale » : Le crédit d'impôt pour dépenses de prospection commerciale bénéficie aux TPE et PME qui engagent des dépenses de prospection commerciale afin d'exporter des biens et des marchandises et même des services (frais de participation à un salon dans l'UE, embauche d'un commercial, plaquettes pour l'export, etc.)

 

Par exemple, les dépenses exposées par un cabinet d'avocats pour organiser ou participer à des manifestations (colloques, conférences...) hors de France et destinées à faire connaître les compétences du cabinet ouvrent droit au crédit d'impôt pour prospection commerciale.

 

Son montant s'élève à 50 % des dépenses exposées dans le cadre du développement des exportations.

Mais il est plafonné à 40.000 € (pas terrible).

Facilité d'obtention : 5/5 (Un simple formulaire suffit au moment du bilan : Formulaire N°2079 P-SD)

 

L’inconvénient, c’est qu’il faut faire la dépense.

Notez qu’elle est déjà déductible de l’assiette des résultats.

Et puis surtout il faut envisager d’exporter…

Mais ça peut éventuellement faire voir du paysage !

Une façon de partir en week-end aux frais (à peine 16 % du coût réel) du « kon-tri-buvable »

 

3 – Le « Crédit d'impôt famille » : Celui-là est extraordinaire !

Le crédit d'impôt famille bénéficie aux entreprises qui exposent certaines dépenses pour leurs salariés qui ont des enfants à charge (crèches, par exemple).

Le taux du crédit d'impôt famille varie de 25 % pour le financement du CESU, par exemple, à 50 % pour les frais d'accueil d'enfants de moins de 3 ans.

Son montant est plafonné à 500.000 €/an et par entreprise.

De quoi caser les rejetons d’au moins 30 salariées-fornicatrices par an !

Facilité d'obtention : 5/5 (un simple formulaire suffit au moment du bilan : Formulaire N°2069 FA-SD).

 

Là où il est extraordinaire, c’est non seulement qu’il est déductible de l’assiette de l’impôt sur le résultat, mais qu’en plus on vous rembourse la quotité non utilisée au cas où votre impôt sur les résultats n’est pas suffisant !

Au total, pour un peu plus du dixième du smic par mois, vous récupérez votre secrétaire après les trois mois de congé maternité sans avoir à en former une autre et ce n’est même pas un avantage en nature soumis à cotisation sociale !

 

4 – Le « Crédit d'impôt en faveur de l'apprentissage »

Le montant du crédit d'impôt apprentissage est fixé à 1.600 € par apprenti employé depuis au moins un mois (pas terrible…).

Ce montant est porté à 2.200 € lorsque l'apprenti a la qualité de travailleur handicapé ou bénéficie d'un accompagnement personnalisé.

Facilité d'obtention : 5/5 (Un simple formulaire suffit au moment du bilan : Formulaire N°2079 A-SD)

 

En revanche, il faut des apprentis sous la main : Comme tout le monde se les arrache dans certains métiers, il faut « être bien » avec la directrice de l’ékole d’apprentissage…

 

5 – Le « Crédit d'impôt intéressement » : Cet inconnu (qui existe, sous des formes diverses depuis … 1958 !)

 

Le crédit d'impôt intéressement bénéficie aux PME/TPE qui concluent un accord d'intéressement entre le 4 décembre 2008 et le 31 décembre 2014. Il est égal à 30 % des versements effectués à ce titre la première année, puis de l'augmentation de la prime d'intéressement les années suivantes.

Facilité d'obtention : 3/5 (Nécessité de mettre en place un accord d'intéressement, contrôle a priori des DDETFP locales qui ont chacune leurs « dadas » ... locaux).

Parfois, il en faut un peu plus pour devenir « intelligent », mais on sait faire.

 

N’en déplaise à Inco, ce truc-là, c’est vraiment l’avenir !

Mais non, les « petits-patrons » préfèrent souvent et konnement de jouer de la prime individuelle « à la gueule », chargée sous prétexte qu’il y en deux (sur les 10) à qui il ne veut rien donner de plus que ce que prévoit la convention collective pour des motifs de pure convenance (l’une à des petits-seins et l’autre un gros-kul, par exemple, les deux sont des bras-cassés ou portent des moufles en plomb).

Et ils sont des centaines de milliers qui préfèrent « faire chier caguer » ces deux-là et payer les charges patronales sur les 8 autres pour les garder et les motiver de la sorte…

Je l’ai encore entendu de la bouche « d’expert-Kon-table » la semaine dernière (eux et leur étroitesse d’esprit !).

 

Parce que l’intéressement, c’est de la rémunération collective exonérée, au moins « par équipe », et qu'il suffit de coller les « bras-cassés » dans une unité de travail qui aura une formule de calcul qui ne donne jamais rien pour motiver ainsi donner tous les autres avec 20 % du montant total des salaires versés.

 

Ex : J’ai 10 salariés qui me coûtent chacun 15 K€/an. J’ai envie de filer une prime de 1.000 €/an à chacun (sauf aux deux konnes) parce que vraiment, ils se sont « arrachés » à faire du résultat gros comme ça toute l’année (ou le trimestre) : Coût total 12 K€ en excluant les deux bras-cassés, mais en comptant les charges sociales.

Et les gusses ne touchent que 800 euros chacun en signe de reconnaissance.

Le tout déductible de mon IS qu’on va dire être égal à 0 (parce que bon, je ne suis pas là pour payer des impôts)

 

Je te remets les 12 K€ dans le dispositif exonéré : Coût = (12 x 1,08) – (12 x 0,3 de « CI ») la première année = 9,36 K€ !

La seconde année, on verse moins (c’est assez facile en modifiant la formule de calcul tous les ans, car c'est permis en plus), histoire de neutraliser les 8 % de taxes et la troisième année on en rajoute.

Résultat, les gusses ils touchent chacun (y compris les deux pétasses, mais on peut les « sortir » si elles sont au moins deux) 925 € au lieu de 800…

Cherchez l’erreur à 15 % de plus !

 

Et ils sont des centaines de milliers à passer à côté d’un truc « gagnant-gagnant » : On a les experts qu’on mérite, finalement…

Et comme souvent le « petit-patron », il est aussi kon qu’eux selon la règle « qui se ressemble s’assemble », on compte à peine 9.000  à 10.000 entreprises qui ont le dispositif dans leur arsenal de rémunération.

Mais toutes les sociétés du « S&P 500 » sises en « Gauloisie du profit », ça c’est sûr !

 

6 – Le « crédit d'impôt recherche » : Une vraie vache-à-lait qui coûte non plus des dizaines ou des centaines de millions d’euros, mais des milliards à l’État !

À moi, en somme…

 

Le crédit d'impôt recherche permet de faire financer jusqu'à 100 % du salaire brut des chercheurs dans les entreprises qui font des travaux de recherche.

Facilité d'obtention : 1/5 (Nécessité de préparer des déclarations complexes + un dossier complet de présentation des travaux de recherche)

 

Notez que si ainsi Guerlain se paye direct dans l’IS, charges incluses pour « rechercher » le parfum nouveau, j’ai vu des boutiques user du dispositif pour mettre au point des recettes de cuisine de plats tout-préparés, des publications qui ne verront jamais le jour, etc.

Le mérite, c’est que ça fait vivre quantité de conseils (qui se payent sur la bête) et quelques « chercheurs » qui ne sont pas forcément des « trouveurs »…

Qui seraient chômeurs indemnisables depuis longtemps, au demeurant… Ou terroriste, fedayin ou je ne sais quoi.

 

7 – Le « Crédit d'impôt Investissement en Corse » : C’est naturellement celui que je préfère.

Il bénéficie aux TPE seulement pour certains investissements dès lors qu’ils sont réalisés en Corse. Et s'élève à 20 % du montant des investissements locaux (y compris frais de prospection et de recherche si il s’agit d’exporter de la bière, de la vodka, du whisky, de la crème de châtaigne ou des pâtés de sansonnets Corses) : Il faut donc aller à la banque emprunter de quoi dépenser !

 

Facilité d'obtention : 5/5 (Un simple formulaire suffit au moment du bilan : Formulaire N°2069 E2-SD)

 

Les « investissements » éligibles sont les biens d'équipement amortissables selon le mode dégressif, les agencements et installations de locaux commerciaux ouverts à la clientèle, les logiciels constitutifs d'éléments d'actifs immobilisés nécessaires à l'utilisation de ces investissements, et les travaux de rénovation d'hôtel.

Le crédit d'impôt s'impute sur l'impôt sur le revenu ou l'impôt sur les sociétés de l'année de réalisation de l'investissement.

Le solde non-imputé s'impute sur les 9 années suivantes.

À l'issue de cette période, la fraction non encore imputée est remboursable dans la double limite de 50 % du crédit d'impôt initial et de 300.000 €.

 

Notez que l’entreprise peut également demander, à compter de la 5ème année, le remboursement de la fraction non-imputée, dans la double limite de 35 % du crédit et de 300.000 €.

Et ce que vous ne savez pas, c’est que l’entreprise qui a son siège dans l’une des zones franches, exonérées de tout (mais là, il faut être « copain » avec les élus d’une des deux CCI locales), la boutique ne paye jamais aucun impôt…

 

La bonne combine consiste à laisser passer quelques « cousins » au bout de 10 ans, s’arranger pour que l’assurance paye tout le bazar qui aura sauté, quitte à partager un peu avec eux pour la cause des « prisonniers politiques » et de recommencer ailleurs…

 

8 – Le « Crédit d'impôt métiers d'art » : Je ne connaissais pas…

Le crédit d'impôt « métiers d'art » est égal à 10 % (15 % pour les métiers bénéficiant du label « entreprises du patrimoine vivant ») des dépenses exposées jusqu'au 31 décembre 2012 par les entreprises éligibles, pour la conception de nouveaux produits.

 

Peuvent bénéficier de ce crédit d'impôt les entreprises dont les charges de personnel afférentes aux salariés exerçant un « métier d'art », énuméré dans l'arrêté ministériel du 12 décembre 2003, représentent au moins 30 % de la masse salariale totale.

On y compte donc les salaires et charges sociales afférents aux salariés directement et exclusivement chargés de la conception de nouveaux produits et des ingénieurs et techniciens de production chargés de la réalisation de prototypes ou d'échantillons non-vendus.

Mais aussi les dotations aux amortissements des immobilisations directement affectées à la conception de nouveaux produits et à la réalisation de prototypes.

Les frais de dépôt des dessins et modèles relatifs aux nouveaux produits, les frais de défense des dessins et modèles dans la limite de 60.000 € par an et les autres dépenses de fonctionnement exposées à raison des opérations de conception de nouveaux produits et à la réalisation de prototypes : Elles sont fixées forfaitairement à 75 % des dépenses de personnel mentionnées au premier alinéa.

Auxquels il faut rajouter les dépenses liées à l'élaboration de nouvelles collections confiées par ces entreprises à des stylistes ou bureaux de style externes.

 

C’est le « pote Guerlain » qui est content : Au moins, il peut payer les 6.000 euros d’amende auxquelles il a été condamné pour propos raciste !

Facilité d'obtention : 5/5 (Un simple formulaire suffit au moment du bilan : Formulaire N°2079 ART-SD)

 

Juste un petit tour d’horizon des préférences des TPE/PME.

Parce que ces crédits d’impôts, c’est juste un « petit bout de l’iceberg » de la marée des « niches-fiscales » (et parfois sociales) : On en comptait « 509 officielles » en 2009.

 

Il va falloir que je refasse un décompte dans quelques semaines : J’ai pris du retard.

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